Le Mur de l'Atlantique

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Date de parution 11 janv. 2023 | Archivage 8 août 2023
ELIDIA | Editions du Rocher

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Résumé

La narratrice, qui vit à Londres, passe une semaine de vacances chez ses parents en Charente-Maritime. Une dernière fois, elle veut se rendre dans la maison, tout juste vendue, de sa grand-mère. Cette ultime visite et ce bref séjour au bord de l'Atlantique la ramènent sur les chemins de l'enfance. Elle tourne les pages des albums photos de famille, se souvient de son grand-père Valentino, immigré italien, maçon et ouvrier agricole ; de la quête d'un vieux fort réputé impénétrable ; de l'estuaire du fleuve tout au bout des marais… Sans oublier cet horizon sauvage : l'île Madame.

Le récit, d'une infinie élégance, a le charme d'une balade balnéaire. Les époques se mêlent avec délicatesse, reprennent vie et nous restituent le plus précieux des parfums, celui d'un temps suspendu.

Olivia Resenterra a publié un essai, Des femmes admirables, portraits acides (PUF, 2012), et deux romans aux éditions Serge Safran : Le Garçon – scènes de la vie provinciale (2016) et Nécrologie du chat (2019).

La narratrice, qui vit à Londres, passe une semaine de vacances chez ses parents en Charente-Maritime. Une dernière fois, elle veut se rendre dans la maison, tout juste vendue, de sa grand-mère...


Actions promotionnelles

- Dans la veine de Pierre Adrian "Que reviennent ceux qui sont loin".

- Des thématiques fortes et universelles (enfance, souvenirs, famille, racines, histoire de l'immigration italienne).

- Formidable conteur : une histoire qui nous touche car elle est un miroir de nos vies puisqu’elle décrit ces petits riens, ces détails qui sont autant de repères qui remplissent nos pensées et nous accompagnent.

- Une méditation en creux sur la mémoire et le souvenir, déployée avec grâce et beaucoup de pudeur.

- Des instantanées, des vieilles photographies sépias qui dévoileraient des impressions fugitives, des odeurs, des senteurs, des sensations, des souvenirs de jeunesse.

- Une écriture limpide et ouvragée, précise et évocatrice, impressionniste.

- Réseau presse/médias de l'auteure : de Transfuge à VA, en passant par les jurés du prix Lipp/Cazes (finaliste 2020).

- Dans la veine de Pierre Adrian "Que reviennent ceux qui sont loin".

- Des thématiques fortes et universelles (enfance, souvenirs, famille, racines, histoire de l'immigration italienne).

-...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782268108483
PRIX 16,50 € (EUR)
PAGES 176

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Peu de temps avant la vente de la maison de sa grand-mère, vide depuis des années, la narratrice vient passer une semaine chez ses parents et décide d'aller voir une dernière fois ce lieu des mercredis de son enfance et des repas dominicaux.

Avec elle nous partons en balade dans sa Charente-Maritime et dans les souvenirs de son passé, des choses qu'on lui avait raconté sur sa famille paternelle, arrivée d'Italie quand son grand-père était très jeune homme !

Elle ne se rappelle pas son grand-père, elle avait 3 ans à sa mort et tente de retracer sa vie à partir de photos dans de vieux albums.

Avec ses souvenirs, ni nostalgiques, ni tristes, elle donne vie à la maison de ses grands-parents, aux animaux familiers, aux membres de la famille qui venait en visite, ce qu'elle imaginait de la vie dans son enfance !

Une lecture intimiste, tout en douceur où la narratrice ne cherche pas à tout prix la réalité des faits et des choses mais raconte la fillette qu'elle a été, dans une Charente maritime et pleine d'une Histoire tumultueuse et violente !

Elle m'a donné envie de retourner flâner d'un fort à l'autre et d'une île à une autre, sur cette côte Atlantique que Vauban a rendue inexpugnable et où chaque enfant a joué dans les vestiges de ses défenses.

#LeMurdelAtlantique #NetGalleyFrance

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Le mur de l’Atlantique
Par Olivia Resenterra
Editions du Rocher

Service Presse
Sortie 11 Janvier 2023
#netgalleyfrance

La narratrice, qui vit à Londres, passe une semaine de vacances chez ses parents en Charente-Maritime. Une dernière fois, elle veut se rendre dans la maison, tout juste vendue, de sa grand-mère. Cette ultime visite et ce bref séjour au bord de l'Atlantique la ramènent sur les chemins de l'enfance. Elle tourne les pages des albums photos de famille, se souvient de son grand-père Valentino, immigré italien, maçon et ouvrier agricole ; de la quête d'un vieux fort réputé impénétrable ; de l'estuaire du fleuve tout au bout des marais… Sans oublier cet horizon sauvage : l'île Madame.
Le récit, d'une infinie élégance, a le charme d'une balade balnéaire. Les époques se mêlent avec délicatesse, reprennent vie et nous restituent le plus précieux des parfums, celui d'un temps suspendu.
Olivia Resenterra a publié un essai, Des femmes admirables, portraits acides (PUF, 2012), et deux romans aux éditions Serge Safran : Le Garçon – scènes de la vie provinciale (2016) et Nécrologie du chat (2019).

La narratrice revient sur les pas de son enfance vider la maison de ses grands-parents avant la vente de cette dernière.
Ce retour est chargé d’émotions et de souvenirs.
Elle se remémore son grand père et retrace sa vie à l’aide de vieux albums photos.
Elle se rappelle également des jours passés avec sa tendre nonna.

Ce roman est un hommage vibrant à l’attachement familial, aux souvenirs d’enfances et la recherche de ses racines.

C’est beau, élégant et intime sans tomber dans le pathos.

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Merci aux éditions du Rocher et à Netgalley pour ce partenariat.
Le mur de l’atlantique est un roman calme et contemplatif. Ce roman court prend le temps, à une époque où l’on ne le prend pas vraiment, de poser le cadre, de décrire, de se souvenir aussi. La narratrice est revenue en France pour dire adieu à sa maison d’enfance, celle de sa grand-mère, en Charente-Maritime. Sur les lieux, elle se souvient, des souvenirs heureux, des bonheurs simples avec son frère, dans la maison, dans le jardin, dans ces anciens bâtiments qui vont sans doute être détruits par le nouveau propriétaire, dans des lieux pittoresques, propice à leur imaginaire, comme ils l’avaient été, des années plus tôt, à celui de son père, de son oncle, de ses tantes.
La narratrice retourne dans le passé, par le biais de ces petits morceaux de temps arrêté que sont les photos. Son grand-père, Valentino, sa grand-mère sont venus d’Italie, ayant construit leur vie et leur famille en France. Il est question d’immigration oui, mais aussi de transmission, de ces valeurs que l’on enseigne à ses enfants, par delà le départ du pays natal. Ces retour dans le passé nous rappelle aussi la vie quotidienne de cette population active des années cinquante, active mais oubliée, qui était constituée d’ouvriers, de journaliers. Oui, en dépit de la scolarisation obligatoire, et ce, depuis des décennies, il était encore possible de ne savoir ni lire ni écrire, comme Vincent, ouvrier agricole dormant « au milieu des sacs d’orge et d’avoine. » Les enfants eux-mêmes devaient accomplir leur part de travail à la ferme – futurs successeurs de leurs parents, dans l’esprit des patrons. Oui, l’on parle d’ascenseur social, mais l’on n’oublie que certains n’avaient pas envie de voir d’autres s’élever. Constat pessimiste que je fais en passant, dans ce roman qui nous montre la France de l’après-guerre, les séquelles laissés sur le territoire français par la guerre – les blockhaus, les batteries en béton, vestiges du mur de l’Atlantique qui donne son titre à ce roman.
A découvrir.

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Charentes-Maritimes. La narratrice va se rendre une dernière fois dans la maison de sa grand-mère qui vient tout juste d’être vendue. C’est l’occasion pour elle de faire appel à ses souvenirs au travers de la contemplation des lieux, des albums photos et de l’environnement de son enfance.

C’est un roman contemplatif et initiatique que propose ici l’auteure. Avec une délicatesse et une sensibilité à fleur de peau, elle va faire preuve d’introspection et une dernière fois dire adieu à la maison de sa grand-mère.

Ce genre de roman intimiste me plait particulièrement puisque l’auteure se livre en quelque sorte à son lecteur et c’est de toute beauté. Avec beaucoup de générosité, elle va nous faire part de ses ressentis. On se sent presque privilégié par rapport à toutes les émotions qu’elle nous confie.

Ce court roman est une parenthèse littéraire entre deux lectures plus lourdes. J’ai ressenti une belle palette d’émotions de par un récit qui a su me toucher profondément sans jamais tomber dans la sensiblerie facile.

La plume de l’auteure est d’une grande élégance. Sincère, authentique et généreuse, elle permet au lecteur de comprendre au mieux les ressentis de la narratrice.

Un récit intimiste et empli d’émotions à découvrir.

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