Il est de ces romans dont, dès les 50 premières pages lues, j’ai su que j’allais en savourer chaque ligne.

Je suis immédiatement tombée sous le charme de la plume de l’autrice et des personnages. En moins de 50 pages, j’étais déjà follement attachée a Maxence, Aurélien, et leur entourage qu’on découvre aussi au fil du roman.

L’ambiance estivale, cette douceur qui s’en dégage, ces sujets pourtant si durs abordés mais avec tellement de justesse et avec des personnages si beaux. Une histoire d’amour qui prend son temps, qui sent bon la nostalgie et qui se crée de nouveau. J’ai adoré chaque page de Maxence et Aurélien, j’ai adoré chaque page des autres membres de la famille, chaque chapitre alterné était important et apportait sa nuance essentielle. Même découvrir Bastien, c’était nécessaire et c’était innatendu et j’ai ADORÉ !

Bref, un coup de foudre comme on pourrait l’appeler. Je l’ai dévore mais j’en avais pas envie. Mais c’était trop dur d’essayer de savourer quand chaque ligne s’enchaîne avec tellement de fluidité et d’émotion. J’ai vraiment passer un moment que je n’oublierai jamais, merci ❤️

Un coup de cœur pour ce premier roman de l'autrice.
Nos constellations est le premier roman de Florence Quentin, fraîchement sorti en début de mois. Et quel roman ! Une pépite qui, je l'espère, marquera l'été de bon nombre de lecteurices. Pour ma part, j'ai su que ça allait être un coup de cœur dès les premiers chapitres. Parce que les personnages, parce que l'écriture, parce que les émotions...

Roman choral.
Nos constellations est un roman choral dans lequel nous suivons principalement Maxence et Aurélien durant l'été de leurs dix-sept ans, dans le sud de la France. Un été important pour les deux adolescents, qui essaient de se relever de moments très difficiles. Eux qui était si proche enfant, retrouveront ils se qui les liait à l'époque ?

"Il ne sait pas ce qui lui arrive, mais il ne veut pas aller contre le courant qui semble peu à peu l'emmener loin des eaux poisseuses dans lesquelles il se débat depuis des mois." - Aurélien

Des chapitres sont également consacrés à leur entourage - pères, tante, ami•e & co. J'ai aimé que les adultes aient aussi voix au chapitre, parce que ça apporte un réel plus à l'histoire. Des adultes faillibles qui, pour la plupart, sont aussi attachants que Max et A. J'ai adoré la bienveillance de certaines, la douce exubérance, la joie et la candeur d'autres. Et j'ai aimé les remises en question de certains, qui avancent un pas après l'autre. Des personnages bien travaillés, qui ne peuvent laisser indifférent•e.

Si vous aimez Heartstopper d'Alice Oseman (Hachette, 2019), vous aimerez Nos constellations de Florence Quentin. C'est beau et délicat, tendre et touchant, parfois bouleversant, sans être larmoyant - même si j'ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois, je l'admets. C'est un roman qui parle du deuil, de tristesse, de colère, de peur et de doute. C'est un roman qui parle d'amitié, d'amour et de famille, d'acceptation, d'espoir et d'avenir. De quoi nous broyer le cœur et le panser. J'ai adoré la romance entre Maxence et Aurélien - leurs échanges et la répartie de chacun, toujours taquin et bienveillant, à l'écoute l'un de l'autre.

Je pose ça là hein, mais j'adorerais voir ce roman adapté en BD - j'ai le travail de Mayalen Goust en tête, avec D'or et d'oreillers (Rue de Sèvres, 2024), notamment. Ou alors Laure Guillebon, of course - à qui nous devons la si belle couverture du roman !
En attendant, il y a de fortes chances pour que je craque pour le format papier...

Maxence n'a jamais oublié Aurélien depuis ses onze ans. C’est un coup de foudre qui lui a fait comprendre qu’il aimait les garçons, et surtout, que ses parents ne l’accepteraient jamais.
Aurélien n’a jamais oublié Maxence.Leur amitié évidente, fusionnelle. L’été magique de ses onze ans.Et puis son départ brutal, sans même qu’il puisse lui dire au revoir.

Après tant d’années, la réalité sera-t-elle à la hauteur de leurs souvenirs ?

Un roman choral où chacun a la parole, on s'attache très vite à Aurélien et à Maxence ; après tout ce qu'ils ont vécu, on ne leur souhaite que du bonheur.

Ici, on va rire, pleurer avec eux, on va vivre l'espoir et le désespoir… c'est l'histoire de deux âmes sœurs séparées malgré elles qui vont se retrouver pour enfin se compléter.

Une histoire magnifique qui nous touche profondément, qui va traiter de sujets durs : le deuil, le harcèlement… dans un récit tout en douceur. J'étais à deux doigts du coup de cœur (j'aurais aimée 1 ou 2 chapitres de plus).

Tw : deuil, suicide, harcèlement.

Si on lit le résumé, très vite, trop vite, l’on peut s’attendre à une gentille romance LGBTQIA+ comme il en existe très souvent – dans le rayon « romance », justement. Aurélien et Maxence ont vécu une amitié fusionnelle, hors-norme, une amitié amoureuse dirait-on, l’été de leur onze ans. Ils se revoient sept ans plus tard, non pas « par hasard », mais parce que Maxence est enfin revenu. Leur histoire reprendra-t-elle là où elle s’est arrêtée, sept ans plus tôt ?
Dit ainsi, je suis quasiment mélodramatique, et nous ne sommes pas dans un mélodrame, ni dans une romance sirupeuse. Nous sommes dans un roman que des adolescent(e)s peuvent lire, oui, mais surtout un roman que les parents devraient lire. Sept ans ont passé, oui, la vie a continué, oui, et ce sont les épreuves que Maxence a traversées qui font qu’il est là, aujourd’hui, qu’il a la chance d’être là, parce que, parfois, la vie ne tient qu’à un fil, à un coup de fil auquel on a répondu, à une porte que l’on a pu ouvrir, à des secours qui sont arrivés à temps. Aurélien, lui, s’il est là à travailler frénétiquement dans le café familial plutôt que de songer à son bac, c’est parce que sa mère est morte, des suites d’une longue maladie comme l’on dit pudiquement. Et l’on a beau, comme Armand, être un père aimant, la douleur peut vous submerger, vous enfermer littéralement dans « son » monde. Heureusement aussi, il y a Léopoldine, sa voisine, une femme dynamique et aimante, et sa fille, Alice, pour soutenir le jeune homme. Aurélien n’a jamais oublié Maxence, Maxence n’a jamais oublié Aurélien. Mais sont-ils suffisamment sûrs d’eux-mêmes pour se lancer ?
Aurélien se questionne encore sur son orientation sexuelle et amoureuse, et j’ai envie de dire « c’est normal » – d’ailleurs, personne ne lui dit que cela ne l’est pas ! Maxence, lui, ne se questionne plus. Il sait. Il sait surtout ce que son homosexualité lui a valu comme harcèlement dans le prestigieux lycée dans lequel il étudie, harcèlement sur lequel les adultes ont fermé les yeux et qui l’a conduit à tenter de se suicider. Il ne faut pas avoir peur de mettre des mots sur les maux.
Il faut dire que Maxence a subi, surtout depuis ce qui s’est passé sept ans plus tôt, une éducation des plus rigides. Ses parents ont toujours tout décidé pour lui, pour que son avenir soit le meilleur qui soit, et non celui que Maxence voulait. Pour moi, il s’agit d’une forme de maltraitance, celle qui ne se voit pas, celle qui fera dire que les parents sont de bons parents, soucieux de la réussite de leur fils – mais pas de son épanouissement. Claire, la mère de Maxence, ne se remet pas en cause, ne peut pas se remettre en cause – et là aussi, c’est un thème fort qui est évoqué, celui d’une mère qui n’a jamais réussi à aimer son enfant, tout en donnant l’apparence, socialement, d’être une mère qui prend soin de lui. Elle est en cela très différente de sa soeur, Anna, avec laquelle elle est brouillée depuis sept ans (et quand on découvre le pourquoi, l’on ne peut que se ranger du côté d’Anna) et auprès de qui Maxence trouvera refuge. Anna, une personne ordinaire, dans le bon sens du terme, une personne qui n’a pas besoin de pages et de pages de recommandation de sa nutritionniste de soeur ou du psychiatre de Maxence pour prendre soin, véritablement, de son neveu sans pour autant négliger Louise, sa fille, qui est ravi de rencontrer enfin son cousin.
Vadim, le père de Maxence, se remet en cause. Depuis qu’il a failli perdre ce fils qu’il a tant désiré (lui et Claire ont eu du mal à avoir un deuxième enfant), il refait le chemin à l’envers, voir ce qu’il aurait dû faire, lui qui s’est toujours montré tellement préoccuper par les apparences et le qu’en dira-t-on. La violence du choc qu’il a subi l’a forcé à creuser, à aller au-delà de ce qu’il croyait savoir, et à voir enfin tout ce qu’il ne voulait pas voir. Et il faut bien le reconnaitre, c’est tout sauf facile.
Une belle lecture ? Oui, sans aucun doute.
Merci à Netgalley et aux éditions Didier Jeunesse pour leur confiance.

Oh que je l'ai aimé cette histoire. C'était si doux et si vrai. L'histoire de la découverte de soi, des doutes et des peurs. De l'amour avec un grand A. Florence Quentin nous livre un roman jeunesse puissant qui nous rappelle que l'amour est aussi ce qui nous fait vivre et qui nous rassure. Il y a des hauts et des bas. Et il y a eux ♡

un premier roman touchant et sensible,bien écrit, qui explore les thèmes de l’amour adolescent, de la construction identitaire, du harcèlement, et de la reconstruction émotionnelle. La plume de Florence Quentin capte les émotions avec force et finesse
A lire au moins une fois surtout si vous aimez les romances psychologiques.

Un roman d'une poésie et d'une beauté sans pareille.Une romance parfaite pour l'été. Un roman sur le deuil, sur l'absence, sur l'adolescence et ses doutes. Des personnages tous très réussis.
Un très beau coup de coeur !

L'histoire d’Aurélien et Maxence est une vraie ode à l’amour qui, avec douceur et simplicité, répare même les cœurs les plus cabossés. On vit le temps d'un été, les premiers émois si touchants et émouvants tout en frôlements, doutes et intensité, comme seuls les ados savent aimer. Un énorme coup de cœur !

Maxence arrive dans un village du sud de la France après une tentative de suicide. Il revient dans ce village après 7 ans. 7 ans où il n'a pas oublié Aurélien et espère que ce sera la personne et le lieu qui lui permettront d'aller mieux. Aurélien, lui, est resté dans ce village. Il s'occupe du café de son père et sa mère.. mais celle-ci est morte il y a peu d'un cancer. Vont-ils se reconnaitre ? ont-ils trop changé ?
J'ai été tout de suite prise par ce roman choral, prise par l'histoire, par l'écriture, par l'émotion qui s'en dégage. C'est doux, malgré les thèmes durs qui y sont traités. Les émois et les interrogations de ce 1er amour sont tellement bien décrits qu'on se laisse prendre. Pour un 1er roman, c'est sacrément réussi !

J'avais lu de ce roman qu'il abordant des thèmes difficiles, et qu'il était très émouvant. Je ne peux que confirmer... J'ai été transportée, émue, bouleversée parfois par ces deux jeunes hommes et les personnages qui gravitent autour d'eux, par cet amour naissant et si profond qu'il renverse tout sur son passage.

Maxence. Aurélien. Deux lycéens qui ont vécu chacun un drame. Deux anciens amis d'enfance, qui se retrouvent sept ans après. Avec cette question, au fond d'eux : l'alchimie qu'ils ont ressenti étant enfants est-elle toujours là ?

***

Quel roman ! En quelques centaines de pages, j'ai vécu avec Maxence et Aurélien de bien jolis moments, d'une grande tendresse, entre humour, émotions, tristesse et joie. J'ai totalement fondu devant nos deux protagonistes et la belle histoire qui se construit sous nos yeux.

Tous deux sont à vif, écorchés par les épreuves, mais aussi et surtout très lumineux quand ils sont ensemble. J'aime leur alchimie, leur entente, la façon dont ils interagissent. Avec douceur, avec respect. De grands amis, ils passeraient bien à autre chose, mais n'osent pas, par peur de perdre ce sentiment précieux. Leur rapprochement se fait à coup d'occasions manquées, de rendez-vous ratés, c'est mignon, c'est craquant, terriblement romantique.

Harcèlement, deuil, homophobie, les thèmes abordés sont durs, mais traités avec beaucoup de justesse. Une mère qui n'a pas su aimer son fils, une autre partie trop tôt, un père aveugle, l'autre incapable de sortir de sa dépression. Les parents n'ont pas toujours le beau rôle, mais de belles personnes gravitent autour de notre duo. Anna, la tante, si géniale, si accueillante, la petite Louise, solaire, Léopoldine, la voisine qui veille, et Alice, sa fille.

Les voix alternent, au fil des chapitres, et nous donnent à voir tout un microcosme dans ce Sud ensoleillé et très bienveillant. C'est poétique, on s'y croirait. On vibre avec ces personnages, on s'émeut de cette relation. C'est dur, parfois, j'ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises. Mais j'en suis ressortie avec le sourire, avec cette idée, sublime, que l'amour triomphe des difficultés. Charmée, conquise, je ne peux que conseiller ce titre !

Coup de coeur pour ce coup de foudre ! La connection entre Aurélien et Maxence est aussi puissante que touchante

Des vies cabossées, un deuil déchirant, une tentative de suicide...on pourrait croire que ce roman s'écrit à l'encre de nuit sombre. Et pourtant, ce sont bien des mots lumineux et des élans éblouissants qu'on découvre à travers cette romance.

J'avais beaucoup lu d'avis enthousiastes sur ce premier roman. J'ai maintenant pris ma carte de fidélité parmi les fans. C'est délicat et intense à la fois. J'ai adoré ce roman qui "fait famille", qui reconstruit, qui ouvre les coeurs et met les plaies à vif. J'ai aimé cette parenthèse estivale dans ce village comme un cocon, qui redonne vie aux souvenirs tout en redonnant foi en l'avenir.

Evidemment, les émotions sont grandes et les thématiques ne laissent pas indemnes. Mais on se laisse chavirer avec le sourire au coeur.

Bravo, @florence_quentin_ , ce premier texte est une merveille ! La couverture signée @laure.guillebon est à l'image de son extrême sensibilité, sa gracieuse magie.

J’ai été profondément touchée par cette romance empreinte de douceur et de poésie (que j’ai lu en une journée, c’est dire!).

C’est un roman d’une grande délicatesse, qui aborde avec justesse des thématiques lourdes : le deuil, le suicide, la pression familiale, le harcèlement scolaire, la difficulté à se reconstruire. Mais au cœur de cette douleur, il y a aussi la résilience, l’espoir, l’amour qui soigne doucement les plaies.

Il se dégage de ce récit une nostalgie tendre, presque enfantine, mêlée à une quête de soi bouleversante.

Aurélien et Maxence m’ont touchée en plein cœur : par leur sensibilité, leurs blessures, mais aussi leur humour qui fait sourire même quand le cœur est serré. J’ai particulièrement aimé la multiplicité des points de vue, qui donne à l’histoire une profondeur intéressante et permet d’avoir accès aux pensées de chaque membre de la famille (de sang comme de cœur) qui gravite autour de Maxence et Aurélien.

Enfin, la plume est à l’image du roman : fluide, poétique, contemplative et pleine de sensibilité.

"Il a débarqué en juillet avec, pour unique bagage, un souvenir d'enfant protégé comme un trésor et un espoir presque trop grand pour lui."

Il y a des amitiés d'été qu'on oublie sitôt les vacances terminées. Et d'autres qui marquent pour la vie.

Maxence et Aurélien n'avaient que dix ans quand ils ont partagé les meilleures vacances de leur jeune existence. Entre le Parisien élégant et le sauvageon aux boucles rebelles, l'amitié a été immédiate. Ils ne se sont pas quittés de tout l'été, jusqu'à ce que les parents de Maxence décident de repartir précipitamment sans même laisser aux garçons le temps d'un au revoir. Les étés qui ont suivi, Aurélien a guetté le retour de Maxence... en vain.

Les années ont passé. Les épreuves du bac terminées, les lycéens sont en vacances.

Maxence, harcelé au lycée, négligé par des parents snobs qui veulent qu'ils suivent la voie qu'il ont tracée pour lui sans s'intéresser à ses propres désirs, fait une tentative de suicide. Pour se rétablir, il lui faut trouver refuge dans un endroit où il se sentira bien : Maxence choisit sans hésiter de retourner dans le petit village près d'Avignon où il a rencontré Aurélien sept ans plus tôt.
Aurélien a perdu sa mère d'un cancer fulgurant quelques mois plus tôt. Tandis que son père endeuillé ne sort plus de sa chambre, lui s'abrutit dans le travail, faisant fonctionner à lui tout seul le Café familial sans prendre de repos.

Cette belle histoire, c'est celle de deux grands adolescents malmenés par la vie, qui vont s'appuyer l'un sur l'autre pour retrouver le goût de vivre. Entre eux, l'alchimie est parfaite, immédiate. L'un est un garçon distingué et posé, sérieux et bon élève, toujours un livre dans la poche et des rêves d'écriture plein la tête ; l'autre est hyperactif, toujours à s'agiter, il a plus ou moins laissé tomber le lycée, il adore la musique et aimerait aller au Conservatoire. Malgré leurs différences, quand ils sont ensemble, rien d'autre ne semble exister pour eux.

Mais évidemment, rien n'est jamais facile. Les deux garçons ont des problèmes graves chacun de son côté, un mal-être avec des causes différentes mais des effets tout aussi dévastateurs. En plus de ces difficultés, Maxence sait qu'il préfère les garçons depuis qu'il est tombé amoureux fou d'Aurélien sept ans plus tôt, mais il a appris dans la douleur à ne pas afficher ses préférences sexuelles. Aurélien n'a jamais trouvé de fille à son goût, mais ne comprend pas pour autant l'attirance qu'il ressent pour son ami. Aucun des deux ne veut gâcher leur relation privilégiée en essayant d'aller plus loin, d'autant qu'ils ont peur d'être rejetés.

Dans le fond, il ne se passe pas grand chose. Le rythme est lent sans que ce soit ennuyeux, on prend le temps pour toutes les petites choses de la vie, les moments partagés. C'est dur parfois aussi, quand on rentre dans les souvenirs. Les chapitres alternent les points de vue, suivant généralement les deux protagonistes principaux, mais aussi leurs proches. Les garçons sont bien entourés par des gens bien intentionnés qui forment un cocon protecteur autour d'eux. J'ai apprécié notamment la rédemption du père de Maxence, qui a complètement foiré mais fait des efforts pour se rattraper.

C'est une lecture qui aborde des sujets sérieux (le deuil, le harcèlement...) mais avec douceur et pudeur. J'ai passé un très bon moment en compagnie de Maxence, Aurélien et les gens qui les entourent dans ce petit village perdu du Sud de la France, et je pense que ce roman plaira aux grands adolescents en tous genres sans souci.

(Chronique de Soleil)

Avec le début de l'été, il m'a été très facile de me laisser tenter par Nos Constellations, un roman estival sur un amour adolescent intemporel et touchant. Au global, j'ai découvert un roman plus profond qu'il n'y paraissait au premier abord et j'ai beaucoup aimé ! 🥰

J'ai ainsi pu voir Aurélien et Maxence se rencontrer, 7 ans après leur premier été ensemble. Un été qu'aucun d'entre eux n'a jamais pu oublier, tant leur relation était fusionnelle. J'ai trouvé que leur relation était très belle, d'autant plus qu'ils ont tous les deux subi un traumatisme récent, et que l'intrigue laisse une belle part au sujet de la reconstruction. On aime les voir se redécouvrir petit à petit et retrouver leur complicité d'antan 🥹

C'est une belle histoire d'amour queer, qui prend son temps (parfois un poil trop à mon goût) mais qui ne manque pas de beaux moments de rire et de tendresse entre ces deux adolescents.

J'ai énormémznt apprécié d'avoir le POV de personnages qui gravitent autour d'eux, comme leurs amis et parents. Je pense que ce sont les parties qui m'ont le plus plu, car elles apportaient beaucoup de relief au récit et lui donnaient encore plus d'impact 🤍
Je me suis beaucoup attachée à Maxence, qui a vraiment une histoire difficile, et pour lequel j'ai ressenti beaucoup d'empathie. Je trouve que c'est un personnage extrêmement bien écrit et je l'ai adoré. J'étais un poil moins convaincue par Aurélien, que j'ai trouvé plus difficile à saisir 🧐

🌖Nos constellations c’est les étoiles filantes que l’on regarde en été en faisant un vœux, c’est ce coup de foudre que l’on explique pas, c’est deux garçons qui se rencontre et pour qui c’est une évidence.

✨Aurélien et Maxence ont onze ans lorsqu’ils se rencontrent un été pour la première fois et cette rencontre les lie à jamais. Malgré tout c’est bien sept ans après qu’ils se retrouvent au café du village, alors que Aurélien gère le café familial après avoir mis ses rêves de coté. Maxence, Le Parisien, revient dans la village après avoir voulu mettre fin à ses jours, c’est son séjour prescrit pour aller mieux, en tout cas il l’espère. Aurélien n’a jamais oublié Maxence.
Maxence n’a jamais oublié Aurélien.
Mais que reste-t-il de cette amitié aujourd’hui?
Les retrouvailles sont empreintes de doutes.

🌗Alors oui nos constellation est une histoire d’amour, mais ce n’est pas simplement cela. Avec sa plume poétique Florence Quentin explore avec justesse des thématiques importante pour les ados, mais pas seulement : harcèlement scolaire, quête d’identité, homophobie, deuil. Autant de sujet qui font qu’il est souvent difficile de trouver sa place. Comment annoncer à nos parents notre homosexualité et surtout comment vont ils l’accepter?
Les mots sont choisi avec soin et l’on ressent aisément les ressentis des personnages.

✨Ce roman ne vous laissera pas insensible non plus en tant que lecteur. J’ai tantôt eu envie d’hurler, de me débattre, de pleurer, mais il y a également la douceur nécessaire pour vous faire sourire et garder foi en l’humanité grâce à des personnages que l’on a envie de serrer fort dans nos bras.

🌘Sous forme de roman chorale, vous verrez défiler tous les personnages et comprendrez leur point de vue, leur ressenti. Certains seront dure et d’autre plein d’humour. C’est un très bon équilibre.

✨La relation entre Aurélien et Maxence est une évidence et elle est vraiment belle!
Je vous laisse donc allez faire leur connaissance.

Quel doux moment !

Nous constellations est un récit qui réussit à nous emporter dans un moment important de la vie de nos deux héros, des moments tragiques, qui le fait sans la légèreté des thèmes mais avec la légèreté des sentiments !

Deuil, harcèlement, tentative de suicide, homosexualité, abandon parental, les thèmes sont forts, nombreux, et pourtant le temps d'un été on se retrouve plonger dans une parenthèse fabuleuse, celle de l'amour.

Un très beau roman choral don't j'ai apprécié qu'il y ait aussi des points de vue adulte, sur le découverte de soi, l'amour, et la reconstruction. À conseiller dès le collège !

L'histoire entre Maxence et Aurélien est très émouvante et pleine de douceur !

Les sujets abordés ne sont pas faciles et pourtant c'est une lecture que j'ai trouvé lumineuse et presque feel good !

Certains adultes présents dans cette histoire m'ont beaucoup plu 😁

C'est un roman que j'ai lu en une journée et c'est un très beau coup de coeur !!

Maxence et Aurélien sont amoureux depuis leurs 10 ans.

Sauf qu'ils ne se sont pas vue depuis 7 ans. Et que chacun de leur coté ils ont chéris le seul été qu'ils aient jamais passé ensemble.
Cet été tout est différent : Aurélien a perdu sa mère adorée d'un cancer fulgurant et Maxence, harcelé et maltraité par ses camarades de classe a essayé de mettre fin à ses jours.
Et c'est au milieu de ces drames qu'ils vont se retrouver, se rencontrer encore et (re)tomber amoureux. Sauf qu'être amoureux à 17 ans n'est pas si simple, surtout quand la vie vous a déjà mis à rude épreuve et encore plus si l'on se découvre homosexuel.

C’est un roman que je n’aurais sans doute pas lu de moi-même, mais que je suis vraiment heureuse de l’avoir découvert grâce à @didierjeunesse ! 🫶 Il m’a sortie de mes habitudes de lecture et j’ai été profondément touchée.

La relation entre Maxence et Aurélien est lente, pleine de silences 🤫 et de regards qui en disent long. Il y a beaucoup de pudeur et de peur aussi : peur de briser ce qui a existé, peur de s’avouer ses sentiments, peur de ne pas être aimé en retour. Le roman joue beaucoup sur le slow-burn 🐌, et ça fonctionne vraiment bien.

J’ai été émue par ce qu’ils traversent : Maxence, qui sait qu’il aime les garçons 👦🏻 mais a subi l’homophobie. Aurélien, qui n’a jamais osé mettre des mots sur ce qu’il ressent et qui se cherche encore. J’ai trouvé beaucoup de justesse dans la façon dont ces identités 👤 se construisent, au regard de leurs blessures respectives.

Le roman alterne aussi les points de vue de plusieurs personnages 🧑‍🧑‍🧒 : Maxence, Aurélien et leurs proches. Chacun d’eux gagne en profondeur (même ceux qu’on pourrait juger). Ce sont des personnages secondaires qui ont de l’importance ! J’ai particulièrement aimé Alice, Anna et Vadim !

Harcèlement, deuil, homophobie, relations familiales complexes… Les thèmes sont forts ⚠️, mais traités avec beaucoup de sensibilité. Pour autant, ce roman reste lumineux ✨ et plein d’espoir…

Bref, vous l’aurez compris, je ne ressors pas la même de cette lecture 📖 que j’ai trouve émotionnellement si vraie, un vent d’authenticité ! C’était… pfiou, vraiment… 🥹 Lisez-le.

❤️🏖️ 🌈 Ma lecture plein été avec le bouleversant Nos Constellations de Florence Quentin chez @didierjeunesse via #netgalleyfrance .
#nosconstellations
@florence_quentin_
La petite histoire
Max revient, après 7 ans et la traversée d'un enfer, vers l'été de son enfance, vers son refuge. Aurélien va sortir de sa routine frénétique et sa tristesse dès leurs regards croisés. Un été pour se reconstruire, douter, vibrer, se sentir vivant et vivre à nouveau.

Mon ressenti
Magnifique histoire d'amour avec la reconstitution d'une belle famille de cœur dans ce récit à fleur de peau et sur le fil vibrant de l'émotion. Les différents points de vue permettent d'embrasser la palette de ressentis et d'en éprouver les différents sentiments. On aborde des thématiques très éprouvantes : le deuil, le harcèlement, la tentative de suicide, la solitude. Pourtant ce roman est foncièrement optimiste et la résilience est au coeur de l'histoire. J'ai tremblé et pleuré et beaucoup souri aussi grâce aux personnages si bien croqués, aux réparties bien senties. J'ai apprécié le fait de découvrir à la fois la fougue adolescente des protagonistes et de leurs amis mais aussi les inquiétudes et prises de conscience des adultes. Le cheminement cahotique et chaotique, est ici vécu à différents degrés par chacun. Les liens recousus, noués, démêlés ou définitivement rompus se croisent ou s'éloignent dans cette romance douce et évidente qui déborde le cadre des amoureux et tisse des liaisons filiales et amicales essentielles. Merci pour ce beau moment.

“Sourire miroir. Sourire de fou. Ça lui fend le visage de part en part et lui tire sur les joies. Oh oui il se sent vivant. Indéniablement. Complètement.”

Merci à Netgalley et Didier Jeunesse.

✍️ Écriture

Tout simplement poétique : on y ressent une plume à fleur de peau, tantôt tendre, tantôt brutale, toujours subtile. Le texte aurait presque pu être écrit en vers libres, tant chaque mot semble choisi avec une précision lyrique. Florence Quentin joue avec les émotions et les mots pour créer des moments de pure beauté et d’impact émotionnel puissant.

🧩 Intrigue & structure

Mon premier coup de cœur du mois d’août ! Dans cette romance MM douce et réconfortante, l’histoire de Maxence et Aurélien m’a bouleversée. C’est un roman choral : chaque personnage secondaire trouve sa place, apportant profondeur, nuances et authenticité aux émotions partagées .

Au départ, la multiplicité des points de vue peut être déroutante (je passais du temps à comprendre qui est qui 🥴 et franchement, ce n’est pas mon format préféré), mais rapidement, cette approche devient une force : chaque voix, chaque perspective enrichit l’ensemble du récit.

❤️ Les personnages
• Maxence : personnage principal à l’âme fragile. Il porte un passé douloureux, des peurs bien ancrées… et un amour puissant qu’il tente de réinventer.
• Aurélien : plus discret, mais tout aussi touchant. En mode questionnement intérieur, il explore ses sentiments tout au long de l’été.
• Les personnages secondaires : certains rayonnent par leur bienveillance, leur humour, leur ouverture d’esprit – d’autres qu’on adore même à détester, signe d’un travail d’écriture solide et équilibré .

🎭 Thématiques

Malgré sa douceur, le roman aborde des thèmes forts : deuil, harcèlement scolaire, orientation sexuelle, tentative de suicide, maltraitance, homophobie… Mais tout cela est contrebalancé par un message d’espoir, de résilience et de lumière .

L’amour devient une bouée : une force salvatrice qui unit les personnages et les aide à cicatriser. C’est une romance sensible, capable de briser les préjugés et de panser les blessures.

🌞 Ambiance et lieu

Lire ce roman en été, c’était parfait : on sent la chaleur du Sud de la France, l’atmosphère des villages, des étoiles plus brillantes que d’habitude, un décor doux et familier qui complète magnifiquement l’histoire .

💔 Ressenti à la fin

J’ai refermé le livre avec le cœur serré, triste de quitter ces personnages si vivants. Qu’est-ce que je fais de ma vie maintenant ? ». C’est un roman-doudou mais avec une profondeur émotionnelle durable. Je vais certainement l’acheter pour l’annoter.

😍 En somme

Un véritable coup de cœur : beau, juste, poétique, et riche en émotions. À conseiller chaudement à qui veut tomber amoureux de la littérature YA et d’une histoire qui réchauffe le cœur tout en y laissant une trace.

Merci à NetGalley et aux éditions Didier pour m'avoir permis de lire ce roman si émouvant et lumineux.

Maxence vit à Paris, dans une famille bourgeoise, plus soucieuse des apparences qu'aimante. À onze ans, en vacances chez sa tante dans un petit village provençal, il a le coup de foudre pour Aurélien, un garçon de son âge libre, spontané, intrépide. Très vite tous deux développent une belle complicité et deviennent inséparables, jusqu'au jour où Vadim, le père de Maxence, découvre qu'ils se sont embrassés. Furieux, il force son fils à rentrer dans la voiture pour partir sans même prendre congé. C'est un déchirement pour les deux garçons, qui vont espérer en vain se retrouver. Au bout de sept ans, alors qu'il ne l'attend plus, Aurélien voit soudain son ancien ami rentrer dans le café de ses parents, qu'il tient seul depuis la mort de sa mère et la dépression de son père. Maxence, lui, vient de faire une tentative de suicide et n'a obtenu de revenir que sur l'ordonnance de son psychiatre. Comment renouer alors que tous deux ont tant changé ?

J'ai adoré lire cette histoire, surtout alors que les températures estivales s'accordaient au cadre enchanteur de ce petit village provençal si pétri d'humanité.
L'autrice a su trouver les mots justes pour exprimer l'indicible : l'éclosion de l'amour, l'éveil du désir, la confusion des sentiments. Peu importe sur ce point qu'il s'agisse de deux garçons ; chacun pourra s'y reconnaître. J'ai ét très émue par Maxence et Aurélien.

Au delà de cette belle histoire d'amour, Florence Quentin aborde aussi avec délicatesse de nombreux thèmes : l'amour parental, l'identité sexuelle, l'acceptation de la différence, l'ambivalence de l'amitié, le bouillonnement de l'adolescence, la musique qui permet de s'exprimer au delà des mots, le choix difficile d'une orientation... Roman choral, "Nos constellations" nous montre non seulement comment Max et Aurélien se débattent avec leurs sentiments, mais aussi ce que suscite cet amour si intense chez leur entourage. En dehors de la mère de Max, glaçante, chaque personnage parvient à nous émouvoir. Ce petit village est une oasis de bienveillance, de tolérance et de solidarité. Mais ce n'est pas pour autant un univers de Bisounours, comme nous le rappelle l'escapade à Avignon.
Il y a des passages terrible, déchirants, mais c'est si beau, si pur, si doux, si pudique, frais et drôle aussi, grâce à la candeur de Louise, que c'est avec un serrement de coeur que j'ai tourné la dernière page.

Nos constellations est un roman d’une grande justesse, porté par une plume sensible et poétique.
Florence Quentin y explore les retrouvailles de deux adolescents autrefois liés par une amitié profonde, aujourd’hui jeunes adultes confrontés à leurs souvenirs, à leurs silences, et aux émotions enfouies.
Sept ans après s’être perdus de vue, les protagonistes se retrouvent. Ont-ils changé ? Peuvent-ils renouer les fils du passé ?
L’autrice tisse une histoire touchante, qui aborde avec pudeur et intensité des thèmes forts tels que le premier amour, l’identité, la confiance en soi, mais aussi le harcèlement. Ce roman a su profondément me toucher. Il évoque ce que beaucoup gardent en mémoire : la force, mais aussi la fragilité de nos premières relations marquantes. Certains passages peuvent se révéler bouleversants, et nécessitent une certaine distance émotionnelle. Mais c’est précisément cette intensité qui rend le texte si marquant.

Dans le paysage de la littérature jeunesse contemporaine, Nos constellations me semble être un ouvrage important, en particulier pour la visibilité qu’il offre aux relations LGBTQIA+ et pour la qualité du regard qu’il porte sur les blessures intimes, l’acceptation de soi et la reconstruction.
Un roman fort, lumineux, et nécessaire.

Mon chez moi, c'est toi

Dans un petit village du Sud de la France, le Café sur la place réunit les habitués et les premiers touristes de la saison. Ici tout est authentique, fait maison et avant l’on pouvait entendre de la musique. Maxence, jeune parisien achevant son année de terminale s’assoit en terrasse. Il espère apercevoir quelqu’un qu’il n’a pas vu depuis des années. Et, il est là, Aurélien, différent et similaire à son souvenir. Ils ont un été pour tenter de se retrouver.

Des chapitres courts qui rythment la narration. Un roman choral qui donne une voix même à ceux que l’on ne préférait pas entendre, qui dévoile les vulnérabilités de chacun des personnages. Plusieurs quêtes initiatiques : ce que l’on est, ce l’on aime et plus tard ? Des sujets délicats : la maladie qui nous prive des piliers qui fondent nos vies et comment se reconstruire. De tabous et de secrets : lorsque l’amour filial est absent, de harcèlement.

Un roman contemporain d’amour et de désir (peu explicite) avec beaucoup d’humour et quelques larmes.

📚 Le Kiosque cause livres – Chronique étoilée ✨

🌌 Nos Constellations – Florence Quentin

⭐ Quand les blessures du passé croisent la lumière d’un nouvel été.

🌠 Le ciel d’un été pas comme les autres

Imaginez un été brûlant dans le Sud de la France. Maxence, dix-sept ans, revient dans le village qu’il a fui des années plus tôt après un drame intime et un secret trop lourd. Il retrouve Aurélien, son ami d’enfance, son presque frère d’âme, qu’il a laissé derrière lui sans explication. Entre eux, des constellations de souvenirs, mais aussi des silences, des rancunes, et peut-être encore des sentiments que le temps n’a pas effacés.

Dès les premières pages, Florence Quentin nous emporte dans un récit choral où chaque voix éclaire une facette de cette histoire : le poids du passé, l’urgence du présent et la fragile promesse d’un futur à réinventer.

🔭 Quand le passé éclaire le présent

Nos Constellations est un roman de retrouvailles, mais aussi de confrontations. Maxence revient avec ses fêlures – harcèlement scolaire, solitude, tentative de suicide – tandis qu’Aurélien a grandi dans l’ombre de cet abandon. La narration, construite comme une mosaïque de points de vue, alterne entre passé et présent. Le lecteur recompose peu à peu ce puzzle émotionnel, où chaque chapitre ajoute une étoile à la constellation de leurs destins.

💫 Deux étoiles en collision

Maxence, fragile mais déterminé à renaître, bouleverse par sa vulnérabilité.

Aurélien, marqué par l’absence, ancré dans un quotidien qui lui pèse, incarne la loyauté blessée.

Les personnages secondaires, parents, amis ou figures plus inattendues, donnent une profondeur rare au récit. Mention spéciale pour Vadim, un père en apparence dur, mais dont l’évolution vers l’acceptation apporte une puissance inattendue.

L’ambiance ? Celle d’un été incandescent, entre parfums de figuiers, ciel étoilé et non-dits qui pèsent plus lourd que la chaleur.

✍️ Une plume comme une voie lactée

Florence Quentin signe un premier roman d’une étonnante maturité. Sa plume est à la fois poétique et incisive, lumineuse et pudique. La structure chorale, loin de diluer l’intrigue, en fait au contraire une fresque sensible où chaque voix compte. On pense à un ciel étoilé : chaque point de vue est une étoile, et l’ensemble dessine une carte du ciel que l’on n’oublie pas.

🌌 Les ombres et les lumières du cœur

Santé mentale, harcèlement et résilience

Découverte et acceptation de son orientation sexuelle

Amour, amitié et famille choisie

Le poids des secrets et la reconstruction après la chute

Ce roman, bien qu’ancré dans des réalités parfois sombres, est traversé par une lueur d’espoir constante.

✨ Ce qu’on retient entre les lignes

✔ Une écriture sensible et profondément humaine
✔ Des personnages qui sonnent vrai, jusque dans leurs contradictions
✔ Un équilibre entre ombre et lumière, qui bouleverse sans jamais sombrer dans le pathos

⚠️ La multiplicité des points de vue pourrait déconcerter les lecteurs qui préfèrent une narration plus linéaire. Mais c’est aussi ce qui fait la richesse de l’ouvrage.

💖 Et notre verdict ? Un ciel étoilé à lire absolument

Un coup de cœur. Nos Constellations est de ces romans qui marquent, parce qu’ils osent aborder des sujets difficiles avec justesse et bienveillance, tout en offrant une histoire d’amour et de réconciliation aussi fragile que belle. À mettre entre toutes les mains, adolescentes ou adultes, pour se rappeler que même dans la nuit la plus noire, il reste toujours des étoiles pour guider nos pas.

✍️ À propos de l’autrice

Florence Quentin signe ici son premier roman, publié en juin 2025 chez Didier Jeunesse. Avec cette fresque sensible, elle s’impose déjà comme une voix à suivre dans la littérature jeunesse et young adult.

⚠️ Attention : vous pourriez bien refermer ce livre avec l’envie de lever les yeux vers le ciel, à la recherche de vos propres constellations… 🌌💫

Coup de cœur pour cette histoire touchante 💙

« Nos constellations » a été pour moi une très belle découverte. Aussi tendre que douloureux, c'est un roman qui m'a serré le cœur, fait monter les larmes aux yeux, mais qui m'a aussi beaucoup fait sourire et que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir.

J'ai adoré suivre Maxence et Aurélien, ces deux jeunes qui se retrouvent à nouveau réunis après des années sans le moindre contact, mais qui, liés par une amitié enfantine tellement profonde et sincère, n'ont jamais oublié l'autre.

J'ai aimé Maxence, j'ai aimé Aurélien, j'ai aimé leur amitié, leur relation, suivre leur évolution page après page. Et pourtant, je pense que j'ai passé la grande majorité de ma lecture avec les larmes aux yeux (parfois d'émotions positives, j'avoue). Parce que si c'est un roman que j'ai trouvé magnifique, c'est aussi une histoire dure que l'on découvre, violente émotionnellement même pour certains passages que j'ai trouvé très difficiles à encaisser. Mais c'est sans doute cette dualité entre souffrance et tendresse qui m'a le plus touché, cette justesse des personnages et la construction de leur histoire.

Je suis ressorti de cette lecture vidé émotionnellement, épuisé d'être trop passé du sourire aux larmes, et inversement. Et pourtant, rien que d'y penser me donne envie d'y replonger. Parce que c'est surtout une histoire pleine d'amour, pleine d'espoir, qui répare un peu et qui au final m'a fait beaucoup de bien.

En bref, j'ai vraiment adoré découvrir « Nos constellations ». Addictif, c'est un roman qui bouscule, qui fait assez mal par moments, mais aussi plein d'amour et de tendresse. Une histoire qui m'a beaucoup touché et qui se révèle au final comme un très beau coup de cœur 💙

Je referme ce livre les yeux encore mouillés et le cœur palpitant. Quel beau roman qui offre espoir et amour, malgré les erreurs faites, un passé sur lequel on ne peut pas revenir. Mais on peut agir sur l'avenir, accueillir nos proches comme ils sont, et profiter de ces instants présents qu'on aimerait éternels. Maxence et Aurélien, une histoire, une évidence, qu'on vit grâce à eux par procuration, pour un été et plus si affinités...

✨« Son petit monde bien rangé avait été emporté sous l’effet d’une folle bourrasque. Aurélien était arrivé dans sa vie comme une tempête. De celles qui donnent envie de hurler de bonheur dans le vent. »✨

Maxence et Aurélien sont devenus amis lors d’un été magique il y a sept ans. Mais Max est parti, leur brisant le cœur à tous les deux. Aurélien s’occupe du café de ses parents et a abandonné tous ses rêves. Maxence a vécu l’enfer et tente de se reconstruire. Une seconde chance qui lui permet de retourner dans le sud et de revoir Aurélien. Ils ne se sont jamais oubliés mais leur amitié fusionnelle a-t-elle résisté à ces années pendant lesquelles ils ont vécus loin de l’autre. Cet été sera l’occasion pour eux de se retrouver et de le découvrir.

La plume de l’autrice est magnifique, sensible et douce à la fois. J’ai ressenti une multitude d’émotions en lisant l’histoire de Maxence et Aurélien. Ces deux jeunes hommes traversent des moments de vie difficiles mais leurs retrouvailles va leur apporter une lumière dans leur quotidien éprouvant. Ils sont bouleversants, c’est impossible de ne pas s’attacher à eux ❤️‍🩹 La relation qu’il renoue est adorable et m’a fait fondre 🥹

✨« D’ailleurs, il a bien cru qu’il n’en guérirait jamais, de son absence. Car l’espace d’un été, Max était devenu sa planète. »✨

C’est un roman avec plusieurs points de vue. Ceux d’Aurélien et de Maxence mais aussi de leurs proches, ce qui nous permet de comprendre tous les enjeux du roman. Malgré certains thèmes abordés qui sont douloureux, il y a beaucoup d’espoir qui ressort de cette histoire. C’était magnifique 💙

Nos constellations, c’est un mélange d’amour, de douleur, de douceur, de l’amitié, de reconstruction, portée par une plume renversante. Une jolie parenthèse à la fois adorable et bouleversante ✨

🗝️: Romance M/M - Premier amour - Vacances - Deuil - Reconstruction

Un coup de foudre, un coup de poing, un coup de cœur.

Maxence et Aurélien se sont rencontrés enfant, se sont aimés aussitôt et ont vécus une amitié estivale bouleversante.
Ce souvenir les a suivi et les a marqué pendant leur adolescence et le début de vie adulte.
Ils se retrouvent sept ans plus tars, à 18 ans, un peu brisés par la vie, espérant malgré tout retrouver leur alchimie passée. Mais est-ce encore possible ?

Il n'y a pas de mot suffisant pour décrire l'émotion que délivre ce roman. LES émotions serait plus juste, car les larmes et les sourires se sont bien souvent mêlés au cours de la lecture. Les thèmes peuvent être compliqués, mais ils sont traité de manière fluide et juste par une plume poétique.
Les points de vue s'alternent, nous offrant les pensées des deux garçons mais aussi de leur entourage dans un roman chorale aux saveurs provençales.

Une belle histoire à découvrir à tout âge, pour peu que la boîte de mouchoir soit à proximité.

Lire Nos constellations, c’est se laisser emporter dans une danse fragile entre la lumière et l’ombre. J’ai été profondément touchée par les mots choisis avec tant de délicatesse par Florence Quentin, comme des étoiles semées dans la nuit.

La relation qui s’éveille entre Maxence et Aurélien m’a émue par sa justesse et sa douceur : deux adolescents qui apprennent à se trouver, à se reconnaître, malgré les blessures qu’ils portent. Leur lien grandit comme une constellation, tracée patiemment dans le ciel de leurs silences et de leurs confidences.

Mais le roman est aussi traversé par une tristesse poignante : celle du harcèlement que subit Maxence, et qui serre le cœur de révolte, celle du deuil d’Aurélien, qui fait vaciller son monde. Ces ombres n’effacent pas la beauté du récit, elles la rendent plus intense, plus vraie.

C’est un texte qui m’a bouleversée, où l’on tombe sous le charme des mots autant que de l’éclat fragile des personnages. Un roman comme une nuit étoilée : sombre, mais illuminée de petites lumières qui réchauffent.