Chugakko Académie

T1 : La légende du dragon-ancêtre

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Date de parution 8 mars 2023 | Archivage 8 juin 2023
Didier Jeunesse | Mon Marque-Page +

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Résumé

« Depuis toujours, tu rêves de devenir dresseur de dragons ? Tu as envie de les protéger, d’apprendre à mieux les connaître, à les respecter, à communiquer avec eux ? Dans ce cas, Chgakk Académie est faite pour toi ! »

Yume, Tamago et Kouhai-Shu ont une chance inouïe : ils font partie de la prestigieuse école ! Sur l’île de Chouwa, leur émerveillement est sans limite. Sauf que le lieu de vie des dragons est hautement menacé… Pour rétablir l’harmonie, le trio devra s’engager dans une aventure aux mille dangers !

Une série à lire dans l’ordre des tomes pour suivre le rythme palpitant des aventures de nos trois dresseurs de dragons !

« Depuis toujours, tu rêves de devenir dresseur de dragons ? Tu as envie de les protéger, d’apprendre à mieux les connaître, à les respecter, à communiquer avec eux ? Dans ce cas, Chgakk Académie est...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782278122639
PRIX 12,90 € (EUR)
PAGES 224

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Chroniques partagées sur la page du titre

Je ne savais pas où je mettais les pieds avec ce livre, mais on me parlait de dragons alors j'ai tenté...
UNE ENORME SURPRISE!!!
Un énorme coup de coeur!!!

Le petit trio qui se forme est plein de sagesse, de courage et de respect! Chacun a quelque chose à apporter aux autres! Et Yume est un personnage auquel je me suis tellement attachée! Son handicap n'est a aucun moment un frein! Le fait que le langage des dragons passe par les gestes rend tout le texte simple et facile, comme si Yume pouvait communiquer si facilement! D'ailleurs c'est le cas!
Même si certains raccourcis ont été choisis (pourquoi savent-ils tous parler la langue des signes si subitement?), rien n'est vraiment choquant puisqu'il s'agit d'un livre jeunesse. Leur amitié, leur quête et le courage dont ils font preuve efface ces quelques défauts.

Un livre que je commanderai pour la librairie en le recommandant aux grands nombres d'enfants de 8-10ans qui cherchent aventure, magie, fantastique et dragons!

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J’ai eu la chance cette semaine de découvrir le premier tome de Chugakko Académie de Nancy Guilbert ! J’ai été particulièrement attirée par ce livres pour la simple et bonne raison que la littérature jeunesse est un des genres qui me fait le plus de bien et que les dragons sont mes créatures mythologiques préférées. J’ai eu d’autant plus l’impression que ce livre était écrit pour moi quand j’ai découvert que la question du handicap y était abordé ! Qui plus est, on peu saluer la qualité du travail d’édition, de mise en page et d’illustration. Les illustrations interviennent toujours au bon moment pour nous permettre de concrétiser les images mentale que l’on avait pu se faire. Elles sont très lisible même au format numérique (kindle) ce qui est assez rare et appréciable pour être souligné ! On a également un très bon message autour de l’environnement avec de très belles descriptions de la flore qui m’ont permis de m’intéresser à des espèces que je ne connaissais pas du tout. Le trio de héros est très équilibré et on ressent beaucoup de tendresse et de douceur de toutes parts (que ça soit venant des personnages adultes comme enfants malgré les rivalités naissante). C’est plaisant de lire des relations saines et pleine de nuances dans un ouvrage pourtant relativement cours.

Néanmoins concernant le handicap j’ai relevé de quelques points problématiques et on peut regretter que livre ne semble pas avoir fait l’objet d’une relecture sensible sur cette thématique. Ce sont des erreurs très courantes quand le sujet du handicap est abordé mais qui méritent quand même qu’on les soulèves et qu’on s’y attarde. Étant moi même poly- handicapées et militante anti-validisme je me permets donc de soulever ces points qui, je l’espère, pourront être pris en compte pour la suite de la saga. Pour ce faire je vais devoir citer des éléments du récits qui pourraient risquer de spoiler des éléments de l’intrigue donc si vous n’avez pas lu l’ouvrage je vous invite à ne pas lire le passage qui suis qui est entre crochets !

[Premier point : TSA et TDAH non énoncé

Passages concernés
p 13
«  - Tu me sembles un peu inquiet, non ? lui souffla
Kouhai-Shu, le garçon dont Yugo s'était moqué tout à l'heure.
Est-ce qu'il a lu dans mes pensées ? se demanda
Tamago, interloqué. Il confia :
- J'ai peur de ne pas être à la hauteur. Mon esprit vagabonde dans tous les sens et je n'arrive pas à me concentrer lorsque les professeurs parlent. Je ne retiens que ce qui m'intéresse.
- Eh bien, moi, tu vois, je ne comprends pas toujours les règles de vie en société. On me reproche d'avoir des centres d'intérêt trop différents de ceux des autres élèves et cela m'occasionne souvent des problèmes d'intégration. Je dis ce que je pense et je déteste le mensonge. Ça me joue parfois de drôles de tours !
- J'imagine !
- J'ai très peu d'amis. Chez moi, j'ai apprivoisé trois tanuki. Je m'entends mieux avec les ratons laveurs qu'avec les humains. »

p 14
« - Mon pauvre cerveau aura du mal à retenir quelle sorte de vêtement utiliser dans chaque situation. »

p36

« - Oui ? Ouoi ? s'acharna Tamago qui détestait ne pas avoir de réponse précise. »

p70

« Les caractéristiques des dragons, c'était son domaine, »
« Tamago hésitait à prendre la parole alors qu'il connaissait la plupart des réponses. Dès qu'il était interrogé oralement, il perdait ses moyens et oubliait ce qu'il avait appris. »

p106

« Tamago était sensible aux bruits, aux odeurs, aux stimuli de toutes sortes et ce cri l'avait pétrifié. Il avait longtemps résonné dans ses oreilles »

Dans tout ces passages on retrouve un personnage (Tomago) qui est à 100% codifier selon les critères de diagnostique de l’autisme. On retrouve les intérêts spécifiques (ou « centre d’intérêt restreint »), les troubles sensoriels, les difficultés sociales et la rigidité mentale. Tout ces éléments sont omniprésents et il ne fait aucun doute que ce personnage est autiste. Le problème se situe sur le fait de ne pas nommer qu’il est autiste tout en récupérant les codes associés à l’autisme. Ce qui est préjudiciable dans cette façon de faire c’est que cela participe à la banalisation de symptômes qui se doivent d’être alertant. Utiliser des symptômes et en faire de simple trait de caractère sans mentionner le trouble auxquels ils sont associés (quand ils sont TOUS présents chez un individu), participe au climats général qui empêche le diagnostique précosse. Kuhai-shu coche, lui, toutes les cases du TDAH mais le trouble n’est pas énoncé comme pour Tomago. Cela prends moins de place dans le récit que l’autisme de Tomago mais c’est quand même décrit de façon trop proche de la description clinique pour être ignoré. J’ai bon espoir que cela ai été introduit dans le but d’être développé dans la suite de la saga car il est effectivement très courant que des personnes aient une très bonnes conscience de la présence de leurs symptômes tout en étant pas encore diagnostiquées. Cela pourrait donc être d’autant plus intéressant de voir un développement autour de cette question de la découverte d’un diagnostique !

Second point : phobie

Passage concerné
P 14
« - Je ne suis pas impatient de voler. Ne le dis à personne surtout : j'ai un très gros handicap. Je suis acrophobe...
- C'est-à-dire ?
- J'ai extrêmement peur du vide... »

On est ici sur le problème inverse. Une phobie c’est une peur qui se caractérise par son côté irrationnel et invalidant. Une phobie, c’est un diagnostique psychiatrique présent dans les manuels de référence. On ne peut pas utiliser le mots phobie pour ensuite ne pas représenter la phobie. C’est une utilisation abusive qui minimise le sens du mot et de ce que représente l’impact d’une phobie sur une vie. Pour exemple, c’est comme dire « je suis bipolaire » quand on vient de pleurer et que quelqu’un nous dis quelque chose qui vas nous faire rire. La bipolarité est un diagnostique, c’est un trouble qui est handicapant dans l’ensemble des domaines de la vie pas un adjectif qualificatif qui peut être utilisé pour décrire un simple changement d’humeur ponctuel. Pour la phobie c’est pareille. En faire mention sans montrer à quel point une phobie est handipante contribue à minimiser. Dans le cas présent deux choses aurait pu être possible pour corriger :
- utiliser uniquement l’expression « peur du vide » (car une « peur » ce n’est pas un diagnostique dès lors qu’elle n’est pas invalidante et irrationnelle)
- Ou inclure des réels situations caractéristiques d’une phobie (crise d’angoisse, attaque panique, mécanisme d’évitements, mécanisme d’anticipation envahissant, sur-préparation pré-exposions ect…)

Troisième point : Yume et la surdité

Ce qui pose le plus problème dans le personnage de Yume c’est le fait que toutes notion de handicap se retrouve gommer par le fait « magique » que ses camarades parle la langue des signes. D’un point de vue d’une handicapée c’est une maladresse qui vise (comme très souvent) à n’inclure des personnages handicapés sans s’encombrer des difficultés narrative qui vont avec. Par ce twist on supprime toutes notion de handicap de façon artificielle. C’est un problème très (trop) courant. Le handicap n’est représenté en fiction que quand il s’avère que le handicap devient « utile » (ex : les genies autiste dans la fiction) ou quand il n’est pas « encombrant ». Avec ce procédé « magique » l’auteure se désencombre de la difficulté du handicap. C’est plutôt offensant comme procédé narratif car dans le handicap on ne prends pas ce qui nous plait/ce qui est utile et on ne supprime pas ce qui nous dérange comme bon nous semble. C’est un « package » qui, si on choisit de l’inclure dans un récit, doit être pris au complet avec toutes les difficultés que cela implique pour les personnages.
Dans le handicap il y a des adaptation qui sont prise en charge par l’individu (ex : je suis autiste, j’utilise des dispositifs de protection auditive) et des adaptations qui sont prise en charge par la société/le groupe social (ex : il y a des autistes dans la société, nous baissons le niveau sonore dans les lieux publics). Quand on utilise une facilité du genre on gomme toute la notion d’effort collectif qui doit être fait. Dans le cas présent on pourrait se dire « oui mais c’est fait exprès car cela montre qu’il suffirait d’apprendre la langue des signes pour s’adapter collectivement » mais ceci aurait pu être possible sans gommer la notion de « prise en charge collective de l’adaptation ». On aurait pu par exemple imaginer que, dans un but d’inclusion, la direction de l’école choisit de dispenser des cours de langue des signes à tous. La finalité aurait été la même (les personnages auraient finalement pu communiquer) et on aurait conserver cette logique de responsabilité collective concernant l’adaptation de la société pour les handicapés.

L’autre problème concernant Yume c’est l’alternance entre le mot « langue » et « language ». C’est quelque chose qu’il faut savoir donc c’est une erreur encore commune tant qu’on n’en a pas été informé : la communauté sourde et malentendante dénonce très souvent le fait que leur langue est justement une langue et non un « langage » (il y a énormément de ressources au sujet de cette problématique de vocabulaire) ]

En outre, c’est un superbe début de saga je vais me précipiter sur la suite sans attendre car j’ai vraiment hâte de la découvrir. C’était réellement une lecture réconfortante malgré les points soulevés. J’ai énormément apprécié cet univers et surtout j’ai apprécié le fait que la narration prenne sont temps tout en ayant un rythme qui nous donne envie de tourner chaque page avec entrain.

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C'est un très bon livre à destination de jeunes adolescents ! Il est intéressant, bien écrit, pas trop épais et donc facile à recommander pour une clientèle de jeunes qui n'ont pas l'habitude de lire.
J'ai bien aimé le personnage de Yume, c'est à dire la symbolique qu'elle apporte au récit. C'est un livre qui inclue les personnes non valides en plus à destination des jeunes, ce qui est très important.
J'ai hâte de lire le deuxième tome.

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Merci aux éditions Didier Jeunesse et à Netgalley pour ce partenariat.
J’ai eu l’impression, en lisant ce livre, de ne rien connaître à l’univers des dragons, moi qui me vante de savoir parfaitement dessiner des bébés dragons (dessins visibles sur simple demande). Non, je vous rassure, je ne me suis pas perdue dans cet univers, bien au contraire !
D’abord, les prémisses de l’action nous envoient deux ans en arrière, à la fondation de l’académie : les conditions pour y entrer sont précises, drastiques, et en les lisant, je me dis que les élus ne seront pas nombreux. Nous nous attachons très vite à trois d’entre eux, Yume, Tamago et Kouhai-Shu, ou, pour mieux dire, c’est Yume que nous découvrons en premier. Grâce aux changements de focalisation, nous en saurons plus sur elle que les autres personnages – jusqu’à ce qu’elle partage ses secrets avec Tamago et Kouhai-Shu. Chacun sera attaché à une race de dragons différente, ce qui permet aux lecteurs, jeunes ou moins jeunes, de découvrir les capacités, les spécificités de chacune de ses races. De même, nous évoluerons (un peu) dans cette académie, découvrant les professeurs et les cours dispensés.
Je dis « un peu » parce qu’un personnage inquiétant entre en contact avec les trois personnages principaux. C’est moi qui utilise l’adjectif « inquiétant », parce qu’un adulte inconnu confie une mission à des adolescents, critique ce que font leurs professeurs et leur interdit de parler de ce qu’il leur révèle à des adultes, et bien moi, en tant qu’adulte lisant ce livre, cela m’inquiète. Note : enfant, cela m’aurait inquiété aussi. Pessimiste de nature ? Oui.
Le dénouement de ce premier tome donne en tout cas envie de se plonger dans le second.

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J'ai adoré ce premier tome! C'est une série jeunesse que je vais suivre de près et recommander ! Les personnages sont intéressants et on y trouve de la diversité, ce qui est super pour un roman jeunesse. L'histoire est vraiment chouette, certains passages sont même émouvants, bref, à lire!!

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une fantasy très mignonne même si je ne suis pas particulièrement la cible du livre😅. parfait pour de jeunes lecteurs, facile à lire sans pour autant être niais ou prendre le lecteur pour un idiot.

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Un joli conte merveilleux où adolescents et dragons jouent un rôle essentiel.
Tamago et Kouhai-Shu veulent devenir dresseurs de dragons, c'est pourquoi ils sont venus sur l'ile de Chouwa afin de passer des tests. Très vite, ils forment un trio avec Yume, qui vit sur l'île avec ses parents, les directeurs et professeurs de l'école, la Chugakko Académie, qu'ils ont créée pour sauver les dragons pourchassés et la nature qui s'étiole, mais de terribles braconniers veillent et sont prêts à tout.
J'ai apprécié l'intrigue de ce petit roman d'apprentissagage ainsi que les trois personnages principaux, une fille et deux garçons, vaillants, réfléchis et bienveillants, ils s'engagent, le lectorat le comprendra rapidement, face à des braconniers qui menacent la sérénité de l'île. Que l'un d'eux, Yume, soit une fille porteuse de handicap, elle est sourde et muette, est vraiment pertinent pour toucher un panel des lecteurs.rices plus importants.tes et sensibiliser les adolescents.tes afin qu'ils s'intéressent à la différence et que cela puisse les impliquer dans leur quotidien. L'écriture est fluide et agréable à lire avec un vocabulaire précis et explicité par des notes quand il s'agit de termes japonais, côté pédagogique très intéressant et enrichissant. Un récit qui s'achève sur un suspense à son paroxysme, avec un coup de théâtre inattendu pour le trio de dresseurs intensifiant ainsi l'attente de la suite. A lire.

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La légende du dragon-ancêtre lance avec brio la série “Chugakko académie”. Venez rejoindre une école qui vous forme à devenir dresseur de dragons ! Un rêve pour tous nos personnages qui ne pensaient pas, en intégrant l’école, entendre parler d’un dragon légendaire : le dragon-ancêtre.

Chugakko académie nous plonge dans un univers japonisant avec des dragons (japonais eux aussi comme vous pouvez le voir sur l’illustration de la couverture.) Une chouette aventure jeunesse, bien adaptée aux plus jeunes. “La légende du dragon-ancêtre” est un bon premier roman qui nous présente les personnages, le contexte et les enjeux. Il a de très bonnes idées comme l’univers japonisant où l’enfant apprendra plusieurs mots japonais, et le personnage de Yume qui s’exprime en langue des signes (car muette et sourde depuis sa naissance.)

Une école de dragons
L’idée est vraiment génialissime, vous ne trouvez pas ? Il y aurait de quoi développer un roman pour plus grands. La collection s’adresse aux plus jeunes donc le roman est court avec quelques illustrations (un sublime travail de Floriane Vernhes.) Il est trop court pour développer les cours sur les dragons (comme pouvait le faire “Harry Potter” avec la magie par exemple, où nous pouvions assister à certains cours.) Les élèves apprennent tout ce qu’il faut savoir et nous en avons un aperçu.
L’autrice a donc développé son univers avec des catégories de dragons (Véloces, Camoufleurs, Cracheurs) qui ont chacun leurs spécificités physiques, leurs forces et faiblesses, leur nourriture etc. Des cartes sont même proposées à la fin de l’ouvrage (pour les collectionneurs.) C’est un gros point fort du roman qui nous facilite l’immersion.

Les élèves de cette école particulière
Tamago et Kouhai-Shu ont dû passer des épreuves avant d’intégrer l’école, comme les autres élèves, à l’exception de Yume qui est née sur l’île. Ils ne sont qu’une poignée de prétendants et d’autres épreuves les attendent sur l’île pour vérifier qu’ils y ont bien leur place. Mais aussi pour savoir à quel dragon ils correspondent. C’est ce dragon-ci dont ils pourront s’occuper.
Le trio est vite formé avec cette particularité que les garçons savent du jour au lendemain parler la langue des signes. Nous sentons qu’ils sont liés ensemble. Ce qui met assez rapidement l’enjeu de leur trio et de leur potentiel lien avec le dragon-ancêtre.
Cette particularité de Yume est intéressante car les personnages avec un handicap (peu importe lequel) sont encore peu représentés en littérature jeunesse, encore plus pour cette tranche d’âge.

Le conseil de la bibliothécaire
Mon marque-page + est une collection qui s’adresse aux enfants à partir de 8 ans (bons lecteurs tout de même, je trouve qu’ils sont peut être encore un peu compliqués ou effrayants en terme de quantité de textes pour des 8 ans qui ne sont pas encore à l’aise avec la lecture.) “La légende du dragon-ancêtre” est un roman d’aventure qui plaira aux enfants car il mélange le Japon et les dragons. Envie de découvrir d’autres personnages étonnants ? Découvrez une aventure de sorcières avec “l’éveil des sorcières.“

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Premier tome d'un cycle de fantasy, c'est un joli roman, qui permettra à des jeunes lecteurs de partir pour une belle aventure dans le monde des dragons. L'immersion est facile, les mots de vocabulaire japonais plongent dans l'ambiance sans freiner la lecture (à chacun de décider s'il souhaite consulter les notes de fin de chapitre ou se laisser porter par l'histoire). L'évocation du handicap est également bien faite, sans lourdeur. Pour un adulte, le final du premier tome était assez prévisible, mais on se laisse néanmoins entraîner avec plaisir. Je pense que les élèves s'y régaleront.

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Admis à l'académie Chugakko, Tamago, Kouhai-Shu et Yume doivent passer plusieurs épreuves qui permettront aux professeurs de désigner leur futur partenaire : un dragon. Un lien étrange unit les 3 jeunes gens, ils comprennent instantanément le langage des signes de Yume, malendentante. Quel secret leur cache t-on ? Les enfants intrépides et curieux partent sur une mission secrète pour libérer un dragon.

Un roman fantastique qui va plaire aux plus jeunes, des héros bien campés, sympathiques, un méchant très méchant, des dragons, des secrets, des mystères, les deux premiers tomes sont très prenants et on a hâte de lire la suite .

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C'est un chouette roman pour les plus jeunes, il nous entraîne dans un voyage initiatique où des personnages différents mais attachants vont s'entraider dans leur quête. Un bon début premier tome qui nous jette directement dans l'ambiance de cette série de roman jeunesse.

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Yume, Tamago et Kouhai-Chu ont été admis à la Chugakko académie où ils vont s’entraîner à devenir des dresseurs de dragons. Mais un lien unique relie ces trois enfants et ils vont vite découvrir que l’île renferme de nombreux mystères. Un premier tome addictif qui donne envie de vite plonger dans la suite des aventures de nos trois héros.

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Une école pour apprendre à apprivoiser les dragons, 2 garçons et une fille sourde qui semblent être les élus pour délivrer un dragon superpuissant. Un roman fantastique, facile à lire qui plaira aux collégiens les plus jeunes.

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Douze jeunes intègrent une école qui les faisait rêver après des tests très sélectifs ; nous suivons plus particulièrement trois d'entre eux qui deviennent très vite amis .... Bien sûr la recette a déjà été utilisée mais elle fonctionne et nous sommes vite entraînés dans un univers japonisant. L'école enseigne à ses nouveaux élèves à dresser et prendre soin des dragons. Tamago, Kuhai-Shu et Yume se découvrent vite un talent particulier avec les dragons et sont étrangement connectés.
Petite cerise sur le gâteau, le début de chaque partie est illustrée d'un haïku en lien avec l'histoire
"Du morse dans la nuit
Le vent
Envoie un SOS
Sumitaku Kenshin"
Malgré certaines facilités scénaristiques, et le fait que le handicap de Yume soit très rapidement abordé, ses deux nouveaux amis parlent mystérieusement la langue des signes avec facilité, ce livre plaira aux plus jeunes et leur offrira un dépaysement assuré.

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Un premier tome intéressant, dans un univers japonisant, où nous suivons l'entraînement de Tamago, Kouhai-Shu et Yume dans une école de dresseurs de dragons.
Une aventure qui plaira aux plus jeunes (mais aux grands aussi !), tout en apprenant quelques mots en japonais.
À partir de 8 ans.

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Vingt ans après avoir créé un espace sauvegardé pour les dragons sur l'île de Chouwa, Maître Okuru et Maîtresse Chi-Jin décident de transmettre leur savoir à la jeune génération. C'est ainsi que la Chugakko Académie va être ouverte pour un petit groupe de jeunes adolescents de treize ans soigneusement sélectionnés. Dès la rentrée, la jolie et courageuse Yume se lie d'amitié avec Tamago, passionné et impulsif, et Kouhai-Shu, plus studieux et réfléchi. Bien vite, le trio se rend compte qu'il se passe des choses bizarres autour d'eux : ils subissent tous les trois régulièrement des chocs électriques, ont une affinité étonnante avec les dragons et Yume fait régulièrement des cauchemars où elle se sent appelée.

Bienvenue à l'école pour apprendre à dresser les dragons ! "Chuggako Académie" est une série qui nous plonge dans un univers de dragons, de menaces et de mystères. Les trois héros plongent de surprise en surprise et vivent des moments exaltants, dans un décor dépaysant et fabuleux. Ce sont des personnages sympathiques et attachants, qui se complètent bien. J'ai juste trouvé dommage que le récit suive en alternance deux d'entre eux, laissant le troisième en retrait, tel la dernière roue du carrosse.

L'univers est de type japonais, avec beaucoup de vocabulaire spécifique qui est heureusement expliqué en notes. Chaque chapitre porte d'ailleurs comme titre un mot japonais, évidemment traduit juste après, tandis que les différentes parties sont introduites par des haïkus dont le thème est lié à l'histoire. C'est très bien fait.

L'histoire est pleine de rebondissements, de petits détails inexpliqués dont on devine qu'ils joueront un rôle dans la suite (la disparition du père de Tamago, les yeux bleu océan de Yume...). C'est très rythmé. Le scénario, visant un jeune public, se permet cependant pas mal de facilités. Par exemple, le handicap de Yume, qui est sourde/muette, ne la gêne quasiment pas car ses deux nouveaux amis se découvrent immédiatement un don bien pratique pour la langue des signes : TGCM.

Le récit est illustré de splendides dessins en noir et blanc de Floriane Vernhes, qui sont un régal pour les yeux et dont on ne peut que regretter qu'ils ne soient pas plus nombreux. En tout cas, ils donnent une bonne idée des trois enfants (la fille avec ses cheveux longs et libres, les garçons avec l'un une tignasse ébouriffée et l'autre un chignon enrubanné) et de leurs trois dragons, appartenant tous à une espèce différente (et tous trop mignons, je craque !).

Un très beau roman d'apprentissage, pour qui aime le fantastique et les dragons, les romans d'aventure où se mêlent l'amitié et le danger. Le récit se termine sur une scène au suspense intense : les trois amis pourront-ils sauver la situation ? Vite, la suite !

(Chronique de Soleil)

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Je n'ai pas été hyper emballée par ce roman. Trop de facilités scénaristiques. Cependant, je n'ai pas l'âge du lectorat visé et des enfants d'une dizaine d'années pourront se passionner pour cet univers japonisant dans lequel des jeunes de leur âge ont l'opportunité de dresser des dragons.
Ce premier tome permet d'introduire l'univers et les personnages. Il m'a paru un peu long et lent. Une bonne moitié du roman est consacrée à l'intégration des héros dans leur nouvelle école, leur découverte des dragons, la naissance de leur amitié... L'action n'intervient qu'à la toute fin, dans les derniers chapitres.
L'ayant lu en ebook, je n'ai sans doute pas profité à 100% de la beauté de l'objet-livre en lui-même mais je remarque qu'il y a eu un travail soigné sur la mise en page et l'illustration.
Le premier tome finissant par un retournement de situation plein de suspens et de menace, il vaut mieux avoir le deuxième tome à portée de main. Même si, en ce qui me concerne, je suis trop soulagée d'avoir terminée cette lecture peu captivante pour m'attaquer à la suite dans l'immédiat.

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