LE PRINCE AUX DEUX VISAGES

Le roman vrai de Lawrence d'Arabie

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Date de parution 18 nov. 2021 | Archivage 14 déc. 2021

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Résumé

Paris, 1962. L’historien Paul Savarus et sa femme sortent enthousiastes de la projection de Lawrence d’Arabie, le film de David Lean. Ils sont bousculés par un spectateur qui paraît hors de lui. L’homme s’appelle Alan Carswell et ne décolère pas. Ce film ? Un conte hollywoodien, à mille lieues de la vérité. Car lui a connu Lawrence, à Oxford, lorsqu’il était étudiant en archéologie. Il sait la vérité sur ce « prince aux deux visages ».

À la fois abasourdi et intrigué, Savarus décide de se lancer sur les traces de l’auteur des Sept piliers de la sagesse.

Qui fut le véritable T. E. Lawrence ? Un mythomane ? Une prima donna névrosée ? Un agent sans pouvoir ? Un fabuleux dissimulateur ? Autant de questions soulevées par Gilbert Sinoué dans ce roman en forme d’enquête, qui revisite l’incroyable épopée de l’un des personnages les plus mystérieux du xxe siècle.

Paris, 1962. L’historien Paul Savarus et sa femme sortent enthousiastes de la projection de Lawrence d’Arabie, le film de David Lean. Ils sont bousculés par un spectateur qui paraît hors de lui...


Note de l'éditeur

Gilbert Sinoué est l’auteur de nombreux romans à succès, dont L’Égyptienne (Gallimard, 1993), Le Livre de saphir (Gallimard, 1996), L’Île du couchant (Gallimard, 2010), la trilogie Inch’allah (Flammarion, 2010-2016), Le Faucon (Gallimard, 2020), ou encore L’Envoyé de Dieu (Archipoche, 2021).

Gilbert Sinoué est l’auteur de nombreux romans à succès, dont L’Égyptienne (Gallimard, 1993), Le Livre de saphir (Gallimard, 1996), L’Île du couchant (Gallimard, 2010), la trilogie Inch’allah...


Ils recommandent !

L’épopée de la Révolte arabe, la personnalité énigmatique de T. E. Lawrence (1888-1935), dit Lawrence d’Arabie, l’aura de légende qui entourent son existence méritaient d’être démystifiées par le conteur talentueux qu’est Gilbert Sinoué.

L’épopée de la Révolte arabe, la personnalité énigmatique de T. E. Lawrence (1888-1935), dit Lawrence d’Arabie, l’aura de légende qui entourent son existence méritaient d’être démystifiées par le...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809823134
PRIX 18,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Quand je pense à Lawrence d’Arabie , je pense au film avec l’acteur Peter O’Toole , un souvenir de l’homme au keffieh galopant dans le désert d’Arabie sur son fringant cheval , une vie d’aventures , romanesque .
Dans ce roman , Gilbert Sinoué nous entraîne sur les pas de l’homme et non plus de l’acteur .
Thomas Edward Lawrence est bien plus que le sujet d’un film , il est un enfant qui grandit auprès de ses frères , près d’une mère sévère , d’un père effacé comme c’est souvent le cas à l’époque , il découvrira bien plus tard que son père a déjà été marié , un scandale bien entendu qui rejaillira sur le couple formé par son père et sa mère , couple qui ne pourra bien entendu jamais se marier , une tâche indélébile pour cette union qui sera toujours illégitime aux yeux de la loi .
Il y a l’homme aventurier , archéologue , aventurier qui rêve d’aventures extraordinaires , fin négociateur , diplomate et aussi fabulateur , dépassé par l’histoire , un homme avec des défauts et des qualités , dont je veux garder le côté qui fait rêver .
Un très beau roman , bien documenté , une lecture passionnante .

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L’idée de départ est intéressante : en 1962, Savarus, historien, et son épouse psychiatre, assistant à la projection du film de David Lean, « Lawrence d’Arabie » se font bousculer par un autre spectateur, Alan Carswell qui juge que ce film est un tissu d’âneries, pur produit de Hollywood, car, lui, personnage important a bien connu Lawrence autrefois.

Il va éveiller la curiosité de Savarus, en le dirigeant vers des auteurs, biographes autoproclamés qui n’ont eu de cesse d’écorner l’image du mythe, en particulier la biographie de Richard Aldington. On va suivre le parcours de Savarus, à la recherche de la « face cachée », c’est-à-dire sombre peu glorieuse du héros.

L’auteur revient sur l’enfance de Thomas Edward Lawrence, fils de l’union illégitime de Thomas Chapman (marié et père de quatre filles, dont l’épouse refusera toujours le divorce) et de Sarah Junner, elle-même enfant illégitime. Il semblerait que le nom Lawrence soit celui du père de Sarah). Enfance compliquée, avec de multiples déménagements, chaque fois que l’illégitimité était arrivée aux oreilles du voisinage.

Deuxième de la fratrie, il a subi l’éducation ultrareligieuse de sa mère, toxique comme on dirait de nos jours, avec maltraitance physique et psychologique.

L’auteur, via Savarus et autres biographes, attribue à cette maltraitance le côté quelque, peu maladif de Lawrence, son attirance (attraction) pour les châtiments corporels, son rejet du corps, et ce qu’il pense, son homosexualité… il n’hésite pas à justifier ainsi un viol, en 1917 lors d’une mission à Deraa, ville de Syrie proche de la frontière jordanienne, mais ce viol a-t-il vraiment existé ?

On va suivre son épopée en Orient, où il embrasse la cause des Arabes, les poussant à se révolter contre le joug turc, révolte dont l’Europe ne se préoccupe guère, puisque sont scellés en traitre les accords de Sykes-Picot.

L’auteur, via ses protagonistes dont le but est d’écorner l’image du héros (cf. La réaction d’un des protagonistes à la sortie de la séance) nous propose ses pistes sur l’identité de Selim Ahmed, (alias Daoum), en se référant à la mystérieuse dédicace (S. A.) de l’ouvrage de T.E. Lawrence : « Les sept piliers de la sagesse », le présentant quasi comme l’amour de sa vie.

On sait bien que les politiciens n’ont pas respecté leurs promesses aux Arabes qu’ils considéraient comme des « tribus arriérées », et on suppose que T.E. Lawrence devait être gênant pour eux, mais de là à fantasmer sur son éventuel assassinat, il y a peut-être un pas ?

On rencontre de nombreux personnages de Churchill à Weizmann futur président de l’état d’Israël, qui a fui les pogroms tsaristes avec d’autres Juifs qui formèrent les premières colonies. Beaucoup de jeunes gens au début du XXe siècle ont eu des envies d’ailleurs, pour se rendre utiles, à une cause ou simplement une raison de vivre, Gauguin, Loti, Byron, Monfreid ou Alexandra David Neel et tant d’autres…

Il fut un pathétique enfant du XXe siècle parce qu’il était imprégné de cette aspiration à être un autre et à être ailleurs, qui hanta la jeunesse de ce siècle.

J’ai aimé suivre ses traces et ses combats, ce qui m’a rappelé à quel point je connaissais mal l’histoire du Moyen-Orient. Par contre, le dossier à charge de T.E. Lawrence, visant à le faire descendre de son piédestal : ô Lawrence d’Arabie, film somptueux Peter O’Toole et Omar Sharif, aurais-tu faussé à jamais ma lucidité sur le Prince d’Arabie ? Quoi qu’il en soit, je préfère garder l’image de l’homme au Keffieh, qui lui sied à merveille, à la « prima dona névrosée » que nous propose Gilbert Sinoué.

Cette lecture a été plaisante, mais trop à charge pour moi et ma piètre maîtrise de cette période de l’Histoire, à part les accords Sikes-Picot (comme Yalta plus tard, les vainqueurs aimant se livrer à ce genre d’exercice) où France et Grande -Bretagne se sont partagé le gâteau et dont on a beaucoup reparlé avec les guerres et Syrie et Irak…

Par contre, Gilbert Sinoué dont j’ai apprécié les qualités du conteur et c’est ce qui explique ma note, m’a donné envie de m’y replonger et surtout de sortir de ma PAL (enfin !) le magistral livre de François Sarindar auteur bien connu des Babéliotes : Lawrence d’Arabie : Thomas Edward, cet inconnu…

Ce roman, au titre évocateur, comme tout roman historique, doit éveiller la curiosité du lecteur et le pousser à trouver d’autres sources d’information et à réfléchir par lui-même…

Un grand merci à NetGalley et aux éditions L’Archipel qui m’ont permis de découvrir ce roman et son auteur dont la bibliographie est plutôt conséquente…

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De Lawrence d'Arabie, on connaît la silhouette, dissimulée par la tenue arabe. On a retenu les cheveux blonds, la légende hollywoodienne, les chevauchées dans le désert, peut-être l'entrée à Damas pour les plus cultivés d'entre nous... Que reste-t-il de l'homme même, à l'intérieur du carcan de l'image publique (ô l'ironie grinçante pour un homme habitué à évoluer dans le secret) ?
Gibert Sinoué apporte une réponse, un possible. Pour apporter de la crédibilité à cette biographie qui ne dit pas son nom, le narrateur est un historien, qui cherche à mettre à jour la véritable histoire de T.E. Lawrence, dans le fouillis des biographies déjà éditées toutes plus dithyrambiques les unes que les autres... Mais ce narrateur est un personnage de fiction, alors comment croire qu'une fiction puisse être réalité ?
C'est pourtant bien ce qu'il s'est passé pour "le roi sans couronne" : le personnage qu'il s'est créé a dépassé son créateur, est devenu légende lui-même (et quoi de plus mythique que quelque-chose qui n'existe pas ?).

Une plongée impressionnante dans les dessous peu connus de la révolte arabe du début du XXieme, avec un portrait en creux d'un homme qui se définit davantage par ce qu'il n'est pas que par ce qu'il fut, ou tenta d'être !

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Qui était Thomas Chapman, dit Ned, dit Ross, dit Shaw ? Le savez-vous ? Eh bien je peux vous le dire, vous le connaissez c'est certain mais sous un autre nom. Celui de Lawrence d'Arabie.

Aux côtés du narrateur et de sa femme, Françoise, nous allons découvrir pages après pages qui était ce héros d'une autre époque.

Un héros ? Oui nous l'avons tous imaginé, seulement un héros, ça se fabrique aussi et surtout. " On a inventé un personnage qui correspondait aux idées que nous, Anglais, nous faisions d'un héros."

A la sortie du film de David Lean, Lawrence of Arabia, un soir de 1962, à Paris, alors que Françoise, psychanalyste et son mari, historien et romancier, sont encore sous le charme du désert, un homme leur échange quelques mots. De ces quelques mots vont naître des questionnements sans fin. L'archéologue Carswel ayant rencontré Lawrence à Gaford en 1908 en sait bien plus et au delà de l’histoire racontée à travers ce dernier film à la une.

Le prince aux deux visages, voici le tout dernier roman de Gilbert Sinoué. J'aime beaucoup lire l'Histoire à travers la romance, et nous avons de formidables écrivains qui excelle en la matière. Gilbert Sinoué fait partie de ces plumes que je dévore avec délectation. Ce roman a le goût de l'aventure, l'intrigue nous mène en haleine, mais au final une petite déception, non pas sur le roman en lui même, mais sur le personnage enquêté, ou je devrais dire sur ce qui retient l'attention de ceux qui ont cherché qui était cet homme au delà du mythe.
Il y aura toujours à redire sur un personnage public...de l'Histoire. Entre mystification, réalité ou rumeur, ou se cache la vérité ?.. Chacun essaye de faire la sienne et Gilbert Sinoué nous met justement face à tous les dires, les suppositions construites sur ce que fut Lawrence d'Arabie......mais tous les mystères, les zones d'ombres ne peuvent trouver de réponse.... c'est ce que je vais retenir de ce roman.

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J’ai eu des difficultés à lire ce roman biographique. L’idée de partir sur la base d’un historien qui sort enthousiaste du visionnage de “Lawrence d’Arabie” avec sa femme peut sembler une bonne idée. Il apprend d’un malotru qui le bouscule que ce film n’est qu’une fumisterie, une légende et ne correspond pas du tout à la réalité ni de l’histoire ni du personnage !

S’en suivent des enquêtes menées par le couple dans lesquelles on se rend vite compte que soit les personnes rencontrées ont une dent contre T.E. Lawrence soit il était mythomane ! En fait les deux propositions sont vraies !

Le tout est pour moi trop fouillis avec des retours en arrière trop fréquents et des sons de cloches différents. Bien que connaissant un peu l’histoire de cet homme équivoque et totalement déséquilibré, pour avoir pris la peine de chercher des infos il y a quelques années, j’ai trouvé que l’historien laissait un peu trop la place à la personne, lui ôtant par là-même le recul nécessaire pour une biographie relativement objective !

Quant à l’Histoire des pays du Moyen-Orient à cette époque coloniale, elle est très complexe et n’a pas facilité l’appréhension du rôle de Lawrence ! Un déroulement plus scolaire en respectant les temporalités aurait été beaucoup facile à suivre.

Pas une très bonne rencontre au final, même si je ne m’attendais pas du tout à des effets hollywoodiens !

#leprinceauxdeuxvisages #NetGalleyFrance

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voici le tout dernier roman de Gilbert Sinoué. Tout commence quand l'historien Paul Savarus et sa femme sortent enthousiastes de la projection de Lawrence d'Arabie, le film de David Lean. Ils sont bousculés par un spectateur qui paraît hors de lui. L'homme s'appelle Alan Carswell et ne décolère pas. Ce film ? Un conte hollywoodien, à mille lieues de la vérité. Car lui a connu Lawrence, à Oxford, lorsqu'il était étudiant en archéologie. Il sait la vérité sur ce " prince aux deux visages ".À la fois abasourdi et intrigué, Savarus décide de se lancer sur les traces de l'auteur des Sept piliers de la sagesse.
Ce récit de l'enquête sur la vraie personnalité de Lawrence d'Arabie m'a intrigué et beaucoup intéressée. On y décortique minutieusement sa vie. Mais qui fut véritablement cet homme ? On ne le saura certainement jamais complètement car chaque personne a sa part de secret.
Bien que ce ne soit pas le meilleur ouvrage de cet auteur j'ai apprécié cette lecture fluide et bien documentée au sujet accrocheur.

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Voici le tout dernier roman de Gilbert Sinoué. Tout commence quand l'historien Paul Savarus et sa femme sortent enthousiastes de la projection de Lawrence d'Arabie, le film de David Lean. Ils sont bousculés par un spectateur qui paraît hors de lui. L'homme s'appelle Alan Carswell et ne décolère pas. Ce film ? Un conte hollywoodien, à mille lieues de la vérité. Car lui a connu Lawrence, à Oxford, lorsqu'il était étudiant en archéologie. Il sait la vérité sur ce " prince aux deux visages ".À la fois abasourdi et intrigué, Savarus décide de se lancer sur les traces de l'auteur des Sept piliers de la sagesse.

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Paul Savarus, un historien et son épouse Françoise, psychiatre, vont voir le film Lawrence d’Arabie en 1962 à Paris. Ils en sortent enchantés mais se font bousculer par un monsieur âgé et totalement irrité par ce film qu’il juge hollywoodien et complètement en dehors de la réalité, surtout qu’il dit avoir bien connu le héros en question. Les deux couples vont boire un verre pour discuter et se lient rapidement d’amitié. Alan est un archéologue retraité qui a bien connu Lawrence dans sa jeunesse. Même s’il n’a pas l’intention d’écrire un Xième livre sur le sujet, il a rassemblé tout un dossier. Il le transmet à Paul et celui-ci se prend immédiatement au jeu. Voici nos deux Français lancés dans une longue enquête sur le héros. Alan prétend que le premier manuscrit des Sept piliers de la sagesse n’a pas été perdu mais qu’il est encore caché quelque part, et surtout que le vrai Lawrence est très loin de l’image que les biographes et le cinéma en ont donné. Paul et Françoise rencontrent ainsi plusieurs témoins, il en ressort un dossier à charge très négatif pour Lawrence, les actes de bravoure et son implication dans la Révolte arabe serait dus surtout au hasard de l’Histoire et ses nombreuses failles personnelles sont mises en avant : masochisme, homosexualité non assumée, problèmes psychiques divers et variés.

J’ai eu beaucoup de peine à entrer dans ce roman. J’ai lu une biographie de Lawrence il y a fort longtemps et je n’en ai gardé en mémoire que les grandes lignes. J’ai l’impression que ce roman ne cherche pas à donner un éclairage véridique sur ce personnage mais juste à ternir sa réputation, ses actions positives sont amoindries et ses problèmes très détaillés, c’est une enquête à charge uniquement et je n’en vois pas vraiment l’intérêt. Il s’avère que tous les témoins interrogés ont des comptes à régler avec cet homme, qui en plus est un mythomane avéré, ce qui n’ajoute rien à l’objectivité du propos.

Les évènements du Moyen Orient avant et pendant la Grande Guerre sont très complexes, j’aurais apprécié une présentation plus détaillée et surtout chronologique. Selon les témoins, on saute du coq à l’âne et il se dégage une impression de manque de clarté et de fouillis. Finalement Paul trouve plus de questions non résolues que de réponses.

J’ai mis plus d’une semaine pour finir ce roman que j’ai trouvé indigeste. C’est le premier que je lis de Gilbert Sinoué et je compte en découvrir un deuxième pour voir si ma mauvaise impression s’efface. Normalement j’aime beaucoup les romans historiques, mais pour le coup, la rencontre n’a pas eu lieu.

#LEPRINCEAUXDEUXVISAGES #NetGalleyFrance !

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