Passer au contenu principal
Couverture du livre pour Après le virage c'est chez moi

Après le virage c'est chez moi

Connectez-vous pour accéder au titre. Connectez-vous ou inscrivez-vous ici !

Envoyer des titres NetGalley directement vers votre Kindle ou votre application Kindle

1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 6 mars 2025 | Archivage Aucune
Editions La Découverte | Nouveaux cahiers libres

Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Aprèsleviragecestchezmoi #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils


Résumé

On habite quelque part parce qu'on y est né, parce qu'on y travaille, parce qu'on a suivi quelqu'un, parce qu'on a été obligé de partir, parce qu'on a été obligé de rentrer, parce qu'on a voulu y tenter sa chance. Il y a le lieu où l'on vit. Il y a les lieux que l'on a quittés. Et parfois existe aussi un endroit que l'on espère trouver, celui qui n'est pas encore chez nous.

Un lieu qui répondrait à nos attentes existentielles, qui nous permettrait de trouver nos sensations d'enfance, qui correspondrait à l'idée que l'on se fait du beau, du vivable, du vrai. Chercher son lieu, c'est espérer trouver l'environnement qui sera le bon pour nous, mais aussi espérer trouver sa place, une forme d'évidence, de stabilité, de point de chute. Un lieu d'arrivée qui rendrait toute notre vie

cohérente.

Dans cette quête, plus ou moins consciente, plus ou moins active, nous devons composer avec nos obligations et nos ambitions familiales, professionnelles, financières, mais aussi politiques et environnementales. Entre désir d'ancrage, aspiration au mouvement et deuil de toutes les vies que l'on n'aura pas vécues, la poursuite du lieu rêvé n'est pas qu'une question géographique. Elle interroge notre rapport au dehors, à la propriété, au réel, à l'autre, à soi.

Dans cet ouvrage, sorte de confession philosophique en forme d'itinérance intime et littéraire, Marie Kock s'interroge sur ce qui nous fait rester ou partir. Sur ce qui nous fait reconnaître un lieu comme étant le nôtre.

On habite quelque part parce qu'on y est né, parce qu'on y travaille, parce qu'on a suivi quelqu'un, parce qu'on a été obligé de partir, parce qu'on a été obligé de rentrer, parce qu'on a voulu y...


Formats disponibles

ISBN 9782348081729
PRIX 19,50 € (EUR)
PAGES 208

Disponible sur NetGalley

NetGalley Reader (EPUB)
Application NetGalley Bibliothèque (EPUB)
Envoyer vers Kindle (EPUB)
Télécharger (EPUB)

Chroniques partagées sur la page du titre

Notre autrice, journaliste, nous invite dans un entre-deux, entre essai et biographie, à réfléchir sur notre rapport aux lieux que l'on habite, que l'on visite ou qu'on traverse. Notre rapport à la vie qu'on y met, l'attachement, les souvenirs, mais aussi ceux qu'on quitte, simplement, sans affect C'est simple, j'ai adoré. Comme une étrange sensation, j'aurai pu écrire presque chaque phrase, sur cette capacité que certain(e)s (l'autrice et moi, et d'autres) ont du "privilège de la mobilité", des endroits où l'on s'installe généralement, avec fougue, mais qu'on sait transitoires. Toutes ces tentatives qui ne sont pas des échecs mais de belles expériences de paysage, de climat, de rencontres, de dépaysement aussi. Cette écriture est intelligente et fluide, les réflexions percutantes (l'épisode du classement des villes où il fait bon vivre, super bien pensé). Et puis un jour, parce qu'on vieillit (ou pas), parce que notre voyage a été riche, après comparaisons et autres exigences, on trouve l'endroit où se fabriquer un repos bien mérité... Habiter en lieu avec nos babioles et nos souvenirs ! Lecture très intéressante et étonnamment très personnelle. J'aurai écrit sur le sujet, je n'aurai pas fait mieux ni dit autrement : jusque dans le chapitre sur les chats et les chiens, qu'on n'achète pas, qu'on trouve sur le chemin, abandonnés ou perdus, et qui nous demandent "est-ce que je peux rester là un petit moment avec toi" ? Marie sort de ce corps !

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Les lecteurs qui ont aimé ce livre ont aussi aimé :