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Couverture du livre pour Petite philosophie de la sieste

Petite philosophie de la sieste

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Date de parution 30 mai 2025 | Archivage 31 juil. 2025

Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Petitephilosophiedelasieste #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils


Résumé

Après Petite Philosophie des oiseaux (13.000 ex) et Petite Philosophie de la Mer (2022, 20.000 ex), voici Petite Philosophie de la sieste, le nouvel opus idéal pour l’été et la Fête des pères !

Quoi de mieux que la sieste pour arrêter le cours de nos vies frénétiques, commandées par le culte de la performance et du toujours plus ? Quoi de mieux, dans ce monde anxiogène, que de décider de refermer la parenthèse sur soi en s’endormant discrètement sur le canapé ou en grimpant dans un hamac ? « Il ne faut pas faire violence à notre nature » disait déjà Epicure. Ne contrarions pas les philosophes et apprenons à suspendre le temps.

Ce livre est le troisième ouvrage d’une collection de sagesse qui nous réapprend à écouter les leçons de vie prodiguées par la nature. Après le succès international de Petite philosophie des oiseaux et de Petite philosophie de la mer, ce nouvel opus nous invite à ralentir le tempo infernal de nos vies. La sieste est un art de vivre, qui respecte notre rythme naturel et révèle le meilleur de nous. Sans repos à l’ombre de son pommier, Newton aurait-il découvert la loi de la gravité ? CQFD.

Sébastien Spitzer est journaliste et écrivain. Il est l’auteur de romans couronnés par de nombreux prix littéraires, dont Ces rêves qu’on piétine (Prix Stanislas du premier roman, Prix Méditerranée des lycéens) ou Le Cœur battant du monde (finaliste du Prix Goncourt des lycéens).

Après Petite Philosophie des oiseaux (13.000 ex) et Petite Philosophie de la Mer (2022, 20.000 ex), voici Petite Philosophie de la sieste, le nouvel opus idéal pour l’été et la Fête des pères !

Quoi...


Note de l'éditeur

Ce texte est une épreuve non corrigée

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Formats disponibles

FORMAT Autre
ISBN 9791040121954
PRIX 14,90 € (EUR)
PAGES 140

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

« Laisser faire le corps. Lui donner le temps de réparer. » ✍️ Voici une vérité trop souvent oubliée que je redécouvre en débutant ce petit traité. Je pense tout de suite non seulement à la légèreté qui va s’introduire dans mon être mais aussi à une réflexion constructive vers laquelle ce livre m’amènera. Et bien entendu, je n’ai pas été déçue ! Car de la lourdeur, on en porte beaucoup dans notre quotidien. Jusqu’à ne pas suffisamment prendre soin de soi et surtout de son corps. Hors, ce dernier sait tout de nous, on ne peut rien lui cacher ! Et il nous rappelle à l’ordre de temps en temps. Faut-il encore que ce ne soit pas trop tard…
Ce livre évoque notre société productiviste qui ne voit pas d’un bon œil la sieste : « Travailler plus pour gagner plus » ! Ça vous parle ?
Combien ne savent pas s’ennuyer ? Ont peur du vide, du rien ? Et pour eux, dormir c’est du rien, c’est du vide, c’est perdre du temps, ne pas gagner suffisamment d’argent, penser que l’on est fainéant… Et c’est bien dommage car l’ennui développe notre imaginaire.
Aussi face à ces injonctions bien ancrées dans notre société, malgré les interrogations actuelles sur l’écologie, le réchauffement climatique, oui, malgré cela, l’anxiété est puissante et enrichit les labos pharmaceutiques.
A travers plusieurs étiquettes philosophiques, l’auteur, qui est journaliste et écrivain, fait un constat dont nous devrions tous prendre connaissance. La sieste n’est pas prévue dans notre monde occidental. Qu’à cela ne tienne ! A chacun de l’intégrer dans son rythme de vie, à contre courant des modèles du christianisme, du capitalisme entre autres. La sieste nous amène à éviter l’épuisement qui nous immobilise pour profiter de la vie. Aussi « la sieste est un bien précieux, un moment de vie aussi nécessaire que la mise en jachère d’un champ ». Je vous encourage vivement de découvrir avant l’été ce nouvel opus d’une collection sur la sagesse et je vous souhaite de vous autoriser la sieste qui est un art de vivre merveilleux ☀️🏖️
#petitephilosophiedelasieste #netgalleyfrance

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Un grand merci à #NetgalleyFrance et aux éditions La Martinière pour cette petite pause lecture très enrichissante.

#Petitephilosophiedelasieste c'est un petit livre très court mais très riche, découpé en tout petits chapitres. Chaque chapitre nous emmène à la decouverte d'une idée en lien avec le thème de la sieste : ses bienfaits, pourquoi elle n'est pas forcément bien vue dans notre société etc. Chacunee de ces idées est développée de manière concise mais très claire. C'est un livre que l'on peut "grignoter" petit à petit, chaque chapitre étant indépendant des autres, bien que certaines idées puissent être reliées entre elles. En le lisant, on comprend tous les bienfaits de cette petite pause salvatrice, mais on se rend bien compte aussi de la difficulté à l'inscrire dans nos sociétés actuelles, dans ce monde qui ne s'arrête plus jamais. Il se situe entre histoire et philosophie, la première ayant provoqué des tournants majeurs, et la seconde dépendant aussi du contexte dans lequel elle s'inscrit.

J'ai beaucoup aimé lire ce livre, il m'a amenée à réfléchir aussi à mes pratiques professionnelles, même si la sieste dans les classes n'est (malheureusement ?) pas à l'ordre du jour. Espérons que les initiatives de certains pays, abordées en fin d'ouvrage, arriveront jusqu'en France. Je le recommande à tous les adultes qui ont une vie bien remplie, à tous ceux aussi qui s'accordent des pauses et culpabilisent. Je pense qu'il peut être intéressant de l'avoir dans les armoires des établissements scolaires, plus à destination des enseignants que des élèves.

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C'est un coup de coeur que j'ai pour ce livre alors que je ne fais pas de sieste.
Je suis dans l'incapacité de dormir au milieu de la journée par contre faire des pauses, ne rien faire oui et c'est là l'objet de ce livre. Outre le fait de nous rappeler que dormir est essentiel, l'auteur remet un contexte autour de cet espace où l'on ne fait "rien" (ce qui est complètement faux d'ailleurs - je vous invite à lire le livre "pourquoi nous dormons ?" qui explique très bien ce que fait le corps pendant ce temps-là). Il nous rappelle que les temps d'arrêt, de vide ont toujours été essentiels pour laisser de la place à l'inventivité et à la récupération.
L'auteur nous amène petit chapitre par petit chapitre sur une réflexion sur à quoi utilisons-nous notre temps, ce que représente ce temps de non productivité apparente avec un détour par les siestes crapuleuses, les siestes instaurées, bref. C'est un éloge de la sieste, c'est un manifeste pour reprendre la main sur ce que nous faisons de notre vie et pour cela, il faut laisser le temps d'une sieste pour faire le point que l'on dorme ou pas.
Merci à Netgalley et aux éditions La Martinière pour cette lecture

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Dans un quotidien survolté, que l'on soit parent au foyer ou ministre au ministère, arrive toujours cette heure, cette longue heure, cette langueur irrésistible au beau milieu de la journée.

Tandis que les un·e·s la braveront à grand shoot de caféine, la plupart font fi, bon gré mal gré, de cet appel de la nature. Enfin, il y a celles et ceux qui cèdent et ne jure que par elle : la sieste.

Dans cet essai, petit par sa taille mais grand par son enseignement, Sébastien Spitzer fait l'éloge de ce moment de répit volé à la frénésie capitaliste et explique comment la sieste nous sauvera de l'implosion: la sieste comme acte de résistance, d'opposition au sempiternel "toujours produire plus".

En remontant à travers les âges, il démontre que la sieste est vertueuse et loin d'être une perte de temps. Et que la plupart des maux propres à notre époque : surmenage, stress, anxiété, insomnies, auraient été sans doute moins pires si l'on avait eu la sagesse d'écouter nos premiers signes d'endormissement diurnes.

J'ai beaucoup aimé cet ouvrage à la jolie écriture, au propos fédérateur et au format idéal, à découvrir pour soi ou à offrir en cadeau comme un petit clin d'œil à celles et ceux qui doutent encore des vertus réparatrices de ce petit instant "magique" que représente la sieste. La sieste miraculeuse, à contre-courant, moi je recommande.

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Nous sommes tous différents les uns des autres et possédons chacun nos propres domaines de compétence. En ce qui me concerne, je crois pouvoir affirmer, sans crainte de passer pour un vantard, que je suis un professionnel de la sieste. C’est ancré dans mes gènes, j’ai toujours vu mon grand-père aller se coucher après le repas du midi. L’atavisme étant ce qu’il est, je n’ai ni la force ni l’envie de lutter contre cette habitude.

Lorsque par ailleurs il parait des ouvrages qui font l’apologie de ce sommeil diurne controversé, je fonce lire ce qu’ils en disent.

Merci à NetGalley et aux Éditions de la Martinière de m’avoir permis de lire ce livre au format numérique sur mon smartphone, confortablement allongé dans mon lit.

Le terme philosophie a parfois des accents élitistes qui peuvent rebuter. Que le lecteur lambda se rassure, il n’est pas nécessaire d’avoir un doctorat en philo pour comprendre la prose simple et charmante de Sébastien Spitzer. Je tiens d’ailleurs à saluer la belle musicalité de sa plume qui possède un talent propre à créer une sensation de légèreté, ce qui, avouons-le sans sourciller, n’est pas une tendance naturelle en philosophie.

Cet ouvrage est donc très abordable et le qualifier de grand public ne serait pas lui faire offense. L’auteur y répertorie une sélection de points de vue positifs à propos de la sieste et, mis à part un raccourci étonnant entre Adam et Ève et Newton, j’ai lu avec plaisir chacune des courtes démonstrations en faveur de cette pratique.

Pour la petite histoire à ce propos, je suis toujours révulsé quand on place la pomme au cœur du débat biblique concernant le fruit défendu du jardin d’Éden. Relisez la Genèse, le pommier n’est pas le fruit de la connaissance du bien et du mal. Sinon il ne serait tout simplement plus accessible depuis longtemps. CQFD (moi aussi je sais le faire). Voilà, donc hormis ce passage où j’ai décroché, je me suis bien fait plaisir à lire cette Petite philosophie de la sieste et cela me conforte dans mes habitudes quotidiennes.

Si vous culpabilisez lorsque vous avez envie de vous étendre quelques minutes dans la journée, la lecture de ce traité est fortement recommandé.

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" La société moderne se moque de ces préceptes. Elle a fait tomber les murs d’Épicure . Elle se gave de faux besoins et redoute le temps mort, le vide. "

En une série de courts chapitres, l'auteur aborde le thème de la sieste de multiples façons (scientifique, politique, philosophique...) pour souligner sa nécessité urgente dans notre monde moderne.
L'écriture est fluide, parfois espiègle (quand l'auteur souligne , par exemple, la nécessité de la sieste pour que les parents de jeunes enfants puissent souffler un peu...) et la fin, un peu abrupte, nous prend de court.
Il ne reste plus qu'à espérer que les pratiquants de la sieste sur les lieux de travail n'aient plus à se cacher car, loin d'être synonyme de paresse, la sieste permet en fait de renouveler la force de travail.

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Le thème abordé dans cet ouvrage interpelle. En effet, dans notre société, il n’est pas pour habitude de faire l’éloge de la sieste. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les explications fournies par l’auteur sont pleines de bon sens et invitent à la réflexion.

Cette lecture propose de prendre du recul sur son quotidien et d’élargir sa vision sur ce que représente la vie au sens large. Elle permet aussi de s’interroger sur ce que signifie réellement l’expression « prendre le temps de vivre ». L’auteur pose le regard sur le monde d’aujourd’hui. Un monde où tout va vite, trop vite et dans lequel il est demandé à chacun d’être (hyper) actif et toujours plus productif. Dans quel but ? Il ressort de cette étude que le monde actuel n'a jamais connu autant de burn-out et de mal-être... Sans repos le corps lâche. Il cède face à la pression.

Ce petit livre se lit rapidement. Bien qu’il soit court, il permet d’explorer une multitude de thématiques en lien au repos et au sommeil.

Une étude très intéressante qui met en relief les codes sociétaux basés sur des valeurs mercantiles. Celle-ci questionne sur la "valeur-travail" dont les racines prennent naissance dans le christianisme et des préceptes archaïques prônant l'effort et reléguant l'oisiveté au rang de vice. Depuis des décennies, il semble plus acceptable de "se tuer à la tâche" que de prendre soin de soi et de vivre.

L'auteur appuie son propos en relatant des anecdotes personnelles et en donnant des exemples piochés dans des œuvres littéraires, mythologiques, artistiques, scientifiques ou philosophiques... Que ce soit dans des chansons, des peintures, des poèmes ou encore des citations, de nombreuses personnalités ont un jour philosophé sur la question de la sieste. Nous partons aussi à la rencontre de cultures et de civilisations qui entretiennent un lien étroit au repos ou à l'art de l'équilibre entre « le faire » et « le non faire ».

Il n’est pas seulement question de sieste. L’auteur élargit sa réflexion aux notions de sommeil (monophasique et polyphasique), d’insomnie, d’ennui, de valeurs morales, du poids de la parentalité. Il développe tous les aspects qui poussent l’individu à ne plus prendre le temps de ne « rien faire » et à toujours être en état d’éveil. Le syndrome du « Fear Of Missing Out » (FOMO) est l’un de ces aspects.

Livre très instructif et très révélateur en bien des points. Entre développement personnel et précis de bien-être, cet ouvrage apporte quelques clés pour améliorer sa vie, son état d'esprit et même son inspiration. Ces clés se trouveraient pour partie dans le repos ; après un travail intense, une période d’inactivité permettrait au cerveau de déclencher des idées de génie ou des fulgurances (intuition). L’auteur évoque ainsi tous les chercheurs, artistes ou sportifs de haut niveau, qui pratiquent la sieste pour favoriser leur créativité ou leurs performances.

J'ai particulièrement aimé le passage concernant Henri Poincaré et sa théorie sur les quatre étapes de l'intuition. Cela donne envie de tenter l’expérience. Simple et efficace, pourquoi se priver ?

Lecture très intéressante qui met en lumière certaines injonctions et qui permet également de déculpabiliser les phases de procrastination.

Pour toutes les personnes qui souhaitent se lâcher la grappe et à toutes celles qui portent des jugements de valeur. Une belle leçon est à tirer de ce récit qui apporte du réconfort et qui donne du baume au cœur.

Je remercie NetGalleyFrance et les Éditions de La Martinière pour ce service de presse numérique offert non rémunéré.

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Prenons une pause lecture avec ce livre ! 📖 Quoi de mieux qu'une sieste pour se recentrer sur soi ? Quoi de mieux qu'un moment calme pour guérir ou rêver ?

Ce livre nous parle de la sieste, activité bien souvent dénigrée ou jugée comme une perte de temps par beaucoup mais qui se révèle être essentielle !

J'ai aimé me déconnecter le temps de lire ce livre, de ralentir et de réfléchir aux différents points évoqués à chaque chapitre.

Faire une pause, prendre soin de notre corps, s'écouter, s'ennuyer aussi... Voilà un programme qui me plaît !

Cette lecture est une bouffée d'air frais dans le quotidien, un moment un peu suspendu qui nous invite au farniente et au repos...

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Voilà un livre qui m'a fait du bien ! Moi qui ne sais jamais faire la sieste et pour qui c'est un problème depuis que je suis toute petite, je crois que je vais me laisser bercer doucement après vous avoir écrit ce texte. 😃 🛏

Je ne choisis évidemment pas mes livres par hasard, si j'ai demandé via Netgalley et aux Editions de la Martinière de me procurer cet ouvrage sur la plateforme, c'est parce j'avais besoin d'y voir plus clair ! 😊😴 Et je les remercie.

Sébastien Spitzer a, dans un livre petit par la taille mais grand par l'intérêt, convoqué tout un tas d'idées qui m'ont beaucoup plu.

Dans des chapitres assez courts mais bien percutants, vous l'avez compris il vous donnera tous les arguments pour vous mettre à cet art qu'est la sieste. Mais sérieusement ! 🧑‍🏫

L'auteur convoque en effet des médecins, des neurologues, des scientifiques mais aussi des poètes, des cinéastes (donc ça reste sérieux ! 😉) pour mettre en forme une réflexion sur l'ennui, sur la santé, et même sur la santé mentale.

Il explique, de façon très simple et agréable, comment fonctionne le cerveau du dormeur, nous déculpabilise en défaisant de fausses idées, fait un peu d'étymologie, explique comment jaillissent les idées, parle de notre trop grand confort actuel, et suppute même pourquoi Trump devrait dormir plus... ! 👨🏽‍🦰

"La grandeur d'un destin ne dépend pas de la longueur de nos nuits."

J'ai trouvé limpide sa réflexion sur l'accueil que nous devrions faire de la discontinuité d'une nuit, qui n'est pas forcément synonyme d'insomnie. Quand on n'arrive pas à dormir, ce qui nous épuise est moins l'insomnie que la lutte, d'ailleurs !

J'ai croisé René Char, Picasso, Newton, Pascal, Edison (est-ce que son invention de l'ampoule était si bonne que ça ?💡) de Vinci, même Simon and Garfunkel, et tant d'autres hommes illustres ! Pas beaucoup de femmes me direz-vous, question d'époque...

"La sieste, telle que la proposait Épicure, était une profonde philosophie."

Un bon livre, que j'achèterai ensuite en papier, pour pouvoir le déguster à nouveau.

NB pour les éditeurs : Sur la forme, les épreuves non corrigées de La Martinière sont toujours "parsemées" de fautes qui sont parfois assez surprenantes.
Ce sera pour moi une raison suffisante de ne plus solliciter de livres chez eux via Netgalley, et d'attendre leur sortie en papier en espérant que tout soit corrigé... 😉

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