Les Jeunes Fauves

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Date de parution 3 avr. 2024 | Archivage 3 juin 2024

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Résumé

Turin, fin de l’été 2008. Sur un chantier ferroviaire, les ossements de femmes et d’hommes sont découverts. Douze au total, tous tués de la même façon, d’un coup sur la nuque. Une fosse commune, donc. Du moins, c’est l’idée que s’en fait le commissaire Vincenzo Arcadipane, avant que l’équipe spéciale responsable des crimes liés à la Seconde Guerre mondiale s’empare de l’affaire et le court-circuite. Arcadipane pourrait accepter cette décision venue d’en haut et se concentrer sur la crise existentielle qu’il traverse. Mais tout, dans cette histoire, lui paraît louche, à commencer par ce bouton de jean trouvé sur place, qui ne peut dater de l’époque de la guerre. Aidé d’Isa Mancini, sa jeune collègue mise à pied pour insubordination, et de son ami et mentor Corso Bramard, le commissaire décide de mener une enquête parallèle en creusant et remuant le passé, jusqu’à découvrir l’impensable.

Traduit de l’italien par Marianne Faurobert

Turin, fin de l’été 2008. Sur un chantier ferroviaire, les ossements de femmes et d’hommes sont découverts. Douze au total, tous tués de la même façon, d’un coup sur la nuque. Une fosse commune...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782702451304
PRIX 15,99 € (EUR)
PAGES 288

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

● L'auteur, le livre (288 pages, 2024, 2021 en VO) :
On a découvert il y a peu Davide Longo, la nouvelle coqueluche des médias italiens, avec le premier épisode d'une série intitulée Les crimes du Piémont : c'était l'Affaire Bramard, un roman que l'on avait beaucoup aimé.
Nous revoici avec une nouvelle enquête : Les jeunes fauves qui vient confirmer que la réputation médiatique de la nouvelle star du polar italien est bien loin d'être usurpée : sa plume est vraiment de grand talent.

● On aime beaucoup :
❤️ En apparence, la recette parait simple : une attention toute particulière aux personnages et à leurs dialogues et une intrigue solidement ancrée dans le passé. Encore faut-il avoir le tour de main pour que prenne la sauce.
Et Davide Longo consacre tout son savoir-faire à ses personnages. Même l'intrigue leur est consacrée puisque la découverte des ossements va nous conduire à une ancienne affaire jamais élucidée quand le jeune Corso Bramard faisait ses débuts dans la police. Et le dénouement va même nous éclairer quelques côtés obscurs de la jeune Isa, la geek de service qui ne veut pas qu'on la prenne pour une nouvelle Lisbeth.
❤️ On est ravi de faire plus ample connaissance avec ce redoutable trio d'enquêteurs : chacun d'eux est vraiment un sacré personnage et leurs rencontres font des étincelles. Avec ce deuxième épisode, le lecteur croit même faire un peu partie de cette équipe. Vivement la suite !
❤️ On va en apprendre plus notamment, sur le commissaire Arcadipane que l'on avait à peine entrevu dans le précédent épisode. Cette fois, c'est lui que l'on va suivre au centre de l'intrigue où il traîne une douloureuse crise de la cinquantaine : seuls quelques bonbons à la réglisse et un chien boiteux arriveront à le sortir de son spleen. Voilà qui nous change des flics habituellement imbibés qui noient leurs états d'âme dans l'alcool.

● L'intrigue :
Tout commence avec la découverte d'ossements (une douzaine de crânes) au fond d'un chantier. En Italie, on sait qu'il s'agit habituellement d'un charnier datant de la dernière guerre qui fut surtout civile.
Mais quelques doutes tourmentent le commissaire Arcadipane qui n'est pas si certain que les ossements datent vraiment de la guerre.
Encore une histoire qui ne demande qu'à remonter du passé tourmenté de ce pays.
Pour celles et ceux qui aiment jouer aux osselets.

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