Une bonne action
par David Baldacci
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Date de parution 21 févr. 2024 | Archivage 19 juin 2024
Talent éditions | Talent Poche
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Résumé
Premier tome de la série Aloysius Archer, détective privé des 50’s :
Archer, la trentaine, vétéran de la 2nde guerre mondiale, sort de prison après 3 ans pour un crime qu'il n'a pas commis. Pour lui, direction la petite ville de Poca City, dans le sud-ouest des USA, où l'attend son agent de probation. Il y fera aussi la connaissance d'un magnat local et de sa maîtresse, une femme fatale nommée Jackie. Chargé par l'homme d'affaires de récupérer une dette, Archer se voit - encore - accusé d'un crime qu'il n'a pas commis. L'horloge tourne pour prouver son innocence...
Cigarette à la bouche, un vieux costard élimé, cet ex-détenu avec un certain sens de l'honneur n'est pas loin d'être un loser magnifique qui se retrouve dans le pétrin sans trop l'avoir cherché. Il s'en sortira autant par la force de son intellect que par la force de ses poings.
Premier tome de la série Aloysius Archer, détective privé des 50’s :
Archer, la trentaine, vétéran de la 2nde guerre mondiale, sort de prison après 3 ans pour un crime qu'il n'a pas commis. Pour...
Formats disponibles
FORMAT | Poche |
ISBN | 9782378153564 |
PRIX | 9,60 € (EUR) |
PAGES | 576 |
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Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Dans le sud des Etats-Unis, en 1949, Aloysius Archer, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, sort de prison après son incarcération injuste pour un crime qu’il n’a pas commis. Il se rend dans la ville de Poca City pour y rencontrer son agent de probation. Arrivé la veille de son rendez-vous, il découvre la ville, et prend le temps de s’installer dans un bar. Sur place, il rencontre un homme qui lui propose de réaliser des missions grassement payées. Archer accepte, mais se retrouve rapidement en mauvaise posture…
Une bonne action est le premier tome d’une série de livres ayant Aloysius Archer comme personnage principal, les deux romans suivant ne sont pas encore traduits en français.
Une bonne action nous plonge dans l’Amérique des années 40, l’après-guerre, les petites villes en pleine expansion avec leur lot de personnages plus ou moins recommandables. La description de cette période est très réaliste et truffée de détails sur la vie quotidienne de l’époque.
David Badalcci signe un polar traditionnel qui nous plonge dans une ambiance glauque et sombre à souhait. Avec une écriture très visuelle, il alterne les rebondissements inattendus et les passages plus calmes permettant au lecteur de s’imprégner un peu plus de la ville et de ses habitants.
"Une bonne action" est un roman policier et le premier tome de la série Aloysius Archer, détective privé des 50’s !
Cigarette à la bouche, un vieux costard élimé, cet ex-détenu avec un certain sens de l'honneur n'est pas loin d'être un loser magnifique qui se retrouve dans le pétrin sans trop l'avoir cherché. Il s'en sortira autant par la force de son intellect que par la force de ses poings.
1949. Archer, la trentaine, vétéran de la 2nde guerre mondiale, sort de prison après 3 ans pour un crime qu'il n'a pas commis. Pour lui, direction la petite ville de Poca City, dans le sud-ouest des USA, où l'attend son agent de probation. Il y fera aussi la connaissance d'un magnat local et de sa maîtresse, une femme fatale nommée Jackie. Chargé par l'homme d'affaires de récupérer une dette, Archer se voit - encore - accusé d'un crime qu'il n'a pas commis. L'horloge tourne pour prouver son innocence...
Je remercie @Talenteditions et @NetGalleyFrance de ma'voir permsi de découvrir cette nouvelle enquête.
Après avoir aimé précédemment les enquêtes d'Atlee Pine, j'avais hâte de découvrir celles d'Aloysius Archer avec son anti-héros amusant et son atmosphère de polar à l'ancienne au rythme assez lent. Ce premier tome respecte les codes du genre : intrigue tortueuse, femmes fatales et héros naïf trop idéaliste qui se fait manipuler, même s'il n'est pas né de la dernière pluie en tant que vétéran...
Malgré quelques longueurs à cause des nombreuses descriptions qui ralentissent le rythme de l'intrigue, je me suis laissé emportée par cette enquête sinueuse, par les dialogues qui donnent de la vivacité au récit et par la personnalité attachante d'Archer dont le ton laconique plein d'humour m'a beaucoup amusée.
Le style fluide et la plume très visuelle, cinématographique, de l'auteur rendent la lecture très agréable et ce pavé de 560 pages se lit assez rapidement finalement. Même si je préfère les thrillers plus rythmés avec de nombreuse scènes d'action comme "Les Pleins Pouvoirs", j'ai tout de même apprécié ce polar à l'ancienne et j'ai hâte dé découvrir la suite des aventures d'Archer avec "Le Parieur" !
La première chose que je me suis demandée, c’est à quelle bonne action faisait référence le titre de ce roman, le premier à mettre en scène Aloysius Archer, le nouveau héros de David Baldacci ? Celle qui l’a conduite à passer trois en en prison ? Toutes celles qu’il fera au cours de ce roman ? Le sous-titre est par contre parlant : à qui pouvez-vous faire confiance ? Pour avoir fait confiance jusqu’au bout, Archer a passé trois ans en prison. Pour faire confiance à nouveau, y retournera-t-il ?
J’ai eu un peu de mal à rentrer dans le roman, pendant les cinquante premières pages. Archer arrive dans cette petite ville, doit rencontrer son agent de probation (un personnage particulièrement riche et intéressant, disons-le tout de suite), respecter toutes les règles qui lui sont fixées sous peine de retourner en prison – et certaines ne sont pas forcément facile à suivre. Il lui faut aussi renouer avec une vie ordinaire, se loger, se nourrir, s’acheter des vêtements, trouver un logement et aussi un travail. Le premier travail qu’il acceptera sera d’ailleurs des plus déroutants : récupérer une dette. Simple, me direz-vous. Oui, si ce n’est que le mauvais payeur a les moyens de payer, mais ne veut pas payer, tandis que le débiteur, lui, ne semble pas avoir véritablement besoin de cet argent. Il s’agit plutôt d’une lutte entre deux hommes, par personnes interposées – toutes les personnes possibles.
En lisant ce roman, j’ai pensé à Ross MacDonald. Il est des références bien pires. En effet, nous évoluons, au cours de ces enquêtes, dans le même genre de milieu, celui dans lequel les familles, pourtant aisées, se montrent particulièrement étouffantes, pour ne pas dire toxiques, avec le poids des secrets, des non-dits, de la volonté de puissance aussi qu’elles distillent savamment. Les relations entre une mère et sa fille sont compliquées, dira un des personnages à Archer. Les relations entre un père et sa fille peuvent être hautement toxiques quand celui-ci veut absolument contrôler sa vie et que celle-ci est prête par tous les moyens à se libérer de lui. Un milieu dans lequel les femmes mariées n’ont d’autres choix que se taire et accepter la vie que leur conjoint leur fait mener. L’on peut qualifier la plupart des personnages masculins de ce roman d’être misogyne – Archer et Shaw, le lieutenant-détective, font figure d’exception – il ne faut pas oublier que ce récit est le reflet d’une époque pas si lointaine que cela.
Mais s’il est un personnage essentiel, incontournable dans ce roman, c’est bien celui d’Ernestine J. Crabtree, un personnage auquel l’on pouvait peut-être au début prêter peu attention – elle est agent de probation – pour peu à peu découvrir ce qu’il faut de courage, de détermination pour accomplir son métier. A cela, il faut ajouter aussi un sens aigu de l’observation, dont l’origine, tout comme celle de sa vocation, est à rechercher dans son passé.
Une bonne action est un polar solide et bien construit.
Merci à Talent éditions et à Netgalley pour ce partenariat.
Ce polar situé dans les années 50 est le premier tome d'une série. Je ne m'attendais pas à m'attacher au personnage d'Archer. J'ai apprécié sa vivacité d'esprit, son humour et son charisme. Le rythme de l'histoire est progressif, tour tourne autour de quelques rebondissements. L'histoire en soi est plutôt simple, elle est bien construite et racontée par l'auteur. J'ai aimé l'atmosphère de l'époque dans laquelle il emmène le lecteur. Elle est décrite avec précision et bien que je la connaisse peu en amont, les descriptions m'ont données le loisir de tout imaginer dans les moindres détails.
Ma première « rencontre » avec l’écrivain nord-américain David Baldacci, s’est faite avec « Les pleins pouvoirs », un roman policier mettant en scène Luther Whitney, as du cambriolage, au début des années 90. Son style m’a tellement plu, qu’il me tardait de découvrir sa série mettant en scène Aloysus Archer, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale. C’est chose faite !
Dans ce premier tome de cette série, enfin traduit en français, on fait donc la connaissance d’Archer, la trentaine, libéré en conditionnelle pour bonne conduite. Envoyé à Poca City, dans le sud-ouest des États-Unis, où l’attend son agent de probation, il fait la connaissance d’un homme d’affaires plein aux as, qui l’engage. Sa mission : récupérer une dette. Mais les choses ne vont pas se passer comme il l’espérait : il est reçu par un fusil à double canon pointé vers son bijou de famille. Outre cette mission qui lui donne du fil à retordre, Archer croise également le chemin de belles femmes, qui le conduisent à sa perdition. C’est après une partie de jambes en l’air que commence une série de crimes. Et qui est le suspect idéal ? Le repris de justice récemment arrivé à Poca City, évidemment ! Et si on ajoute à cela que Archer a été vu en compagnie des victimes et que toutes les preuves sont contre lui… Bref, Archer va devoir faire vite pour mettre la main sur le coupable, et ce avant que le nœud coulant de la corde ne se resserre littéralement autour de son cou.
On retrouve ici une ambiance propre aux films des années 50, avec ces messieurs portant des pantalons à pince et des vestes cintrées et ces dames des jupes crayons ou pantalons à taille haute, entre autres, sans oublier un chapeau pour ces messieurs-dames. J’ai lu ce roman en complète immersion, à tel point que les personnages ont pris l’apparence d’acteurs et d’actrices qui connurent la gloire à l’âge d’or d’Hollywood : Gregory Peck dans le rôle d’Archer, Burt Lancaster dans le rôle de l’inspecteur de police, Gary Cooper dans le rôle du magnat, Ingrid Bergman dans le rôle de l’agent de probation et Kim Novak dans le rôle de Jackie, pour n’en citer que quelques-uns.
Malgré un début un peu lent – ce qui peut s’expliquer par le fait que ce tome sert en quelque sorte de présentation, nous faisant découvrir le personnage principal avant qu’il ne devienne détective privé –, les événements s’accélèrent à un rythme inquiétant, laissant place un suspense insoutenable et nous poussant à poser des hypothèses aussi farfelues les unes que les autres, mais à des années-lumière du dénouement. Les dialogues, pêchus, y sont aussi pour beaucoup. La plume imagée de l’auteur nous ferait presque sentir l’odeur des cigarettes pendues aux lèvres et entendre le bruit des glaçons dans les verres de whisky. Le rythme retombe quelque peu dans les derniers chapitres, avec une fin à la Perry Mason, série télévisée américaine en noir et blanc diffusée de 1957 à 1966 – clin d’œil aux amateurs du genre, dont je fais partie. Et ce n’est qu’à la toute fin que l’on comprend le titre, « Une bonne action ».
Bref, si vous aimez les bons vieux polars dans lesquels les crimes sont résolus à la seule force des neurones, et aussi des poings, avec une ambiance très cinématographique, style fifties, tel que l’on peut retrouver dans des films comme « Quand la ville dort », « La main au collet », ou bien encore « L’homme qui en savait trop », alors ce livre est fait pour vous. Par contre, si vous cherchez quelque chose plutôt glauque… Bon, il y a quand même un gars qui se fait bouffer par des cochons, je dis ça, je dis rien !
Aloysius Archer vient de sortir d’une incarcération pour un délit qu’il n’a pas commis mais les circonstances étant contre lui… il est en « libération conditionnelle », et pour cela on l’envoie dans la petite ville de Poca City, où au terme d’un voyage en car de sept heures, l’attend son agent de probation Ernestine Crabtree. Elle lui conseille de trouver un travail, pour mieux se réinsérer. Archer loge à l’hôtel avec interdiction de consommer de l’alcool, ou de porter une quelconque arme.
Lors de sa première soirée de liberté il fait la connaissance dans un bar d’un homme d’affaires, Hank Pittleman, accompagné d’une jeune femme Jackie. Celui-ci le charge de récupérer une dette, moyennant cent dollars, auprès d’un autre personnage étrange de la ville Lucas Turtle qui n’est autre que le père de Jackie. La dette revêt la forme d’une Cadillac…
Mais, Turtle n’est pas disposé à rendre la belle automobile sans contrepartie, cette dernière étant le retour de Jackie à son domicile. Mais, Hank est retrouvé, assassiné dans sa chambre, à deux pas de celle d’Archer sur lequel vont se porter tous les soupçons bien sûr. Mais, un policier, Irwin Shaw doute de sa culpabilité.
En effet, tout comme Archer, ce dernier est un vétéran de la seconde guerre mondiale, où ils se sont illustrés tous les deux, chacun dans leur domaine.
David Baldacci, nous fait découvrir les bas-fonds de la petite ville, les profits amassés de façon plus ou moins légale, sur fond de jeux (Las Vegas n’est pas loin), extorsion, détournements, chantages, malversations en tous genres. A travers l’histoire d’Archer, on découvre au passage les difficultés de réinsertion après un passage en prison, le comportement pas toujours professionnel des policiers locaux : Archer est forcément coupable d’emblée….
Une personne est intéressante dans ce roman : Ernestine, une femme chargée de la probation est forcément regardée d’un mauvais œil, tant par les policiers que par les anciens détenus, avec des remarques désobligeantes, des lettres de menaces. L’auteur nous parle aussi de son histoire personnelle : son père policier a été condamné à mort pour avoir tué trois hommes et au fur et en tournant les pages, on en apprend davantage sur elle : son histoire familiale, personnelle son amour pour la littérature, notamment Virginia Woolf dont « Une chambre à soi » l’accompagne dans son quotidien et l’inspire.
Le couple Archer – Irving Shaw est intéressant à suivre aussi, Archer comme loser magnifique, sensible aux charmes de femmes, ce qui ne lui réussit pas trop, Shaw le bon policier, adepte de la corroboration pour établir les preuves…
L’auteur nous livre également un portrait de ces années de l’immédiat après-guerre, les héros qui reviennent souvent cabossés, le statu des femmes dont le rôle se limite à tenir la maison, s’occuper des enfants, et servir le mari.
J’ai découvert Archer avec le deuxième tome « Le Parieur » qui m’a beaucoup plu, alors la lecture de celui-ci s’imposait… je mettrai un petit bémol : la lenteur du démarrage, je commençais à croire qu’il ne passerait rien jusqu’à la découverte du corps de Hank, et ensuite, la manière dont Archer était accablé m’énervait un peu. Mais, l’enquête s’avère ensuite pleine de rebondissements et je me suis laissée entraîner avec plaisir.
J’ai découvert David Baldacci très récemment, souvent par le deuxième opus d’une série, comme ce fut aussi le cas avec « Une minute avant minuit » et son univers me plaît. Je me suis aperçue, au passage, qu’on lui devait également « Les pleins pouvoirs » superbement adapté au cinéma par le maître Clint Eastwood…
Un grand merci à NetGalley et aux éditions Tallent qui m’ont permis de retrouver Archer, le héros de ce roman et de découvrir un peu plus l’univers de son auteur.
#Unebonneaction #NetGalleyFrance !
En 1949 dans le sud-ouest des États-unis, Archer (vétéran de la seconde guerre mondiale)sort de prison où il a passé 3 ans pour un crime qu'il n'avait pas commis ..Deux personnages féminins :
Jakie, maitresse de son nouvel employeur, est un personnage haut en couleur.
Ernestine Crabtee,son agent de probation,est aussi un sacré personnage. Ils sont tous vraiment bien campés . On avance doucement .
Archer est très charismatique et plein d'humour.
L'écriture est très agréable et nous embarque tout de suite pour ne plus nous lâcher si bien que j'ai même eu du mal à les quitter.
Pour moi,cest une révélation, je ne connaissais pas cet auteur ,et en plus pour le cadre ,je sors de ma zone de confort.
Ambiance bien décrite, ainsi que la psychologie des personnages.
Je mets 5 étoiles pour ce premier tome.que je vous recommande.