La Montée des périls

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Date de parution 8 mars 2023 | Archivage 8 août 2023
ELIDIA | Editions du Rocher

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Résumé

Écrivain dubitatif, Paul de Salles arrive à un tournant de son existence où même les satisfactions d'amour-propre ne compensent pas l'ennui qu'il éprouve. Son échappée belle : prendre le tragique du quotidien avec légèreté. Par le plus heureux des hasards, Paul tombe sous le charme d'Erika, piquante, sophistiquée, stoïcienne. Elle travaille sans ardeur pour une « ravissante idiote » qui veut passionnément devenir présidente de la République. Cette confrontation entre un certain « esprit français » et une bêtise tristement contemporaine promet d'être riche en étincelles.

Que les lecteurs se rassurent : rien dans ce marivaudage satirique n'appartient au registre de la littérature « probante », comme disait Flaubert. Il n'y a dans La Montée des périls que de l'observation et de l'imagination.

Membre du comité de rédaction de la Revue des Deux Mondes, Marin de Viry est notamment l'auteur de Mémoires d'un snobé (Pierre-Guillaume de Roux, 2012) et de L'Arche de mésalliance, paru aux éditions du Rocher en 2021.

Écrivain dubitatif, Paul de Salles arrive à un tournant de son existence où même les satisfactions d'amour-propre ne compensent pas l'ennui qu'il éprouve. Son échappée belle : prendre le tragique du...


Actions promotionnelles

- Sélection prix littéraires de printemps : Freustié, Meurice, Nimier, Hussards...

- Belle presse attendue.

Pour son précédent roman : "L'Arche de mésalliance" :

"Le résultat est désopilant, piquant, sarcastique, jamais – trop – méchant." (Libé)

"La plume grinçante et pleine de morgue de Marin de Viry décrit avec brio l’absurdité brutale de ce que l’anthropologue David Graeber appelait les « bullshit jobs » pour diplômés à haut potentiel." (PhiloMag)

"Comme les impressionnistes peignaient en plein air, Marin de Viry a manifestement écrit L’Arche de mésalliance sur le motif, en promenant ses crayons et sa malice du côté du parvis et des tours de la Défense."

(Fig Litt, Sébastien Lapaque)

"Portraits cinglants, dialogues parodiques, piques et péripéties font de ce roman un cocktail détonant, qui donne au lecteur l’impression d’être momentanément vengé de la laideur et de la cupidité universelles. On a beau dire, ça soulage." (Lire)

et sélectionné dans le Flore et Renaudot (également prix Maison Rouge, prix du Temps Retrouvé).

- Drôle, et intelligent.

- Lectorat fidèle.

- Sélection prix littéraires de printemps : Freustié, Meurice, Nimier, Hussards...

- Belle presse attendue.

Pour son précédent roman : "L'Arche de mésalliance" :

"Le résultat est désopilant...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782268108780
PRIX 19,00 € (EUR)
PAGES 220

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Chroniques partagées sur la page du titre

Critique pour un journal de la capitale, Paul multiplie les soirées artistiques et mondaines, jusqu’à être totalement blasé par l’ambiance parisienne truffée de paillettes et de faux-semblants. Heureusement, tous les gens autour de lui ne sont pas à jeter, notamment Erika, critique reconnue qu’il vient à peine de rencontrer. Après une discussion bien verbeuse entre les deux critiques, Paul va tenter de forcer le destin en proposant à sa rédactrice en chef d’embaucher pour quelque temps Erika. Cette promiscuité sera l’occasion pour les deux personnages de se rapprocher, de se découvrir et de se dévoiler.

Au milieu de tous ces gens qui tentent de paraître plus importants qu’ils ne le sont vraiment, cela fait du bien de voir deux personnes parler vrai, sans essayer de tricher. Leurs discussions sur tel tableau ou sur tel film perdra peut-être plus d’un lecteur, les deux personnages possédant une culture étendue et une langue soutenue. Mais, il est intéressant de voir jusqu’à quel point cet homme et cette femme se complètent et réussissent à se comprendre. Le caractère désabusé de Paul s’efface au contact d’Erika qui, elle, rationalise à outrance.

Le chemin que parcourent à deux les personnages est plaisant à suivre même si les sentiments sont parfois mêlés d’une naïveté fleur bleue. Les conversations sur la culture, les arts, la vie parisienne et celle en dehors de la capitale sont intéressantes et non dénuées d’intelligence et de philosophie. Reste que l’histoire globale demeure très classique et qu’il faut vraiment s’intéresser au microcosme parisien et nombriliste, ce qui n’est pas toujours mon cas, même avec Marin de Viry. Merci à NetGalley et aux éditions du Rocher pour cette lecture.

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Merci aux éditions Elidia/du Rocher et à netgalley pour leur confiance.
Ce roman n’est pas vraiment « mon » genre de roman, et ce ne serait probablement pas allée spontanément vers ce livre, tant mes préférences vont plutôt vers le roman policier et la littérature jeunesse. Cependant, je dois dire que j’ai passé un agréable moment en compagnie de ces personnages.
Au début de ma lecture, j’avais crains de me retrouver face à un vaudeville dans les milieux littéraires. Heureusement, il n’en est rien. Paul et Erika parlent beaucoup, certes, mais ce qui est le plus important est qu’ils écoutent réellement ce que l’un dit à l’autre, et même si, parfois, leurs échanges sont assez étonnants, puisque l’un et l’autre manient très bien la langue française et partagent une culture commune (ce n’est pas le cas de tous les personnages qu’ils croiseront). Discuter, échanger, oui, parler pour ne rien dire, brasser du vent, non. Surtout, l’un comme l’autre pense réellement ce qu’ils disent, et ils sont parfois bien les seuls.
Parce qu’il faut bien que je l’écrive : dire la vérité, toute la vérité tout le temps est quasiment impossible dans les milieux dans lesquels ils gravitent. Paul, romancier, travaille à la rubrique « culture » d’un grand journal, et s’il s’entend très bien avec sa rédactrice en chef, elle, lui, et d’autres membres de la rédaction sont lucides : certains voudraient bien les pousser gentiment ou moins gentiment vers la sortie. Les conférences de rédaction prennent alors des allures de grandes manœuvres, et s’en est presque réjouissant. A croire vraiment qu’il est des personnes que la culture dérange. Et bien, oui, il en est. Digression de ma part : l’on n’a même pas attendu le confinement et les professions « non essentielles » pour que la culture soit reléguée loin, très loin des préoccupations de ceux qui nous gouvernent.
Manoeuvrer, encore et toujours, en coulisse, bien entendu, est l’un des meilleurs moyens non d’abattre un adversaire politique, mais de nuire grandement à sa progression. Charlène a des ambitions, conquérir l’investiture pour la mairie de Paris. Elle n’est qu’une personnalité politique de plus, qui pense avant tout à elle-même, aux postes qu’elle souhaite obtenir, et ne se préoccupe de rien d’autres, surtout pas d’obtenir les connaissances, le savoir-faire nécessaires pour exercer ces postes – et quand bien même elle les aurait, il n’est ni certain, ni nécessaire qu’elle les utilise trop/très souvent une fois le poste obtenu. Seulement, il est des personnes dont le manque d’intérêt pour la chose politique, pour le partie politique dont elles font partie se voient un peu trop, tant elles ne semblent pas profiter du travail que toutes les petites mains à leur service effectuent.
La Montée des périls – ou quand histoires privé et politique se croise et s’entrecroisent.

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Délicieusement ironique, ce roman est une chronique de la vie des gens "bien-pensants" qui nous dictent nos désirs...
Le monde de la presse, la politique et les malversation, bonnes ententes, pour ne pas dire magouilles sont traitées avec beaucoup d'humour et d'ironie.
Une jeune politicienne au profil potiche aux dents longues vise un poste important, le parti doit la soutenir et la presse aussi...
et si tout n'allait pas dans le sens voulu...

une pincée de dérision, beaucoup d'ironie, ce lire se lit entre les lignes tant le second degré est délicieux.

Merci pour cette jolie découverte

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