Les Filles qui mentent

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Date de parution 15 avr. 2022 | Archivage 30 avr. 2022

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Résumé

Une jeune mère désespérée se tient immobile dans une maternité, incapable de regarder son propre enfant qui vient de naître. C’est le début d’une relation étrange et brisée entre la mère et l’enfant, qui mènera à une tragédie redoutable.

Quinze ans plus tard, en effet, le corps d’une femme est retrouvé gisant dans un champ de lave... Cela fait sept mois que cette mère célibataire avait disparu, ne laissant qu’un simple mot d’excuses sur la table de la cuisine. Que s’est-il passé durant tout ce temps ? Le nouveau quotidien de sa fille Hekla, désormais choyée par sa famille d’accueil, ne cache-t-il pas une réalité plus sombre ? Au fur et à mesure que la liste des suspects s’allonge pour le meurtre, de nouvelles lumières sont jetées sur le passé de la mère,­ et sur l’enfance d’une fille qui n’a jamais été comme les autres… Elma, inspectrice de police dans la petite ville d’Akranes, est chargée d’enquêter.

Cruauté adolescente, préjugés de petite ville, mensonges d’enfants qui souffrent pour les pêchés de leurs parents. Les filles qui mentent est un thriller psychologique saisissant à l’enquête policière sophistiquée, qui porte Eva Björg Ægisdottir au rang des nouveaux grands noms du roman policier contemporain.

l'Auteure : Née à Akranes en 1988, Eva Björg Ægisdóttir vit à Reykjavík avec son mari et ses trois enfants. Elma, son premier roman, a été numéro 1 des ventes en Islande. Il a été récompensé du Blackbird Award, un prix créé par Yrsa Sigurðardóttir et Ragnar Jónasson pour promouvoir les nouvelles révélations du polar islandais.


Une jeune mère désespérée se tient immobile dans une maternité, incapable de regarder son propre enfant qui vient de naître. C’est le début d’une relation étrange et brisée entre la mère et l’enfant...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782732495811
PRIX 21,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

En 2021, j’au Elma premier livre de cette série d’enquêtrice venue du froid.

C’est avec grand plaisir que j’ai découvert que cette suite allait être publié le 15 avril 2022.
Donc tout d’abord merci à LesFillesquimentent #NetGalleyFrance et aux Éditions de La Martinière de m’avoir permis de lire cette suite avant sa sortie en librairie.

J’ai aimé retrouvé cette ambiance de polar islandais avec son enquêtrice Alma, personnage si attachant .

Ce second tome est encore une très belle réussite.
L’histoire sur laquelle elle enquête avec son équipe est bien rythmée, mêlée de suspens jusqu’à la fin et nous continuons en parallèle à faire connaissance avec Elma.

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On est dans une maternité en Islande, dans laquelle une jeune fille vient de mettre au monde son bébé, une petite fille. Et pourtant, la rencontre ne se fait pas avec ce bébé… la maman ne ressent rien… du vide.
L'enfant grandit mais le lien ne se fait toujours pas, elle est plutôt renfermée voire étrange.
Des années plus tard, le corps d'une femme est retrouvé en pleine nature. Les enquêteurs font rapidement le lien avec une disparition qui avait été signalée.
Ils ne tardent pas à découvrir que c'est un acte criminel. Ils devront remonter le parcours de vie de cette femme pour comprendre sa mort.

L'auteur nous amène dans un aller-retour temporel infernal qui nous permet de remonter le temps pour appréhender les parcours de vie des personnages.
Elle interroge sur les répercussions des difficultés d'attachement à l'âge adulte, sur les traumatismes qui peuvent bouleverser une existence, sur les différences et l'acceptation de soi.
Il a été parfois un peu difficile de me repérer dans tous les prénoms islandais parce que je n'étais certainement pas assez attentive.
En tout cas, la construction du récit, l'intrigue sont intenses… l'auteur tisse des liens, les emmêle et les démêle au cours de l'histoire.
C'est original et dense.
Merci à #netgalleyfrance et #lesfillesquimentent pour cette jolie découverte.

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Ce thriller psychologique aborde la question de l'attachement maternel qui n'est pas aussi "naturel" qu'on le pretend.
Une jeune femme non identifiée exprime dans son journal l'absence de sentiments qu'elle éprouve pour son enfant qui lui reste étrangère et qui l'effraie parfois. Les premières années sont difficiles, l'enfant a un comportement quasi autiste et la mère ne peut ou ne veut tisser le lien.

Parallèlement à ce journal intime, on suit l'enquête sur la disparition, puis le meurtre d'une jeune femme Marianna, mère d'une adolescente. La relation entre la mère et la fille n'a jamais été simple. Dès ses 3 ans, Hekla est accueillie à mi-temps par une famille d'accueil, car Marianna a du mal à gérer son rôle de mère. Elle est isolée socialement et cache son passé.

L'auteure brouille les pistes, entre le je du journal intime et le elle de Marianna. Toutes deux ont de nombreux points communs, surtout dans leur relation à la maternité et dans leur comportement. L'attitude de la petite fille participe également de la confusion. Au point qu'il devient difficile de les dissocier.

Si l'enquête policière est incarnée par une jeune femme, elle reste toutefois en marge. Ce qui compte davantage, c'est la psychologie des personnages et leur détresse. Et si retrouver l'assassin de Marianna est un enjeu du genre, la résolution de l'énigme touche à l'intime bien plus que dans la majorité de ce type de romans.

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Nouvelle arrivée dans le roman policier nordique , islandais pour être précise , Eva Björg Ægisdottir m’a étonnée agréablement par son intrigue bien ficelée .
On parle d’une maman et du lien qu’elle n’arrive pas à nouer avec sa fille , d’une jeune femme qui a été enceinte à 15 ans dans les différents chapitres .
Un corps affreusement mutilé découvert dans un champ de lave , il faudra retourner dans le passé pour découvrir l’auteur du crime .
L’auteur est très douée pour brouiller les pistes , ah les filles qui mentent ne sont pas toujours celles qu’on croit .
J’ai beaucoup aimé la fine analyse psychologique des différents protagonistes.
Un bon polar nordique , une jeune auteur à découvrir .

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Deuxième tome où l'on retrouve avec plaisir l'enquêtrice Elma. Un corps d'une femme est retrouvée dans un champs de lave. La police pensait que la victime s'était suicidée en laissant derrière elle sa jeune fille adolescente.
Mais très vite, l'enquête s'oriente vers un crime et Elma va devoir remonter le passé de la victime pour résoudre l'affaire. Chaque chapitre alterne avec l'enquête et la vie d'une jeune maman qui a du mal a créer un lien avec son enfant. On comprend bien que cette histoire va rejoindre l'enquête policière mais je me suis laissée berner.
Et puis comme dans le premier tome, les coupables ne payent pas toujours les pots cassés.
Un bon polar qui confirme le talent de l'autrice.

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Les filles qui mentent de Eva Björg Ægisdóttir .
C’est l’histoire de Marianna, mère célibataire, qui est retrouvé morte, après avoir disparu pendant plusieurs mois, depuis sa fille Hekla est en famille d’accueil et elle est très heureuse.
L’histoire de ce livre mêle plusieurs personnages et plusieurs histoires qui se regroupent toutes à la fin.
On retrouve également une mère célibataire qui a aucun instinct maternel et qui trouve que sa fille a des comportements assez bizarres et inquiétants.
Et il y a aussi Elma, jeune femme qui va enqueter sur ce meurtre.
J’ai eu du mal à me mettre dans l’histoire, beaucoup de personnages différents, ça passe du coq à l’âne au fil de chapitre. Mais une fois à la moitié du livre, la lecture devient plus facile et ça devient même limite addictif.
Un bon polar à découvrir.
Il ne sort que le 15 avril, donc il faudra encore attendre un peu.

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Je ne connaissais pas du tout cette autrice, mais une chose est sûre : je vais continuer à la lire ! J'ai beaucoup aimé ce roman qui a réussi à me balader du début à la fin. L'histoire est parfaitement maitrisée et je me suis réellement surprise à me demander qui avait tué Marianna. Les personnages sont réussis, en particulier Elma, l'inspectrice à laquelle on s'intéresse de plus en plus au fil des pages. Les descriptions de la société islandaise sont réussies et j'ai beaucoup aimé suivre l'histoire en flash back de cette mère célibataire. Le tout est redoutable ( je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler)

Ce que j'aime : les personnages, l'efficacité du scénario, la plume de l'autrice

Ce que j'aime moins : j'aurais voulu voir le procès

Pour résumer

Un excellent thriller qui mène son lecteur en bateau et dont la fin est surprenante

Ma note

9/10

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Ne cherchez plus ! La nouvelle pépite Islandaise du thriller se prénomme Eva Bjőrg Aegisdottir.
Son premier livre Elma, m'avait déjà séduit, et je dois dire que Les filles qui mentent n'a fait que confirmer ma première impression !
Marianna Thoresdottir, est retrouvée dans une crevasse, près du volcan Grábrók, voilà sept mois que sa fille Heklá n'avait plus de nouvelles.
L'enquête se dirige rapidement vers la piste criminelle, l'inspectrice Elma et son collègue Saevar vont devoir démêler le vrai du faux , faire confiance à leurs intuitions, et surtout garder les yeux ouverts pour ne pas se laisser prendre dans les filets de la manipulation.

Un seul maître-mot dans ce thriller captivant : MENSONGES

J'ai trouvé que le personnage d'Elma prenait plus d'épaisseur, surtout dans sa vie privée, et que l'intrigue était plus intimiste .
Le fil conducteur nous amène aussi à réfléchir sur ce qu'est un mensonge et surtout ses conséquences qui peuvent détruire et anéantir des familles.
Pas de temps mort dans cette histoire bien ficelée, que j'ai d'abord cru voir venir , avant une révélation qui m'a laissé sans voix !

L'Islande nous déniche encore un grand talent , un sans-faute pour moi , foncez !!!

Je remercie #netgalleyfrance et les éditions La Martinière de m'avoir permis de lire #les fillesquimentent en avant-première !

Le livre sortira le 22 avril !

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Après la découverte du premier roman d’Eva Björg Ægisdóttir intitulé « Elma », j’ai eu l’immense chance de lire en avant-première une nouvelle enquête islandaise pour retrouver l’inspectrice avec « Les Filles qui mentent ».

L’autrice continue avec ce polar, de dévoiler l’histoire en alternant les chapitres entre le présent et le passé avec une sorte de journal intime. Si les lecteurs pensent que cela permet aisément de deviner le dénouement, qu’ils se détrompent ! Mes idées ont été plus d’une fois renversées !

Cette nouvelle enquête est liée à la découverte d’un corps mutilé retrouvé dans un champ de lave quelques mois après la disparition d’une femme qui n’a que trop peu préoccupait les autorités ou même sa propre fille… Un mystère profond qui met en lumière de différentes façons le lien maternel. L’attachement au personnage d’Elma et à son entourage dans la petite commune d’Akranes se fait aussi avec beaucoup de simplicité, dans la continuité du précédent tome. J’aimerai par ailleurs qu’un nouveau crime se tienne afin de retrouver la protagoniste et voyager à nouveau en plein hiver islandais.

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Grâce à la plateforme Netgalley, j’ai pu découvrir ce thriller islandais en avant-première. En effet, la sortie officielle en France est prévue le 1er avril 2022.
Il s’agit du 2ème tome d’une duologie ; le 1er tome s’intitule « Elma », du nom de l’enquêtrice principale.
Je n’avais pas lu ce 1er tome et en toute franchise, cela ne m’a pas du tout gêné dans ma lecture.
Quand Maríanna, une mère célibataire un peu instable, disparaît de chez elle, tout le monde pense qu’elle a décidé de disparaître pour mener une nouvelle vie... jusqu’à ce que son corps soit retrouvé près du champ de lave de Grábrók, sept mois plus tard, visiblement victime d’un homicide. Sa fille de quinze ans, Hekla a été placée dans une famille d’accueil.
L’enquête policière est menée par Elma et son collègue Saevar, chapeautée par leur responsable Hördur. L’absence de pistes et de témoignages pousse ce trio d’enquêteurs à reprendre l’enquête du début et à creuser le profil psychologique de chaque protagoniste.
Les chapitres courts concernant l’enquête alternent avec une sorte de journal de bord tenue par la victime.
Le rythme est enlevé et on ne s’ennuie pas une seconde. L’intrigue est originale et tortueuse. L’ambiance islandaise est bien restituée, c’est dépaysant.
J’ai simplement eu besoin d’une petite période d’adaptation au début car les différents noms des personnages et la temporalité m’ont perdu.
Eva Björg Ægisdóttir est une jeune auteure à suivre, assurément.

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Un thriller psychologique bien mené proposant une intrigue autour de la dépression maternelle. Le développement de l’histoire se fait entre deux périodes (passé et présent) ce qui donne un rythme assez intéressant à l’ensemble. C’est un roman qui semble assez facile à cerner en apparence mais au fil de l’intrigue, la complexité se révèle.

J’ai apprécié suivre l’inspectrice Elma et son collègue Saevar doté d’un humour un peu pourri. Je pense que comme beaucoup, je me suis fait facilement avoir par certains événements, notamment concernant les actions d’un personnage en particulier. Difficile de démêler le vrai du faux. On a l'impression d'avoir compris, et tout vole en éclats.

Aussi, j’ai été agréablement surprise par la façon dont l’auteure nous offre une vision de la famille assez complexe. Ce n’est ni blanc, ni noire comme en témoigne la dynamique qu’on retrouve au sein de ce roman. Je suis passé par toutes les émotions; la compassion, la colère et l’espoir.

La fin m'a laissé avec une certaine amertume, même si elle est cohérente…
Un mensonge “aussi petit soit il” peut avoir des effets dévastateurs. Ce récit illustre bien ce fait. Je vous encourage à le lire! Ce roman porte bien son titre.

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Le corps d’une femme est retrouvé gisant dans un champ de lave...7 mois qu'elle avait disparu. Sa fille se retrouve dans la famille d'accueil qui l'héberge régulièrement depuis ses 3 ans où sa mère l'avait oubliée, seule dans l'appartement.
La police enquête, que s'est il passé au domicile de cette mère ? Que cache sa famille, ses amies ?

Un thriller psychologique dense avec des va-et-vient dans le temps, des évènements du passé cohabitent avec l'histoire présente, pour un final magistral avec un coupable intelligent et machiavélique.
Une plume islandaise à suivre.

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Point de départ de ce polar typiquement islandais : un corps trouvé dans un champ de lave au fond d'une crevasse. Celui de Marianna, portée disparue depuis sept mois. Cela ne fait guère de doute, la police criminelle du coin n'est pas débordée par les disparitions.
Identifiée, la victime fait l'objet d'une enquête de personnalité. Deux flics à la complicité évidente pour la mener, Elma et Saevar, sous la houlette de leur chef, un certain Hordur (un nom qui sonne très bizarrement en français, on a eu du mal à s'y faire).
Roman d'atmosphère mais très psychologique aussi. A déconseiller à ceux qui ne jurent que par le thriller nerveux et haletant. Là, il y a beaucoup d'interrogatoires, donc : Hekla, la fille adolescente de Marianna, mais aussi la meilleure amie de sa fille, la mère - une présentatrice de télé, etc. Et on soupçonne tout le monde, car tous (ou plutôt toutes) ont un secret à cacher, voire, de sérieux problèmes psy. Questionnements sur la maternité, le lien parent-enfant, que ce dernier soit désiré, adopté, accaparé, rejeté...
Toutes s'interrogent. Et toutes mentent, comme l'annonce le titre. Les mères à leurs filles, les ados à leurs mères, les soeurs entre elles... et elles mentent à la police, pour sauver les apparences ou masquer le "déshonneur" de la famille. Elle se mentent à elles-mêmes aussi, parfois.
Un roman qui, hors de l'enquête criminelle résolue en quelques jours, nous fait suivre en parallèle l'histoire d'une femme à la grossesse peu épanouie, son baby-blues, sa dépression au long cours, qui ne s'arrange pas lorsque l'enfant devient ado. Qui est-elle ? Une des figures féminines croisées dans l'enquête ? Forcément. Et forcément elle a à voir avec le crime, mais à quel degré d'implication ? On devient lecteur actif et on traque le détail pour l'identifier, comme l'initiale sur un pendentif... qui peut appartenir à plusieurs personnes. Malin, heureusement. Car c'est ce qui fait le sel de ce polar islandais (un poil trop) classique, qui passerait pour ordinaire s'il n'avait cette singularité et cette habileté de construction.

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Je ne connaissais pas cette auteure, et j'ai aimé ce roman.
Sur une trame classique, l'auteur nous entraîne avec lui dans son histoire.
Mensonges de jeunes filles, rumeurs de village, malveillance, les thèmes abordés sont, malheureusement d'actualité.
On se demande, tout le long du livre, qui est cette jeune femme et son enfant ?
Cette auteure, correspond bien , au style des auteurs scandinaves.
J'ai dévoré ce roman👍

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Une lecture haletante et prenante au cœur de l'Islande. Ce roman est un très bon thriller psychologique à l'intrigue passionnante et surprenante. Comme la plupart des polars et des thrillers nordiques, il s'agit avant tout d'un thriller d'ambiance. Le lecteur est plongé dans le quotidien des personnages, quotidien bouleversé par la découverte d'un corps dans un champ de lave.
Nous suivons dès lors une enquêtrice, ses proches et les personnes impliquées dans l'affaire en cours. Les points de vue s'alternent et le récit, lui-même, est entrecoupé par le journal intime d'une femme, retraçant son passé. Ces choix narratifs brouillent souvent nos certitudes et nos conjectures durant la lecture, mais ils nous tiennent en haleine jusqu'au bout. Entre mensonges, découvertes, relations complexes entre les personnages et faux-semblants, cette lecture est définitivement le moyen de se distraire et de s'échapper en Islande.

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Tout d’abord merci à #NetGalleyFrance et aux Éditions de La Martinière de m’avoir permis de lire ce livre.



J'aime beaucoup les polars Nordiques donc j'avais envie de découvrir celui-ci. L'intrigue est bien ficelée et tient le lecteur en haleine.

La découverte d'un cadavre mutilé dans un champ de lave va donner du fil à retordre pour Elma et son équipe. Peu de pistes, l'enquête piétine et un bond dans le passé va permettre de comprendre qui était cette femme.

L'auteur joue avec nous également en brouillant les pistes entre le journal et Marianne, mais je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler.

J'aime beaucoup l'alternance des chapitres qui mêlent l'enquête et la vie de la jeune maman qui a du mal a créer un lien avec son enfant.

Forcément, on spécule et on fini par se faire avoir sur certaines parties d'ombres ...

En-tout-cas un bon moment de lecture me concernant !

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"Les filles qui mentent" est un très bon thriller, se déroulant en Islande. Le corps d'une jeune femme a été retrouvé dans un champ de lave; Elma mène l'enquête.
J'ai adoré l'écriture et le suspense amené par l'auteure. Le récit est construit en parallèle: l'enquête et une sorte de journal intime. Cela permet au lecteur d'être emmené dans l'intrigue et d'être étonné par le dénouement.
Je recommande !

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J'ai beaucoup aimé ce roman même si pendant le premier quart, j'avoue avoir eu du mal avec les noms islandais pour différencier les personnages .. Un des plus de ce livre est pour moi le personnage d'Elma qui sort du cliché de l'enquêtrice femme forte et dure à cuire qui ne montre pas ses sentiments, je l'ai trouvé très attachante et c'est avec plaisir que l'on avance avec elle dans cette enquête. D'ailleurs, cette intrigue est entre coupé avec des retours dans le passé d'un des protagonistes, et j'ai trouvé que cela donnait beaucoup de rythme au roman. J'attendais avec impatience ces chapitres qui permettaient de continuer mes hypothèses ou au contraire de les réduire à néant. Je n'ose pas vous en dire trop sur ce roman mais sachez que la relation mère/fille est assez présente et notamment lorsque celle ci est défectueuse, on rentre dans les réflexions d'une mère qui n'arrive pas à s'attacher à son enfant et j'ai trouvé que c'était très bien décrit. Pour finir, bien que j'ai vu venir le twist final, cela ne m'a pas empêché d'apprécier jusqu'au bout ce roman. C'est une de mes excellentes lectures de mars et elle me donne envie de continuer à découvrir des polars islandais.

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Coup de froid avec ce polar islandais d’Eva Björg Ægisdóttir ! Je dois être un peu maso car je me jette toujours à corps perdu sur ce genre de lecture même si je mets plus de la moitié du roman à identifier qui est qui et enfin ne plus buter sur les noms des personnages !
Un corps bien attaqué par la décomposition est retrouvé dans un champ de lave. Très vite, il est identifié comme celui de Marianna, une jeune femme disparue depuis plusieurs mois. Elma et Saevar, chargés de l’enquête, éliminent très vite l’hypothèse du suicide et se concentrent sur ses proches qui semblent avoir bien des choses à cacher…
Des suspects dans tous les coins, des secrets bien gardés, des rebondissements opportuns… Cette enquête m’a tenue en haleine jusqu’à la dernière page !
Deuxième tome d’une duologie, cet opus peut tout à fait être lu indépendamment de son prédécesseur, Elma. Même si il donne fortement envie de le découvrir !

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Merci à NetGalley et aux éditions de La Martinière pour l'envoi de ce titre. Je ne connaissais pas encore cette autrice islandaise et j'ai particulièrement aimé ce roman. Les faux semblants. On imagine une personne et puis une autre pour les paragraphe concernant la petite fille et le twist final était plutôt inattendu. On voyage en Islande et ça aussi ça me plaît !
Je vais probablement lire bientôt son premier roman : Elma, avec le même personnage principal que celui-ci. Une jolie réussite pour moi. Je me suis attachée à Helda, Tinna et même à Marianna.

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J'avais déjà adoré et complètement accroché au premier tome "Elma" de l'autrice, mais ce second tome est encore mieux. Bien sûr vous pouvez tout à fait lire ce livre sans avoir lu le premier, mais il y a quelques allusions à l'histoire de l'enquêtrice Elma que l’on continue de suivre dans ce 2ème volet..
Dans ce livre c’est le corps d’une femme qui est retrouvée dans un champ de lave, alors qu’elle avait disparu 7 mois plus tôt et que tout le monde la croyait partie vivre une nouvelle vie. Elma va alors devoir enquêter sur la victime.
Dès le début, l’intrigue policière m'a beaucoup plu. Le suspens était bien présent tout le long du livre, et jusqu'à la fin on a envie de savoir à quel point les filles "mentent". Plusieurs thèmes sont également abordés comme la maternité non désirée, la complexité de l'amour d'une mère envers sa fille, la solitude, ou encore les non dits et leurs conséquences. L'histoire est découpée en deux temps, d'un côté l'enquête avec Elma dans le présent, et d'un autre le passé, et les pensées de cette femme qui n'arrive pas à créer un lien avec son enfant. Je me suis attachée à tous les personnages, et j'ai également apprécié continuer à découvrir Elma, mais aussi Saevar et Hördur. J'avais essayé de deviner le fin mot de l'histoire, mais je me suis faite avoir... L’énigme est en tout cas très bien construite et l’écriture toujours aussi agréable. Je me suis ennuyée à aucun moment. Ce livre est un coup de coeur pour moi!

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Le cadavre de Maríanna, portée disparue depuis plusieurs mois, est découvert dans un champ de lave au pied de Grábrók. Cette mère célibataire, à la vie pour le moins chaotique, s'est rendue un jour de printemps à un rendez-vous galant et depuis, n'a plus jamais donné signe de vie. A l'époque, la police a d'abord pensé à un départ volontaire ou peut-être même un suicide, au vu des informations à sa disposition. Mais aujourd'hui, la présence et l'état du corps au pied de ce volcan remettent en question ces hypothèses. C'est ainsi qu'Elma et son coéquipier Sævar se voient confier une enquête pour meurtre. Leurs investigations vont alors réveiller bien des souvenirs enfouis et mettre en lumière des secrets glaçants.

Cette histoire commence dans une maternité, tout juste après la naissance d'un enfant. Nous faisons face au désarroi d'une mère pour qui l'amour ne vient pas. On ressent le trouble, le dégoût pour le nourrisson, et on imagine bien l'importance de ce point et les difficultés qui vont suivre. Alors que la narration alterne moments passés et moments présents, on tente de reconstruire ce fil de vie, de créer un lien avec les personnages. Une empathie qui ne vient pas toujours. J'ai néanmoins ressenti de la compassion pour cette mère, qui apparaît un peu désorientée par ses propres contradictions. Mais la sensation de malaise qui s'installe à certains moments m'a parfois noué le ventre, et cela m'a déstabilisée autant qu'attisé ma curiosité. J'ai entrevu le mal, et à partir de cet instant je n'ai plus lâché ce livre. J'ai enchaîné les chapitres, jusqu'au moment tant attendu du dénouement.

Parallèlement, j'ai beaucoup apprécié découvrir les enquêteurs, Elma notamment, dont le passé semble assez douloureux. J'ai aimé la relation particulière qui la lie à Sævar, parfois ambiguë mais très naturelle. Un duo plutôt cohérent, loin des clichés répandus de ces flics forts (hommes comme femmes) au caractère bien trempé. Leur histoire personnelle amène un répit bienvenu dans cette enquête éprouvante. J'apprécie toujours qu'un auteur s'attarde sur ces protagonistes récurrents qui font l'âme d'une bonne série.

Dans ce roman, tout est minutieusement construit. Les pistes suivies, les informations distillées ou encore le jeu temporel conduisent à un suspense latent mais omniprésent. L'autrice réussit le tour de force de maintenir le lecteur en haleine, tout en offrant un rythme relativement posé. Mais ici, posé ne veut pas dire terne ou sans rebondissements, car en cela l'intrigue est suffisamment étoffée pour rendre la lecture addictive. Plusieurs fois, j'ai cru avoir échafaudé le bon scenario, la faute à tous ces romans qui n'arrivent plus à me surprendre. Et plusieurs fois j'ai dû reconnaître que l'autrice est assez fine pour bien cacher son jeu. Une toile admirablement tissée, aux entrelacements subtils, qui m'a piégée avec brio. Avec Les filles qui mentent, Eva Björg Ægisdóttir signe un roman aussi original que passionnant. Une chose est sûre, ce polar islandais vous réservera bien des surprises !

Caroline - Le murmure des âmes livres

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L’Islande est une île si inspirante pour les auteurs de polar qu’on est en droit de se demander si le crime n’y est pas en tête des activités lucratives après la pêche et le tourisme. Le crime inventé, au moins, celui sorti des imaginations fertiles des auteurs nordiques à succès.

Cette fois, un cadavre en état de décomposition avancé est découvert dans un champ de lave. Il s’agit donc de croiser les données concernant les personnes disparues et de tenter d’identifier la victime. Un boulot sur mesure pour Elma, et Sævar, les deux collègues chargés de l’enquête. Uniquement collègues ? Leur passé sentimental houleux a fait d’eux des êtres échaudés et peu enclins à se mettre en danger sur le plan des sentiments. Affaire à suivre…

Rien d’original de ce côté là.

Mais voilà, le roman s’ouvre sur les confidences d’une toute jeune mère, désemparée par la présence de la petite fille née de son corps. Le lien est d’emblée discordant. On pressent les difficultés à venir, qui se confirmeront lors de ces chapitres en alternance, retraçant l‘évolution du couple mère-enfant.

Bien entendu, en lecteurs de polar averti, vous vous doutez que l’histoire n’est pas là pour faire joli ! Et votre sagacité est mise à rude épreuve pour relier les deux versants de l’intrigue. Bien que roués à la mécanique des intrigues policières, attendez vous tout de même à des surprises ! En tout cas, personnellement je n’avais rien vu venir !


Lecture très appréciée, qui me fait proclamer que décidément, ils sont forts ces islandais !
Merci à Netgalley et aux éditions de la Martinière

416 pages La Martinière 15 avril 2022
#LesFillesquimentent #NetGalleyFrance

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Le corps de Marianna, mère célibataire est retrouvé quelques mois après sa disparition dans un champ de lave, laissant sa fille orpheline. Commence alors pour Elma et Saevar, les policiers, une enquêtes où les secrets sont révélés les uns après les autres....

Ce roman met en scène des personnages qui ont des failles mais surtout des secrets et un rapport aux autres très compliqué créant ainsi une atmosphère très particulière dans ce roman.
Les deux enquêteurs démêlent les fils du mystère et sont menés en bateau par des personnages décidés à ne rien révéler de leur histoire et qu'il faudra qu'ils tentent malgré tout de découvrir.
Le récit alterne deux narrations, celle liée à l'enquête et une autre qui délivre l'histoire d'un personnage dont l'identité n'est révélée qu'en dernière partie du roman, ce qui ajoute du mystère à l'intrigue.

Ce roman tient le lecteur en haleine du début jusqu'à la fin car les personnages tiennent leur rôle jusqu'au bout, leurs motivations sont peu à peu révélées et vous glace parfois, tant le cynisme de certains est sans limites....

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Ce thriller est incroyablement bien ficelé. La construction repose sur un, puis deux, puis trois puis une conspiration de mensonges élaborés par des femmes. Nous, lecteurs, pensons connaître la vérité. Et pourtant !
Avec talent et un style littéraire fluide, l'auteure dévoile peu à peu des pans entiers de la vie de la coupable, de la victime, de l’enquêtrice. Nous avons accès aux emplois du temps, aux pensées les plus intimes, aux secrets cachés, aux confidences et à tous les indices. Ce faisceau de données permet de comprendre le mobile et les circonstances du crime. Et pourtant !
Jusqu'à ce roman, je pensais que les mensonges nuisent toujours à ceux qui les émettent. Et pourtant !
Je recommande ce roman policier glaçant.

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Un polar nordique ? bien sur que l'on fonce, je ne me lasse pas de ces voyages, ici en Islande, le décor est bien posé.
Le corps de Marianna, mère célibataire est retrouvé dans un champ de lave 7 mois après sa disparition, c'est le début d'une longue suite de secrets qu'Elma devra dévoiler.
Je découvre Elma, je n'ai pas lu le précédent livre de l'autrice (même s'il a longtemps été dans ma PAL), ça ne m'a pas posé de problèmes particuliers de compréhension.
On apprends beaucoup d'Elma de son passé, et en même temps, je reste sur ma faim, beaucoup d'infos mais au final toujours un peu survolées.
On alterne tout au long du livre, passé/présent, qui ajoute toujours un peu plus de suspens, malgré tout j'ai trouvé que ça décollait vraiment à partir de la moitié du livre, les secrets deviennent plus difficiles à démêler, nos certitudes toujours mises un peu plus en doute.
Fans de thriller nordiques, il n'y a pas matière à hésiter, foncez !

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Le premier tome de cette nouvelle série islandaise, simplement intitulé Elma, du nom de l’héroïne, n’est pas essentiel à la lecture de ce second tome ( que je n’ai d’ailleurs pas lu).

Le corps d’une mère célibataire disparue sept mois plus tôt est retrouvé dans un champ de lave, près du village d’Akranes situé au nord de la capitale islandaise. Elma, une ancienne inspectrice de la brigade criminelle de Reykjavik, et son coéquipier Saevar sont chargés de l’enquête. Marianna, la victime, avait laissé un message d’excuse à sa fille Hekla avant de disparaitre. Tout laissait présager le suicide de cette femme en difficulté, l’affaire avait d’ailleurs été classée sans suite. La voilà qui réapparait assassinée, l’enquête est donc relancée mais difficile sept mois après de faire appel à la mémoire de potentiels témoins. A commencer par la jeune Hekla, une adolescente rebelle avec sa mère mais qui trouvait semble t-il l’équilibre auprès d’une famille d’accueil chez qui elle allait un week-end sur deux. Elle se sentait tellement bien chez eux qu’elle aurait assurément préféré y vivre quotidiennement. De là à la soupçonner d’avoir commis le pire?

Le but des enquêteurs pour remonter jusqu’au tueur sera donc de reconstituer la journée de la disparition de la victime en faisant appel aux témoignages et en interrogeant divers protagonistes. Les fausses pistes s’enchainent, les secrets et mensonges se dévoilent. Le roman alterne entre des chapitres consacrés à l’enquête et d’autres où nous découvrons le journal intime d’une femme, écrit sur plusieurs années, qui se confie sur l’étrangeté de son enfant.

A la fin de ma lecture, que j’ai trouvé passionnante, je ne peux m’empêcher de me questionner sur certains points qui m’ont semblé manquer de réalisme. Sans spoiler, l’un des personnages va, d’employée de bureau dans un cabinet juridique, devenir une célèbre présentatrice de journal télévisé! Peut-être est-ce possible en Islande, mais ça me parait un peu gros. Il me semble également peu crédible qu’une fillette quasiment autiste devienne une ado populaire et appréciée… Certains personnages sont transparents comme le mari de Margret, dont on attend une réaction, ou encore les parents de Marianna, qui tout comme ceux de Margret, réagissent bizarrement à ce qui leur arrive. Quelques éléments tirés par les cheveux me laissent donc un goût d’inachevé, toutefois la lecture était passionnante, fluide et rythmée, et cette enquête menée par un duo de policiers charismatiques, fort agréable à suivre.

Je remercie les Editions de La Martinière via #Netgalley pour cette lecture.

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Ce roman confirme ce que je pensais déjà : Eva Björg Ægisdóttir commence sérieusement à faire sa place dans le polar nordique. Les filles qui mentent, c’est une enquête passionnante qui sait tenir en haleine malgré la lenteur apparente typique des polars nordiques.

On retrouve Elma, qui a changé : elle a pris confiance et s’épanouit presque dans cette petite ville, elle qui vient de la capitale Reykjavík. Elle enquête sur la mort d’une femme qui a disparu quelques semaines plus tôt. Le cadavre est retrouvé dans une grotte d’un champ de lave, un endroit désolé et éloigné, et il est clair qu’elle a été placée là. Les enquêteurs sont donc en face d’un meurtre, mais commencent leur enquête de zéro, sans aucun indice. Ils vont donc dérouler lentement le fil de cette histoire complexe.

Le titre est très bien trouvé car nous sommes face à des jeunes filles, des jeunes femmes, dont la vérité et la vie sont à géométrie variable. C’est un roman puissamment féminin, ça fait presque du bien de voir les hommes relégués au second plan. En terme de structure, comme dans Elma, les chapitres alternent entre l’enquête et un récit à la première personne, l’histoire d’une jeune fille qui accouche d’une petite fille et qu’elle n’aime pas, de leur vie à deux, de leur étrange lien puisqu’il n’y a aucune tendresse, aucun amour entre elles. On se demande ce que ça fait là, qui raconte cette histoire, et surtout quel rapport avec l’enquête d’Elma !? Puis, à un moment donné, il y a un mot ou une phrase qui est prononcé par un personnage et qui chamboule nos convictions.

Je ne m’attendais pas à ce dénouement, à ce petit coup de théâtre. Mais j’ai adoré. Je me suis attachée à Elma, et j’aimerais énormément la retrouver prochainement.

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