Les Beaux Étés

Merci aux éditions Dargaud et à Netgalley de m'avoir permis de lire ce titre.

4.5 étoiles.

C'est toujours autant un plaisir de lire cette série et de retrouver ces personnages si attachants. Je ressors à chaque fois de ma lecture en ayant passé un très bon moment, en suivant les aventures rocambolesques de cette petite famille. J'ai beaucoup la thématique de ce tome, qui a été traité de façon très positive et bienveillante. Cette série me plaît toujours autant et je lirai la suite avec grand plaisir ! Une BD à lire absolument !

Je découvre avec ce sixième tome cette série de bande dessinée qu'est "Les Beaux Étés". À première vue, les tomes peuvent se lire indépendamment. Dans cet opus, retour une cinquantaine d'année en arrière, un été de 1970 quand une famille belge s'apprête à traverser la France pour aller passer ses vacances près de Marseille. Ils embarquent donc avec leurs trois enfants dans la 4L pour ce long périple qui leur réservera des surprises.
Une BD feel good agréable à lire avec de très beaux graphismes qui nous transportent dans un temps où tout allait moins vite qu'aujourd'hui, un voyage qui le temps d'une lecture nous fait oublier notre stress quotidien. Hâte de me procurer les premiers tomes. Merci Netgalley et Dargaud.

Plus d'un an en pensant que la série était terminée, pour découvrir par hasard ce nouveau tome : quel bonheur !

Retrouver cette famille c'est retrouver l'été, le soleil, la débrouille, l'amitié, l'amour et les vacances. D'abord un peu perturbée par la temporalité (j'avais oublié que les tomes n'allaient pas dans l'ordre chronologique), j'ai rapidement pris plaisir à retrouver la famille Fradévault. Nous sommes en 1970 et la mère est enceinte de la petite dernière quand ils décident de repartir pour la calanque marseillaise découverte dans le tome 2. Malheureusement, la voiture tombe en panne et les voilà hébergés dans une ferme tenue par deux femmes. Le début de nouvelles vacances inoubliables, faites de petits riens.

J'ai beaucoup aimé ce nouvel opus, plus grave dans le sujet traité. Jordi Lafèbre et Zidrou abordent ici l'homosexualité dans les années 70, alors même que c'était très mal accepté et surtout que c'était encore sous le coup du code pénal (la dépénalisation ayant eu lieu en 1982). Avec la douceur, la simplicité et l'humour qui les caractérisent, les membres de la famille font réfléchir le lecteur sur les moeurs d'avant.

Les personnages sont toujours aussi attachants, portée par l'innocence des enfants et leur joie de vivre. On a envie de passer l'été avec cette famille et d'y revenir l'année suivante. J'espère bien avoir encore la surprise de voir débarquer un nouvel opus car je ne me lasse pas de partir en vacances avec eux !

J'avais déjà lu les autres tomes donc j'étais impatiente de lire la suite. Comme d'habitude, c'est une très jolie BD pleine de bons sentiments. C'est génial de voir comment cette famille est devenu ce qu'elle est, belle morale sur l'acceptation de la différence aussi. Elle a tout pour plaire, j'adore.

C'est une adorable BD, un roman graphique poétique et tendre.
Il était une fois un papa barbu Pierre Falderault qui écrit des BD, une maman, Madeleine dite Mado, qui attend un bébé et 3 frères et soeurs (Julie, Nicole et Louis). C'est enfin le grand jour pour partir en vacances dans les calanques et pas de chance, la fidèle 4L finit dans le décor (heureusement sans gravité si ce n'est le pare-brise fichu et qu'avoir un pare-brise, c'est compliqué à récupérer) après le passage d'un camion chargé.
En attendant qu'elle soit réparée, la joyeuse troupe va être hébergée par deux soeurs jeunes, jolies et sympathiques Esther et Estelle qui était institutrice. Esther est divorcée et ne voit pas beaucoup sa grande fille de 18 ans. Les deux femmes vont faire découvrir le monde de la ferme "Les genêts" aux enfants pour leur plus grand bonheur : lait de chèvre, naissance de chevreaux, les pommes de terre en forme de coeur, le poulet si sympa qu'on mange le soir, Herbert le facteur amoureux. C'est une époque heureuse et les parents comme les enfants sont ouverts d'esprit : ce n'est pas le cas des gens du coin quand le secret des genêts est éventé malencontreusement.
Quel plaisir de retrouver des moments que j'ai connu : la ferme, les voitures sans ceinture de sécurité, certaines chansons. J'étais petite à l'époque, mais je me souviens de la beauté des jours et de la lumière que restitue ce roman graphique que Net Galley et les editions Dargaud m'ont permis de découvrir. Merci à eux et je pense que je vais suivre l'histoire de cette famille attachante afin de voir grandir les loupiots.

J’avais bien besoin d’une lecture feel-good cette semaine. Je l’ai trouvé avec ce tome 6 d’une série que je ne connaissais pas, honte à moi.
Chaque tome nous conte donc le départ en vacances de la famille Faldérault.
Eté 1970, Le père dessinateur n’a pas encore fini de faire sa BD, la mère est enceinte jusqu’aux yeux… Tout ce petit monde (+ 3 enfants) prend la route dans la 4L direction le sud… Une route qui s’arrêtera plus vite que prévu cette fois, la famille est obligée de loger aux Genêts chez Esther et Madeleine… Inutile d’en dire plus, tout ici n’est que sourire, tendresse… une lecture qui fait un bien fou ! Et la joie de retrouver le dessin de Jordi Lafebre (Malgré tout !), ses personnages sont beaux, leurs visages s’éclairent, leurs yeux pétillent et le lecteur se laisser aller….

Merci Netgalley et Dargaud pour cette parenthèse enchantée qui sort le 18 juin !