Au pays des eucalyptus

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Date de parution 4 févr. 2021 | Archivage 4 févr. 2021

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Résumé

Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps. Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives. Ne prône-t-elle pas, entre autres, l’émancipation de la femme ?


Aussi, quand Nola se voit proposer un poste à des milliers de kilomètres de chez elle, en Australie, décide-t-elle de tenter l’aventure. Pleine d’optimisme.


Mais, une fois arrivée sur l’île continent, elle déchante. Les habitants de cette partie reculée du bush attendaient un instituteur. Quelle n’est donc pas leur surprise de voir débarquer une femme... Nola parviendra-t-elle à s’imposer dans cette terre dure et inhospitalière ? Et à trouver le bonheur ?

Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps. Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives. Ne...


Ils recommandent !

Quand, en 1910, Nola Grayson, une jeune préceptrice en avance sur son temps, quitte l’Angleterre pour rejoindre les terres hostiles et inhospitalières d’Australie, elle sait qu’elle aura fort à faire pour trouver sa place. Parviendra-t-elle à trouver le bonheur par-delà les océans ?

Une saga digne des meilleurs romans de Tamara McKinley et Sarah Lark.

Quand, en 1910, Nola Grayson, une jeune préceptrice en avance sur son temps, quitte l’Angleterre pour rejoindre les terres hostiles et inhospitalières d’Australie, elle sait qu’elle aura fort à faire...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809840469
PRIX 22,00 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

J'ai a-do-ré ! Un véritable coup de cœur du début à la dernière ligne !
Nola Grayson donne le ton dès les premières pages : elle vient d'être renvoyée de son poste de préceptrice car elle a des idées trop avant-gardistes pour l'époque. Son agent décide alors de l'envoyer dans le désert australien s'occuper de trois enfants. Célibataire et aimant les défis, elle décide de tenter l'expérience.
Là, débutent les aventures de Nola. Ce personnage haut en couleurs, optimiste et qui va toujours de l'avant est rafraichissant, drôle et attachant.
N'ayant pas sa langue sans sa poche, Nola va bouleverser l'univers très fermé des gens du bush.
Elizabeth Haran est une auteure que je ne connaissais pas. Elle a un talent incroyable pour nous faire vivre les aventures des personnages, ou la chaleur accablante du bush. Elle nous fait comprendre l'urgence des situations quand les bêtes se meurent faute d'eau. Les tableaux sont magnifiques et désolants à la fois.
J'ai aimé aussi son regard sur les peuples aborigènes de la contrée.
Je ne me suis pas ennuyée une seule fois.
On sait très bien ce qui attend Nola, dès le début, mais Elizabeth Haran sait manier la plume pour faire durer le suspens et les rebondissements, subtilement amenés, nous tiennent en haleine.
Je vais m'empresser d'acheter le livre dès sa sortie pour l'offrir.
Merci Negalley et les éditions L'Archipel pour cette lecture.

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Au milieu des infos toujours plus sombres de cet hiver européen 2021 (coronavirus, froid, vaccin trop lent, couvre-feu, blablabla), les éditions L'Archipel sortent un roman d'Elizabeth Haran, qui fait du bien par où il passe. La "spécialité" de l'auteure, non, pas les andouillettes au vin blanc, non, pas la blanquette de veau, mais l'Australie. Oui, l'Australie, rêve de nombre d'entre nous, pays chaud (vous les voyez les 20 cm de neige dehors pendant que Madame Aigre-Douce rédige), à l' Histoire prenante, aux paysages sans doute magiques et à la sécheresse intense.
C'est surtout à cette sécheresse, et à l'étroitesse apparente des mentalités des habitants de l'outback australien, que va être confrontée Nola. Nola, c'est une jeune, grande, imposante institutrice anglaise. Elle est surtout un peu grande-gueule, comme on dirait aujourd'hui, émancipée, et pour l'affirmation des femmes. En 2021, ça passe crème. Mais Nola, et ce roman, sont en 1910. Et à cette époque-là, au sein de la bonne société anglaise, ça pique un peu. Nola se fait donc virer de plusieurs demeures où elle enseigne aux filles comme aux garçons, jusqu'à ce que, à bout de propositions d'emploi pour elle, son boss l'envoie en Australie. Il a en effet reçu une demande du domaine Reinhart, qui cherche un percepteur pour les trois enfants du régisseur. Toi, lecteur, tu sais qu'ils attendent en fait un homme sur ce domaine, pour prendre en charge l'éducation des enfants et se montrer apte à différentes tâches sur l'exploitation. Et tu sais aussi que c'est Nola qui y va. Mdr. Donc tu t'attends bien aux problèmes qu'elle va rencontrer...
Après un voyage chargé de péripéties, l'arrivée de Nola déclenche déjà une petite tempête dans la minuscule ville d'où elle prend le départ en diligence pour le domaine. Alors quand elle arrive sur son lieu de travail, c'est l'apocalypse. Le vieux propriétaire, malade, solitaire, pleurant encore sa femme après une dizaine d'années, en est tout retourné, le régisseur père des enfants dont Nola aura la charge fait gravement la gueule, un des employés se positionne direct pour de futures fiançailles... Ben oui quoi, des femmes, il n'y en a pas beaucoup dans le coin. Mais la charmante écriture et les belles descriptions d'Elizabeth Haran vont nous accompagner, nous, lecteurs (surtout lectrices sur ce coup-là sans doute) lors des efforts de Nola pour s'impliquer dans la vie du domaine, aller à la rencontre des tribus aborigènes qui l'entourent, débourer un cheval récalcitrant, apporter sa contribution pour sauver le cheptel et combattre la sécheresse, s'occuper des enfants, bref : gagner et tenir sa place. Les quelques répétitions et passages un peu plus poussifs s'effacent car le courage de Nola fait rêver et voyager. Madame Aigre-Douce s'est sentie fière pour elle, pour sa force et ce qu'elle accomplit. Et une petite bouffée de fierté, la peau brûlée par le soleil d'Australie, le nez plein du parfum des eucalyptus, quand tu es en legging dans ton canap', avec un après-midi tout gris pourri dehors, ça fait pas de mal !
Les autres romans d'Elizabeth Haran, Au pays du soleil rouge et Etoiles dans le ciel du Sud, se concentrent sur le même sujet : de jeunes femmes de la bonne société anglaise sont poussées par les circonstances à émigrer en Australie. Madame Aigre-Douce se laissera sans doute de nouveau tenter par un des deux autres, pour de petites vacances par exemple. Faites-en donc de même pour vous évader quelques heures...
Conclusion : Un petit peu de féminisme, un petit peu de nature writing, un petit peu de saga familiale, un petit peu de mystère, un petit peu d'aventure. Des petits peu qui font un tout agréable à lire et un beau roman d'évasion.

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Nola jeune institutrice féministe avant l'heure , ( nous sommes en 1910) se voit obliger de partie pour l ' Australie enseigner à de jeunes enfants en pleine brousse. C'est le choc culturel qui l'attend.
Toute l'ambiance australienne est là la chaleur, la sécheresse tout juste supportable, les grands espaces, un peu d'amitié, d'amour, tout pour réussir une belle saga familiale. Un bon roman à lire au coin du feu sans trop se poser de questions.

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Cette saga est une merveilleuse pépite à lire dans cet hiver froid et morose que nous vivons. Elle nous emmène en Australie sous une chaleur accablante et sur ses terres arides et reculées.

J’ai tout de suite été captivée par cette histoire, ses personnages et son atmosphère. Nous y découvrons de beaux personnages, surtout celui de Nola avec sa forte personnalité intrépide, audacieuse et surtout courageuse.

J’ai bien aimé le mélange des cultures, les échanges de savoirs et de croyances ainsi que la manière dont tout ce petit monde communique pour se faire comprendre.

N’ayez pas peur des 500 pages, les mots glissent tout seuls et s’enchainent les uns après les autres sans temps mort, ni longueur, une très magnifique plume qui sert admirablement cette histoire.

*****

Londres 1910, Nola Grayson donne bien du fil à retordre à Tilden Shelby un employé d’agence de placement, il ne sait plus quoi faire d’elle. Madame Grayson est une institutrice avec des idées féministes bien trop avant-gardistes pour les gens qui l’emploient. Pour elle, les femmes doivent apprendre à s’affirmer dès leur plus jeune âge et être armées pour affronter les difficultés de la vie.

C’est alors que Tilden reçoit une demande en provenance d’Australie pour un poste d’enseignant. C’est une place sur un élevage de bétail qui appartient à un certain Langford Reinhart.
Galen Hartford le régisseur de ce domaine écrit qu’il recherche un instituteur pour ses enfants âgés de 13, 10 et 4 ans. Il précise que l’endroit est isolé, la vie ne sera pas de tout repos, entre la chaleur, les longues périodes de sécheresse, les inondations etc.
La lettre ne laisse aucun doute sur le fait que le profil recherché est celui d’un homme intransigeant, pétri de principes et d’idéaux.
Voyant là un bon moyen de se débarrasser de Nola pour un bout de temps, Tilden n’hésite pas à passer outre les désidératas du demandeur et propose le poste à Nola. Elle est enthousiaste et voit là une belle opportunité de changer d’air.

A son arrivée sur le domaine, Nola va se présenter au Maître des lieux. C’est un homme d’un certain âge, seul et aigri, il ne supporte plus grand-chose et il passe ses journées à ruminer ses rancœurs. Il est furieux de constater que c’est une femme qui leur a été envoyée, cet homme qui a pour habitude d’imposer sa volonté n’a pas pour habitude qu’on le contredise. Nola devra partir par le prochain bateau dans quelques semaines. S’en suit sa première rencontre avec le père des trois enfants – Galen Hartford – il n’est pas plus cordiale avec et lui aussi souhaite son départ à très court terme.

Les hommes du domaine Reinhart ont acquis une certitude, celle que les femmes n’ont rien à faire dans le bush, la vie y est trop rude et trop solitaire, elles ne le supportent pas.
Mais Nola ne l’entend pas ainsi, le mépris et le rejet dont elle est injustement victime attise un sentiment de défit. Déterminée et obstinée de nature, elle est bien décidée à prouver à cette bande de machos misogynes qu’une femme peut survivre dans ces conditions difficiles, se complaire de cette vie solitaire et même apporter son aide pour faire fructifier le domaine.

#Aupaysdeseucalyptus
#NetGalleyFrance
#Challenge Multi-défis 2021
#Challenge Pavés 2021

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Dans les années 1910, nous retrouvons Nola, une jeune femme anglaise dans la belle ville de Londres.

Nola est institutrice pour des familles pour la plupart aristocrates. Cela ne se passe pas pour le mieux ! Les valeurs de Nola ne sont pas en adéquation avec ses employeurs et une grande partie de la société londonienne.

En effet, malgré son interêt inépuisable pour les enfants, Nola prône également l’émancipation de la femme à la recherche d’une égalité entre les hommes et les femmes. Elle le met bien évidemment en pratique avec ses petits protégés, ce qui n’est pas au goûts des parents.
Elle se fait donc renvoyer successivement de familles en familles.

Une opportunité la conduira en Australie, une famille d’un coin retiré du pays, dans l’outback est à la recherche d’un instituteur.

Le voyage sera long et éprouvant mais Nola compte bien pouvoir trouver sa place dans ce nouvel environnement totalement reculé.

Son accueil sera pour le moins glacial, en effet, ses employeurs s’attendaient à un homme…les femmes n’étant pas les bienvenus.

Nola fera alors preuve d’une grande détermination pour faire sa place et démontrer ses grandes qualités.

Le récit est centré sur elle et ses nombreuses péripéties.
Sa survie en milieu hostile ne sera pas de tout repos mais elle saura garder en tête sa volonté à défendre ses valeurs.

C’était une belle histoire très dépaysante. J’ai aimé la plume de l’auteure et la construction de l’histoire mais j’ai tout de même été un peu déçue par l’enchainement successifs d’évènements subies par Nola. J’ai trouvé ça un peu redondant.

Cela reste une belle découverte et je remercie Netgalley et les éditions Archipel de m’en avoir fait profiter.

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Je suis très heureuse d'avoir pu lire une belle romance mais surtout d'avoir mieux découvert les bushmen.
Nola Grayson, dotée d'un fort caractère, vient de se faire renvoyer de son porte de préceptrice pour la troisième fois.
Tilden Shelby, le responsable de l'agence de placement, ne sait plus quoi faire, alors il lui propose un poste totalement nouveau mais... en Australie.
Après un voyage long et semé d'embuches, Nola arrive dans l'outback au domaine Reinhart.
L'accueil n'est pas celui auquel elle s'attendait : la maison parait à l'abandon et la rencontre avec Langford Reinhart, le maitre du domaine, est explosive : il attendait un homme et ne veut pas de femme sur son domaine.
Elle arrive quand même à lui faire accepter qu'elle reste jusqu'au prochain bateau, dans plusieurs semaines, en partance pour l'Angleterre.
Mais Nola n'a pas gagné pour autant, elle doit encore faire la connaissance de Galen Hartford, le régisseur du domaine et le père des trois enfants à qui elle doit enseigner : là non plus l'accueil n'est pas chaleureux.
Nora arrivera t-elle à se faire une place ?
Les paysages, la faune et la flore sont très bien décrits.
Les us et coutumes des aborigènes sont très documentés et intéressants.
Bon moment de lecture.

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Je vais bientôt être incollable sur l'Australie des 19e / début 20e siècles, grâce à L'Archipel !!
Lectures très plaisantes, voyages, exils et découvertes, et des personnages de femmes fortes qui s'adaptent au déracinement.

Nola est institutrice mais l'agence désespère de lui trouver une place stable, car son indépendance, son franc-parler et ses idées d'avant-garde ne sont pas vraiment appréciées. Peut-être qu'en l'envoyant en Australie, on serait tranquille pour un bout de temps ? Sur un malentendu, ça pourrait fonctionner.
Car on attendait UN instituteur.
Ce n'est pas juste de la surprise, elle arrive dans une ferme très isolée où, pour des raisons familiales et personnelles, il est totalement exclu de supporter une femme.
Mais Nola n'est pas du genre à se laisser faire.
Parce qu'elle ne se voit pas refaire si tôt le trajet de retour ;
parce que rien ni personne ne l'attend en Angleterre ;
parce qu'elle se refuse à admettre qu'elle ne peut pas obtenir ce poste juste parce qu'elle est une femme.
Et aussi (surtout) parce qu'elle a senti très rapidement que les enfants pour lesquels ont l'a embauchée ont réellement besoin d'elle.
Elle va donc essayer de tenir malgré l'accueil !
Ça ne va pas être monotone !

Je dois dire que j'ai dévoré ce roman avec plaisir, mais que ce ne sera cependant pas un aussi gros coup de coeur que les précédents du même style (Ceux d'Anne Jacobs, ou de Sarah Lark)
La faute à Nola !!
Qu'elle soit ferme et décidée, obstinée et courageuse va certes l'aider dans sa nouvelle vie.
Mais elle agit de façon si inconsidérée, sous prétexte de prouver qu'elle est capable de vivre là, que ça en est agaçant.
Est-ce que, quand on arrive dans un endroit totalement étranger, dont on ignore tout, on se met à préparer le repas, sans savoir (et sans demander) si ce qu'on utilise est prévu pour les semaines à venir, alors qu'on est loin de tout, que tout manque, eau, bois nourriture. Est-ce que même si on est bonne cavalière, on selle et monte un cheval au hasard, sans se renseigner ni même demander l'autorisation. Est-ce qu'on raconte le peu qu'on a lu dans les livres et surtout peut-on conseiller le premier jour dans cet endroit des gens qui y vivent depuis des lustres ?
Agaçant, mais invraisemblable aussi.
Qui pourrait croire qu'à peine arrivée dans un pays dont elle n'avait jamais entendu parler avant, elle réussit ce que les habitants n'ont jamais pu faire, malgré leur énergie du désespoir. Qu'il suffit d'enlever ses bouteilles d'alcool à quelqu'un qui boit depuis des décennies pour qu'il soit efficace et retrouve toutes ses capacités dès le lendemain ?
J'ai été étonnée aussi que personne ne s'offusque qu'elle rebaptise les Aborigènes. J'ai lu ailleurs combien il était choquant que les jeunes Irlandaises perdent leurs prénoms si elles veulent être aidées par les dames riches. Est-ce moins gênant pour des Aborigènes ? (Dont en plus le prénom a en général une signification)

Malgré ces quelques points, je me suis régalée à cette lecture, et plus j'avançais plus j'avais du mal à la lâcher.
Contrairement aux autres romans australiens que j'ai lu, celui-ci se passe dans l'extrême nord du pays, et l'on découvre donc la chaleur et la sécheresse d'une région aux conditions de vie vraiment difficiles.
J'ai trouvé très intéressant aussi que les Aborigènes fassent tout à fait partie de l'histoire, qu'on les découvre mieux, y compris dans leurs aspects les moins agréables.

Au final donc, un roman à découvrir, et j'espère avoir l'occasion d'en lire d'autre de cette autrice.

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Voici une belle fiction historique qui a su me faire voyager.
Nous sommes en 1910. Nola Grayson, une jeune institutrice féministe quitte Londres pour tenter sa chance en Australie où un poste d'enseignant l'attend. Quel choc pour les habitants du domaine de la voir arriver, eux qui s'attendaient à accueillir un homme.
Dans une ambiance australienne où la chaleur et la sécheresse est omniprésente, j'ai beaucoup apprécié suivre les aventures de Nola. Une femme déterminée à réussir et à se faire une place dans ce lieu où les personnes de sexe féminin ne semble pas être les bienvenues.

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Une fois de plus, grâce à Mylène des Editions de l'Archipel et à #NetGalleyFrance, j’ai eu la chance de découvrir en avant-première ce roman Elizabeth Haran qui est sorti ce jeudi. Vous le savez, j’aime les romans historiques où l’héroïne est une femme forte pleine de personnalité et où le voyage et la découverte sont au rendez-vous.
J’ai été comblée.
C’est la première fois que j’ai l’occasion de découvrir l’univers d’Elizabeth Haran. Cette autrice australienne a écrit plus de quinze livres mais pour le moment, seulement 3 sont traduits en français. En furetant sur Babelio.com, je me suis rendu compte que son premier livre sorti en francophonie « Le pays du soleil rouge » était depuis un sacré bout de temps dans ma PAL. Il va falloir le sortir des rayons de ma bibliothèque.
Comme vous l’aurez facilement deviné, le pays des eucalyptus est l’Australie. Pays qui en 1910 était colonisé par les Anglais depuis la première colonie pénitentiaire en 1788. Ce qui n’est pas énorme quand on réfléchit à l’histoire de l’humanité C’est pourtant là, au fin fond du bush, que débarque Nola, une jeune institutrice effrontée aux méthodes pédagogiques peu conventionnelles.
A Londres, plus personne ne veut d’elle. Elle a donc pris ses manuels scolaires et sa garde-robe de londonienne pour tenter sa chance aux antipodes. Malgré une personnalité bien affirmée, Nola peine à trouver sa place dans ce pays poussiéreux où la pluie est absente depuis 4 longues années. Pas simple de se retrouver loin de chez soi chez un employeur qui ne veut pas d’une femme sur son domaine, pas aisé pour une européenne de partir à la rencontre des aborigènes et leur culture si différente, pas évident de s'adapter à un environnement peu propice à la détente.
Voici en quelques lignes de quoi titiller votre curiosité. J’espère sincèrement que vous vous procurerez ce roman. Un voyage en Australie pour un peu plus de 20€, ça ne se refuse pas. Une écriture efficace et une approche originale de la vie en Australie à une époque moins souvent exploitée dans ce type de récit.
Action garantie, bons sentiments mais aussi de moins bons et différentes aventures et péripéties de la demoiselle qui n’a clairement pas froid aux yeux. Vous y trouverez aussi beaucoup de calme (y’a pas grand monde dans le bush), des projets à revendre et surtout une adorable petite fille avec plein d’affection à partager. Je suis certaine que ce roman va vous combler.

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Londres, années 1910. Nola Grayson est une jeune institutrice avec des idées un peu trop moderne pour la société londonienne. Après plusieurs renvois, elle se voit proposer un poste en Australie. Elle décide de tenter l’aventure.
Elle arrive dans une partie reculée du bush où son nouvel employeur pense accueillir un instituteur et non une institutrice, c’est donc une déconvenue pour son patron Langford Reinhart. Pour lui, le bush n’est pas fait pour une femme en raison des conditions de vie plutôt difficiles.


Dès les premières pages, j’ai su que j’allais passer un bon moment avec cette fiction historique.

Les descriptions sont belles et nombreuses, si bien que le lecteur est embarqué dans le quotidien plutôt rude du bush australien. On va y retrouver une grande exploitation de bétail, (un peu à l’abandon ), des promenades à cheval, la sécheresse, le manque d’eau pour la vie quotidienne, la rencontre avec des aborigènes.

Nola Grayson est un personnage féminin fort. Elle force l’admiration. Elle met à profit ses connaissances pour faire évoluer la situation de l’exploitation. Elle n’a pas une minute à elle, c’est à peine si elle a le temps de jouer son rôle d’institutrice. Elle en fait même un peu trop pour moi. Chaque jour, il se passe quelque chose et Nola va à chaque fois sauver la situation. C’est sûr qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer, mais ça rend l’histoire peu crédible, et un peu longue.

Malgré ce côté un peu too much pour moi, j’ai bien aimé cette immersion en Australie.

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Difficile de voyager à l'étranger en ce moment au vu du contexte sanitaire. Quoi de mieux alors que de le faire grâce à le lecture...
Embarquement immediat pour l'outback australien avec Nola grâce Au pays des eucalyptus.
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La jeune institutrice, après s'être fait renvoyée par plusieurs familles londoniennes, se voit proposé un poste en Australie. Quoi de mieux pour un nouveau départ...
Oui mais voilà il y a un hic, ses nouveaux employeurs désiraient un homme car, pensaient-ils, une femme ne peut résister aux conditions difficiles de la vie dans l'outback australien. C'était sans connaître le tempérament de feu de Nola Grayson et sa détermination!!!
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On fait rapidement connaissance des nouveaux employeurs de la jeune femme (Langford et Galen) ainsi que des enfants qu'elle doit instruire. Heureusement la petite dernière est très accueillante et ravie d'avoir enfin une femme dans son entourage. Cela va donner l'envie à Nola de se battre sans relâche pour rester dans la ferme car Langford et Galen ne font rien pour l'accueillir et l'encourager à rester. (D'ailleurs Langford va lui dire dès le début qu'il souhaite qu'elle retourne à Londres).
Finalement le vieil homme (aussi invraisemblable que cela puisse paraître aux premiers abords) m'aura été attachant.
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Les personnages et les descriptions des paysages ainsi que de la vie dans l'outback sont les points fort de ce roman. J'avoue que même si la partie romance était prévisible, elle ne m'a pas gênée. Elle n'empiète pas sur la majorité du récit et ajoute une touche de douceur fort agréable.
Bref, amis voyageurs livresque, je ne saurais que vous conseiller de vous plonger dans ce roman.
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Un roman découvert par hasard sur le site Netgalley.fr.
Merci aux éditions de L'Archipel et à Netgalley pour ce partenariat.

Dès les premières pages, j'ai été séduite par le personnage principal : Nola Grayson.

Celle-ci est à nouveau renvoyée de sa place de préceptrice car ses idées avant-gardistes n'entrent pas dans le moule de la bonne société anglaise de 1910. Son agent de placement (avec soulagement) lui offre l'opportunité de devenir préceptrice dans une exploitation dans le bush australien (et ainsi ne plus l'encombrer).

C'est ainsi que débutent les aventures de Nola.

J'ai aimé ce personnage optimiste, curieux, avant-gardiste, qui va donner du fil à retordre aux hommes du bush par ses idées novatrices et ses réflexions.

Même si on se doute rapidement de la finalité de l'histoire, l'auteure a su nous y amener aux travers de rebondissements, nous tenir en haleine.
Je ne me suis pas ennuyée une seconde.

Un beau voyage dans le bush australien, à la découverte de ses paysages, de son climat aride, de son milieu rural et d'agriculteurs, du peuple aborigène et ses croyances.

Des personnages attachants et complexes, une découverte des paysages australiens et de la vie des agriculteurs qui se frottent aux sécheresses qui déciment les cultures et les troupeaux.

Voyager sans quitter son canapé est un vrai luxe ! Quel plaisir de lecture !

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Avis : ENVOÛTANT

J’ai aimé Nola, femme aventurière mais pas téméraire, femme flamme mais pas aguicheuse, mère de substitution mais pas voleuse d’amour, femme courage et femme têtue.
J’ai aimé les grands espaces à peine civilisés, et tous les petits détails que l’auteure nous donne pour mieux nous faire connaître ce beau pays qu’est l’Australie.

C’est avec un quiproquo que l’histoire commence. Au fin fonds des terres arides de l’outback australien, Nola Grayson vient prendre une place de précepteur — eh oui, c’est un homme qui est attendu ! Vous comprendrez que rien ne va se passer comme prévu, pour elle comme pour son patron, père de trois enfants dont une charmante petite fille qui va retrouver la joie de mettre une robe grâce à Nola. La propriété a été belle, les hommes ont été charmants mais les femmes sont parties et tout est allé à vau-l’eau… Que va faire Nola ? Fuir ou se servir de sa nature indomptable pour civiliser les aborigènes, la population de la ville voisine et peut-être même faire tomber la pluie après avoir résisté au willy-willy.

Si vous aimez la magnifique couverture, les ocres et les rouges vous tiendront en admiration avec ce texte puissant nous invitant à aimer les terres sauvages, les caractères bien trempés, les habitants en prise avec la sauvagerie des vies de colons. Il y a de l’amplitude dans l’écriture, du romanesque dans le récit et de l’aventure à chaque page. Et de l’amour passion ! Vous voici assuré de passer quelques heures sous un soleil brûlant.

Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions de l’Archipel pour le SP de #aupaysdeseucalyptus

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Gros coup de ❤ pour ce roman historique.
J adore quand l auteur arrive a nous transporter à une époque différente et dans un pays lointain. J' ai littéralement lâcher prise avec ce roman.
J ai fais un voyage extraordinaire en 1910 en Australie... Nola cette institutrice au fort tempérament m'a embarqué dans chacune de ses "bévues" ... Et je suis tombée sous le charme de Galen et ses enfants.
Bref, j ai vécu une expérience bouleversante et fantastique... N'hésitez plus, je vous invite à le lire !

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Je remercie chaleureusement Mylène des éditions L'Archipel pour l'envoi, via net galley, du roman : Au pays des eucalyptus d'Elizabeth Haran.
A défaut de pouvoir aller découvrir l'Australie, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans ce roman.
Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps qui prône notamment l'émancipation de la femme.
Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives.
Aussi, quand Nola se voit proposer un poste à des milliers de kilomètres de chez elle, en Australie, décide-t-elle de tenter l’aventure. Pleine d’optimisme.
Mais, une fois arrivée à destination, elle déchante. Les habitants de cette partie reculée du bush attendaient un instituteur.
Quelle n’est donc pas leur surprise de voir débarquer une femme…
Nola parviendra-t-elle à s’imposer dans cette terre dure et inhospitalière ? Et à trouver le bonheur ?
Au pays des eucalyptus est un très bon roman, qui m'a captivé de la première à la dernière page en partie grâce à Nora, une jeune femme haute en couleur. Quel tempérament ! Elle est excellente cette femme qui en 1910 a des idées dignes des filles d'aujourd'hui. J'ai adoré sa personnalité, son moral à toute épreuve. Quand elle accepte de venir en Australie, elle ignore tout des conditions de vie dans ce pays, sauvage et en proie à de forts épisodes de sécheresse. Elle arrive avec une malle bien remplie, tout un tas de livres.. Et elle se heurte immédiatement à l'animosité de son employeur car.. elle est une femme ! Ils attendaient un instituteur homme, la déception est immense et Nola va essayer de faire ses preuves.
J'ai adoré le personnage de Nola mais aussi ceux qui vont graviter autour d'elle. Je n'ai pas envie de trop en dire, je trouve que comme souvent c'est un roman qui se découvre, mais qui ne se raconte pas en grandes phrases. Je n'ai pas envie de spoiler.
Les enfants sont vraiment sympathiques, surtout le plus jeune. Et Nola aurait tant à leur apprendre si on la laissait faire..
Au pays des eucalyptus est un roman qui m'a littéralement charmé de la première à la dernière page. J'ai adoré l'histoire, les personnages. La vie dans le bush australien n'est pas évidente, ce n'est pas un endroit pour une femme mais Nola va essayer de prouver à tous qu'elle y a sa place.
Je ne vous dirais pas si elle a réussi à rester là-bas, je vous invite à le lire à votre tour pour le découvrir ;)
Vous l'aurez compris, j'ai apprécié ma lecture et c'est avec plaisir que je lui donne cinq étoiles.

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Un formidable récit sur le statut de la femme.
Nola est une femme très courageuse au tempérament affirmé.
Elle a déjà le cran de partir pour un continent inconnu, à l'autre bout du monde, seule, sur des terres hostiles. Étant une femme, elle n'est pas accueilli chaleureusement. On ne veut pas d'elle et on lui fait savoir. Mais son caractère fait qu'elle s'obstine. Je m'arrête la pour vous laisser envie de le découvrir.
C'est un merveilleux roman. Il m'a un peu fait penser aux livres de #barbarawood qui écrit beaucoup sur les femmes dans le genre de Nola.
C'est une belle fresque, une très belle lecture que je conseille vivement.

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Au pays des Eucalyptus de Elizabeth Harlan ! Un livre très agréable à lire pour les mordus de Tamara Mc Kinley, d’Australie et de l’Outback. C’est l’histoire de Nola qui débarque justement dans le bush australien après plusieurs déboires professionnels à Londres.
Malheureusement c’est un homme qui était attendu. Nola va devoir faire preuve d’originalité pour prouver qu’elle a bien sa place ici.
On s’attache très vite à tous les personnages. J’ai également été admirative parce que la durete de la vie la bas est assez élevée.

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Nola est préceptrice à Londres.
Nola est aussi une femme qui est en avance sur son époque. Elle est ainsi mal perçue par la bonne société londonienne. Son employeur alors va lui proposer un poste en Australie, loin des villes.
A l'arrivée, elle est très mal reçue: l'employeur attendait un homme...

Nola va devoir se battre pour surmonter ce refus de sa condition et de sa personne par des hommes qui ont une vie très dure entre la sècheresse et les attaques inattendues... Elle va aussi rencontrer les savoir faire et les croyances des aborigènes...

C'est un très beau roman, le lecteur voyage au fil des pages avec Nola qui est tellement plus que le rôle de femme que la société veut lui assigner.
Nola va s'épanouir au long du roman et cette évolution va se répercuter sur les autres personnages même si ce sera très difficile et parfois violent..

J'ai beaucoup aimé ce roman où la bienveillance reste présente. Au fond de chaque coeur rendu rugueux par la vie, il y a du bon.

Merci netgalley et les editions de l'archipel pour cette très belle lecture.

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En 1910 la société londonienne n'accepte pas l'émancipation de la femme. L'héroïne Nola ne peut continuer à être préceptrice. Elle quitte l'Angleterre pour l'Australie mais elle ne sait pas que ce qui l'attend sera difficile.
Nola est en avance sur son temps, que ce soit en Australie ou en Angleterre son caractère et ses idées vont se démarqués.
C'est un roman qui se lit agréablement.

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Immersion dépaysante dans l'Australie du début du 20 ème siècle.
Nola, une "jeune fille" battante, attachante et drôle est contrainte de quitter son pays et va partir exercer son métier d'institutrice dans les contrées australes et hostiles.
Un pays de contrastes et de rudesses où l'homme règne en maître...où la femme doit se battre pour se faire une place.
Même si sans surprise "Au pays des eucalyptus" est un roman addictif qui m'a beaucoup plus avec des personnages très attachants et touchants par leur courage, leur opiniâtreté et leur capacité à se remettre en question et changer...
Si vous connaissez et appréciez les romans de Tamara McKinley ou Anna Jacobs, si vous avez des envies d'évasion sans quitter votre canapé... lisez le !

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Ce roman fut vraiment une belle aventure dans le bush australien. La plume d'Elizabeth Haran est belle. Elle vous emporte avec elle dans ce voyage.J’ai beaucoup aimé le personnage de Nola. Quelle femme moderne et battante ! Rien ne l’arrête. Elle n’a pas peur de cette vie dure au milieu du bush où les femmes ont peu de place. Elle n’a pas peur d’affirmer ses idées modernes et féministes loin de la bonne société.


L’histoire se déroule au début du 20e siècle. J’ai beaucoup apprécié ce côté historique qui m’a permis de découvrir la vie à cette époque-là dans des contrées reculées. On en apprend également plus sur la vie et la culture des Aborigènes. Lire, découvrir et apprendre, que demander de plus ? Et bien, le plus, ce sont les échanges tout le long de ma lecture avec une de mes amies lectrices.

Merci les éditions de l'Archipel pour ce beau voyage !

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Très bon récit d’aventures qui se compose à la fois d’une belle histoire, de nombreux personnages bien décrits, de paysages arides et somptueux et d’une héroïne des plus étonnante. Peu orthodoxe, cette institutrice Anglaise du nom de Nola découvrira les mœurs d’un pays différent à la manière d’une pionnière. Les aventures de cette femme nous permettent de découvrir au jour le jour sa nouvelle vie au cœur de l’outback. L’Angleterre qui l’a vue naître n’était peut être finalement pas faite pour elle ! C’est avec beaucoup de plaisir et de curiosité que j’ai dévoré ce livre. Ce livre rencontrera sans nul doute son lectorat féminin.

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Je ne peux absolument pas cacher mon énorme coup de cœur pour ce roman, intelligemment mené et ses personnages si hauts en couleur que ne pas les aimer est impossible.

L’histoire de Nola est juste incroyable, tout comme les êtres qu’elle va être amenée à rencontrer au cours de son périple. Dans ce roman, on en apprend également plus sur les aborigènes et on participe à l’errance dans le bush où l’on entrevoit la magnificence des paysages ...

Je suis totalement conquise par la force de Nola, par le côté abimé de ces personnages qui parviendront à mettre leurs fêlures de côté pour réapprendre à aimer tous ensemble.

Et la petite Shannon ... mon dieu je craque totalement ! Une suite racontant ses propres aventures serait juste top !

Le style de l’auteur est vraiment extrêmement fluide, on sent qu’elle s’est documentée et surtout rien n’est laissé au hasard.

En résumé ? Si vous aimez ce genre de romans, FONCEZ tête baissée !!!

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Magique, un coup de coeur !
Waouh, Light and smell m’avait dit que ce livre était bien. Grâce à elle, je me suis lancée tête baissée dans cette lecture. C’est ce que j’appelle une lecture riche en émotions, j’ai adoré, j’ai bien ri…. J’ai été vraiment à fond derrière tous les personnages. J’ai réussi à avoir un lien émotionnel avec eux. C’est assez rare, mais cela explique que je l’ai dévoré en 3 jours. Je n’en ai fait qu’une seule bouchée !
Une institutrice au grand cœur !
Nola Grayson est une institutrice peu conventionnelle. Elle prône l’égalité des femmes et des hommes, elle élève les petites filles de ses clients dans cette optique. Et cela passe très mal dans l’aristocratie londonienne. Après un énième renvoi, ses opportunités de trouver du travail à Londres se font rares voire inexistantes. Alors quand on lui propose un poste d’institutrice en Australie, elle n’y réfléchit pas à deux fois. C’est une nouvelle aventure qui s’offre à elle.
Seulement, voilà, tout ne se passe pas comme prévu. Le voyage n’est pas de tout repos. Les habitants du bush australien ne croient pas une seconde qu’elle résistera à la solitude, l’isolement, la chaleur et les conditions d’hygiène parfois difficiles. Ce n’est pas un monde pour une femme. Nola est bien décidée à leur prouver qu’ils ont tort. Elle ne lâche rien, encore moins quand elle reçoit une fin de non-recevoir par son employeur. Celui-ci cherchait un instituteur et non une institutrice. Nola réussira-t-elle à s’intégrer dans cet environnement hostile ? Y trouvera-t-elle sa place ?
Une belle farandole de personnages !

Langford Reinhart : l’employeur de Nola, un vieux grincheux, bourru, renfermé sur lui-même depuis la disparition de sa femme. Son exploitation de bétail est au bord de la ruine. Et il ne fait rien pour éviter le désastre.
Galen : Nola doit s’occuper de ses enfants. Comme Langford, il ne croit pas qu’elle va rester. Il est froid et distant mais c’est aussi un père aimant.
Heat, fils de Galen : l’aîné de la fratrie est peut-être celui qui reste distant. Il a grandi vite. C’est peut-être le moins développé par l’auteur mais ça ne m’a pas gênée.
Keegan : c’est le cadet de la fratrie. Il est mature, s’occupe des vaches et de sa petite sœur. Nola aura du pain sur la planche avec lui.
Shannon : Nola est choquée, cette petite fille est habillée comme un garçon car c’est plus facile pour son père de l’élever comme tel. C’est vrai qu’elle prône l’égalité mais pas de cette façon. Les femmes peuvent être les égales des hommes tout en assumant leur féminité.
Trouver sa place au milieu de ces fortes têtes ne sera pas de tout repos. Heureusement, qu’elle s’adapte facilement. Elle a bien l’intention de faire entendre sa voix même si ce ne sera pas facile de s’imposer.
Le mystère plane !
Langford comme Galen sont tous les deux veufs, aucun des deux ne s’étend sur le sujet et pourtant Nola découvre certaines choses qui lui font penser qu’elle pourrait être en danger.
Une plume facile !
L’auteure écrit cette histoire d’un point de vue externe. Elle est douée pour décrire les paysages mais aussi transmettre des émotions (et pourtant le point de vue choisi n’est pas le plus évident pour ça). Ses personnages sont tous ultra intéressants.
Elle a aussi développé toute une partie autour des tribus indigènes du bush : culture, façon de vivre et leur relation avec les autres habitants. Cette partie-là a été traitée avec bienveillance. Elle m’a captivée, elle donnait un côté exotique au livre.

En résumé : C’est une histoire écrite avec bienveillance, émotion et mystère. J’ai eu un sacré coup de cœur. Je me note l’auteure.

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Installée à Londres, Nola est une jeune perceptrice qui détonne. Peu conventionnelle pour son époque, elle prône l’émancipation des femmes. Ce qui ne plait pas à tout le monde et lui complique la tâche pour trouver du travail. Quand on lui propose de partir à l’autre bout du monde, en Australie, elle accepte. Une fois arrivée chez son nouvel employeur elle va vite déchanter. Elle reçoit un accueil glacial. En effet, ils s’attendaient à voir arriver un homme et non une jeune femme. Mais Nola ne baisse pas les bras. Très tenace, elle fera tout pour se faire une place dans ce nouveau pays.

J’ai beaucoup apprécié le personnage de Nola qui n’a peur de rien. Cette jeune femme est admirable et déploie beaucoup d’énergie pour faire changer les mentalités.

Cette lecture est dépaysante et le voyage dans le bush australien est fort appréciable.

Un petit bémol toutefois, quelques passages un peu longs.

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Nola Grayson est une femme trop moderne pour l'Angleterre du début du XXème siècle. Ses méthodes d'enseignement ne sont pas vraiment appréciées. Elle accepte donc un poste en Australie, dans une zone où la vie est difficile. Elle va devoir apprendre à y vivre, en donnant beaucoup de soi, elle va apprendre autant qu'enseigner, dans ce monde d'hommes.
Alors, d'un point de vue objectif, c'est totalement cliché et sans surprise : une femme très indépendante se retrouve en milieu hostile à s'occuper des enfants d'un homme veuf. Mais c'est très agréable à lire. On voyage dans le bush australien, on s'attache aux personnages, on aime les suivre, les découvrir, comprendre leur passé. On a même une petite enquête en supplément, en attendant la pluie.
C'est une belle saga qui se lit facilement, simplement. Le style est léger et abordable. Ce fut une bonne lecture.
Merci aux éditions d l'Archipel et à NetGalley pour ce bon moment de lecture.

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Un roman très bien écrit et documenté sur les conditions de vie de l'époque, une lecture historique agréable entre Angleterre et Australie.
J'ai beaucoup aimé la personnalité entreprenante et indépendante de cette jeune institutrice hors des clous, beaucoup moins le fait qu'il lui arrive toujours quelque chose et qu'elle surmonte toutes les épreuves sans de vraies difficultés. Toutefois, on s'attache aux personnages qui l'entourent même si l'ensemble de l'histoire se déroule sans grand suspens.

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