Journal d'un homme sans importance

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Date de parution 18 févr. 2021 | Archivage 23 juil. 2021

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Résumé

« Le livre le plus drôle du monde. »

Evelyn Waugh

Charles Pooter, respectable employé de banque à la City, décide d’entamer la rédaction d’un journal. Il va y consigner aussi scrupuleusement que naïvement ses aventures et mésaventures quotidiennes, avec sa très chère épouse Carrie, son indigne fils Lupin, qui se compromet avec une fiancée peu respectable, ses voisins encombrants et ses fournisseurs peu respectueux. Et quand Mr Pooter sort de sa confortable maison de banlieue, il regarde le Londres d'il y a cent ans, ses comédies, ses spectacles, ses inventions, comme une sorte de jungle un peu effrayante peuplée de grands animaux auxquels il faut surtout éviter de montrer qu'on a peur.

Paru en feuilleton dans la revue satirique Punch entre 1888 et 1889, cette chronique de la vie de banlieue londonienne à la fin de l’ère victorienne est un chef-d’œuvre d’humour anglais, qui a depuis longtemps acquis outre-Manche le statut de livre culte.

Traduit de l'anglais et préfacé par Gérard Joulié.

« Le livre le plus drôle du monde. »

Evelyn Waugh

Charles Pooter, respectable employé de banque à la City, décide d’entamer la rédaction d’un journal. Il va y consigner aussi scrupuleusement que...


Formats disponibles

FORMAT Poche
ISBN 9782264077233
PRIX 7,50 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Ce roman écrit à quatre mains nous fait penser à une comédie burlesque (les auteurs sont deux frères acteur et compositeur de music-hall)
Charles Pooter, modeste employé de bureau à la City à Londres, et sa femme Carrie, viennent d'emménager dans leur nouvelle maison "les lauriers". C'est à cette occasion que Charles, petit bourgeois, décide de tenir un journal car il pense sa vie extraordinaire.
Page après page, pendant un an, il consigne ses plaisirs de côtoyer "le grand monde" et ses déboires avec les fournisseurs qui ne lui donne pas des produits de la meilleures qualité.
La bonne, Sarah, qui n'en fait qu'à sa tête.
Ses amis Cummings et Gowing, assez intrusifs.
Les soucis avec son fils Lupin qui ne comprend pas l'importance de s'élever professionnellement et préfère fréquenter des acteurs.
Tous les bons plans dont il croit bénéficier et qui s'avèrent souvent des arnaques...
Roman satyriques qui dépeint la petite bourgeoisie du XIXè siècle à Londres.
Le personnage de Charles est désopilant.
Un très bon moment de lecture.

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Lire le Journal d’un homme sans importance, c’est se retrouver dans la réalité de la fin du dix-neuvième siècle aux abords de Londres. George et Weedon Grossmith, les auteurs, ont pris un malin plaisir à caricaturer un Monsieur tout le monde et son entourage pour faire ressortir leur superficialité et leur manque de consistance en commun. C’est croustillant et le lecteur se délecte de l’ironie mordante de ce faux conte victorien. En effet, monsieur Pooter, humble employé sans envergure de la City racontant son existence sans surprises dans un journal, tient à se convaincre de sa superbe alors qu’il n’est qu’un homme modeste n’ayant pas les codes et se retrouvant dans des situations embarrassantes faute de logique et de bon sens. Publié à l’origine sous forme de feuilleton dans une revue, on ne peut que comprendre que des lecteurs attendaient ces tranches de vie dérisoire comme du pain béni pour les détendre de leur quotidien. Entre le couple Pooter magnifiquement dysfonctionnel voulant jouer les gentlemen farmers, leur fils Lupin fantasque aux fréquentations « douteuses », Cummings et Gowing ( les deux amis pique-assiettes de Pooter portés sur le cigare et l’alcool n’ayant pas la langue dans leurs poches), la galerie de personnages s’étoffe d’archétypes victoriens ( le patron faussement paternaliste, les cherche le sou sans vergogne où encore cette femme faisant du spiritisme). Grâce à Charles Pooter, les auteurs tirent à boulets rouges sur le début de la société de consommation, se moquent des gens dont les airs importants cachent une certaine vacuité et insistent déjà qu’à cette époque, le monde moderne n’est qu’une vaste farce. Quoi de plus réjouissant! Bien que ne dépassant pas les 230 pages, je conseille de ne pas lire ce livre d’une traite pour bien s’imprégner des personnages, des situations et finalement de voir que sous ce vernis en apparence respectable se cache une satyre féroce de la société. Ce manque de politiquement correct et cette liberté de ton font plaisir à voir pour l’époque et font de ce Journal d’un homme sans importance quasiment un documentaire sur la société anglaise où il fait bon s’attarder. Merci à l’éditeur d’avoir sorti des oubliettes ce feuilleton et de nous l’avoir fait partager dans sa riche substance près d’un siècle et demi plus tard.

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Journal d'un homme sans importance... ou celui de Charles Pooter, british gentleman, qui nous raconte son quotidien avec ses péripéties dans l'Angleterre victorienne. Entouré de sa femme Carrie et de ses amis Gowing et Cummings, il voit son rejeton Lupin revenir à la maison et tente tant bien que mal d'en faire un fils digne de son éducation, ce qui n'est pas une mince affaire... Entre son quotidien professionnel, morne mais satisfaisant, l'amie de sa femme qui essaie toujours de mettre Carrie à la page de la nouveauté, et les frasques de Lupin, notre Pooter livre ses joies comme ses maladresses avec humilité et sincérité, le tout accompagné d'une note comique.
Sorte de Pee Wee marié à l'anglaise, Charles Pooter incarne à merveille le caractère "british", touchant et conciliant, loyal et politiquement correct, à l'inverse de son fils qui prône en toutes circonstances la modernité et la nécessaire adaptation, dans l'esprit de triomphe du plus rusé. Un indubitable fossé se creuse entre les générations et l'empathie de la lectrice que je suis se tourne naturellement vers l'ancien et la tradition. Véritable miroir de la société du XIXe siècle, ce livre n'a pourtant pas pris une seule ride dans son actualité et son ton acerbe : la lecture de ce style mordant et de ses thématiques encore contemporaines se révèle tout sauf sans importance !
Merci aux éditions 10/18 pour cette belle tranche de vie singulière mais si universelle, ainsi qu'à NetGalley pour leur confiance !

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J'avoue avoir eu du mal à détecté les trait d'humour voulu par les auteurs de ce roman. Charles Pooter, qui tient son journal à travers les lignes que l'on est amené à découvrir ici est un personnage bien trop sérieux et surtout qui se prend vraiment au sérieux pour laisser poindre l'humour sous sa plume. Le roman reste cependant agréable à lire, nous offrant une chronique familiale des plus réjouissante.
A travers leur intrigue, les frères Grossmith font le portrait de la petite bourgeoisie anglaise, mais nous montre surtout que le bonheur se cache dans le fait d'apprécier ce que l'on possède, tout en critiquant, à travers le personnage du fil, la fuite en avant d'une société toujours plus moderne et qui en veut toujours plus.
Parce que s'il semble un peu trop rigides, jusqu'à en devenir ridicules, les Pooter sont satisfaits de ce qu'ils ont, de leur place dans la société. Même si leur entourage va troubler sans cesse leur tranquillité.
Au final, Journal d'un homme sans importance est un livre agréable qui permet de passer un bon moment.

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"Journal d'un homme sans importance" est un roman satirico-comique anglais écrit par George Grossmith et illustré par son frère Weedon. C'est l'unique projet littéraire auquel les deux frères collaboreront. Ils poursuivront chacun une carrière lyrique et théâtrale: George comme créateur des principaux rôles des opéras créés par Gilbert et Sullivan, duo musical de l'époque victorienne auteur de nombreux opéras-comiques, mais également comme pianiste accompagnateur de sketches et compositeur de chansons comiques; Weedon comme portraitiste puis comme acteur et imprésario.
Dans ce roman, monsieur Charles Potter, modeste employé à la City, raconte son quotidien sous forme de journal: il y rapporte les menus événements de la vie quotidienne de sa maisonnée composée de sa femme Caroline, dite Carrie, de leur bonne Sarah et de leur fils Lupin. S'ajoutent au fur et à mesure du récit les habitués de la maison: Cummings, qui habite la maison d'en face, et Gowing.
Le journal s'ouvre sur l'arrivée des Potter dans leur nouvelle maison. Charles, homme naïf, crédule, qui s'estime drôle et spirituel, décide de tenir son journal. Bien que fictionnel, le fait que le roman soit écrit à la première personne et au présent, sous forme de journal intime, confère au récit un caractère d'authenticité métaphorique et critique des moeurs et des coutumes de la petite classe moyenne britannique de la fin du 19e siècle. L'humour du roman vient du ton satirique mais également de la naïveté, du snobisme ignoré et de l'importance que Charles Potter se donne. Le lecteur pénètre dans un univers étriqué où le maître de maison se préoccupe du décrottoir de sa nouvelle maison, des convenances auxquelles sa famille se doit de se conformer, s'insurge des manquements de ses amis à son égard, mis à mal par les humiliations sociales qu'il subit. Esprit étroit, il ne peut comprendre que ses déconvenues lui viennent de ses propres impairs, convaincu qu'il est de se comporter comme un parfait gentleman.
L'action tourne autour de fils unique de la maison, jeune homme âgé de vingt ans et donc encore mineur, qui représente tout ce que son père réprouve: instable, volage, casse-cou, sans scrupules, se moquant des principes de vie inculqués par son père à l'égard duquel il est souvent caustique. La suite montrera pourtant que son égoïsme dissimule un certain sens des affaires. Il est tout ce que son père n'est pas et inversement: car Charles est un employé modèle d'une banque privé dont il respecte la hiérarchie et le fonctionnement sans jamais rien remettre en question.

Le journal, censé couvrir une période de dix(=-huit mois, commence le mardi 3 avril d'une année non précisée mais facilement identifiable comme étant 1888. Il évoque en filigrane les ambitions de reconnaissance sociale de cette classe de la société londonienne caractérisée par ses habitudes routinières. Néanmoins, les générations ultérieures, dont le moeurs ont évolué, y voient un modèle de vie certes dépassé, mais perçu comme confortable et apaisant qu'elles s'empresseront d'imiter. Publié en feuilleton en 1888-1889 dans le journal satirique bien connu "Punch", il paraîtra ensuite en volume dès 1892, agrémenté des illustrations réalisées par Weedon. Bien que l'accueil du public de l'époque soit réservé, la critique soulignera son originalité et en fera le fleuron du genre comique. "Journal d'un homme sans importance" inspirera nombre de romanciers et sera constamment réédité.

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Journal d'un homme sans importance ⭐️⭐️⭐️⭐️
George et Weedon Grossmith




Un roman qui appartient à une autre époque, classique de la littérature anglaise de la fin du dix-neuvième siècle, et qui reste plaisant à lire, pour sa bonne dose d’humour, très British.


Le personnage central de l’histoire s’est lancé dans la rédaction d’un journal, ce qui nous permet d’assister aux péripéties d’un quotidien sans panache, celui que vit jour après jour cet employé modeste qui vit dans son pavillon de banlieue. Sa naïveté et ses erreurs de jugement, l’exposent à un certain nombre de déconvenues, mais son fair-play, et sa capacité à digérer les camouflets lui permettent de s’en sortir avec la tête haute.

Le comique des situations, le comique de répétition (ah! ce décrottoir assassin !) , et le regard de candide de notre homme rendent la lecture très agréable.

C’est tout à fait dans la lignée de trois hommes dans un bateau de Jerome K. Jerome, où la maladresse de l’équipage de marins d’eau douce donnait à leur croisière un ton hilarant.

Merci à Netgalley et aux éditions 10/18

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Le meilleur de l'humour anglais, le pire de l'édition numérique !
Problème pour noter ce livre : 4 étoiles pour le texte, une seule étoile pour la version numérique.

J'ai beaucoup aimé lire ce livre, paru il y a plus d'un siècle et qui nous replonge délicieusement dans l'ambiance de la fin du 19e siècle à Londres.
J'ai détesté lire ce livre, car non seulement il y a comme souvent en numérique des mots scindés en 2, des numéros de page au milieu d'un texte, mais ici, on a certains paragraphes mélangés, des bouts de phrases dont le début se trouve trois pages plus loin, ou avant, etc. Apparemment, le texte initial est sur deux colonnes et par moments (pas tout le temps heureusement) il a été scanné horizontalement au lieu de prendre la colonne de gauche puis celle de droite. Une horreur pour suivre le texte !

Donc, je vous conseille de le lire, mais pas en numérique.

Pour en revenir au texte, c'est très amusant à mon goût. J'y ai retrouvé l'humour de Trois homme dans un bateau, de Jérôme K. Jérôme, que nous lisions enfants et que je m'amuse à relire de temps en temps.

Charles Pooter, modeste employé de la City, vient de s'installer avec sa femme dans une nouvelle maison en banlieue londonienne, et décide d'y tenir un journal, envisageant même par moment de le faire éditer.
Etonnamment, avec le récit d'une vie somme toute assez terne, et sans grands évènements, il arrive à nous faire sourire tout le long, et je ne me suis pas ennuyée une minute à cette lecture.

Honnête et scrupuleux, attaché aux traditions et rejetant le modernisme, il est souvent d'une naïveté attendrissante.
Très modeste, mais cependant tout à fait persuadé que sa ligne de vie est la meilleure, la seule possible même. Que la modernité ne peut rien apporter de bon.
Le contraste avec son fils, qui préfère frayer avec les artistes que mettre du coeur au travail, met de l'animation dans cette vie un brin morne.
Un fils dont il désapprouve totalement la conduite, mais qu'il voudrait diriger, et surtout conseiller comme si c'était encore un petit garçon.
Et nous suivons au final une délicieuse chronique de cette fin de siècle, étonnamment lointaine et pleine de surprises pour nous, alors pourtant que mes grands-parents étaient déjà nés (mais certes pas dans la City londonienne !!) Que de bouleversements depuis.

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Paru sous forme de feuilleton dans un journal satirique en 1888-1889, ce roman "comique” est publié en volume en 1892 et illustré par George Grossmith.

Un employé de banque, Charles Pooter, décide d’écrire son journal pour y noter, entre autres, toutes les blagues et jeux de mots dont il est à l’origine ! Il est honnête, pudique, respectueux de la hiérarchie, toujours en recherche de dignité mais susceptible et insuffisamment au fait des mœurs bourgeoises pour commettre des impairs qui le ridiculisent, à son insu !

Le bonhomme fait sourire, rire parfois et sa façon de rapporter ce qui lui semble important dans sa vie est assez amusante, j’ai trouvé cette lecture sympathique mais pas totalement humoristique. On est loin de l’humour et de la dérision de Jerome K. Jerome, dont l’oeuvre est postérieure.

Les entrées du journal sont courtes et font penser à des saynètes. Tous les intervenants sont très bien décrits avec un accent sur leurs défauts et ils sont souvent tournés en ridicule.

J’imagine que la réputation, méritée, d’humoriste de George Grossmith et de ses capacités à écrire des opéras-comiques, des chansons, des sketches a participé au renom et à la popularité de ce “Journal” qui est une analyse et une forme de critique de la classe moyenne londonienne.

Une lecture agréable mais que j’ai dû faire en deux fois pour cause de fichier ebook rempli d’erreurs ! Pour le coup j’ai perdu un peu du plaisir de la primo découverte.

Journaldunhommesansimportance #NetGalleyFrance

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Quel rafraichissement que ce livre ! Mr Pooter, commis de banque dans les années 1850 à Londres, nous livre ici son journal intime. Comme il le précise de lui même, il est un homme sans importance, mais comme il a vu des biographies de gens guère plus intéressants, pourquoi sa vie ne pourrait-elle intéressée personne ?
Mr Pooter compte dans sa vie sa femme Carrie, ses amis Gowing et Cummings, très différents l'un de l'autre et son fils Lupin...Tous permettent d'apporter un peu de piquant dans la vie de ce gentleman un peu rigide. Les situations cocasses s'enchaînent et permettent au lecteur de mieux comprendre cette société évoluait à l'époque.
Je ne saurais trop comment décrire l'histoire. Si on devait décrire une trame de fond, ce serait peut-être celle du père qui voit son fils s'éloigner des valeurs qu'il a tenté de lui inculquer...En tout cas, on plonge délicieusement dans ces chroniques...

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En demandant ce livre à l’éditeur, je ne m’attendais pas à tomber sur un classique de la littérature, et pour tout vous dire j’ai pris peur… Pourtant je n’aurais pas dû. En effet, ce livre, malgré le fait qu’il n’est pas récent, est pourtant rempli d’un humour qui fonctionne encore aujourd’hui.

Charles Pooter, respectable employé de banque à la City, décide d’entamer la rédaction d’un journal. Il va y consigner aussi scrupuleusement que naïvement ses aventures et mésaventures quotidiennes, avec sa très chère épouse Carrie, son indigne fils Lupin, qui se compromet avec une fiancée peu respectable, ses voisins encombrants et ses fournisseurs peu respectueux. Et quand Mr Pooter sort de sa confortable maison de banlieue, il regarde le Londres d’il y a cent ans, ses comédies, ses spectacles, ses inventions, comme une sorte de jungle un peu effrayante peuplée de grands animaux auxquels il faut surtout éviter de montrer qu’on a peur.

Un superbe livre. A lire !

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Ce roman considéré comme un classique de l'humour british de la fin du 19ème siècle m'a fait passer un très bon moment de lecture. Charles Pooter, respectable employé de banque à la City, décide d’entamer la rédaction d’un journal. De jour en jour, il va nous raconter ses (mes)aventures du quotidien au travail et dans sa maison. Son fils, Lupin qui ne respecte pas les bienséances, ses voisins, ses fournisseurs, ses collègues vont et viennent dans sa vie. Ils se moquent, le vexent et font de son quotidien d'un homme sans importance une succession de moments cocasses. Le comique de situation ou encore de répétition engendre des moments et des incompréhensions drôlatiques. Livre culte outre-manche et on comprend pourquoi !

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un livre très agréable a lire et qui n'est pas sans me rappeler Jeeves le majordome en moins. Mais le quotidien du candide Mr Pooter m'a fait sourire et a alléger mon confinement par son ton. Quelques fois nous aimerions tout de même le secoué un peu mais son grand calme lui permet d'avoir de la chance en définitive. Un livre sans violence ni amertume qui change.

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