On fait parfois des vagues

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Date de parution 21 août 2020 | Archivage 8 mars 2022
Le Collectif Anne Carrière, Editions Anne Carrière

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Résumé

Quelques jours après son dixième anniversaire, Nicolas Apasagi apprend que son père n’est pas son père. Que faire de cette confidence ? Le jeune Nicolas ne sait pas. Il continue sa vie comme si de rien n’était. Mais cette révélation va finir par le rattraper et, à trente ans, il décide de partir à la recherche de son « bon génie » biologique, malgré les obstacles administratifs qu’il s’attend à rencontrer.

Dans ce roman, où l’on retrouve les thèmes qui lui sont chers – l’enfance, l’identité, la transmission –, Arnaud Dudek trouve le ton juste pour raconter, avec délicatesse, une quête des origines à la fois intime et universelle.

Quelques jours après son dixième anniversaire, Nicolas Apasagi apprend que son père n’est pas son père. Que faire de cette confidence ? Le jeune Nicolas ne sait pas. Il continue sa vie comme si de...


Note de l'éditeur

Découvrez en avant-première le nouveau roman d'Arnaud Dudek.
Rentrée littéraire 2020.

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Rentrée littéraire 2020.


Ils recommandent !

« Un beau texte qui m’a énormément touchée  » Fabienne  Librairie Gibier Pithiviers

« Un roman qui bouleverse et enchante  »
Sandrine  FNAC Grenoble

« Septième roman pour ce magicien,
et pour moi seconde apnée terminée en larmes. »
Virginie  Librairie une page à écrire Janville

« Un roman plein de finesse et de subtilité.  »
Corinne  FNAC Lyon Bellecour

« Un texte beau, apaisant et passionnant  »
collectif A mots découverts

« Il y a ce chapitre, à la fin, qu’il faudrait
recopier en entier. J’aime cette écriture. J’aime ces histoires de filiation. D’identité. »
Madeline Roth, L’eau vive Avignon

« De belles pages ici sur l'enfance, l'identité et la transmission.
Et quelques fulgurances de la langue... »
Hélène Deschère, Librairie RécréAlivres, Le Mans

« Un beau texte qui m’a énormément touchée  » Fabienne  Librairie Gibier Pithiviers

« Un roman qui bouleverse et enchante  »
Sandrine  FNAC Grenoble

« Septième roman pour ce magicien,
et pour moi...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782380821185
PRIX 17,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Le jour de son dixième anniversaire , Nicolas Apasagi , apprend une nouvelle qui va bouleverser sa vie , son père n'est pas son père biologique .
La vie suit son cours avec des moments plus difficiles dans la relation père fils , car Pascal Apasagi , n'est pas quelqu'un qui parle beaucoup , c'est dans sa nature , il exprime difficilement ses sentiments.
Entre lui et Nicolas , les relations sont assez distantes , tous les deux ne font pas d'effort pour qu'il en soit autrement .
Devenu adulte , Nicolas A va avoir envie de découvrir son père biologique et là grand bouleversement , il se rend compte , et c'est une évidence , que son père est bien Pascal A , celui qui l'a élevé depuis qu'il est tout petit .
Un roman qui va droit au cœur , un style épuré qui m'a beaucoup plu .
Un regard très juste sur la paternité , j'ai terminé ce roman il y a quelques jours , et l'émotion est fort présente au moment où j'écris cette critique .
Un auteur que j'ai adoré découvrir et que je vais suivre desormais .
Peut être qui sait une rencontre dans la belle bibliothèque que je fréquente .

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Nicolas vit tranquillement avec ses parents jusqu'à ses 10 ans où il apprend qu'il est né grâce à un don de sperme. Enfant, il voyait en son père un modèle mais peu à peu le secret dévoilé devient chez l’adolescent un argument pour lui faire perdre de son aura… Depuis longtemps, leur relation est faite de silences, de retenue et de non-dits, ce n’est pas simple de connaître les sentiments de l’autre. Arrivé à l’âge adulte, après avoir vécu quelques aléas, Nicolas éprouve un besoin vital de braver les obstacles pour chercher puis rencontrer son père biologique. Qui trouvera-t-il finalement en le cherchant ? Cette quête d’identité le mènera-t-elle vers un père plus affectueux ou bien lui permettra-t-elle de mieux comprendre celui qui l’a construit ?

Dès le début du roman, j’ai ressenti une sorte d’urgence de tout savoir de cette relation père fils. Le style d’A. Dudeck est sans conteste à l’origine de cette impression. Quelle qualité d’écriture ! L’enchaînement de courts chapitres, la syntaxe des phrases vive et efficace maintient une tension tout au long du roman. Le style laconique de l’auteur nous fait vivre de l’intérieur cette relation père-fils si peu explicite. C’est ce que j’ai le plus apprécié et en même temps regretté car j’aurais aimé en savoir davantage sur les pensées du narrateur.au cours de cette quête. Le titre de ce roman est une belle image du vécu de cette famille. Au final, c’est une lecture qui m’a fait découvrir le style d’A. Dudeck en me donnant envie de le lire à nouveau.
Merci à Netgalley et aux éditions A. Carrière pour cette découverte.

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Arnaud Dudek signe ici un roman sur le thème de la quête identitaire et de la filiation. le narrateur, Nicolas, apprend à ses dix ans de la bouche de ses parents qu'ils ont eu recours à un don de gamètes pour le concevoir. Cette révélation le bouleverse. Dix-huit ans plus tard, il ressent le besoin de connaître son père biologique, quête ardue puisque le don de gamètes est anonyme...
Si j'avais dû ne noter que les dix dernières pages du toman, j'aurais attribué une étoile de plus. J'ai d'emblée été attirée par le titre du roman, prometteur, qui a piqué ma curiosité. le style de l'auteur, que je ne connaissais pas, m'a beaucoup plu. Toutefois, je suis restée sur ma faim avec des chapitres qui m'ont semblé trop courts (même si c'est sûrement un choix), et la psychologie du narrateur que j'aurais aimé découvrir plus en profondeur.
Le chapitre vers le fin du livre intitulé "On fait parfois des vagues" m'a cependant particulièrement plu : j'aime cette syntaxe épurée, sobre et efficace qui décrit tout un parcours de vie.
Ce roman n'est pas un coup de coeur mais se lit vite et m'a, en tout cas, donné l'envie de découvrir les autres récits d'Arnaud Dudek.
Je remercie Netgalley et les éditions Anne Carrière pour cette découverte.
#NetgalleyFrance
#Onfaitparfoisdesvagues

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Mise en bouche :
A l'âge de 10 ans, Nicolas découvre que son père n'est pas son géniteur. Que faire alors de cette information ? Continuer à grandir... mais comment ? Quelle relation avoir avec ce père présent à ses côtés ?

On suit la vie de Nicolas, ses expériences, ses réflexions, ses rencontres et la relation avec ses parents, sa mère surtout. Comment construire une relation avec son père maintenant qu'il sait ?

Billet d'humeur :
Je découvre la plume d'Arnaud Dudek et elle me plait beaucoup ! Les mots sont bien choisis, les phrases sont concises et justes. Le roman ressemble à un petit traité philosophique d'une vie ordinaire.

Les courts chapitres se lisent comme des tranches de vie. Certains passages sont poétiques, d'autres plus cinématographiques. Le chapitre intitulé "On fait parfois des vagues" est une merveille. Je comprends qu'il soit le titre de ce roman.
Merci pour cette découverte !

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Pour faire des vagues, il faut partir sur le sommet du spot et atteindre des vérités pour admirer. Être renversé pour dompter les flots.
Ce livre tout en délicatesse finesse et émotions t envoie des vagues douces. Une histoire de père et de construction. Filiation adoption... L amour de la famille.
Mais l identité se construit dans un tout. Poser des mots chercher le géniteur.
Quête essentielle pour comprendre ce moi en recherche.
La reconnaissance du père.
Dire je viens de là.
Chaptitres courts pour une émotion palpable.
Intense.
Un très beau roman pour devenir... Homme entier. Identité pleine.

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Nicolas apprend à 10 ans par ses parents eux-mêmes que son père n'est pas son père biologique mais qu'il a été conçu grâce à un don de gamètes. Cette nouvelle bouleverse toute son existence. Quelques années plus tard, le narrateur, devenu jeune adulte, veut mettre un visage sur ce père et se met donc en quête de son géniteur. C'est un beau sujet qui est abordé, celui de la filiation, dans un style percutant. Néanmoins, certaines périodes de la vie du narrateur sont peu développées alors qu'on les sent décisives dans le cheminement du narrateur.
Merci à Netgalley de m'avoir fait découvrir ce roman.

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« Longtemps, dans ma chambre avec vue sur la forêt domaniale, Bambi est mon colocataire ; j’ignore que ce faon qui sautille sur le papier peint est le héros d’une histoire triste. On me préserve vaillamment du mauvais bruit des mauvais jours. Ma vie ressemble à une brise légère qui traverse les hautes herbes ».
Mais à dix ans, le narrateur apprend de ses parents que son père n’est pas son géniteur : les ondes de choc de cette révélation, abrupte, sans paroles ni gestes d’accompagnement, ne vont cesser de se répercuter sur le reste de son existence.

« En grandissant, je prends l’habitude de vivre à côté de mon père sans en ressentir pleinement la présence, comme si ses contours avaient été floutés pour qu’il se fonde dans le décor, comme s’il était devenu presque invisible – une sorte de décalcomanie, à la Magritte, une silhouette à travers laquelle on voit tout mais qui n’est rien. »
Et puis, un jour, bien plus tard, la décision est prise de partir en quête du père biologique, cette énigmatique boîte à fantasmes …

Des chapitres courts rythment ce petit livre esquissant d’une plume légère et expressive des scènes capturées sur le vif au fil des années du présent ou du passé, avec un bref retour en arrière sur celui du père et de la mère.
Récit d’une histoire personnelle, qui est aussi celle de la naissance d’un écrivain, « On fait parfois des vagues » trouve un écho particulier chez son lecteur en interrogeant avec beaucoup de sensibilité les liens qui nous unissent à nos parents, ces êtres parfois aussi mystérieux que nous le sommes pour eux.

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