Les Enfants perdus de St Margaret

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Date de parution 11 mars 2020 | Archivage 4 mai 2020

Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #LesEnfantsperdusdeStMargaret #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils


Résumé

Des lettres bouleversantes. 
Une jeune femme enfermée. 
Un mystère à résoudre. 

1956. Ivy Jenkins s’apprête à donner naissance à son premier enfant. Mais la société puritaine britannique des années 1950 ne lui permettra pas de profiter de ce bonheur. Abandonnée par son amant, répudiée par sa famille, elle est internée de force à St. Margaret, un couvent pour mères célibataires.  Très rapidement, l’institution la sépare de son bébé. 2017. Samantha Harper, une jeune journaliste, tombe sur  des lettres déchirantes qui révèlent les terribles conditions  de détention d’Ivy Jenkins à St. Margaret. Au fil de ses recherches, elle découvre une série de morts suspectes. Alors que le couvent est sur le point d’être démoli, il ne lui reste plus que quelques heures pour faire éclater la vérité. Avant qu’elle ne soit ensevelie à jamais...

Un premier roman suffocant, inspiré de faits réels, qui mêle avec brio mystère et suspense. Aussi émouvant que dérangeant, Les Enfants perdus de St. Margaret s’est déjà vendu à plus  de 350 000 exemplaires dans le monde.

« On vous garantit des montagnes russes émotionnelles. » My Weekly
« Quelle lecture enchanteresse, déchirante, magnifique-ment écrite et intense ! Ce livre m’a apporté tout ce que j’ai toujours recherché dans un roman, et plus encore. » The Writing Garnet 

Des lettres bouleversantes. 
Une jeune femme enfermée. 
Un mystère à résoudre. 

1956. Ivy Jenkins s’apprête à donner naissance à son premier enfant. Mais la société puritaine britannique des années...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782253089995
PRIX 13,99 € (EUR)
PAGES 448

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

tout d abord merci à Netgalley et aux éditions Préludes de m avoir permis de lire ce roman en avant première
c est le résumé qui m a fait solliciter ce livre et je ne suis pas déçue
pour un premier roman j ai été agréablement surprise
malgré une histoire atroce l écriture reste vive et donne envie de tourner les pages
néanmoins beaucoup de personnages donc il faut bien garder le fil pour ne pas s égarer dans le récit
ce livre vous touchera au plus profond de vous même car personne ne peut rester insensible face à de telles atrocités perpétres par des religieuses!
belle lecture à tous
#LesEnfantsperdusdeStMargaret #NetGalleyFrance

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J'ai beaucoup aimé cette lecture qui fonctionne comme un page-turner. Le livre balance entre l'histoire d'Ivy, une jeune femme enceinte et célibataire qui doit accoucher dans un couvent car elle est rejetée de sa famille, et l'histoire de Sam, une journaliste passionnée qui va enquêter sur des meurtres inexpliqués qui ont un lien avec ce couvent où sévissaient d'affreuses bonnes soeurs.
On a des va-et--vient entre le présent et le passé, des va-et-vient entre les narrateurs. Du coup, il faut être un lecteur perspicace et attentif pour ne pas se perdre dans cet enchevêtrement d'événements car l'auteure ne nous laisse aucun répit. Un critique littéraire parlait de "montagnes russes émotionnelles" et je suis tout à fait d'accord.
Je n'ai pas été gênée par le côté "fantastique" car il est, au final, très peu présent et parce qu'il se justifie très bien. On peut tout à fait comprendre que les personnages puissent être hantés par leur passé étant donné la gravité des faits.
J'ai été très choquée d'apprendre que l'arrêt de ces pratiques est relativement récent. On a du mal à imaginer que ce livre est inspiré de faits réels. L'auteure s'est d'ailleurs fort bien documentée et cela fait froid dans le dos quand on pense au commerce, aux profits qui étaient faits sur le dos de pauvres femmes et enfants.
Merci à Netgalley et aux éditions Préludes pour cette lecture.
L'engrenage infernal dans lequel tombaient ces femmes

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Ce roman est inspiré de faits réels car malheureusement les actes évoqués dans ce roman concernant les orphelinats / pensionnats pour mères célibataires ont bien éxistés majoritairement en Irlande et aussi au Royaume Uni.
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Ces soeurs qui (étaient loin d'être bonnes) étaient des êtres éffroyables qui sous couvert de la "volonté de Dieu" torturaient ses filles et leur volaient leurs enfants. Mais comme indiqué par l'auteure, les familles de ses filles, la communauté, l'église etc...etaient tout autant responsable car beaucoup savaient mais tous se taisaient.
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J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre qui est tourné comme un thriller avec un enquêtes pleines de rebondissement en alternance avec les faits réels où les chapitres sont énoncés par les differents protagonistes de l'histoire.
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Oubliez toutes vos certitudes, à maintes reprises, tout ce que je pensais deviner s'est avéré être à côté de la plaque. En revanche beaucoup de personnages et de dates sont évoqués donc il faut bien lire avec assiduité pour ne pas perdre le fils.

Quoi qu'il en soit, c'est un vrai "pages turner" dont il est difficile de décrocher et ce livre est assez bouleversant et poignant surtout pour une maman comme moi. 💔

Le roman sortira en librairie le 11 mars et je vous conseille vivement de l'ajouter à votre wishlist. 👌

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"𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐲𝐞𝐫𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐞́𝐥𝐢𝐛𝐚𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐞𝐧 𝐀𝐧𝐠𝐥𝐞𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝟏𝟖𝟗𝟏. 𝐄𝐧 𝟏𝟗𝟔𝟖, 𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝟏𝟕𝟐 𝐦𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐞́𝐥𝐢𝐛𝐚𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐣𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐞́𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐠𝐞́𝐫𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬. 𝐁𝐞𝐚𝐮𝐜𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬, 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐮𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐚𝐛𝐚𝐧𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐛𝐞́𝐛𝐞́ 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐥𝐨𝐧𝐭𝐞́. 𝐋𝐞 𝐩𝐢𝐜 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐝𝐫𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝𝐞́𝐬 𝐞𝐧 𝐀𝐧𝐠𝐥𝐞𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐚 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐢𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝟏𝟗𝟔𝟖 : 𝟏𝟔 𝟏𝟔𝟒 𝐞𝐧 𝐭𝐨𝐮𝐭."

C'était il n'y a pas si longtemps… Aujourd'hui la parole se délie : il y a forcément des personnes qui cherchent à savoir, des enfants, des petits-enfants, des femmes qui ne peuvent plus garder ce secret si lourd à porter.

Car, si le roman d'Emily Gunnis est une fiction, il se fonde sur cette réalité : la maltraitante subie par ces femmes-enfants, des nouveau-nés mis de force en adoption voire pire, une société puritaine qui préfère fermer les yeux sur ces sévices…
Les religieuses décrites y sont absolument épouvantables, les jeunes filles répudiées par leurs familles se retrouvent dans de telles conditions d'avilissement : c'est une plongée glaçante !
Ce thriller psychologique est composé avec brio. Le lirez-vous ?

"𝐌𝐚𝐢𝐬 – 𝐞𝐭 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐦𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 – 𝐜𝐞 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞𝐬 « 𝐧𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐚𝐛𝐨𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 » 𝐪𝐮𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐞𝐫𝐦𝐢𝐬 𝐜𝐞𝐭 𝐚𝐛𝐮𝐬 𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞́𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝’𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭𝐬. 𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐧’𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬. 𝐂𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́𝐬 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐧𝐬 𝐥𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐞𝐫𝐦𝐢𝐬 𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐭𝐫𝐨𝐜𝐢𝐭𝐞́𝐬 : 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐧𝐜𝐥𝐞𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐞𝐜𝐢𝐧𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐮𝐱, 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧… 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐧𝐞 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐧𝐢 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫."

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Quel souffle romanesque pour ce roman qui est aussi un thriller et un drame : ce livre possède un peu tout ce qu’on attend d’un livre de ce genre : vous emporter ailleurs dans un univers loin de la réalité quotidienne en vous rivant au récit impossible à lâcher sans connaître la suite. Chaque événement en cache un autre plus sombre mais lequel? Chaque personnage cache la vérité et un passé qu’il a essayé d’oublier. Ainsi, on s’enfonce dans 600 pages sans un temps mort.

On fait des allers et retours deux périodes principales : les années 50 et aujourd’hui. Dans la puritaine Angleterre des années 50, Ivy Jenkins, enceinte, abandonnée par son fiancé, répudiée par sa famille, a été enfermée dans le couvent pour mères célibataires de Sainte Margaret afin d’accoucher discrètement et de faire adopter son enfant à naître. Elle ne survivra pas à l’horreur de ce couvent et ce qui s’y passe réellement. Avant de mourir, elle écrit en cachette de nombreuses lettres destinées au père de son enfant.

Deux générations plus tard, Sam Harper, modeste journaliste, est en possession de ces lettres par hasard, du moins c’est ce qu’elle croit. Le couvent étant destiné à une démolition proche, il lui reste très peu de temps pour enquêter et il aurait sans doute mieux valu qu’elle ignore ce qu’elle va découvrir...

En parallèle, au début du livre, Kitty Jenner, une star de la télévision très populaire, prend une retraite forcée, fêtée hypocritement par ses collaborateurs lors d’un très chic cocktail de départ dans les studios TV où elle a officié trente ans. Mais qu’est-ce que cette femme raffinée, habitant un luxueux appartement dans les beaux quartiers, peut bien avoir à voir avec notre histoire?

Ce premier roman serait inspiré de faits réels...

Merci aux éditions Préludes pour avoir pu lire ce livre en avant-première (parution le 11 mars), Il faudra désormais suivre de très près cette nouvelle maison d’édition (elle existe depuis 2015).

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Ce premier roman est une réussite. Je pense que c'est clairement ce qu'on appelle un "page-turner". Inspiré de faits réels, la construction n'en est pas moins parfaitement romanesque et le style intense. Je vais recommander ce roman!
#LesEnfantsperdusdeStMargaret #NetGalleyFrance

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Comment définir un bon polar ? Un livre qu’on lit d’une traite ?

Ce livre est plus que cela. Sous couvert de roman policier, l’auteure nous rappelle le martyre des jeunes filles célibataires et enceintes qui étaient rejetées par leurs familles et envoyées en institution, dans les pays anglo-saxons. Car il s’agit bien de maltraitance physique et psychique dont nous parlons ici.

De nos jours Sam, une jeune journaliste, découvre les lettres d’Ivy, jeune fille mise enceinte et abandonnée par le père de l’enfant dans les années 50 en Angleterre. Ivy se retrouve à St Margaret, établissement tenu par des religieuses qui n’avaient de cesse de punir les jeunes filles qui s’étaient écartées du droit chemin. En effet, les sœurs les contraignaient à un travail éreintant qui est sans doute une des explications des accouchements dramatiques fréquents… Et les bébés étaient arrachés aux mères dès la naissance.

Pendant que Kitty, célèbre présentatrice de télévision qui vient d’être mise à la retraite, se remémore son enfance quand elle avait appris à 8 ans qu’elle avait une sœur jumelle, Sam va découvrir que les décès suspects sont nombreux…

Le sujet de fond de ce polar reste évidemment le sort de ces jeunes filles et de leurs bébés. L’auteure donne vie aux victimes, nous rappelant la honte que ressentaient ces femmes parfois adolescentes alors que les jeunes pères n’étaient jamais conspués, le poids de la société puritaine qui jugeait et condamnait la femme, et la réalité de la vie dans ces institutions dont le scandale a été révélé il y a une décennie à peine. Quelques éléments décrits dans ce récit peuvent choquer des lecteurs, pourtant j’avais lu auparavant des articles qui relataient les mêmes faits.

Certains moments du livre sont très émouvants, mais à aucun moment larmoyants, car l’auteure a su éviter le piège du mélodramatique.

Ce récit ne se contente pas de redonner vie à quelques victimes. Il suggère aussi un parallèle avec Sam, l’héroïne contemporaine qui subit une vie professionnelle où elle a peu de chances de promotion, parce qu’elle doit s’occuper de son jeune enfant et qu’elle est séparée du père qui rechigne à contribuer.

Mais si j’ai ressenti un léger essoufflement de l’histoire vers la fin — car nous connaissons tous les tenants avant la conclusion du récit — c’est un roman qui happe et dont on se souvient.

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Sam est une journaliste de 25 ans qui va se retrouver mêler par son métier, mais aussi par son histoire personnelle, à un vieux pensionnat abandonné qui a hébergé des jeunes filles que l'on forçait a abandonné leurs bébés...
L'histoire alterne présent et passé en s'appuyant sur une correspondance. Le procédé n'a rien de nouveau mais fonctionne très efficacement ! Le lecteur est très vite piégé et captivé par ces faits historiques que l'on sait vrai et terrible. C'est très bien écrit, tous les rebondissements (et ils sont nombreux) sont bien amenés.
Ce livre a été traduit dans de nombreux pays et a connu un succès important et à sa lecture, on comprend pourquoi !

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Je vais être brève : énorme coup de cœur pour cette lecture !!!

Je l'ai adoré, je l'ai dévoré en 24h ...j'ai été complétement prise par cette histoire, je voulais absolument connaitre et comprendre la fin et je n'ai pas été dessus ni par le pourquoi ni  par le comment .

Le rythme passé / présent est parfaitement dosé. Le récit dans le passé est particulièrement angoissant et oppressant, surtout qu'il est basé sur des faits réels. L'horreur qu'ont pu vivre ces jeunes mères, déjà pointées du doigt par la société car elles sont enceintes et non mariées, puis réduites à l'esclavage, battues pour signer les papiers pour faire adopter leurs bébés...l'histoire d'Yvy est juste bouleversante.

La quête de Sam pour connaitre la vérité est passionnante !!

BREF ....J'AI TOUT AIMÉ DANS CE LIVRE !! UNE LECTURE QUE JE RECOMMANDE VIVEMENT .

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Ce roman m'a bouleversée et rappelé le documentaire « les enfants perdus d'Angleterre » sur les conséquences désastreuses du Children Act, un véritable scandale, une honte.
C'est un très beau roman qui combine enquête au présent et témoignage dans les années 50/60 du quotidien horrible de ces pauvres filles mères privées de leur bébé, de leur nom, de toute humanité.
Une lecture émouvante et captivante.

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Sam, jeune maman fraîchement divorcée, est journaliste. Elle élève seule sa fille et vit avec sa grand-mère. Elle découvre chez celle-ci des lettres d'une jeune femme, Ivy, qui fut envoyée dans un Couvent pour jeunes femmes dans les années 50 car elle était enceinte. Une situation inadmissible à l'époque dans une société britannique puritaine. Ces lettres s'adressent à son amoureux, elle lui raconte sa vie au quotidien, l'appelle au secours. Sam va enquêter sur cette jeune femme. Elle découvre de nombreuses morts suspectes et décide de découvrir la vérité avant la démolition du Couvent.
Emily Gunnis nous emmène dans un roman à la fois poignant, difficile car il touche un sujet extrêmement sensible, celui de la maltraitance physique et psychologique de jeunes femmes sous couvert de la religion, mais aussi dans un thriller haletant où le suspense est roi. Un savant mélange qu'elle a su mener de main de maître. Cette lecture est compliquée, on se pose beaucoup de questions sur le milieu ecclésiastique de l'époque, sur la société de l'époque, toutes nos convictions sont ébranlées car ce roman s'inspire de faits réels. Les jeunes femmes enceintes étaient enfermées entre les murs de couvents, jusqu'à la naissance de leurs enfants puis devaient les abandonner de force ensuite. Leur maternité menaçait l’ordre social, moral, le mariage étant le seul cadre légitime existant.
L'auteur écrit d'une plume fluide, décrit tout avec force détails ajoutant à l'horreur de la situation. On alterne entre le présent avec Sam et le passé avec Ivy qui raconte son histoire. Kitty, celèbre présentatrice tout juste retraitée, se remémore son enfance. Son chemin va alors croiser celui de la journaliste. On s'attache rapidement aux personnages. Ivy est tombée amoureuse, elle a cru au joli conte de fée, s'est fait berner et a payé le prix fort. Elle décrit dans ses lettres les sévices subies, les femmes doivent travailler du matin au soir pour payer leur gite et leur couvert. Elles sont réduites en esclavage. C'est une jeune femme pleine d'espoir, qui croit encore en l'amour. Difficile à notre époque d'imaginer tel scénario. Sam est journaliste, elle doit se battre dans son métier pour réussir. Sous prétexte qu'elle est mère célibataire, qu'elle est femme, elle n'hérite que d'articles de bas de page. Les mentalités ont du mal à évoluer, Sam croit en cette enquête pour montrer ce qu'elle vaut. Kitty est plus difficile à cerner, elle est très superficielle, a peur d'être oubliée. Son passé l'a bouleversée. On découvre au fil de son récit beaucoup de zones d'ombre.
On sent tout au long du roman une ambiance oppressante, le suspense est haletant, le rythme soutenu, le scénario bien ficelé. On passe de la tristesse à la crainte, de la colère aux questionnements, un mélange d'émotions détonants.
"Les enfants perdus de Saint Margaret" est un thriller à lire absolument ! Il met en avant une époque bien sombre, l'auteur s'est documentée avec sérieux, a su mêler réalité et fiction et nous emporter dans son histoire avec brio.

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Dans ce livre on suit plusieurs femmes, Ivy Jenkins, Samantha Harper, Kitty, Tout va tourner autour de St Margaret et de jeunes filles enceintes qui s’y rendaient et qui pour beaucoup n’en revenaient jamais.
Samantha Harper qui va découvrir les lettres d’Ivy Jenkins va se mettre à enquêter autour de ce lieu étrange qui semble cacher bien des choses.
J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre, dès le départ au fur et à mesure que l’on lit les lettres d’Ivy et que l’on suit les autres personnages, on sent qu’il s’y ait passé des choses atroces. Mais quoi ? Là est toute la question.
Avec Ivy on va découvrir toutes les horreurs que les religieuses vont faire ses subir à ces jeunes filles qui sont tombés enceintes et sur qui toute la faute retombe sur elle et non les hommes qui ont causés leur grosse.
Plus j’avançais dans l’histoire plus je sentais cette appréhension qui augmentait.
Avec le point de vue de Kitty, on apprend qu’elle a eu une sœur jumelle mais que celle-ci est morte et que St Margaret n’est pas indifférente à celle-ci car Kitty est persuadé que se sont eux qu’ils l’ont tuée.
C’est un livre qui est dur car il parle d’une partie de l’histoire que l’on ne connait pas ou peu. Je n’ai pas encore cherché si en France il y a eu ce même genre d’établissement, mais ça ne serait pas étonnent.
Concernant le secret de Kitty, je m’en étais un peu douté mais c’est à la fin que l’on comprend pourquoi ainsi que les raisons.
A la fin du livre il y a une partie où il y a plus d’explications sur les établissements du même genre qui ont existé ainsi que sur les filles qui y allaient. Cette partie bien que courte est super intéressante car ça prolonge ce que l’on voit dans le livre et ça m’a aussi donné envie de m’y intéresser plus en détails même si je ne m’y suis pas encore mise.
L’autrice nous permet de pointer du doigt une dérive qui a existé mais que la société omet de mentionner et de rappeler. Je savais déjà que les jeunes filles enceintes en dehors du mariage étaient très mal vu autrefois et même il n’y a pas encore si longtemps mais que des établissements du genre de St Margaret pouvaient exister je n’en avais jamais lu la mention. Je ne devrais pas m’étonner car la société et l’homme en général ne perd pas une occasion la condition des filles et femmes.

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Un roman qui vous happe dès la première page, c'est l'impression que j'ai eu en me lançant dans la lecture des Enfants perdus de St Margaret. Impossible de le lâcher avant de l'avoir terminé. C'est un roman fort, puissant, à l'écriture hypnotique... Le sort de ces femmes fortes et attachantes, obligées de se séparer de leurs familles et incertaines quant au sort de leurs enfants à venir, cela m'a autant passionnée que déchirée. Et d'autant plus quand on sait que ce roman s'inspire de faits réels.
L'instinct de journaliste de Sam l'entraîne sur une chasse aux secrets, sa propre quête d'identité, mais également le passé d'un institut aux sombres couloirs. Une alternance de passé et de présent qui fonctionne à merveille, des révélations au compte gouttes, des rebondissements... Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et ce roman est un véritable coup de cœur que je conseille vivement à tous !

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On est ici sur deux temporalités. La première période nous renvoie dans les années 1950 au Royaume-Uni où Ivy Jenkins, va accoucher de son premier enfant. Mais la conjoncture britannique de cette époque ne lui permet pas de garder son nourrisson. Elle va se retrouver internée dans le couvent de St Margaret, un foyer pour mères célibataires. Elle va subir la séparation de son enfant.
La deuxième période nous emmène en 2017, avec Samantha Harper, jeune journaliste qui apprend la découverte d'un corps à St Margaret. En parallèle, elle tombe sur des lettres écrites par Ivy Jenkins dans les années 1950.
S'ensuive des morts inexpliquées, le couvent va être démoli dans trois jours. Cette journaliste va-t-elle découvrir ce que cache ce bâtiment de St Margaret?
Mon premier mot sera WAouuu! L'auteure nous emporte direct d'entrée de jeu. Une plume très sombre, remplie de suspense et de mystère, avec un vrai fait réel. Les personnages impliqués dans cette histoire sont attachants et tellement réalistes.
Le décor est frissonnant à gogo, fait très peur au fil des pages. Les pages se tournent avec addiction. Pas de temps mort dans ce roman.
Je ne peux trop vous en dire sur le sujet, mais c'est tiré d'un fait réel marquant des années 1950 où l'auteur dénonce cette ignominie avec force, colère, émotion et déchirement.
J'ai surkiffé cette lecture qui m'a procuré de l'émotion, de la rancœur et de l'attachement aux personnages principaux.
Bravo l'auteur pour ce travail de recherche et cette intrigue mystérieuse menée à la perfection.

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Un premier roman intense, passionnant et dérangeant par son sujet. De nombreux rebondissements, on souffre réellement avec Ivy et Elvira. Tout au long du roman on se demande comment ces abominations ont pu avoir lieu.

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Les enfants perdus de St Margaret, un roman qui va serrer ton coeur pendant un moment.

Derrière l’intrigue, Emily Gunnis nous raconte histoire sombre, honteuse du royaume Uni mais également d’ l’Irlande). Le dicton dit : Pour vivre heureux, vivons cachés. Ici, bien au contraire, derrière les murs se cache l’atrocité, la peur, l’abjecte.

Elle avait été choisie par le Seigneur pour purifier les âmes perdue et permettre à ces malheureuses de se présenter aux portes du Paradis devant le Père miséricordieux. Elle avait eu une tâche à accomplir et quand à l’heure de sa mort, elle rencontrerait à son tour son Créateur, elle ne s’attendait pas à la moindre pitié de Sa part.

Samantha Harper est une jeune journaliste qui vit avec sa fille et sa grand-mère. Alors qu’un soir elle rentre tard, elle trouve cette dernière endormie avec une vieille lettre dans les mains. Cette lettre a été écrite il y a bien longtemps par une certaine Ivy Jenkins. Une jeune fille qui vient d’apprendre être enceinte d’un jeune homme et qui va été placée dans une institution si celui-ci ne l’épouse pas. C’est une lettre de détresse. Un cri du cœur.

Émue, Samantha se plonge dans une enquête afin de connaitre le triste sort d’Ivy. Et plus elle creuse, plus elle découvre une sombre histoire, des destins brisés. Des religieuses pas si empathiques et bienveillantes. Elle remonte le temps jusqu’à bouleverser le présent.

Un roman difficile, car son sujet est horrible. Il n’a rien de glorieux. Des établissements comme St Margaret ont réellement existé. La société d’alors fermait les yeux sur la maltraitance et sur le taux de mortalité très important. Les jeunes femmes qui en sortaient étaient brisées et honteuses. C’était la loi du silence. Commet des familles pouvaient faire subir cela à leurs enfants?

De la même veine que Né d’aucune femme de franck bouysse, Le testament caché de Sebastian Barry ou L’Etrange disparition d’Esme Lennox de Maggie O’Farrell où le sort des femmes est le sujet prépondérant. Ce roman vous happe, cependant, par son intrigue.

Un très bon roman pour ma part.

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Lorsque qu'Ivy Jenkins apprend qu'elle est enceinte, son monde s'écroule. Pourtant, elle aime passionnément le père et son enfant à naître. Mais en 1956, l'Angleterre très puritaine la force à s'isoler dans un couvent pour y abandonner son bébé à l'adoption. Elle va alors connaître des jours sordides, au sein d'une communauté de nonnes plus inhumaines les unes que les autres. Elle va se battre, pendant de nombreux mois, écrivant à l'homme qu'elle aime. Ses lettres déchirantes vont quelques années plus tard permettre à la vérité d'éclater...

Je ne m'attendais pas du tout à lire un thriller en ouvrant le roman d'Emily Gunnis. Mais la surprise a été très bonne !

Avec une écriture agréable et posée, l'auteur nous emporte avec facilité au sein d'une Angleterre portée sur les principes du mariage et où le péché est durement puni. Mais la rigueur de l'auteur nous fait naviguer entre les années 50, 70 et 2017, sans jamais nous perdre.
Son histoire est très travaillée et on sent que les documents qu'elle a pu découvrir pendant ses recherches sont tout aussi bouleversant que ce qu'elle nous raconte avec ses propres mots.

La souffrance de ses mères, abandonnées par leur famille, est palpable. Les mauvais traitements et l'obligation d'abandonner leur enfant en font des femmes blessées, meurtries et profondément anéanties. Leur courage et leur force sont ici mis en lumière d'une manière très digne...

Voici donc un roman qui se lit comme un polar, avec des pages qui se tournent avec avidité pour faire baisser cette angoisse qui monte, et pour que la vérité éclate enfin...

Un grand merci à NetGalley et aux Editions Préludes pour leur confiance...

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En 2015, une journaliste, Sam, découvre des lettres, datant des années 50. Ce sont les appels au secours d’une jeune fille, enfermée dans un couvent pour mères célibataires. Ivy décrit les conditions inhumaines dans lesquelles vivent des jeunes filles enceintes que leur famille a placées. Elles effectuent, par exemple, de lourds travaux dans une blanchisserie, jusqu’au moment de l’accouchement, sans avoir le droit de parler. Elles sont condamnées, également, à rester, après la naissance, pour « expier leur faute ». Leur bébé leur est retiré, contre leur gré, pour être adopté. Alors que le couvent va être détruit, dans deux jours, Sam enquête sur des morts suspectes.

Emily Gunnis s’est énormément documentée pour construire son intrigue. Même si son histoire est de la fiction, elle y a mêlé ses recherches. Ce qu’elle révèle est effroyable : tortures, esclavage, perte de dignité et d’identité, etc. Elle montre que de nombreuses personnes étaient complices de ces méthodes : personnalités religieuses, médecins, parents, etc. Ceux qui étaient censés protéger les autres, ont été coupables d’actes effroyables, sous prétexte de bienséance et de moralité.

Le récit alterne entre le passé et l’enquête de la journaliste. Je me suis attachée à Ivy et à Sam. Toutes les deux prennent des risques pour les autres et savent que les conséquences peuvent être dramatiques. Ce sont deux femmes avec des valeurs et du courage. L’une veut sauver sa vie et celles d’autres personnes fragiles, l’autre veut faire connaître la vérité. Évidemment, je ne compare pas leurs épreuves.

La lecture des souffrances des pensionnaires du couvent est très douloureuse. Ce passé n’est pas si lointain, certaines femmes sont encore en vie et n’ont jamais révélé à leur entourage ce qu’elles ont vécu. L’auteure libère leur parole et c’est effarant. Ce roman est également un récit d’investigation. L’urgence liée à la destruction de St Margaret et au risque de la destruction des preuves, donne aux chapitres du présent, un rythme haletant, contrebalançant l’ambiance oppressante des lettres d’Ivy.

Les enfants perdus de St. Margaret est un roman noir et bouleversant, dénonçant un scandale touchant, une fois encore, la condition féminine. Le rejet par la société des mères célibataires a permis à certaines institutions d’instaurer ces situations horribles.

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J'ai adoré ce roman qui m'a captivé du début à la fin. Malgré un sujet inspiré de faits réels des plus cruels, c'est une gros coup de coeur.

Il y a beaucoup de personnages, cela peut paraître effrayant au début mais au fur et à mesure que l'histoire avance tout se met bien en place. On est embarqué dans l'histoire grâce à Sam, un personnage jeune et dynamique. Certains passages sont extrêmement tristes mais nécessaires.
L'histoire est sous la forme d'une enquête journalistique on est donc emporté par cette quête de vérité.

En bref, Les enfants perdus de St Margaret est un roman poignant et bouleversant qui mène à une réelle réflexion. A recommander sans hésiter !!

Merci pour cette belle découverte.

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Une histoire troublante et bouleversante . Une fois commencé je n’ai plus lâché ce roman . Une enquête sur des destins croisés , liés dans le pire .... une maison pour jeunes filles enceintes dans les années 50, gérée par des sœurs appuyées par le curé et le médecin du village ... on imagine bien les difficultés pour ces jeunes filles souvent reniées par leur famille et dépossédées de leurs bébés . Elles vivaient l’enfer à st Margaret et tout aurait pu passer inaperçu si une jeune femme n’avait pas découvert une lettre dans les mains de sa grand-mère . Cette jeune femme journaliste sent qu’elle doit fouiller ce passé et elle va y découvrir son histoire ... un très bon et beau roman sur la capacité de résilience de certains , sur la vengeance et la rédemption.

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En 2017, Sam, jeune journaliste est en quête d’un sujet qui lui apportera enfin la notoriété et le poste de ses rêves. Alors quand elle trouve sa grand-mère en train de lire une vieille lettre datant de 1956 d’une certaine Ivy, elle va se passionner pour l’histoire. Ivy était une jeune femme tombée enceinte alors qu’elle n’était pas mariée. Abandonnée par sa famille et son petit ami elle est envoyée à St Margaret l’établissement qui accueille les mères célibataires.
En comprenant que St Margaret va être détruit pour construire des villas luxueuses elle comprend qu’elle n’a que peu de temps pour découvrir tous les mystères liés à cet établissement religieux. Une course contre la montre est alors lancée pour Sam qui va aller de découvertes en découvertes. Pourquoi une grande présentatrice télé s’intéresse-t- elle aussi à l’affaire et quel lien peut-elle avoir avec St Margaret ? Mais surtout pourquoi toutes les personnes liées de près ou de loin à l’établissement pour mère célibataire sont mortes dans des circonstances étranges ?
Sam va mettre à jour les atrocités subies par les pensionnaires de St Margaret et sera profondément touchée par Ivy jusqu’à ce que sa propre vie soit marquée et chamboulée.
Une grosse pépite et un premier roman qui ne peut laisser personne indifférent. Une histoire touchante et terriblement prenante sur les foyers pour mères célibataires et sur toutes les femmes qui ont étés forcés d’abandonner leur enfant.
Le grand polar de l’été !

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Une merveille !
J’ai adoré ce roman dès les premières pages, car l’auteure a choisit de mêler plusieurs points de vue, ce qui est particulièrement intelligent pour une histoire se passant sur une multitude d’époques différentes, conclusion : on reste immédiatement dans l’histoire et on s’attache à chaque personnage.
C’est une histoire très dure, très cruelle, qui montre à quel point l’homme peut être vil, mais aussi à quel point son amour peut être fort.
Bon, j’avais deviné bien avant la fin la vérité sur Kitty, mais ça n’a empêché en rien la révélation d’être étourdissante.
Une très belle écriture, un sujet délicat mais traité avec beaucoup de bienveillance, des personnages forts qui marquent les esprits.
En clair, un vrai coup de cœur !

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Toujours marquée par mon visionnage du film Philomena, vu il y a pourtant plusieurs années, j'ai donc été particulièrement curieuse au moment de la lecture du résumé du roman Les enfants perdus de St. Margaret de Emily Gunnis, Dans Philomena, nous suivons le destin d'une femme qui, se retrouvant enceinte et seule, est envoyée dans un couvent en Irlande où les conditions de vie sont loin d'être des plus simples. Dans Les enfants perdus de St. Margaret, l'histoire prend place cette fois en Angleterre, nous suivons Samantha Harper qui est jeune journaliste qui aime fortement son travail mais qui a du mal à jongler entre celui-ci et sa nouvelle vie de mère célibataire. Un jour comme un autre, elle découvre dans le grenier de son grand-père des lettres d'une certaine Ivy Jenkins, envoyé au couvent de St. Margaret pour donner naissance à son futur enfant. Ces lettres, déchirantes au possible, vont donner le top départ d'une enquête pleine de révélations et de drames.

Inspiré de faits réels, le roman d'Emily Gunis fut une lecture passionnante bien que déchirante. le destin de ses femmes, qu'elles soient irlandaises ou anglaises, est impitoyable et les conditions de vie qu'elles subissent juste pour avoir aimé un temps sont ignobles. Les enfants perdus de St. Margaret alterne les points de vue et les époques ce qui en fait un roman qui se lit très fluidement comme un roman policier dont il emprunte beaucoup de codes. La révélation finale m'a plutôt surprise bien que, par la suite, le roman a bien du mal à conclure le tout.

Les enfants perdus de St. Margaret est un livre que je conseille chaudement. Se lisant comme un roman policier, Emily Gunnis nous propose un roman à la thématique principale forte et importante. En nous proposant de suivre différents destins de femmes, l'auteure nous démontre qu'il est important de ne pas oublier.

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Un roman passionnant qui mêle vérité historique et enquête policière.
L'auteure se base sur des faits véridiques : les institutions tenues par les Magdalen's sisters, les soeurs de Ste Margaret, qui, jusque dans les années 70, "accueillaient" la lie de la société féminine : filles-mères, violées, trop "aguichantes", bref trop libres, gênantes ou trop naïves. Et cela avec énormément de charité. Excusez mon ironie, ces institutions traitaient leurs pensionnaires en esclaves et en moins que rien. L'auteure va même plus loin en parlant des expériences scientifiques menées sur des enfants abandonnés là quand ils n'avaient pas la "chance" d'être adoptés, comprenez arrachés malgré elles à leurs vraies mères.
J'avoue que tout ces excès me révoltent d'autant que cela est tout récent.
Le roman démarre très fort autour d'une des victimes de Ste Margaret, Ivy, qui reviendra tout au long du roman.
L'héroïne, Samantha, est journaliste. Par hasard elle tombe sur des lettres qui la ramène à Ste Margaret. Entre temps nous voyons une autre femme évoluée, Kitty, avec des flashbacks récurrents des années 50 à 70.
Qu'est ce qui relie tous ces événements et ces personnages ? J'avoue m'y être un peu perdue au début d'autant qu'il y a des flashbacks qui se déroulent à des périodes différentes. Mais ça vaut vraiment le coup de faire un petit effort de mémoire car le livre est captivant de bout en bout.
Petit à petit, les fils se demêlent et l'incroyable vérité apparaît.
Je vous conseille vraiment ce roman car c'est non seulement une très bonne enquête policière mais cela rappelle aussi des événements dramatiques qui se sont déroulés derrière les murs de ces institutions et la façon dont les femmes étaient traitées jusqu'à encore tout récemment.

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Samantha est une jeune femme journaliste qui jongle entre une séparation difficile, des horaires pas évidents (et une place à se faire dans la jungle des reporters) avec une petite fille à élever et une grand-mère fatiguée qui l’aide malgré tout de son mieux, en faisant office de nounou. Un jour sa mamie lui montre une lettre écrite en 1956, c’est Ivy, une jeune fille qui l’a rédigée. Elle dit l’avoir retrouvée dans les affaires de son mari, le Papy décédé. Dans ce courrier, Ivy, rejetée par la société parce qu’elle est enceinte, sans être mariée, de son premier enfant, est placée par sa famille dans un couvent. Sam a tout de suite envie d’en savoir plus, de mener une petite enquête, d’autant plus qu’il semblerait y avoir une corrélation entre le cloître où se sont passés les faits et une présentatrice de télévision très connue.

De fil en aiguille, aidée discrètement par un collègue, Sam creuse cette histoire. Sa mamie lui donne d’autres missives. En parallèle, elle essaie de rencontrer Kitty l’animatrice d’émissions télévisées qui a été vue aux funérailles d’un responsable du couvent. Elle s’aperçoit très rapidement que l’affaire est plus complexe qu’il n’y paraît mais accrochée par son sujet, elle ne lâche rien et va de plus en plus loin, au risque de se mettre en danger.

C’est une histoire très prenante que nous donne à lire Emily Gunnis. Elle est très bien construite avec des retours en arrière pour dévoiler, par bribes, le passé. C’est bien écrit (et bien traduit), les personnages sont intéressants et cela met au grand jour ce fait terrible de placement des filles -mères dans des institutions. Elles y étaient, le plus souvent, brimées, corrigées, maltraitées. Elles n’avaient pas le choix, on leur arrachait leur bébé. Invisibles, délaissées, oubliées, qu’il leur était difficile de survivre….
J’ai beaucoup apprécié ce recueil, je l’ai trouvé intéressant, avec un ton très juste et une trame captivante. L’auteur a fait un excellent travail.

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J'ai lu peu de thrillers historiques, mais ce fut une claque émotionnelle d'un point de vu historique, et un thriller manié avec brio psychologiquement.

J'ai été séduite par cette plume magnifique, par cette histoire tirée de faits réels. Bien loin de notre quotidien, notre société. Comment cela a pu exister ?
C'était intense, une avalanche d'émotions au fil des pages.

Ce puritisme britannique étouffant et abjecte ne m'était pas inconnu, mais j'ai tout de même été surprise, étonnée et écoeurée par cet aspect de la religion.

L'enquête journalistique et personnelle de Samatha suite à ses lettres est menée telle une enquête policière. L'auteur manie les mots, les émotions avec élégance et talent. On n'en sort pas indemne.

Un livre magistral !

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Des destins de femmes vus sous différents angles dans une volonté de mettre en lumière les violences verbales et non verbales subies, sans pouvoir forcément se défendre de la cruauté d'une société engluée dans ses principes

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Emily Gunnis s’inspire de faits réels révoltants ayant entaché la communauté catholique irlandaise et anglaise dans les années 50-60 et signe un premier roman à la fois touchant et dérangeant susceptible de marquer intensément les esprits.

Une lettre datant de 1959 découverte par hasard dans les affaires de son défunt grand-père brocanteur sème le trouble chez Sam, une jeune journaliste ambitieuse : une certaine Ivy internée dans la pension pour mères célibataires de St-Margaret, dans le Sussex, annonce à son amant qu’elle est enceinte et le supplie de venir la libérer. Fait étrange, le corps d’un prêtre mentionné dans ce courrier a été retrouvé dans les décombres du couvent abandonné quelques semaines plus tôt… Sam est d’autant plus intriguée que Kitty Canon, la présentatrice vedette d’un talk-show sur la BBC semble fort intéressée à titre personnel par cette affaire… En quête d’un scoop lui permettant d’intégrer enfin un journal national, Sam décide de s’intéresser à ce mystère mais elle devra faire vite : il ne reste plus que deux jours avant le démantèlement de la pension Saint-Margaret… Ce qu’elle va découvrir va l’impliquer bien plus qu’elle ne le pense…

Mon ressenti sur ce livre est très positif. J’en viens tout de suite à mon seul petit bémol : j’ai failli me perdre à plusieurs reprises entre ces nombreux personnages et surtout ces incessants allers-et-retours entre passé et présent, je regrette que cette angoisse de perdre le fil m’ait quelque peu ôté mon plaisir de lecture… car au final, l’ensemble s’est avéré parfaitement maîtrisé: le moindre détail est utilisé à bon escient pour le déroulement de l’intrigue, tout s’imbrique et donne un résultat vertigineux! Le style est agréable et étoffé, certains passages sont riches de réflexions poignantes tandis que d’autres glacent le sang jusqu’à la moelle… Sous couvert d’abriter des « mères-filles« , délaissées par leurs familles qui les jugent déshonorantes, le couvent Saint-Margaret, manoir gothique lugubre, se révèle être une véritable prison, un bagne où rien ne sera épargné aux jeunes pensionnaires, obligées de trimer pour payer leur séjour, privées de leurs nouveaux-nés qui seront revendus à de riches couples sans scrupules… Tirées de véritables témoignages, certaines scènes sont bouleversantes de monstruosité. L’histoire frôle parfois le fantastique avec, au moment de la mort de certains personnages, l’apparition de spectres mais ceux-ci symbolisent surtout la mauvaise conscience des protagonistes.

J’ai songé en imaginant le calvaire d’Ivy, recluse dans ce couvent infernal, à d’autres personnages féminins très forts lus ou vus récemment, Rose (Né d’aucune femme de Franck Bouysse), June (La Servante écarlate de Margaret Artwood) ou encore Eugénie (Le Bal des Folles de Victoria Mas) toutes confrontées à une inhumanité désolante. Entre autres personnages féminins remarquables, Sam ancre ce récit dans notre époque : audacieuse et maligne, elle se bat seule pour élever sa fille et mener de front sa carrière professionnelle envers et contre tous. Comment imaginer qu’à peine soixante ans séparent ces deux femmes et qu’à une époque pas si lointaines d’autres décidaient de l’avenir de nos enfants? Je remercie Net Galley et les éditions Préludes pour la lecture de ce roman passionnant et bouleversant, que je conseille vivement.

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Ivy Jenkins est dans une situation vraiment délicate. Enceinte, adolescente, et avec un amoureux disparu dans la nature, elle est bien obligée d’obéir à ses parents, et d’intégrer un institut qui accueille les filles-mères, comme on les appelle.

Mais loin d’être une sinécure, cet endroit se révèle être un véritable cauchemar, dans lequel les jeunes filles sont maltraitées au plus haut point, et où leurs bébés leur sont arrachées de force, pour être placés en adoption....

Plus de 60 ans plus tard, une jeune journaliste tombe par hasard sur les lettres de cette jeune fille, et découvre une histoire des plus sordides....

Le thème de ce livre m’avait tout de suite intéressé. J’avais lu, il y a quelques années l’histoire de Philomena, et j’en avais vu ensuite l’adaptation cinématographique, et son récit m’avait bouleversée.

Ce titre m’a happé, dès le premier chapitre. J’ai été plongée dans le récit en deux temps, puisqu’on suit en parrallèle les recherches de Samantha, et l’histoire d’Ivy elle-même. Sans compter que l’enfant adopté a aussi sa pierre à apporter, pour faire une passerelle entre les deux époques.

Ce genre d’institut a réellement existé, et de nombreux enfants ont été séparés de leur mère biologique dans une atmosphère sombre. Ces jeunes filles, arrivées là dans un état de faiblesse, devaient travailler plusieurs années durant pour rembourser les soins apportés durant leur grossesse.

Il est, pour beaucoup d’entre eux, très difficile de retrouver l’être disparu, que ce soit dans un sens ou dans l’autre. Et ce pan d’Histoire me touche vraiment.

J’ai lu ce livre de bout en bout, sans pratiquement faire de pause. J'ai d’ailleurs même lu très tard, jusqu’à ce que mes yeux se ferment d’eux-même!

Je ne peux que vous recommander cette lecture, mais ayez tout de même le cœur accroché. Ce que décrit Ivy est terrible, et fort détaillé. Et il est un reflet éloquent de ce que devait être la vie ou peut-être même devrais-je dire la survie, dans ces lieux dit d’accueil.

Quand à l’histoire de sa progéniture, elle est tout aussi extraordinaire. On entre là dans la partie plus romancée du livre, mais avec une intrigue très bien soutenue, et cela complète parfaitement les autres parties!

Je suis vraiment enchantée d’avoir pu lire ce roman!

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Les enfants perdus de St. Margaret Emily Gunnis aux éditions Préludes.
Il est grand temps que les langues se délient! Certes les enfants perdus de St. Margaret n'est pas le premier roman à évoquer ces maisons où l'on envoyaient ces jeunes filles qui après avoir fauté se retrouvaient enceintes. La Honte sur elles et les mercis à ces institutions qui se chargeaient des accouchements hors la vue et de l'adoption des enfants au grand soulagement des familles.
Emily Gunnis saisit ce sujet à bras le corps et nous offre un très beau roman . Ivy, Kitty, Nana, Sam, Emma vont venir vous raconter leur histoire. La plume d'Emily Gunnis harponne le lecteur , impossible pour lui de lâcher Sam dans la tourmente . Quand je pense que cela existait encore il y a 50 ans j' hallucine. Pourvu que tout cela ne soit plus que de l'histoire ancienne!
Un premier roman de belle facture que je vous recommande. Un grand merci aux éditions Préludes pour leur confiance.
#LesEnfantsperdusdeStMargaret #NetGalleyFrance

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Ne connaissant pas les faits historiques qui sont à l'origine de ce roman, j'ai découvert avec horreur le rôle des institutions religieuses et leurs pratiques cruelles pour traiter les jeunes filles célibataires enceintes, l'obligation imposée d'abandonner leurs enfants, la cruauté de leurs tâches, le tout sous le regard de la communauté et des familles qui préféraient fermer les yeux en payant.
Ce roman qui raconte l'enfer vécu par Ivy dans ce manoir, la cruauté des traitements qui se résume à de l'esclavage, le tout dans des conditions inhumaines, m'a ému et attristé. Le rythme du roman est donné par les aller-retour temporel au fil des chapitres et on avance avec les différents intervenants pour dénouer le fil de l'histoire d'Ivy dans cette institution maudite et de ses membres.
A lire pour apprendre ce qu'a été l'enfer de ces femmes et ne pas oublier pour ne pas réitérer cette horreur.

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Un page turner génialissime (comme souvent aux éditions Préludes)!!! Une histoire de fond passionnante mais aussi terrible quand on sait qu’elle est tirée de faits réels. Des personnages parfois ambivalents, de toute façon attachants. Je recommande !

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Pour ce premier roman, Emily Gunnis traite d'un sujet terrible, celui des jeunes filles enceintes dans l'Angleterre des
50-60. Sous la forme d'un roman policier, elle nous raconte l'histoire sordide d'Ivy et de ses compagnes d'infortune, cachées dans un couvent pour y accoucher. Maltraitées, corvéables à merci, à peine nourries et séparées de leur enfant, elles étaient là pour expier leur faute avec la complicité d'une société hypocrite.
Je vous le recommande vivement.

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Un thriller très divertissant, inspirés de faits historiques réels : le cas des pensions pour mères célibataires. On y découvre l’horreur de ces lieux où on envoyait des jeunes femmes et jeunes filles enceintes, leur promettant sécurité, et où elles vivaient en réalité l’enfer, obligées d’abandonner leur enfant. Le récit choral s’orchestre entre le présent et le passé, intimement liés par une poignée de lettres écrites dans les années 60 par une des protagonistes ayant vécu dans la pension de St Margaret. Je me suis attachée aux personnages, on se prend facilement de sympathie pour les histoires respectives d’Ivy, Kitty et Sam. L’issu du roman ne satisfera pas forcément les lecteurs de polars et thrillers aguerris, mais on passe tout de même un chouette moment de lecture.
Un roman idéal pour les fans de thrillers détentes et rythmés, d’enquêtes journalistiques et de fonds historiques.

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J’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman qui alterne entre le passé et le présent. La thématique m’intriguait beaucoup, et l’enquête qui s’y rattache m’a embarquée. La lecture est fluide et addictive !

Ce roman est fort et touchant, je le recommande !

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Que les choses soient claires, ce roman m'a été d'une grande aide lors du mois de juin, au moment de sa découverte, j'étais plongée jusqu'au cou dans une panne de lecture, une perte d'envie comme j'ai eu l'impression de n'en avoir jamais connu et grâce à lui j'ai remonter la pente jusqu'à retrouver mon appétit littéraire habituel
Ce roman, terriblement addictif se construit sur deux temporalités. Dans la première, on suit les mésaventures de la jeune Ivy, enfermé contre son grès à l'institut pour jeunes filles St. Magaret et dans la seconde, qui se déroule soixante ans plus tard, on suit les déboires et l'enquête menée tambour battant par Samantha Harper, une jeune mère de famille à qui la vie n'a rien épargné. Les deux protagonistes ont chacune une histoire personnelle captivante et j'ai particulièrement apprécié la manière dont l'auteure a su mêler la vie de ces deux femmes.

Si vous connaissez le film Philomenaoù Judi Dench s'illustre à merveille, je ne peux que vous conseiller de découvrir Les Enfants perdus de St. Margaret, le thème étant un peu similaire, même si le suspense y occupe un place primordial à tel point que mon petit cœur s'est parfois emballé quand l'auteure nous emmène dans les entrailles de ce vieux pensionnat catholique désaffecté et tombant en ruinesA chaque page, à chaque instant, alors que l'on pense avoir compris ce que l'auteure nous cache, elle nous remet une couche de mensonge et nous renvoi vers de nouvelles révélations encore plus fracassantes. Je peux, hélas, difficilement vous en dire plus sans risquer de dévoiler un élément clé de cette histoire qui fut, vous vous en doutez, un véritable coup de cœur.

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