La nuit des blouses grises

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Date de parution 29 août 2018 | Archivage 28 sept. 2018
J.C. Lattès | JC Lattès

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Résumé

Raoul Signoret, fameux reporter du Petit Provençal, spécialiste des affaires criminelles et mondaines, a affaire à forte partie. Pour la première fois, le voici confronté au grand banditisme sous sa forme la plus redoutable. Une bande de pilleurs de trains vient de dérober 110 kilos d’or en lingots lors d’une spectaculaire attaque à main armée sur un convoi du P.L.M. stoppé dans la nuit en pleine voie à l’approche de la gare Saint-Charles.
L’audace des bandits a mis la police marseillaise sur les dents, en particulier son chef, Eugène Baruteau (par ailleurs oncle du reporter), qui, à l’approche de la retraite, aimerait partir sur un coup d’éclat. Mais l’enquête piétine. La bande, particulièrement organisée, a su préserver son anonymat en empruntant aux toucheurs de bœufs des abattoirs leur tenue de travail  : une ample blouse grise tombant jusqu’aux pieds et un passe-montagne, qui rendent ses membres impossibles à identifier par les témoins.
Raoul Signoret va une fois de plus se mêler de ce qui ne le regarde pas. Les Blouses-Grises n’ont pas l’intention de laisser un scribouillard gâcher une entreprise qui tient du chef-d’œuvre. Pour le reporter, c’est l’occasion d’enquêter (épaulé par l’astucieuse Cécile, son épouse, qui tant de fois a replacé les enquêtes de Raoul sur le bon chemin) dans les milieux des chemins  de fer comme dans celui des conducteurs de troupeaux chargés de guider les animaux vers les lieux d’abattage.
L’enquête trouvera une fin surprenante, alors que la comète de Halley fait son apparition, le mistral balaie le port de Marseille et les inondations commencent à recouvrir Paris.

Raoul Signoret, fameux reporter du Petit Provençal, spécialiste des affaires criminelles et mondaines, a affaire à forte partie. Pour la première fois, le voici confronté au grand banditisme sous sa...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782709661331
PRIX 7,49 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

La nuit des blouses grisesJean Contrucci chez J.C Lattès , août 2018 .#LaNuitDesBlousesGrises #NetGalleyFrance
1910, nuit du 11 au 12 février, peu avant la Gare Saint-Charles, un train de marchandises du P.L.M est braqué par une bande d'hommes cagoulés vêtus de longues blouses grises, les mêmes que celles que portent les piqueurs de boeufs des abattoirs marseillais. Les pilleurs de train repartent avec 110 kg d'or en lingots et quelques beaux bijoux... Eugène Baruteau, le commissaire central de la Police de Marseille s'arrache les cheveux , heureusement son neveu chéri Raoul Signoret , journaliste reporter au Petit Provençal, est à ses côtés bien décidé à épauler son oncle.
Je découvre avec ce roman la série Les nouveaux mystères de Marseille de Jean Contrucci et ma foi j'ai pris beaucoup d plaisir à cette lecture. L'auteur nous embarque avec lui dans le Marseille des années 1900, nous fait découvrir une ville qu'il aime. La narration est plaisante, les personnages attachants, pleins d'humour, de fantaisie, coléreux et sensibles. L'enquête menée de main de maître par un commissaire bientôt en retraite est l'occasion de découvrir un passé encore proche.
Un grand merci aux éditions j.C Lattès pour ce partage .

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Un train avec de l'or, des cheminots marseillais, un commissaire presque en retraite et son neveu journaliste dans les annees 1920, ajoutez y un braquage et le compte y est
Voila de quoi faire un roman bien ficelé relatant une enquète parfois dangereuse le tout couleur locale puisque l'auteur utilise de nombreux mots et expressions du provencal et des environs de Marseiile où se passe le plus gros de l'intrigue.

Les personnages sont hauts en couleurs, leurs caractères et leur personnalité sont détaillés pour le plus grand plaisir du lecteur et pour enrichir le roman.
Le style est léger, l'ambiance fait un peu penser aux brigades du tigre.

J'ai beaucoup aimé ce roman qui est la suite après de nombreux autres épisodes mais qui peut tout à fait se lire séparément
Mais il est si bien écrit qu'il m'a vraiment donné envie de lire les autres romans.

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Quel plaisir de lire un livre écrit comme on écrivit à la même époque, le début de XXème, des malfrats, des policiers, des filles de mauvaise vie, un vieux policier près de la retraite et un Rouletabille moins sophistiqué qui résout en fil rouge l'enquête à priori sans solutions.
Beaucoup de sympathie dans une autre époque, rien d'extraordinaire, pas de fantastique, pas de solutions alambiquées tout roule, on s'amuse, le plaisir de lire un bon livre qui vous transporte aimablement vers une fin prévisible mais sympathique, les voyous sont coffrés la morale est sauve et la vie continue.
A lire comme on regarde un western.

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Un policier gentillet, deux protagonistes de la même famille, l’oncle appartient à la police nationale et va bientôt partir à la retraite malgré sa grande implication dans son métier ; le neveu, journaliste de son état, fouillant partout où il ne faut pas, découvre avant les gens d’armes..tout un tas d’indices qui mèneront à la résolution de l’énigme !
Quelle énigme ? Qui a dévalisé le train à deux minutes de la garde saint Charles à Marseille ? Qui a mis la main sur des centaines de lingots d’or qui passaient par là ?
Et très vite, qui a assassiné Perroto ? puis l’indic du journalistre, puis..non je ne vous raconterai pas tout !!
Une bande organisée dans les moindres détails, un milieu connu, des néophytes, des vieux de la vieille.
Des meurtres prévus, d’autres improvisés, à l’arme blanche ou par balle, des taiseux, des bavards, des étrangers, oui des migrants !
Et de belles descriptions de la vie du rail, les instruments de mesure, mais aussi une incursion dans le milieu de la boucherie et de ses blouses grises, dont le travail, dur et pénible , s’achève aux petites heures de la journée et permet d’autres « activités », plus rentables à condition de s’y connaitre !!
Comme moi, vous apprendrez beaucoup en lisant ce policier, vous n’aurez pas de sueurs froides, ce n’est pas un thriller qui vous met dans des états impossibles, mais vous comprendrez petit à petit les méandres de la vie souterraine à Marseille, vous y retrouverez l’accent, les expressions, d’ailleurs traduites en notes de bas de page !! vous y reconnaitrez parfois des accents à la Pagnol, vous vous rendrez compte à quel point le quotidien, les malheurs et les petits bonheurs ont peu changé depuis ..
Ah oui, j’oubliais, l’action se déroule en …1910 !

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Cette année, je n'ai pas souhaité transformer mes vacances d'été en marathon de la lecture pour la rentrée littéraire. J'ai privilégié les coups de cœur de la famille et des amis, les livres sortis en poche et les auteurs que je suis depuis longtemps. Jean Contrucci appartient à cette dernière catégorie. J'apprécie les aventures de Raoul Signoret, reporter au "Petit Provencal" à Marseille et ses nouvelles aventures ne m'ont absolument pas déçue. L'auteur se sert toujours de la grande Histoire pour nourrir ses histoires et " La nuit des blouses grises" ne fait pas exception à la règle. En cette année 1910, le journaliste va tenter de découvrir les auteurs du hold-up du train PLM qui transportait plus d'une centaine de lingots d'or, mais la rédaction du journal va aussi se faire l'écho des représentations de Chantecler, pièce commise par Edmond Rostand, l'enfant du pays ou du passage de la comète Haley, qui suscite curiosité et anxiété.
Comme à l'ordinaire, Raoul Signoret va épauler à sa manière son oncle, le commissaire Eugène Baruteau, sur le point de prendre sa retraite. Lui même bénéficiera de l'aide de son épouse Cécile. Tous ces personnages récurrents (jusqu'au poète maison du "Petit Provencal" dont les vers de mirliton sont des morceaux de roi pour le lecteur) sont certes très typés, mais cela fait partie du plaisir. Que serait un roman de Jean Contrucci sans la cuisine de Thérèsou, la truculence d'Eugène Baruteau ou l’espièglerie de Raoul Signoret ? De même, les titres à rallonge des chapitres, le parler de l'époque et l'écriture elle-même participent à cette immersion dans le Marseille du début du 20ème siècle.. L'enquête nous permet de découvrir le milieu du grand banditisme à cette époque ainsi que le quotidien des blouses grises, ces "bergers" qui conduisent le bétail sortant des bateaux jusqu'aux abattoirs. Et pour la bouffée d'air (pas vraiment pur), le roman fait aussi un détour par les calanques, déjà polluées par des industries reléguées en périphérie de la ville. Jean Contrucci aime sa ville de façon inconditionnelle, avec ses beautés et ses laideurs, et cet amour est terriblement contagieux.

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On pourrait se croire dans un épisode des Brigades du Tigre dès les premières lignes du roman. Un train est attaqué et c'est plus de 100 kilos d'or en lingots qui sont dérobés. Malgré les quelques témoignages qu'ils ont pu recueillir, les policiers en charge de l'enquête n'avancent à rien, les malfaiteurs semblent s'être fondus dans la nature. Cette affaire va vite devenir une épine dans le pied pour le commissaire Baruteau qui voudrait bien partir à la retraite la tête haute.


Grace à son neveu, journaliste au Petit provençal, il va pouvoir trouver des indices que seul il n'aurait sans doute jamais trouvé.


J'ai beaucoup aimé ce roman qui nous place dans le Marseille des années 30, le duo formé par le commissaire et son neveu vaut le détour et sans compter également sur l'aide précieuse de Cécile l'épouse de Raoul, qui est une source d'informations insoupçonnée.


Ce livre fait partie d'une série "Les nouveaux Mystères de Marseille" mais les romans peuvent se lire indépendamment les uns des autres.


Du coup, j'ai bien envie de me plonger dans les autres afin de prolonger ce voyage dans le temps vers une éopque bien différente de la notre mais que l'auteur a su très bien recréer.

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Quel plaisir de retrouver Raoul Signoret, reporter au Petit Provençal, dans ses enquêtes ! Le verbe de l'auteur est toujours aussi pittoresque, l'humour omniprésent, et les rebondissements de l'enquête... ma foi, on ne peut pas dire qu'ils manquent. On passe du rire à l'inquiétude, voire à l'angoisse, et si le hasard fait parfois bien les choses, il peut aussi donner des sueurs froides...
Si vous ne connaissez pas cette série, n'hésitez pas à plonger dans ce Marseille de 1910 et à suivre la trace des lingots d'or du train...

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