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Quelqu'un derrière les murs
par Zygmunt Miloszewski
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Date de parution 2 janv. 2025 | Archivage Aucune
Fleuve éditions | Fleuve Noir
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Quelquunderrièrelesmurs #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
L’un des auteurs polonais les plus lus de sa génération !
À Varsovie, la tranquillité d’un immeuble est soudainement menacée quand un de ses occupants, pris d’une inexplicable panique, tente de s’extraire de l’ascenseur en marche et se fait décapiter. Après ça, d’autres locataires deviennent victimes d’hallucinations et, bientôt, une étrange malédiction s’empare de ce bâtiment dont plus personne ne peut sortir.
Robert et Agnieszka, un couple qui vient d’emménager, partagent alors la peur qui s’est immiscée dans leur quotidien avec Wiktor, un ancien journaliste d’investigation tombé dans l’alcool, et Kamil, un adolescent révolté contre ses parents. Ensemble, ils espèrent comprendre quelle force démoniaque leur fait vivre ce cauchemar éveillé. Et qui est ce voisin étrange qui a piraté l’interphone et écoute ce qui se passe dans tous les appartements.
L’un des auteurs polonais les plus lus de sa génération !
À Varsovie, la tranquillité d’un immeuble est soudainement menacée quand un de ses occupants, pris d’une inexplicable panique, tente de...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782265157026 |
PRIX | 22,90 € (EUR) |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
C'est un titre dont l'auteur est polonais et cartonne en France depuis quelques années, Zygmunt Miłoszewski, c'est son troisième titre traduit et publié chez Fleuve Editions que je lis. Alors que ses précédents romans (lus et présentés sur ce blog) présentaient une trame somme toute classique, Inestimable et Les Impliqués, parus respectivement chez Fleuve Éditions et Pocket Éditions, j'entends par là, des morts non accidentelles, des policiers, un procureur au nom de Teodor Szacki, une enquête en bonne et due forme, l'intrigue prend ici une autre direction, qui n'a pas manqué de m'évoquer les thrillers de Stephen King, dont l'un des titres Terres perdues fait d'ailleurs une apparition dans notre récit ainsi que la fameuse version cinématographique de Shining. Il faut dire que c'est le premier roman que Zygmunt Miłoszewski ait publié bien avant sa trilogie ayant pour figure emblématique Teodor Szacki.
Pas de roman policier à proprement parler, mais la trame de ce roman est bel et bien jonchée de cadavres, et ils ne sont pas morts qu'à moitié. Tout se déroule en Huis clos dans ce que l'on appelle nous en France une barre hlm d'une cité du quartier nommé Praga-Polnoc de la capitale polonaise, Varsovie. On y retrouve dès le début le jeune couple Robert et Agnieszka, qui y aménagent, le journaliste encore embourbé dans l'alcool Wictor tentant laborieusement de relancer sa carrière, le jeune Kamil Zrodlaniec, dix-huit ans, vivant encore en colocation avec ses parents et dont l'occupation principale reste de défier son père. Un premier cadavre, dépourvu de tête, a été retrouvé dans la cage d'ascenseur, la tête projetée dans un coin du palier : de quoi mettre un peu d'ambiance dans cet immeuble vieillissant, triste et morne et ses habitants qui ne respirent pas davantage la joie de vivre. Une mort pour le moins violente qui cache bien d'autres décès inexpliqués, et qui en annonce encore une paire d'autres.
Pourtant, c'est plein de bonnes intentions que Robert et Agnieszka arrivent à Varsovie, amoureux, prêts à se lancer dans une vie nouvelle : ils vont vite déchanter, d'abord par l'accueil frelaté que le corps sans tête leur réserve, ensuite parce que les premiers contacts avec les voisinages sont pour le moins rafraîchissants. La narration sous focalisation interne se divise entre celle d'Agnieszka, du jeune Kamil, du paumé Wictor, puis depuis l'intériorité de plus anciens voisins en alternance avec un chapitre sous focalisation zéro, dans lesquels les personnages ne sont désignés que par leur genre "Homme 1", "Femme 2". Peu à peu, l'ambiance se veut de plus en plus étrange, d'autant que le fantastique vient faire un tour, en un phénomène fantastique, plus aucun habitant ne peut sortir de l'immeuble, toute tentative étant entravée par un mur invisible qui se dresse entre eux et la rue.
On apprend à connaître chacun des personnages, dont l'histoire personnelle est forcément reliée à celle de cet immeuble, devenu une véritable geôle pour toutes et tous, sans que ni électricité, ni eau ne soit disponible : ils sont tous enfermés dans un espace-temps indéfinissable. Une première visite d'Agnieszka dans les caves de l'immeuble tend à rapprocher ce roman vers le genre de l'horreur, la tête coupée du jeune homme n'affirmera pas le contraire, et la bizarrerie des autres habitants que nos protagonistes vont rencontrer vont assez vite amener le roman vers des terrains plus mouvants et incertains. La tension montre crescendo, maîtrisée jusqu'à la fin, et la personnalité des gens qui se décomposent ou tournent l'aigre -, à laquelle ma foi, je ne m'attendais pas le moins du monde. Mais si vous avez un peu le souvenir des années 90 et de son cinéma, cela ne manquera pas de vous rappeler l'un ou l'autre de ses longs-métrages.
Ce premier roman de Zygmunt Miloszewski nous emmène quelque part entre horreur et irrationalité, les éléments perturbateurs, anxiogènes, s'accumulent pour nous amener là, on ne se doutait pas qu'on irait, malgré les révélations fracassantes et perturbantes au fur et à mesure du récit de cet enfermement mystérieux dont le mystère caverneux ne fera que s'approfondir avec la découverte et l'examen des recoins et des habitants de cet immeuble qui devient de plus en plus funeste et sépulcral à chaque page tournée. Un mélange surprenant d'influences venant droit de Stephen King, d'X-files (la présence de la tâche noire réveillera des souvenirs à quiconque a attentivement suivi la série.) et même d'Harry Potter, plusieurs générations différentes de lecteurs et de cinéphiles s'y retrouvent.
Quand l’expression mourir de peur prend un sens littéral. En Pologne, un immeuble d’habitation semble être le théâtre de scènes pour le moins surprenantes et morbides en commençant par un homme décapité alors qu’il tentait de sortir de l’ascenseur. Commence alors une cascade d’évènements inexpliqués et a priori inexplicables.
On va suivre plusieurs habitants de l’immeuble, très inquiets de la situation et qui souffrent de cauchemars affreux, décident de fouiller le bâtiment en quête sinon de vérité au moins d’indices.
Comment définir ce roman ? C’est très difficile, j’ai envie de dire qu’il est inclassable : ce roman joue avec les peurs de tout un chacun, les malédictions, les légendes urbaines. J’y ai trouvé au début un petit côté « Shining » de Stephen King.
Tout au long du roman, je me suis demandée si j’aimais ce que je lisais ou non, encore maintenant au moment où je rédige cette chronique. Il est difficile d’aimer un roman à l’ambiance malaisante. Mais le fait est que j’enchainais les chapitres pour savoir le fin mot de l’histoire.
J’ai trouvé les personnages très intéressants : ils ne sont pas lisses, ils ont beaucoup de secrets, beaucoup de casseroles aux fesses, mais au fil du temps et de l’angoisse qui monte, ils vont se serrer les coudes notamment pour 3 d’entre eux qui sans ces évènements, ne se seraient peut-être jamais adressés la parole.
J’ai beaucoup aimé le fin mot de l’histoire, mais attention il faut ouvrir ses chakras.
Zyngmunt Miloszewski a beaucoup de talent et il nous le montre encore ici : sa plume nous emmène vers des contrées littéraires insoupçonnées et franchement moi j’ai bien aimé ce voyage.
Amateurs de littérature fantastique et de récits horrifiques, Quelqu’un derrière les murs a des chances de vous combler. Une anthologie des lieux hantés peut mentionner maisons, manoirs, châteaux, orphelinats, sanatoriums… mais rarement un immeuble complet où les habitants terrorisés par des forces obscures se retrouvent pris au piège d’une étrange malédiction qui les empêche de sortir du bâtiment.
Nous suivons quelques personnages qui ont un rôle clé dans le récit. Robert, un artiste peintre et Agnieszka son épouse, viennent juste d’emménager lorsqu’un des occupants de l’immeuble, pris de panique dans la cage d’ascenseur, tente de s’en extraire et se fait décapiter. Le drame inexplicable instaure un climat d’angoisse parmi les habitants, d’autant plus qu’il ne s’agit pas du premier accident de ce type, d’autres évènements intrigants ont déjà eu lieu. Le couple rencontre quelques voisins dont Wiktor, un journaliste d’investigation addict à l’alcool et Kamil, un jeune homme en conflit avec ses parents. Et puis, un étrange locataire qui semble avoir piraté l’interphone et écoute les conversations de ses voisins…
Les habitants de cet immeuble sont les jouets de forces obscures qui semblent utiliser leurs traumatismes passés pour les manipuler à leur guise. Pour quelle raison ne peut-on plus sortir de l’immeuble? La réponse se trouve t-elle dans les profondeurs du sous-sol, caractérisé par un dédale de box qui ne suit aucune logique? Wiktor, Kamil et Agnieszka doivent s’unir pour découvrir la vérité.
J’ai découvert avec plaisir la plume de cet auteur polonais, qui allie brillamment récit énigmatique, suspense et horreur dans cet intense roman. J’ai mis quelques temps à entrer dans l’histoire, il faut s’habituer au rythme haletant du récit, au passage d’un personnage à un autre et aux dialogues enregistrés par le mystérieux locataire. Mais le récit des évènements paranormaux sont véritablement horrifiques, donc passionnants, et cela fait que l’on est transporté dans cette histoire déconcertante et terrifiante. Merci aux Editions Fleuve Noir via Netgalley pour cette lecture.
L’illustration m’a tout de suite happée et même si la quatrième de couverture suppose une part d’irréel, mon envie de pénétrer dans ce lieu énigmatique a dominé. J’ai eu la chance de pouvoir découvrir ce roman en avant-première. Il sort le 02 janvier 2025 aux éditions Fleuve Noir.
Un jeune couple fraîchement débarqué, un journaliste alcoolique, un jeune délinquant et d’autres personnages singuliers habitent cet immeuble particulier. En effet, après un mort décapité et des hallucinations, les voilà maintenant comme coupés du monde extérieur…
Il s’agit d’un roman polonais et je dois avouer qu’il m’a fallu un temps d’adaptation. Les noms ne nous sont pas familiers et les L barrés sont déroutants. Mais une fois ces petits désagréments digérés, la lecture devient limpide.
L’écriture est dynamique, vivante. Très visuelles, les scènes se matérialisent et ce huis clos se mue presque en pièce de théâtre. Beaucoup d’humour et de second degré, certains dialogues sont hilarants. Mais ce qui m’a le plus intéressée c’est le passé mystérieux des protagonistes et plus particulièrement l’histoire de Victor.
Ce texte déroutant m’a complètement éloignée de ma zone de confort. Le côté loufoque est trop présent pour adhérer au côté sombre. Ce roman est à aborder comme une lecture divertissante et non comme un roman noir.
La part d’irréel est au centre de l’intrigue, elle n’est pas occultable malgré tout elle s’intègre bien. Même si ce n´est pas mon style littéraire de prédilection cela ne m’a pas dérangé. Zygmunt Miloszewski nous offre une lecture plaisante, rythmée et divertissante.
En 3 mots : Dérangeant, terrifiant, glauque.
"Quelqu'un derrière les murs" est le 8ème roman de Zygmunt Miloszewski, auteur polonais à succès.
À Varsovie, la tranquillité d`un immeuble est soudainement menacée quand un de ses occupants, pris d`une inexplicable panique, tente de s`extraire de l`ascenseur en marche et se fait décapiter. Après ça, d`autres locataires deviennent victimes d`hallucinations et, bientôt, une étrange malédiction s`empare de ce bâtiment dont plus personne ne peut sortir.Robert et Agnieszka, un couple qui vient d`emménager, partagent alors la peur qui s`est immiscée dans leur quotidien avec Wiktor, un ancien journaliste d`investigation tombé dans l`alcool, et Kamil, un adolescent révolté contre ses parents. Ensemble, ils espèrent comprendre quelle force démoniaque leur fait vivre ce cauchemar éveillé. Et qui est ce voisin étrange qui a piraté l`interphone et écoute ce qui se passe dans tous les appartements.
Ce thriller est, dès le début, très noir, on rentre vite dans une ambiance mortifère très bien décrite par l'auteur. Son style est explicite, les personnages évoluent dans un immeuble qui semble animer d'une vie propre. On fait tout d'abord la connaissance des habitants : Agniezska et son mari, Robert, ont quitté leur petite ville pour la capitale, afin de se construire leur petite vie. Ils emménagent justement au moment du décès dans l'ascenseur. On fait ensuite la connaissance de Wiktor, journaliste en perte de vitesse, alcoolique et qui a vu son épouse et sa fille le quitter, puis Kamil, un jeune homme de 18 ans en guerre permanente avec ses parents, essentiellement son père d'ailleurs. On découvrira peu à peu les autres habitants tout au long des chapitres. Kamil, Wiktor et Agnieszka vont être les personnages récurrents de ce thriller, les meneurs dans les actions. L'immeuble refuse de laisser sortir les habitants, personne ne peut les entendre de l'extérieur, et même les visiteurs semblent oublier le pourquoi de leur venue une fois devant la porte. Il n'y a plus de téléphone, plus d'eau et ils ne peuvent donc compter que sur eux. Ajoutons à ceci que certains semblent au départ souffrir de cauchemars horribles, plus que réalistes.
Dans cet environnement morbide, on suit donc ces personnages qui vont tout tenter pour s'en sortir. Tout est terrifiant dans ce que l'auteur décrit, il ne nous laisse que peu de répit. Plus on tourne les pages, plus la situation semble désespérée. Zygmunt Miloszewskia vraiment un don pour rendre une situation mortifère, on est un peu dans un film à la Hitchcock : suspense et horreur au rendez-vous. On est plongé dans ce roman malgré tout car on veut connaître l'issue finale : comment vont terminer les habitants ?
Et ce final est à la hauteur du reste : très réussi !
Il me manque peut-être un petit quelque chose : j'aurais aimé connaître le devenir de certains... Ce qui m'a également interpellée durant ma lecture est la façon d'écrire dans certains chapitres : les personnages sont connus, on les a détaillés, on sait qui s'adresse à qui, et pourtant, l'auteur ponctue leurs débuts de dialogue par homme 1, homme 2 femme 1 .... Ce n'est pas partout et cela paraît donc étonnant, l'auteur a-t-il voulu agir comme dans une pièce de théâtre ? A-t-il pensé produire un effet (que je ne comprends pas en l'occurrence) ? Cela reste en tout cas une simple question de ma part.
Si vous aimez les thrillers assez noirs, à destination de personnes plutôt adultes, je vous conseille ce roman.
Merci à Fleuve éditions et NetGalley pour ce service presse.
#Quelquunderrièrelesmurs #NetGalleyFrance
Quelqu'un derrière les murs est un thriller psychologique du talentueux auteur polonais Zygmunt Miłoszewski. Il est paru le 2 janvier chez @fleuve_editions
Avec une construction narrative classique mais maîtrisée, alternant les perspectives des différents résidents, l’auteur nous offre une intrigue aussi complexe que captivante.
Les personnages atypiques, loin des stéréotypes habituels, apportent de la profondeur au récit. Robert et Agnieszka, un couple fraîchement installé, voient leur quotidien basculer dans l'angoisse. Wiktor, ancien journaliste d'investigation en proie à l'alcoolisme, et Kamil, adolescent en rébellion contre ses parents, complètent ce tableau humain riche et nuancé. Leurs interactions et évolutions face aux phénomènes inexpliqués les rendent profondément attachants malgré leurs failles.
L'ambiance oppressante est omniprésente. En effet, Miłoszewski parvient à créer au fil de son récit une atmosphère claustrophobique où chaque recoin de l'immeuble semble habité par une menace invisible. Les descriptions précises et les situations anxiogènes contribuent à maintenir une tension et un malaise permanents. Est-ce une psychose collective ou une force surnaturelle est-elle à l’œuvre ?
Le suspense est savamment dosé, chaque chapitre révélant son lot de mystères et de rebondissements. Les hallucinations des habitants, l'impossibilité de quitter les lieux et la présence inquiétante d'un voisin espionnant via l'interphone sont autant d'éléments qui tiennent en haleine jusqu'à une conclusion explosive.
Pour conclure, Quelqu'un derrière les murs est un thriller psychologique abouti, mêlant habilement une intrigue bien ficelée, des personnages atypiques et une atmosphère oppressante. J’ai passé un très bon moment.
Premier livre de cet auteur polonais.
Merci à NetGalley et aux éditions Fleuve Noir de m'avoir permis découvrir cet auteur.
Un thriller fantastique et horrifique.
Un huis-clos angoissant dans un immeuble en partie désaffecté.
Tous les protagonistes sont en proie à de terribles cauchemars.
Impossible de sortir, les événements dramatiques s'enchaînent.
Un univers très glauque, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Un univers de folie qui finalement m'a conquis. Pour les amateurs du genre.
Premier auteur polonais dans ma pal. la 4ème de couverture est alléchante.
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