Les lapins ne mangent pas de carottes

Lu par Thomas Marceul
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Date de parution 25 oct. 2023 | Archivage 12 nov. 2023
Audiolib | Policier & Thriller

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Résumé

TITRE UNIQUEMENT DISPONIBLE AU FORMAT NUMÉRIQUE

« L’image que nous avons des animaux correspond rarement à la réalité. Les moutons ? Des suiveurs, sans aucune personnalité. Les porcs ? Ils sont sales. Les loups ? Méchants. Cette vision déformée peut nous conduire à négliger les animaux, à les mépriser, voire à justifier leur exploitation déraisonnée, qui se traduit par la violence et l’injustice.

Il nous faut déconstruire les représentations et les pratiques que nous perpétuons de génération en génération, malgré nos connaissances scientifiques toujours plus grandes. C’est ce à quoi je souhaite contribuer avec ce livre : modifier notre manière de voir le monde qui nous entoure, apprendre à cohabiter avec les autres créatures, et prendre conscience que nous faisons aussi partie du règne animal.

Ce voyage sera passionnant et renversera nombre d’idées reçues. Face à l’effondrement de la biodiversité et à la crise climatique, ouvrir les yeux sur l’ampleur des problèmes que pose le traitement infligé aux animaux est autant une question d’éthique qu’une question de survie. Pour eux comme pour nous, il y a urgence à changer de regard sur le vivant. »

TITRE UNIQUEMENT DISPONIBLE AU FORMAT NUMÉRIQUE

« L’image que nous avons des animaux correspond rarement à la réalité. Les moutons ? Des suiveurs, sans aucune personnalité. Les porcs ? Ils sont...


Formats disponibles

FORMAT Livre audio, Intégral
ISBN 9791035413903
PRIX 21,95 € (EUR)
DURÉE 5 Heures, 22 Minutes

Disponible sur NetGalley

Application NetGalley Bibliothèque (AUDIO)

Chroniques partagées sur la page du titre

Hugo Clément, un journaliste connu pour son engagement écologique, revient dans ce livre sur les idées préconçues que l'homme a vis à vis des autres espèces. Il donne l'exemple des cirques, des zoos, de la chasse, de la pêche, des espèces protégées, pour nous montrer à quel point nous dérangeons des espèces, et les réarranger selon nos besoins.
J'ai apprécié le juste milieu de ce livre car l'auteur nous donne des informations sur son mode de vie, notamment le fait d'être végétarien, nous explique sans l'imposer et nous invite à y réfléchir. J'ai apprécié aussi le fait qu'il donne souvent des pistes accessibles aux actes de chacun pour mieux vivre tous ensemble sur cette planète.
Je ressors en tout cas beaucoup plus réfléchie de cette lecture, qui par moment effraie sur ce qu'est l'homme et à d'autres rassure.

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Le titre peut prêter à sourire lorsqu'on a été élevé avec cette image du lapin qui adore les carottes. Alors qu'elles ne font pas partie de son régime alimentaire et qu'elles seraient même néfastes à haute dose, comme le sucre pour nous. Donc à la rigueur, exceptionnellement pour une petite douceur mais pas plus ! Évidemment, ce livre ne tourne pas autour des lapins (pas que) mais c'est une image marquante sur notre manque de connaissances flagrant concernant les animaux. Avec les choses que l'on ne sait pas et celles que l'on ne veut pas voir, ça donne du temps et de l'espace à ceux qui ne veulent que du mal aux animaux.

Et ces derniers sont très nombreux… J'ai beau lire sur le sujet, je suis encore étonnée et même plutôt choquée de découvrir encore des façons de faire parfois totalement légales mais absolument immorales. Sans parler des entorses à la loi pour quoi ? Le plaisir de tuer tout simplement. Il y a de quoi se mettre dans une grande colère lorsqu'on ouvre ce livre. Merci à l'auteur de nous ouvrir les yeux sans être moralisateur. Hugo Clément ne cherche pas à donner de leçons, il avoue lui-même ne pas être parfait (d'ailleurs qui l'est?), il veut simplement porter à notre connaissance ce qui nous est encore inconnu.

Les chasseurs, les industriels, les politiques…
La chasse, la vénerie (je suis originaire d'une région où il y a eu de nombreux cas qui donnent la nausée), les élevages industriels, les parcs privés de chasse, les animaux dont on parle en tonnes et non en nombre…

Loin de moi l'idée de donner des leçons, je ne suis ni végan ni végétarienne. Je suis juste une personne qui comprend et ressent de plus en plus ce que l'on appelle la dissonance cognitive et qui tente d'être plus en accord avec ses valeurs humaines et morales. Et cela fait du bien de lire un auteur qui s'engage, nous informe sans que l'on ait l'impression de se faire taper sur les doigts. Je recommande cette lecture, au moins pour retrouver un peu de pouvoir face à ce qui nous est imposé ou bien caché.

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Des capacités les plus incroyables des animaux qui font que l'homme n'est pas comme il le pense un être supérieur, à leur conditions de détention dans les cirques ou les zoos, les incohérences de la production de viande en quantité exponentielles, le lobby de la chasse et ses pratiques édifiantes... Tous ces sujets sont abordés, justifiés par des chiffres, des témoignages, des anecdotes, ce qui rend la lecture (ou l'écoute dans mon cas), très intéressante !
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Hugo Clément, connu comme très activiste a réussi à faire de cet écrit une lecture absolument pas culpabilisante, qui amène chacun à réfléchir à ce qu'il pourrait faire évoluer dans sa façon de faire chaque jour, sans pour autant changer totalement de façon de vivre. Il déconstruit de nombreuses idées reçues de manière très intelligente et très claire, ce qui rend cet essai complètement lisible par n'importe qui, même quand on n'y connait pas grand chose sur le sujet.
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Je suis très contente d'avoir eu accès à cette écoute et je regrette de ne pas avoir pris quelques notes sur certains points, il se pourrait que ce livre se retrouve dans ma bibliothèque pour l'avoir sous la main 😉

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L'écriture du texte était également très fluide et très compréhensive.

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Hugo Clément explore une variété de sujets, allant des animaux d'élevage à la chasse, pour finalement aborder la question de la déforestation et de ses conséquences.

J'ai trouvé son livre extrêmement instructif tout en évitant de susciter la culpabilité. Il parvient à sensibiliser les lecteurs à sa cause sans les condamner au box des accusés.

C'est un ouvrage pour ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension de l'importance des animaux, qu'il s'agisse d'éléphants ou de pigeons.

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e viens vous parler d’un livre qui a opéré comme un véritable révélateur pour moi.

Je l’avais, d’ores et déjà, emprunté à la médiathèque mais je ne l’avais pas ouvert. J’avais senti qu’après cette lecture, je ne pourrai plus me cacher derrière de fausses croyances pour continuer à consommer comme avant.

Cette lecture est une lecture coup de poing. Hugo Clément parle de faits, de chiffres, le tout très étayé et documenté.

Son discours sur la souffrance animale, la réalité des abattoirs, en passant par les animaux vivant dans un zoo ou faisant des numéros dans des cirques, invite à la réflexion.

Il n’est jamais dans le jugement, la culpabilité ou dans l’extrême, mais dans une justesse qui ne peut que convaincre. Il admet lui-même continué à manger des œufs ou boire du lait malgré tout ce qu’il sait.

J’avais déjà conscience de tout cela mais c’était difficile pour moi d’entendre la réalité sur ces animaux exploités. L’auteur démonte une à une les fausses croyances que l’on peut avoir sur notre rapport aux animaux.

C’est vraiment l’élément déclencheur pour moi.

Depuis l’écoute de ce livre, je n’ai pas mangé de viande. Pourtant, j’étais à Barcelone et les tapas au « jamon iberico » me faisaient de l’œil. J’ai tenu le coup et espère continuer dans cette voie en ayant un comportement en adéquation avec mes valeurs.

Et vous ? Ce livre vous tente ? Vous avez déjà tenté de devenir végétarien ?

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Je suis déjà assez familière avec le sujet, alors je ne m'attendais pas à apprendre énormément de choses. Pourtant, ce court essai, agréablement narré, apporte des arguments intéressants et pertinents. Hugo Clément n'est ni vindicatif, ni moralisateur, il se contente d'exposer des faits. Il les explicite, montre les fois où nous avons réussi à améliorer les choses, et donne des pistes pour ce qui ne bouge toujours pas assez. Il aborde plusieurs grands sujets comme la chasse, la production animale de masse, les animaux de cirques, des zoos, etc. Mais aussi la perception que nous avons des animaux et quelques non-sens (pourquoi les animaux de compagnie sont protégés par la loi et pas les autres ?).
Enfin bref, je le conseille à tous et toutes.

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Des faits authentiques dans cet essai militant très documenté.

Hugo Clément ne se pose pas en donneur de leçon qui tire la sonnette d'alarme, il présente les faits. Des faits qui sont terrifiants et doivent être entendus de toutes et de tous. La solution ne viendra pas d'en haut. Nous sommes gouvernés par l'argent, le toujours plus d'argent à n'importe quel prix. Et c'est la nature, sa faune et sa flore qui trinquent.

L'agro-alimentaire, les élevages intensifs, l'abattage, la chasse, l'agriculture, l'environnement, la protection animale... L'auteur fait l'état des lieux. De quelles manières les animaux vivent entre eux et de quelles manières l'animal qui s'élève au dessus des autres, détruit sans état d'âme : l'homme et sa toute puissance au détriment des êtres sensibles et de la nature

Un texte nécessaire, à lire.
Ici à écouter. Une lecture réussie. Le rythme et le ton sont agréables. Malgré les chiffres et l'effroi narrés, l'écoute est agréable.

Je conseille vivement l'écoute de ce livre.

Je remercie @netgalleyfrance et @audiolib.

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Les lapins ne mangent pas de carottes. Le saviez-vous ? Avec cet essai, Hugo Clément tente de démonter certains clichés sur les animaux : le loup serait méchant, les rats nous transmettraient la peste, les porcs seraient… Ces fausses perceptions nous biaisent dans notre relation aux animaux, par rapport auxquels nous nous plaçons toujours en supérieurs, et de fait en position de dominants.

Après une première partie sur son végétarianisme et l’élevage intensif des mammifères, l’auteur fait le tour des différentes situations d’exploitation des hommes sur les animaux et, à l’aide de données chiffrées et de sources fiables, détruit les arguments souvent avancés par les zoos et parcs animaliers, delphinariums et autres organismes.

Le chapitre sur la chasse est édifiant. Je n’étais pas spécialement anti-chasse, mais l’on se rend compte de l’hypocrisie et de la mauvaise foi de ce lobby puissant. De quoi vous donnez des billes face à tonton Gérard au prochain repas de famille !

J’ai aimé l’approche non culpabilisante d’Hugo Clément. Il ne mange pas de viande mais ne blâme personne et invite juste à faire de son mieux, sans reproche. Il préfère informer que convaincre et ça me semble une approche efficace.

Enfin, il invite à changer notre rapport à la faune et propose à chacun de faire des petits gestes du quotidien pour aider : réduire ou supprimer sa consommation de produits carnés, participer aux conseils municipaux, s’investir dans les associations, etc.

La métaphore de la maison parle d’elle-même. Imaginons-nous une brique parmi les autres espèces d’animaux, le tout formant une demeure. Si une brique ou une dizaine de briques manquent, ça passe encore, mais si plusieurs milliers d’espèces disparaissent et donc de briques, la maison s’effondre et les humains avec. Percevons-nous comme faisant partie de la nature et de notre environnement, qu’il faut à tout prix protéger, au delà d’intérêts économiques à courts termes.

Cet essai est une parfaite synthèse. Il est clair, richement documenté et suffisamment alarmant, sans donner de leçon. Il permet une prise de conscience et aide à déconstruire beaucoup d’idées reçus. Et comme la citation finale d’Albert Einstein le dit si bien « Ceux qui ont le privilège de savoir ont le devoir d’agir ».

Une lecture nécessaire et enrichissante que je recommande !

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J'ai toujours apprécié le travail d'Hugo Clément sur les réseaux sociaux et à la télévision et ce livre n'a fait que me conforter dans cette idée. Ce livre peut être difficile à lire pour certain·es car l'auteur ne met pas sous le tapis les atrocités faites aux animaux, mais j'estime qu'il est important de s'instruire sur ce sujet. Il couvre l'ensemble des grandes questions liées aux animaux et à notre relation avec elleux, en tant qu'humain·es. C'est un ivre d'utilité public qui devrait être lu dans les école selon moi. Bravo pour ce grand travail de vulgaisation de grands concepts.

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Ce livre traînait dans ma wishlist depuis sa sortie, il y a un peu plus d’un an, mais j’avoue que le sujet et la façon dont il serait traité me faisaient un peu peur. C’est en début de mois que j’ai enfin osé sauter le pas, lorsque j’ai découvert que *Les Lapins ne mangent pas de carottes* était disponible en livre audio et que les éditions Audiolib ont accepté de me le faire découvrir gratuitement en partenariat avec NetGalley.

Et il est clair que je n’ai pas perdu mon temps avec cette lecture.

En un peu plus de 200 pages, Hugo Clément nous offre une mine d’informations et nous expose les réalités que les hommes font subir aux animaux. J’avoue que la plupart ne m’étaient pas totalement inconnues, j’avais déjà entendu parler de beaucoup de sujets qui se trouvent dans *Les Lapins ne mangent pas de carottes*, mais jamais de manière aussi développée.

Hugo Clément signe un ouvrage pédagogique, bourré de recherches et de sources qui appuient ses propos et ne font que renforcer son discours, et offrent donc encore davantage de crédibilité à ce qui nous est raconté. Tout cela dans des propos justes et mesurés qui ne partent jamais dans des extrêmes (que l’on retrouve souvent chez les activistes), ce qui est le point qui m’a permis de totalement apprécier ma lecture et de lui faire confiance.

Des capacités insoupçonnées des animaux, en passant par la réalité de l’élevage intensif, des abattoirs, de la captivité destructrice des animaux marins, de la chasse, des pratiques alimentaires des humains, des parcs zoologiques, des cirques, des habitats naturels que l’on détruit… Les sujets sont vastes, les réalités hallucinantes. Si bien que c’est parfois violent et difficile de voir les choses en face, mais totalement nécessaire. Hugo Clément nous met face à nos absurdités, notre cruauté et nos contradictions. *Les Lapins ne mangent pas de carottes* est un ouvrage d’utilité publique, ça ne fait aucun doute.

En bref, *Les Lapins ne mangent pas de carottes* de Hugo Clément est un livre intelligent et pédagogique qui défend la cause animale avec pugnacité, dans des propos justes et mesurés qui ne partent jamais dans les extrêmes. C’est brut et réaliste et bourré d’informations primordiales. Un ouvrage d’utilité publique.

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« Changeons de regard sur les animaux » est la phrase d’accroche en couverture du roman (dans sa version papier comme dans sa version audio) et elle résume là le propos du livre.
Changer le regard, c’est aussi changer nos comportements, nos habitudes. Cet essai du journaliste Hugo Clément, qui lutte pour l’écologie et le bien-être animal, ne se veut pas pour autant moralisateur. Ici, place au questionnement, à l’information, à la remise en question, à des suggestions et des idées pour agir concrètement.
Je n’ai pas grand chose à dire concernant Les lapins ne mangent pas de carottes si ce n’est que j’ai trouvé que c’était très intéressant. Outre le sujet classique de l’animal en tant que nourriture (ici, nous retiendrons que, dans nos contrées, manger un animal est généralement un choix et non une nécessité ; on s’accordera toutefois sur le fait que changer de régime alimentaire n’est pas si facile, que ce soit les habitudes, le poids sociétal, etc.), il est aussi question de l’animal exploité, l’animal en tant qu’industrie : pour nous nourrir, pour nous habiller, pour nous divertir. Concrètement, nous exploitons les animaux pour de multiples raisons et nous les abattons pour tout autant de raisons : la nourriture est ce qui m’est venu en tête en premier, la chasse en deuxième. Quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai appris que certains zoos, à travers le monde, euthanasient les animaux en « surplus » (plutôt que de privilégier la castration, par exemple) ! Le livre nous parle tout aussi bien de ce qui se passe sur terre comme en mer, se concentre sur l’Europe mais n’hésite pas à faire des détours à travers le monde ; il nous parle essentiellement des animaux mais aussi de ce qui les entoure, comme leurs habitats que nous avons tendance à détruire pour notre propre confort ; etc. Du côté des solutions, outre qu’il est proposé de consommer moins de viande et de poisson (voire plus du tout), il y a également des choses simples telles que créer des corridors écologiques en ville, ne pas tailler sa haie entre le 15 mars et le 31 juillet (période de nidification)… On nous explique aussi pourquoi les murs végétaux sont de fausses bonnes idées (cela augmente le risque de collision pour les oiseaux), pourquoi les rats en ville ont leur utilité et tout plein de choses encore.
Enfin, j’ai découvert cet ouvrage en audio et je dois dire que Thomas Marceul a fait un très bon travail de lecture, c’était très agréable de l’écouter.

Les lapins ne mangent pas de carottes est un livre d’utilité publique, il est donc à lire et à faire découvrir. Si vos proches ne veulent pas le lire, à vous de transmettre les informations qui vous auront marqué ! Parce que chaque petite action, chaque petite transmission de savoir a son importance.

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J'ai commencé à lire ce livre par curiosité, par envie de découvrir un autre point de vue sur la conscience animale. Au fur et à mesure que ma lecture avançait, je me rendais compte que je ne lisais plus par envie d'en savoir plus mais par devoir. Par obligation. Comme quand on visite le camp d'Auschwitz, qu'on regarde « La liste de Schindler » ou qu'on lit « Le journal d'Anne Frank ». J'étais obnubilée par ce devoir de comprendre. Ce devoir de savoir. Ce besoin, maintenant, de ne plus faire comme si je ne savais pas et de le faire jusqu'au bout.

Ce livre ne m'a pas fait arrêté de manger de la viande directement à la fin de ma lecture. Mais il a remis les choses à leur place. Par des arguments extrêmement bien menés et des façons de s'exprimer qui vont totalement à l'encontre de ces extrémistes écologiques, il arrive à nous expliquer calmement des faits et non pas à les décrier en nous incriminant.

J'ai adoré la découverte de cet ouvrage et je pense, même si âmes sensibles s'abstenir, qu'il faudrait le voir entre toutes les mains !

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J'ai bien aimé la construction de cet essai, où M. Clément nous présente des anécdotes avant de nous présenter ses statisitques. Le style d'écriture est simple, ce qui permet d'être très accessible pour tout le monde. De plus, j'ai beaucoup aimé le découvrir en version audio; la voix du lecteurs porte très bien ce récit, et j'ai trouvé sa narration très aggréable.

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