Dernier train pour Londres

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Date de parution 20 oct. 2022 | Archivage 23 janv. 2023
Les Escales, Domaine étranger

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Résumé

Inspirée de faits réels, l’histoire poignante d’une femme qui a sauvé des milliers d’enfants au péril de sa vie.

En 1936, à Vienne, les nazis ne sont encore que de vagues brutes pour Stephan Neumann, adolescent issu d’une famille juive, et sa meilleure amie Žofie-Helene. Mais l’insouciance de la jeunesse laisse place à l’inquiétude quand arrivent les troupes d’Hitler.

Alors que l’avenir semble de plus en plus sombre, une Néerlandaise, Truus Wijsmuller, s’investit dans la mission des Kindertransport : évacuer les enfants hors des pays occupés par les nazis et leur trouver de nouveaux foyers.

L’étau se resserre, mais tante Truus, comme l’appellent les enfants, n’écoute que son courage et continue sa périlleuse mission, allant jusqu’à négocier avec Eichmann en personne le départ de centaines d’enfants.

Inspirée de faits réels, l’histoire poignante d’une femme qui a sauvé des milliers d’enfants au péril de sa vie.

En 1936, à Vienne, les nazis ne sont encore que de vagues brutes pour Stephan Neumann...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782365697859
PRIX 16,99 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Merci aux éditions les escales de m’avoir donnée l’opportunité de lire ce roman. Aux prémisses de la seconde guerre mondiale, l’exil des juifs se prépare. Des milliers d’enfants juifs sont évacués vers l’Angleterre afin de les protéger de l’arrivée du nazisme et de l’antisémitisme. Dans ce contexte, Truus Wijsmuller, une néerlandaise va œuvrer pour sauver des milliers d’enfants juifs en péril dans les pays occupés par les nazis pour les évacuer vers un lieu plus sûr, l’Angleterre. Elle mettra sa vie parfois en péril afin d’accomplir coûte que coûte sa mission. Une belle histoire de résilience et de courage. J’ai été touchée par l’histoire de cette femme qui a tout mis en œuvre pour sauver et éloigner des milliers d’enfants juifs du nazisme. Un roman poignant qui lit re le courage des sauveurs de l’ombre. Une très belle lecture que je recommande de découvrir .

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Je viens de découvrir cette nouvelle pépite sortie récemment aux éditions Les Escales.
Encore un roman sur ce thème qui m'est cher, la seconde guerre mondiale. Je suis d'autant plus ravie de ma lecture qu'elle aborde une partie de l'histoire que je n'avais jamais lue encore, les Kindertransport, à savoir l'évacuation d'enfants juifs des pays occupés par les nazis avant même le début de la guerre.

En effet l'histoire commence en 1936, en Autriche. Nous allons faire la connaissance de Truus Wijsmuller, une néerlandaise qui a donné sa vie au sauvetage d'enfants juifs pour leur trouver de nouvelles familles loin des nazis. Une femme au courage incroyable qui ne baissera jamais les bras par amour pour ces enfants, elle qui n'a pas réussi à en avoir.

Nous allons également suivre la vie d'une famille très connue en Autriche, la famille Neumann qui possède une importante chocolaterie. Mais voilà, la famille Neumann est une famille juive et il va falloir que Stephan et Walter, les deux enfants, échappent aux nazis coûte que coûte. Ils seront pour cela aidés de l'amie de Stephan, Zofie-Helene et de sa famille.

Ce roman est bouleversant. Je n'avais jamais entendu parler de tous ces enfants que l'on a expatrié pour échapper à une mort certaine. Et il y en a eu tellement. Je m'imaginais à la place de leurs parents qui n'avaient d'autres choix que de se séparer de leurs petits pour les protéger. L'horreur que ces familles ont dû vivre m'a profondément émue, cette histoire va me marquer longtemps.

Quant à Geetruida Wijsmuller, "tante Truus", résistante néerlandaise qui a sauvé plus de 10 000 enfants juifs, je n'en avais jamais entendu parler et je trouve incroyable que des personnes comme elle, véritable combattante qui a risqué sa vie durant des années, soient passées sous silence. L'auteure lui rend à travers ce livre un magnifique hommage, alors merci à Meg Waite Clayton de nous permettre de découvrir cette femme.

On s'aperçoit que dans ces pays comme l'Allemagne, l'Autriche ou l'Angleterre qui a accueilli nombre de ces enfants, la guerre avait débuté bien avant 1939.

Un véritable coup de cœur!

Note : 19/20

Je remercie la maison d'édition Les Escales qui m'a envoyé ce roman via Netgalley.

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Merci à Netgalley et aux éditions Les Escales pour m'avoir permis de lire ce roman.
1936, alors que le climat mondial est délétère, Truus Wijsmuller, une femme néerlandaise, se rend régulièrement en Allemagne pour ramener des enfants juifs dans des familles d'accueil.
A Vienne, la menace nazie n'est que vague spéculation pour Stephan Neumann, issu d'une famille aisée d'industriels juifs, qui vit pleinement son histoire d'amour naissante avec Zofie-Helene. Il ne croit absolument pas au fait que les juifs sont menacés jusqu'au moment où il est obligé de se cacher pour échapper aux rafles.
Inspirée de faits réels, l'histoire de cette juste qui a sauvé de nombreux enfants juifs en les envoyant en Angleterre, est captivante.
Roman très bien écrit et très documenté.
Récit émouvant qui m'a touché et m'a tiré quelques larmes.
Très très bon moment de lecture.

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Lorsque le nazisme est monté au pouvoir, chacun a réagi comme il le pouvait. Tant en Allemagne qu’en Autriche, en Angleterre ou au Pays-Bas. Les secours s’organisent, au risque de vies humaines.

Une néerlandaise, Truus Wijsmuller, sait qu’il faut agir. Aidée par un réseau, elle va oser l’exfiltration de centaines d’enfants, dans des conditions dangereuses, difficiles. Mais son abnégation va permettre de sauver autant de jeunes vies.

J’ai eu un peu de mal à entrer, au départ, dans l’histoire. Ca me semblait un peu décousu. L’alternance des situations me semblaient trop compliquée à combiner.

J’ai ensuite été emportée par le rythme et les situations différentes qui se rejoignaient. Et j’ai été très émue par le récit d’un convoi en particulier.

En sachant que tout ces faits sont réels, j’ai été d’autant plus secouée par ce que je découvrais. L’auteur a pu rendre cette tension, cette peur tellement réelles. Je me suis rendue compte, à la fin d’un chapitre en particulier, que j’étais tellement entrée dans la narration que j’étais crispée en attente d’un événement.

J’ai découvert un pan historique que je ne connaissais pas du tout. Cette période m’intéresse toujours particulièrement, parce que je pense qu’un travail de mémoire, de transmission, doit rester important. On oublie trop vite. Et lorsqu’on oublie, on reproduit. Ce qu’il faut à tout prix éviter.

Je ne peux donc que vous recommander cette lecture touchante, haletante et intéressante. Je suis certaine que vous ne le regretterez pas!

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Un véritable coup de coeur pour cette lecture!
Geetruida Wijsmuller, "tante Truus", est une résistante néerlandaise qui a sauvé plus de 10 000 enfants juifs, je n'en avais jamais entendu parler, elle a risqué sa vie pendant des années. L'autrice, Meg Waite Clayton, lui rend à travers ce livre un magnifique hommage.
L'Allemagne, l'Autriche ou l'Angleterre ont accueilli un grand nombre de ces enfants, bien avant le début de la guerre.

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En 1936, la Néerlandaise Truus Wijsmuller a déjà entrepris une démarche qui devait gagner en ampleur par la suite : aller chercher à la frontière allemande des enfants juifs en danger pour leur faire gagner la sécurité des Pays-Bas.
A Vienne, pendant ce temps, la vie s’écoule encore paisiblement pour Stephan et Zofie-Helene. Stephan a quinze ans, il est le fils d’un chocolatier réputé et vit dans une demeure qui a tout d’un palais. Il est passionné par Stefan Zweig et a déjà commencé à écrire des pièces de théâtre. Stephan comme sa famille est juif. Ce n’est pas le cas de son amie Zofie-Helene, surdouée en mathématiques, mais elle est la fille d’une journaliste qui n’a pas sa langue dans la poche et n’aura de cesse de jeter un regard critique sur les événements à venir.
Car lorsque, en mars 1938, Hitler, sans coup férir, fait main basse sur l’Autriche et que les nazis prennent le contrôle du pays en le plaçant sous le joug de l’antisémitisme le plus radical, la vie de Stephan et Zofie-Helene vole en éclats …

« Dernier train pour Londres » s’inspire d’une histoire vraie, celle de la Néerlandaise Truus Wijsmuller (1896 – 1978) et c’est l’une des qualités de ce roman que de nous faire découvrir la figure de cette Juste dont pour ma part j’ignorais l’existence. Elle a été jusqu’à rencontrer Eichmann pour obtenir le transfert d’enfants juifs jusqu’en Angleterre, en décembre 1938, en l’occurrence six cents très exactement, Eichmann ayant annoncé que si le compte n’était pas exact à l’unité près, le transport, prévu à dessein seulement quelques jours après cette entrevue et le jour du shabbat, serait annulé.
L’histoire de ce transport spécifique croise celle de Stephan et Zofie-Helene, jusqu’à ce que les deux fils narratifs se rejoignent.

Je pensais connaître assez bien la période évoquée mais l’éclairage apporté par l’histoire des Kindertransport (transports d’enfants) initiés par Truus Wijsmuller puis par des organisations internationales m’a apporté un complément d’informations très intéressant, outre le fait qu’il pointe à nouveau une triste réalité : quand bien même les juifs voulaient fuir l’Allemagne, encore fallait-il qu’ils trouvent un point de chute et l’antisémitisme était tel, au niveau international, camouflé sous des prétextes d’ordre économique, qu’il devenait quasiment impossible de trouver un pays d’accueil. D’ailleurs, les six cents enfants juifs ne sont acceptés par l’Angleterre, dans le transport dont il est question dans le roman, que parce que cet accueil est provisoire et, surtout, sans accompagnement des parents : le livre montre à quel point ceux-ci étaient donc obligés d’effectuer le choix tragique de perdre leurs enfants pour les sauver. Quant à ces enfants, âgés de cinq à dix-sept ans, ils se voyaient arrachés à leurs foyers pour atterrir en Angleterre dans un camp de vacances pas chauffé, de manière certes provisoire, le temps d’être « choisis » par des couples anglais, mais ce provisoire pouvait durer.

L’autre point à mon sens le plus intéressant du roman, c’est sa description de l’Anschluss et de ses conséquences, vues de l’intérieur de l’Autriche : sous la protection d’Hitler, les nazis autrichiens rejoignent leurs homologues allemands et s’emploient dans la foulée à mettre à mal ce qu’ils considèrent comme étant le pouvoir juif, en privant les juifs de leurs ressources et de leurs emplois, c’est-à-dire, déjà, de leurs vies. Ce ne sont pas des faits que je découvrais, mais je les ai trouvés très bien représentés : au travers des manifestations et comportements de masse et individuels, actifs ou passifs et par le biais de ce qui arrive, plus spécifiquement, à la famille Neuman, parfaite illustration de la spoliation des juifs, ici les plus riches, première étape vers les pires mesures visant à l’extermination de tout un peuple pourtant profondément attaché à et ancré dans son pays (il en allait de même pour les juifs allemands en Allemagne).

« Dernier train pour Londres » est un roman édifiant et sensible, focalisé sur une période de l’Histoire qu’on ne rappellera jamais assez, aussi glaçante que la pire des dystopies.

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Un immense merci aux Editions Les Escales de m'avoir permise de découvrir ce livre !

Ce livre décrit les débuts de la 2ème guerre mondiale et le conflit entre juifs Autrichiens et Allemands avec malheureusement les rafles sanglantes de la nuit de cristal mais c'est avant tout un hommage aux personnes qui ont sauvé des milliers de juifs de l'emprise du Reich, notamment cette femme (tante Trust dans le roman) qui s'est donné corps et âme pour le bien de ces enfants, pour leur donner une nouvelle vie, une nouvelle chance en Angleterre.
Je n'avais jamais entendu parler du kindertransport et j'ai été très ému de voir que beaucoup se sont encore une foi battu pour le sauvetage des plus faibles notamment le peuple des Pays Bas.
La plume de l'autrice est touchante sans être mièvre, les chapitres sont courts et l'alternance des personnages donne du rythme au récit.
Merci à Meg Waite Clayton d'avoir mis en avant la générosité, l'empathie des femmes qui ont jalonné le début de cette guerre et qui ont permis l'espoir.
c'est mon 1er coup de cœur de 2023, lisez le !!!!

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