L'ACCOMPAGNATEUR

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Date de parution 10 mars 2022 | Archivage 14 mars 2022

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Résumé

À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d’un service d’accompagnement dédié aux femmes en danger.

Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l’idée d’être suivie par un psychopathe. Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher. Et ce jour se lèvera dans deux heures !

Oppressant, troublant, angoissant… L’un des romans les plus maîtrisés du numéro 1 allemand du thriller, qui une fois de plus, à l’image de ses personnages pervers, joue avec nos nerfs en virtuose.

À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d’un service d’accompagnement dédié aux femmes en danger.

Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l’idée d’être suivie par un...


Note de l'éditeur

En quinze ans – Thérapie, son premier roman, a été publié en 2006 –, Sebastian Fitzek, né en 1971, est devenu un auteur phénomène. En Allemagne, il a vendu plus de 13 millions de livres, traduits dans 36 pays, dont L’Inciseur et Passager 23, tous deux adaptés au cinéma. L’Accompagnateur est son quatorzième suspense publié à l’Archipel.

En quinze ans – Thérapie, son premier roman, a été publié en 2006 –, Sebastian Fitzek, né en 1971, est devenu un auteur phénomène. En Allemagne, il a vendu plus de 13 millions de livres, traduits...


Ils recommandent !

Pour son 14e suspense publié en France, Sebastian Fitzek, le numéro 1 du thriller allemand, a imaginé un scénario diabolique qui scotche le lecteur.

« Une histoire qui a même effrayé son auteur ! » Express

Pour son 14e suspense publié en France, Sebastian Fitzek, le numéro 1 du thriller allemand, a imaginé un scénario diabolique qui scotche le lecteur.

« Une histoire qui a même effrayé son auteur ! »...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809843361
PRIX 22,00 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

CW : pensées suicidaires, tentative de suicide, suicide, mort d’enfant, violence conjugale, violence sexuelle, viol, meurtre

Jules Tannberg, ancien standardiste du numéro d’urgence de la police de Berlin, passe la soirée au service d’accompagnement. C’est un service téléphonique bénévole qui permet aux personnes apeurées de communiquer avec un accompagnateur sur le chemin pour rentrer chez eux. Ce service est surtout utilisé par les femmes qui se sentent en danger, la nuit dans la rue. Aucun appel n’a jamais été important ou dangereux, excepté celui que reçoit Jules. Klara pense être poursuivie par un homme l’ayant déjà agressée et ayant peint sur le mur de sa chambre la date de la mort de Klara avec le sang de celle-ci. Date qui n’est autre que dans quelques heures, juste après minuit.

C’est un thriller psychologique angoissant et oppressant. Je ne connais pas le travail de Fitzek donc je ne sais pas si tous ces thrillers sont du même modèle. Celui-ci se met en place doucement, beaucoup d’informations sont données pour que l’on puisse comprendre le rôle de chaque personnage, l’origine de l’angoisse de Klara, le passé de Jules. L’angoisse apparait dès l’appel de Klara et ne va nous quitter qu’à l’ultime fin de l’histoire, les dernières lignes. Les évènements s’enchaînent ensuite rapidement, on découvre de nouveaux personnages, on en apprend plus sur la vie de chacun et sur leurs pensées. La tension ne redescend jamais vraiment, on est immergé dans l’intrigue, essayant de comprendre d’où peut venir le danger.
De mon point de vue, l’histoire de Klara est trop violente et traumatisante, je pense qu’on comprend parfaitement ce qu’elle vit sans pour autant avoir besoin d’un autre épisode traumatique dans sa vie. Elle souffre trop, il y a un véritable acharnement sur elle que je ne trouve pas justifié. Elle vit l’enfer et je ne comprends pas pourquoi une si grande violence est nécessaire pour l’intrigue. C’est aussi un personnage un peu cliché des polars/thrillers, la femme en détresse, ses réactions sont expliquées par ses troubles psychologiques, la femme faible qui ne peut pas s’en sortir toute seule. L’histoire ne comprend que très peu de personnages féminins. Et dans ce monde extrêmement masculin, la femme est « forcément » faible et dépendante de l’homme.
Je n’ai pas trop compris le personnage de Jules, surtout au début. Il se contredit, se perd, sa vie est floue. La suite de l’histoire permet de comprendre son rôle, mais le début est assez confus.
J’ai trouvé la fin un peu facile dans sa construction. Une simple discussion entre deux personnages permet de comprendre le rôle de chacun. La réponse à toutes nos interrogations est juste jetée à la fin, sans vraiment trop expliquer les évènements, les répercussions de ces évènements, les motifs des personnages.

Je ne dirais pas à tout le monde de lire ce livre car il est extrêmement violent et parle de sujets sensibles (voir CW). Certains passages sont très crus, voire choquants, et tout le monde ne veut pas lire ce type de livre. Mais, si vous aimez les thrillers angoissants, où le dénouement est flou, où l’avenir est très incertain, où l’angoisse monte au fil du récit, je pense que ce livre répond à toutes vos attentes.

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Jules travaille dans un service d'accompagnement téléphonique pour les femmes en danger et Klara est une femme que la vie n'a pas épargnée. Un soir, se sentant menacé, Klara va composer le numéro du service d'accompagnement et va tomber sur Jules. Cet appel risque de changer leur vie pour toujours.

Sebstian Fitzek est un auteur que je suis depuis plusieurs années et qui ne m'a jamais déçue jusque-là. Cela a de nouveau été le cas avec son nouveau thriller "L'accompagnateur".

Nous sommes plongés dans un roman angoissant et remplis de suspense jusqu'à la dernière page. Quand on pense être arrivé au bout de l'histoire, l'auteur nous propose encore des rebondissements qu'on ne voit absolument pas venir.

Certains passages du livre sont par contre assez dur à lire, il faut avoir le coeur accroché par moments, mais l'histoire et surtout le final vaut la peine de continuer la lecture.

Je remercie le site "NetGalley" et les éditions de "L'archipel" pour la découverte de ce roman.

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J'ai lu la plupart des romans de l'auteur, et je suis en général conquis. Pour la première fois depuis que je lis Fitzek, je sens que je suis largué dans une histoire qui n'est pas faite pour moi. La violence de ce roman, fait de lui un livre à ne pas mettre entre toutes les mains. Je suis allé au bout par principe, et par respect à la maison d'édition qui m'a fait confiance pour cette lecture (Et NEtGalley).

Par contre je sais qu'il trouvera son public, les lecteurs qui peuvent passer outre cette violence, auront une histoire dont le sujet est intéressant. Comme toujours l'écriture est fluide, le suspense est maitrisé, et à chaque fin de chapitre on a envie de connaitre la suite. (Finalement c'est aussi pour cela que je suis allé au bout...)

Je recommande ce roman UNIQUEMENT à ceux qui peuvent supporter l'ultra violence et les scènes très crues.

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Berlin. Allemagne.
Jules remplace son ami César à la permanence au service d’accompagnement téléphonique réservé aux victimes de violences conjugales. Mais le premier appel, c’est Klara. Elle a composé par inadvertance le numéro et lui confie vouloir en finir avec la vie. À partir de là, Jules se sent responsable d’empêcher son suicide et n’hésite pas à partager avec elle ses propres blessures traumatisantes. Pourtant, la jeune femme le prévient, en vain, des menaces qu’elle a reçues du danger encouru pour lui à parler avec elle.
En attendant de la localiser et de la dissuader de son projet, l’accompagnateur recueille ses confidences insoutenables. Elle subit des tortures physiques, sexuelles et psychologiques de son sadique de mari Martin. À cet enfer domestique, s’ajoutent les menaces du « tueur au calendrier », un serial killer en cavale qui la destine à une mort barbare si celle-ci ne tue pas son mari Marin. D’où la décision de Klara de se tuer elle-même.
Or, durant leur échange téléphonique où la confiance s’installe, Jules joint HC, son père. Le temps presse pour sécuriser la jeune femme alors il doit user du réseau de cet enquêteur en assurances. Il doit passer sur sa rancune envers le mari violent qu’il avait été pour sa mère, contrainte à fuir le foyer.
Pour ajouter de la tension à cette soirée, Jules lui-même devine une présence infiltrée dans son appartement pendant que Klara sent être traquée de son côté.
Comment finira cette nuit d’effroi pour nos deux protagonistes ?
Quand tout est dit :
Astrid-Maria Bock, BILD-Zeitung, 27 juin 2017
« Une étude du ministère fédéral pour la Famille montre que les femmes ayant été témoins dans leur enfance de violences domestiques entre leurs parents deviennent elles-mêmes deux fois plus souvent victimes de violences domestiques. Celles ayant subi des violences de la part de leurs parents sont même, une fois adultes, trois fois plus souvent victimes de violences conjugales. »
MON AVIS
Voici mon coup de cœur du mois, pour ne pas dire, de l’année ! J’adresse un énorme remerciement pour le site internet Netglley et les éditions L’Archipel, fidèles à leur choix de publications (je ne suis jamais déçue de leur part). Difficile de rivaliser avec ce roman époustouflant et captivant impossible à lâcher. Pourtant, est-ce un hasard que sa publication ait été prévue le 10 mars, soit 2 jours après la journée de la femme ? Car ce roman est un cri contre la violence conjugale.

Le prologue nous met dans l’ambiance. En effet, une femme se réveille dans la suavité d’une nuit romantique un peu mystérieuse. Et cette évocation tourne au cauchemar pour produire l’effet d’une douche froide.

Ensuite, le scénario d’une fluidité incroyable démarre avec la lenteur trompeuse d’une conversation téléphonique. Loin de cette comédie, « le père Noël est une ordure » on retrouve ici l’idée du désespoir d’anonymes au téléphone auprès de bénévoles dédiés à les assister par téléphone. L’intimité entre la personne effondrée et l’interlocuteur se pose ici en version thriller. D’ailleurs, cette hypothèse nous propose une nuit d’effroi. Je défie quiconque de refermer le livre avec l’âme légère face à cette violence dont on est témoin durant toute la lecture. Tous les ingrédients pour un roman palpitant, un film exaltant, ou un scénario de chef-d’œuvre sont réunis ici. Le calme avant la tempête s’annonce sous l’effet d’une tension permanente agrémentée et d’actions plus ou moins violentes. De plus, la manipulation procure à l’intrigue une dimension psychologique. Finalement, tous les personnages, même secondaires, occupent une place importante.

DE LA VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
Certes, l’enjeu d’une vie à sauver présente un caractère trépidant, mais il devient carrément sérieux quand le passé dramatique des protagonistes vient être évoqué. Et le tragique de la situation s’aggrave, et va en crescendo quand de part et d’autre de la ligne téléphonique se déroulent des scènes d’une violence rare. Le lecteur, lui, ne décroche pas une minute, car la psychologie et la manipulation verbale règnent en maître.

L’excellence du scénario pourrait constituer celui d’un thriller cinématographique grandiose à la Hitchcock. Là, comme dans tout bon film à suspense, le spectateur sera tenté de le visionner à nouveau. Et ceci pour redécouvrir des éléments qui lui ont échappé. Avec cet ouvrage hors-norme, j’expérimente pour la première fois l’envie irrépressible de le reparcourir. Cette fin si déroutante, pétrifiante, et surprenante, nous contraint à nous remémorer mentalement toutes les scènes plus ou moins percutantes. Et du coup, l’on referme alors le livre avec ce sentiment d’avoir été happé par le récit. Si bien qu’on a l’impression d’être passé à côté d’énigmes. Et c’est ce qui arrivera à toutes les personnes qui, trop captivées par l’intrigue, oublieront de lire entre les lignes.

De la violence pour répondre à la violence conjugale
On pénètre dans un monde complètement à part où la normalité d’un crime penche dans une originalité effroyable. Âme sensible s’abstenir. La mise en scène du « tueur au calendrier » s’inscrit dans une barbarie absolue. L’horreur continue avec le récit de Kara. Là, ses blessures physiques s’accompagnent de tortures psychologiques pour s’achever avec une fin étourdissante.

La vie maritale de Clara fait frissonner. Les tortures infligées par un mari sont au-delà du supportable. La scène de l’ascenseur obscur conduit au seuil du Mal. On s’y adonne aux « Violence Play ». Ainsi, je me plais à penser que c’est une élucubration fertile de l’auteur. On pénètre dans l’univers glauque et malsain d’un club privé pour un jeu sordide où des femmes subissent des mutilations pour la plus grande satisfaction de mâles assoiffés de cruauté. L’imagination de l’auteur n’a de limites ni dans l’originalité des supplices infligées à ses personnages ni dans le scénario alambiqué. Mais la sophistication du récit reste crédible jusqu’à la fin.

A titre d’exemple, la position du tueur au calendrier présente un grand intérêt face à ce genre de situation. Sans divulgâcher l’intrigue, on pourrait presque tirer une certaine morale de ses actes barbares et sanguinaires.

Je vous recommande de vous procurer ce livre, non seulement pour le récit en lui-même, mais pour les notes de l’auteur à la fin. Elles sont riches d’enseignements. Rédigé à l’heure du confinement que nous avons tous connu, le livre a été pour S. Fizek une source de réflexions. quant à l’écriture de romans à suspens, et de la liberté offerte aux auteurs de pouvoir dépasser la réalité.

Citation :
p.104
C’est donc vous qui pourriez prendre les choses en main, mais non : vous laissez vos gamines se ramollir, et plus tard, vous vous plaignez de la domination masculine. C’est pourtant bien vous qui leur achetez des fringues roses et des poupées à paillettes. C’est vous qui les emmenez à la danse et pas aux arts martiaux. Vous leur apprenez, même inconsciemment, à se soumettre et à tout supporter.
L’auteur S. Fitzek
Je ne résiste pas à l’envie de vous le présenter, car je lirai sûrement d’autres de ses romans.

Source Wikipédia : 👉🧐Sébastien FitzeK

Nouveau prodige allemand du suspense, il est né à Berlin en 1971.
Après des études de droit, il travaille à la radio et à la télévision.
Par la magie du bouche à oreille, Thérapie, son premier thriller, s’est retrouvé numéro un des ventes en Allemagne et a été traduit dans vingt-quatre pays.

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À Berlin, il existe une plateforme d'appels téléphoniques à destination des femmes en danger.
Un soir à 22 heures, Jules, un écoutant, décroche son téléphone… l'appel provient de Klara, angoissée à l'idée d'être persécutée et persuadée d'être suivie par un homme qui veut la tuer. Il l'a écrit en lettres de sang… le jour de sa mort, c'est aujourd'hui.

Des rebondissements à gogo, des invraisemblances magistrales. C'est tellement gros que même la victime a fini par m'horripiler! du pur Fitzek!
Si l'on fait abstraction de tout ça, c'est plutôt sympa à lire… attention certaines scènes peuvent choquer.
L'auteur parvient à entretenir le suspense, alimenter l'angoisse et interroger jusqu'à la révélation finale.
Franchement l'idée et la thématique m'avaient plu, j'aurais aimé que l'auteur explore d'autres directions mais tant pis.
Merci infiniment à #netgalleyfrance et #larchipel pour cette découverte.

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Sebastian Fitzek nous fait…du Sebastian Fitzek…

Alors entre lui et moi c’est je t’aime moi non plus, j’ai pu j’ai pu adorer ses livres comme ne pas les aimer du tout.

Alors ce dernier opus…très très oppressant, pas de longue mise en place de l’intrigue, ça commence tout de suite, on rentre tout de suite dans le feu de l’action où l’on découvre la situation de cette pauvre Klara poursuit par un terrible psychopathe, elle mourra si elle n’exécute pas un ordre qui lui a donné…Elle sera aidé par Jules un accompagnateur téléphonique d’un centre d’urgence pour femme en détresse, qui lui même, comme souvent dans ce type d’ouvrage est au prise avec ses propres démons.

Alors comme Sebastian Fitzek en a l’habitude, il y a des scènes un peu invraisemblables, mais cette fois il répond à ses détracteurs à la fin du livre et il explique pourquoi il intègre ses scènes, j’ai particulièrement apprécié sa réponse.

Attention aux âmes sensibles, certaines scènes sont un peu hard.

BREF…UN LIVRE QUI M’AURA MARQUÉ PAR SON COTÉ ANGOISSANT

MERCI NETGALLEY ET LES EDITIONS L’ARCHIPEL POUR CETTE LECTURE

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Coucou bonjour les amis lecteurs me voici avec un nouveau livre : L'accompagnateur de Sébastien Filzek des éditions de L' Archipel .
L' histoire se passe a Berlin en Allemagne .
Un très bon thriller sur les femmes en détresses , battus , par leur maris et compagnons .Il se trouve qu'il y a un standard tenu par des bénévoles , pour être aider est accompagner toutes ses femmes battus enfants en détresses , violence conjugale , pensées suicidaires .
Jules Tannberg ancien standardiste du numéro d'urgence de la police de Berlin passe sa soirée au service d'accompagnement .
Aucun des appels na jamais été important excepté celui qu'il a reçu de Klara qui pense être poursuivi par l'homme l'ayant déjà agressé et ayant peint sur le mur de sa chambre la date de la mort de Klara avec le sang de cette personne .
La date se rapproche a grand pas et elle a vraiment peur .
Ce thriller est fort et oppressant puis angoissant , vraiment l'auteur de ce thriller a fait une histoire vrai qui arrive de nos jours , très bien écrit avec un rythme effréné puis du suspens jusqu'à la fin de ce thriller , j'ai vraiment été happer par cette histoire de femmes battues , agressées , cela est très triste de voir cela de nos jours .
Celui ci se met en place doucement ou l'on apprend beaucoup de choses , Klara est marié est a une petite fille , son mari la prostitue , ils vont dans des endroits ou tout est permis et il prête sa femme puis si elle donne pas satisfaction et bien rentrant chez eux il la bat .La tension ne redescend jamais vraiment , on est immerger dans l'intrigue de cette histoire en essayant de comprendre d'où peut venir le danger .
C'est vrai que dans ce thriller il y a des scènes très vivent , même violentes .
Je reconnais que je ne savait pas tout cela , c'est vraiment triste ,mais l'auteur était dans le vrai hélas , je me suis attaché a Klara qui a tout fait pour sauver sa fille , Klara est rester digne mal grès les coup reçu .
J' ai vraiment aimé se thriller car l'auteur décrit bien chaque scène et raconte vraiment bien les choses .
Je remercie NetGalley ainsi que les éditions de L'Archipel de m'avoir permis de lire ce thrilleur .
Je le recommande .
Ma note : 4/5

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ce roman est assez déconcertant et dérangeant. Sur fond de violences faites aux femmes, d'aide aux centres d'appel et de transmission de la violence aux générations futures,on approche l'indicible et l'atroce.Rondement mené, on ne peut pas se détacher du récit ,si atroce soit il. La fin nous laisse pantois.
Bien écrit,sans fioritures . Je recommande à ceux qui veulent se distraire ( l'atroce nous permet de bénir nos vies quotidiennes et d'apprécier la vie en retours)mais aussi réfléchir aux violences faites aux femmes qui ne cessent d’augmenter, au cycle infernal dans lequel elles sont enfermées et aux idées reçues sur ce sujet .

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Ce livre m'a complètement retrouvé le cerveau.
On avance dans l'histoire sans savoir ce qui est vrai, à qui faire confiance et si tout ça est vraiment le fruit du hasard.
Très sombre, l'auteur nous montre l'horreur que peut cacher un couplé qui a l'air normal, et surtout les traumatismes engendré.

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Première fois que je lis un roman de Sebastian Fitzek : j'ai trouvé mon auteur de thriller à suivre, celui dont j'achèterai en fermant les yeux les prochains romans (comme Thilliez, Jacques Expert ou Paul Cleave) ! D'abord, il y a une maîtrise total du suspense et l'expression "page-turner redoutable", utilisée souvent à tort pour d'autres, est ici ce qui me vient en tête à la fin de ce roman que j'ai dévoré. On suit Klara et Jules avec une grande intensité, en se perdant (c'est un grand plaisir pour qui aime ce genre littéraire) dans les détails ou indices soupoudrés par l'auteur. Mais ce roman a quelque chose de plus que son efficacité formelle, et ce n'est pas fréquent dans les thrillers : il dénonce avec force le traitement réservé, en Allemagne, aux femmes victimes de toutes formes de violence de la part de leurs compagnons. Certes, on l'avait vu aussi par exemple chez Sandrine Collette, mais ici c'est toute la chaîne d'"aide potentielle" à ces femmes qui est visée. Un roman haletant, oui, mais aussi très intéressant ! Merci à Netgalley et à l'Archipel pour cette lecture !

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Je remercie Mylène, des éditions L'Archipel, pour l'envoi via net galley du thriller : L'accompagnateur de Sebastian Fitzek.
À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d’un service d’accompagnement dédié aux femmes en danger.
Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l’idée d’être suivie par un psychopathe.
Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher.
Et ce jour se lèvera dans deux heures !
L'accompagnateur est un thriller oppressant, troublant, angoissant.. mais surtout d'un incroyable violence.
Où donc l'auteur va t-il trouvé un truc pareil ?
Avec lui, les femmes ont de quoi avoir peur ! Il arrive à Klara des choses hyper dures, difficiles à lire même quand on a le cœur bien accroché.
J'ai l'habitude de lire des histoires atroces mais là j'avoue avoir été mal à l'aise à de nombreuses reprises. C'est trop pour moi.
Certains personnages font preuve d'une grande perversité et j'ai trouvé cette lecture réellement difficile.
Je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment de lecture !
C'est un très bon thriller, tous les ingrédients sont réunis pour captiver le lecteur.
J'aime cet auteur, sa façon de jouer avec nos nerfs.
Toutefois, à cause de l'extrême violence de ce roman cette fois ci cela n'a pas fonctionné avec moi.
Je sais que je relirais cet auteur mais je ne mets que trois étoiles à L'accompagnateur.

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J’ai lu mon premier livre de S.Fitzek, tout à fait par hasard, il y a quelques années. Depuis, j’attends avec impatience son dernier thriller psychologique. Il y en a eu quelques uns moins réussis pour moi, mais celui-ci, vous tient en haleine jusqu’au bout.
Sur le thème des violences faites aux femmes, il parvient à rendre « sympathique » un serial killer. Mais impossible de dévoiler quoi que ce soit, juste garder à l’esprit, que les apparences sont toujours trompeuses avec cet auteur. Vous ne pourrez plus le lâcher jusqu’à la fin, une belle réussite. A bientôt Monsieur Fitzek !!

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Un soir, Jules, remplace un ami dans sa mission d'accompagnateur téléphonique. Mission qui consiste à rassurer les femmes qui rentrent seules le soir, en leur parlant, tout "simplement". Ce service existe vraiment en Allemagne.
Ce soir-là, c'est Klara qui appelle. Il fait nuit, il fait froid, elle est perdue - disons plutôt égarée, y compris dans sa vie. Et l'accompagnement se transforme en dialogue, voire... en consultation de psychothérapie réciproque. Klara se confie sur sa relation toxique: elle est terrifiée, abusée, livrée à des hommes par son mari. Et ce soir-là, elle s'apprêtait à ce suicider.
Un élément de contexte : l'ombre d'un mystérieux "Tueur au calendrier" plane sur Berlin depuis des mois. Klara est-elle sa prochaine victime ? C'est ce qu'elle croit, ou prétend. Ou ce qu'on lui fait croire... Car ce tueur particulièrement pervers s'est donné pour mission de pousser aux suicides les femmes qui ne se rebellent pas contre leur mari violent.
Jules, lui, n'a pas pu empêcher sa femme de commettre l'irréparable, ni son fils de périr dans un incendie. Ces deux-là ont des choses à se raconter. Leur relatif anonymat le permet. Mais c'est un lien fragile, ce coup de fil, qui peut s'interrompre à tout moment. Comme les personnages, qui peuvent se fêler à chaque instant. Le moindre bruit, le moindre objet déplacé dans l'appartement et c'est la bascule. Le doute s'instille à chaque page, comme Fitzek sait si bien le faire.
Et puis n'y a t-il pas une part d'affabulation de part et d'autre ? Se "rencontrent-ils" vraiment pour la première fois par portables interposés ce soir-là ? Le lecteur en vient aussi à se demander si une part de ce dialogue ne serait pas imaginaire. Si la proie est aussi innocente que cela et si le traqué n'est pas le traqueur... Bref.
Tous ces revirements pourraient être déroutants pour certains mais ils font toute la saveur des romans de Fitzek, labyrinthiques, angoissants, comme les rues de Berlin la nuit. Son appétence pour les questions psychanalytiques s'exprime à plein dans L'Accompagnateur. Tous ces personnages élevés par des parents maltraitants et qui reproduiraient le schéma. Jusqu'où ? Toutes ces portes qu'on n'ose ouvrir ou voir ouvertes (métaphoriquement ou non) et devant lesquelles on tremble : qu'y a t-il derrière ? Et d'ailleurs... où ai-je encore mis ces fichus clés ?
Une sensation oppressante, un sentiment d'égarement, renforcés par l'accumulation d'images qu'on pourrait croire issues de l'univers de David Lynch. Un "fantôme" caché sous un lit, un matelas à eau-sarcophage, un ascenseur dissimulé, un gogo danseur habillé en père Noël... Pris au piège de leurs propres hallucinations, les personnages non plus ne dépareraient pas chez le cinéaste américain. De quoi donner une profondeur supplémentaire au dernier Fitzek qui est de bout en bout noir, obsédant et diabolique.
On a adoré... à trois nuances près. On aimerait savoir quel portable permet une autonomie aussi longue (bravo à la marque de batterie du téléphone de Klara, on voudrait le même). La confusion entretenue un temps sur le ou les enfants de Jules, un artifice utile au début du roman mais on s'explique mal le rebondissement sur l'identité de la fillette prétendument avec lui - Fitzek est pourtant habile à justifier tout le reste. La scène de torture et d'humiliation du SDF était-elle vraiment utile pour prouver la perversité du mari de Klara ?

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Au standard du service d’accompagnement pour les femmes en danger, Jules rentre en contact avec Klara, une femme poursuivie par un psychopathe qui a peint dans sa chambre la date à laquelle il va la tuer… c’est-à-dire dans 2 heures !

Waw quel coup de coeur ! Je m’attendais à un bon thriller classique sans surprise. Pourtant des premières pages jusqu’aux dernières j’ai été happée par ce roman.

Il est addictif, les chapitres sont courts, il y a pas mal de dialogues, la plume est simple mais fluide. C’est tout ce qu’on attend d’un thriller de ce genre.

Beaucoup d’actions est souvent synonyme d’un manque d’émotions mais cette partie-là est justement amenée avec le thème très fort abordé dans ce livre, les violences faites aux femmes.

Attention certaines scènes sont difficiles.
TW: [masquer]Violences (notamment conjugales) physiques, sexuelles et psychologiques, suicide, mort, meurtre…[/masquer]

Certes, certaines choses peuvent paraître invraisemblables dans la vie de tous les jours mais cela ne m’a pas dérangée et surtout l’auteur explique à la fin pourquoi il fait ces choix ce qui m’a beaucoup plu. Cela ne conviendra pas à tout le monde mais si cela ne vous gêne pas foncez !

Angoissant, oppressant, ce livre se découvre et il vaut mieux se laisser surprendre sans trop en savoir. Il n’est pas parfait mais ce qui compte pour moi c’est mon ressenti pendant et même après la lecture. Je n’en dis pas plus mais waw 😱.

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Quand j’ai vu le nom de Sebastian Fitzek, j’ai su qu’il fallait que je lise ce roman ! Je suis encore novice en ce qui concerne l’auteur, mais, après avoir passé un bon moment avec « Le cadeau », je voulais renouveler l’expérience. Et, encore une fois, la plume de l’auteur a été à la hauteur de mes attentes.

Déjà, avant de commencer l’histoire proprement dite, on a une partie dédicace et j’ai été touchée par les statistiques que l’auteur y met en avant, car je trouve que c’est important de parler des violences et d’en connaître les chiffres réels. Ensuite, nous avons une note de l’auteur qui nous explique en quelques mots le pourquoi de son roman.

Enfin vient l’histoire et on commence avec un prologue qui nous peut nous paraitre assez dur et cru, car on sait qu’il pourrait être réalité et nous sommes immédiatement immergés dans l’ambiance de ce roman. L’auteur ne mâche pas ses mots mais je pense que c’est important de mettre autant l’accent sur ces violences.

Passé ce prologue, nous découvrons Jules, qui fait partie d’une association d’accompagnement aux femmes en danger. Il est 22 h et il reçoit un appel de Klara qui est terrorisée, elle dit être poursuivie par un psychopathe et nous voilà directement entrainés dans l’histoire. Nous suivons l’échange entre Jules et Klara avec beaucoup d’intérêt et nous ne voyons pas les pages se tourner tant nous nous posons des questions. « Que va-t-il se passer pour Klara ? » « Que va-t-il se passer pour Jules ? » « Qui est ce fameux psychopathe ? » Nous voulons savoir et, en même temps, nous aimons continuer à suivre le déroulement de cette traque.

Plus nous allons tourner les pages, plus nous allons nous inquiéter pour Klara, mais aussi pour Jules. Soit c’est bien l’histoire de Klara qui est traumatisante et tout ce qu’elle va vivre va nous révolter au plus haut point, mais on va aimer ça et attention, âmes sensibles, abstenez-vous, car il y aura des épisodes très glauques qui risquent de vous retourner le cœur. De mon côté, vous me connaissez, vous vous doutez que j’ai adoré, ce côté glauque que l’auteur a donné à son roman. Ouais, je suis complètement maso ! En plus du glauque, ce thriller est complètement angoissant et oppressant, car, comme je vous le disais, nous allons craindre pour Klara et Jules et cette angoisse ne va faire que s’accentuer au fil des pages. Nous n’aurons aucun temps mort, la tension sera palpable tout au long du roman.

Comme dans tous les romans de Fitzek, certains trouveront des invraisemblances, mais l’auteur nous donne des explications à la fin sur le pourquoi du comment et je crois que c’est encore une fois ce qui divisera les lecteurs sur leur avis. De mon côté, je ne les ai pas vraiment ressenties et puis je laisse toujours le droit à l’auteur de prendre certaines libertés et j’ai beaucoup aimé la réponse de l’auteur.

Quant au final, j’avoue que je n’ai rien vu venir et que j’ai été très agréablement surprise. J’ai eu cette impression que l’auteur m’avait retourné le cerveau tout au long du roman. On termine ce roman en se disant qu’encore une fois, Sebastian Fitzek a joué à fond sur le psychologique et c’est un très bon point.

Bref, si vous aimez les thrillers qui tiennent en haleine et avoir le cerveau retourné, foncez, vous ne serez pas déçus. Attention, par contre, âmes sensibles, vous risquez d’être choquées, mais si vous aimez le glauque, vous en aurez pour votre compte.

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Jules remplace son ami un soir, pour répondre à un service d’appel d’urgence. Un accompagnement téléphonique aux femmes se sentant en danger.

C’est ainsi qu’il est en communication avec Klara, qui lui semble perdue. Une conversation s’installe, dans laquelle se dévoile des choses monstrueuses. Chacun est aux prises avec ses propres démons, et certains points communs les rapprochent...

Mais sait-on toujours avec qui on parle?

Sebastian Fitzek n’est plus une plume à présenter depuis longtemps. Ces dernières années, j’ai découvert ses romans avec impatience, et j’en suis chaque fois sortie totalement secouée.

Cette fois, je tiens à prévenir: AMES SENSIBLES S’ABSTENIR!

Maintenant que je vous ai prévenus, je peux vous dire que ce livre m’a davantage épouvantée que les précédents. La jeune femme, Klara, raconte des événements absolument atroces. Les descriptions sont suffisamment suggestives pour que l’imagination du lecteur fasse le reste. L’atmosphère présente est tellement oppressante qu’il se trouve projeté dans la situation affolante de Klara.

Les retournements de situation, Fitzek les maîtrise à la perfection. Chaque nouvelle histoire nous prend à son jeu, nous menant exactement là où elle voulait qu’on regarde. Pendant qu’en finesse, l’air de rien, des indices tellement infimes qu’ils sont pratiquement indécelables montrent une autre direction. Mais il faut attendre le choc de la révélation pour qu’ils fassent sens. C’est toujours après coup que je me dis qu’effectivement, tout était là depuis le début!

Encore une fois, je me suis laissée par le bout du nez jusqu’au bout, à tel point que j’ai pratiquement sursauté lorsque tout s’est dévoilé.

L’accompagnateur est un roman bluffant, peut-être même plus que les précédents!

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Je suis toujours attirée par les romans de cet auteur mais j’ai souvent été déçue soit par l’intrigue que je trouvais trop invraisemblable ou pas suffisamment captivante, soit par les personnages auxquels je ne m’attachais pas. Et avec ce nouvel opus Sebastian Fitzek a tout bon ! Non seulement j’ai été captivée mais en plus je me suis attachée aux personnages.

On est d’emblée propulsé dans une histoire angoissante, par sa violence et son côté glauque. Âmes sensibles s’abstenir !

Jules remplace son collègue au service d’accompagnement dédié aux femmes en danger. Ce service qui existe vraiment en Allemagne consiste à accompagner les femmes lorsqu’elles rentrent seules la nuit.

Et son premier appel est celui de Klara qui affirme être poursuivie par un tueur en série. Elle dit avoir appelé le service par erreur. Jules va tout faire pour ne pas rompre la conversation. Et les confidences de cette femme vont se révéler bien plus inquiétantes car elle semble vivre un enfer au quotidien. Mais Jules a aussi ses propres démons et leurs échanges vont parfois instaurer un climat oppressant.

Des rebondissements à profusion, des scènes difficiles, une course poursuite inquiétante, rendent cette lecture complètement addictive. Alors oui il y a encore un côté « too much » et certaines scènes ou situations un peu invraisemblables mais malgré tout j’y ai cru et j’avais hâte de connaître le dénouement qui nous réserve par ailleurs de bien belles surprises.

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Coup de ❤️ !
Et ce n'est pas pour la couverture...
N'ayez pas peur de cette couverture très tristounette et passez au-delà, vous ne serez pas déçu!
Dès le départ, le lecteur est confronté à des scènes de violence infligées à une femme et cette femme va appeler une ligne d'appel à l'aide où elle sera mise en contact avec un accompagnteur. Je me suis laissé baladée durant tout le livre dans cette ambiance stressante, opressante et hyper addictive car j'avais vraiment envie de savoir ce qui allait arriver à Klara comme à Jules. Il faut dire qu'au fil de l'histoire je me suis attachée à Klara comme à Jules en me demandant sans cesse si ce qu'ils disent et vivent sont réelles ou si il y a une part d'allucination car par moment j'ai eu l'impression de flotter entre 2 eaux... J'ai adoré la lecture de la lettre à la fin et la mise en place de toute les pièces du puzzle. Bref, j'ai passé un excellent moment de lecture!

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Dans ses premiers romans, Fitzek excellait dans les rebondissements bien placés.
Mais quand il y en a trop, cela devient absolument n'importe quoi ! Il y en a beaucoup trop, partout ! Ça part dans tous les sens, à en devenir ridicule. J'ai forcé, jusqu'au bout.

Et le pire, c'est que je n'ai même pas été surprise ! Dès les premiers chapitres, j'ai compris comment ça allait finir...

Je trouve cela réellement dommage car c'est un auteur que j'aimais beaucoup. Mais il en fait maintenant beaucoup trop et, gâche sa plume =(

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Berlin - 22h - Jules remplace un collègue et ami à la permanence téléphonique dédiée aux femmes en danger.
Le 1er appel provient de Klara, martyrisée par son mari et qui veut mettre fin à ses jours.
Ce coup de fil va bouleverser la vie de Jules.

Cet auteur ne m'est pas inconnu et je l'apprécie beaucoup. Mais je vous avoue qu'avec ce roman, je suis dans le flou le plus total.
Le début était prometteur et augurait un suspens à couper le souffle et pourtant.....
Tout d'abord Sebastian Fitzek m'a perdue avec la temporalité de l'histoire et j'ai eu du mal à me situer.
Il joue sur le passé mystérieux des protagonistes, ce qui en soit, est intéressant mais ne nous éclaire pas par la suite.
Je vous avertis âmes sensibles s'abstenir, l'auteur n'y va pas de main morte, certaines scènes sont très violentes et carrément malsaines.
Un autre aspect qui m'a gênée est la surabondance de catastrophes (que je ne dévoilerai pas) que subit Klara, cette pauvre fille est résolument maudite!
Vous l'aurez compris, j'ai été déçue par ce roman mais je vous invite à vous faire votre propre opinion.

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Un résumé alléchant et un auteur au talent reconnu en matière de thrillers psychologiques, il ne m'en fallait pas plus pour oublier la couverture et vouloir lire ce roman.

On entre très vite dans l'histoire où Jules, qui remplace un ami sur une plateforme d'aide aux femmes , prend son premier appel. Au bout du fil, Klara qui semble perdue et en grand danger...

Le thème abordé (celui des femmes battues) est un sujet qui me tient à coeur et qui me bouleverse très souvent dans mes lectures. L'auteur s'est vraiment bien documenté et certains passages étaient très poignants.

Les chapitres sont courts et se terminent souvent par une interrogation, un rebondissement...
Si au début j'ai apprécié de me faire mener par le bout du nez, j'ai perdu le fil au milieu de ma lecture. Je ne savais plus trop où était la part de réalité et la part de folie. Si tout prend sens à la fin, j'ai regretté que ces révélations ne se fassent pas progressivement.

En ce qui concerne les personnages , même si je les ai apprécié je regrette néanmoins l'accumulation de malheurs que l'auteur leur a donné. J'ai trouvé que cette accumulation faisait perdre de la crédibilité à Jules et Klara.

Je remercie #netgalley et #LArchipel pour cette lecture.

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Un "uppercut" psychologique !!
Sébastien Fitzek a le don d"écrire la noirceur humaine tout en nous maintenant en haleine jusqu'au point final .

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J'ai rarement lu un livre aussi angoissant et stressant et c'est ce qui m'a fait frôler le coup de coeur avec ce roman. Durant certains passages je ressentais de la vraie peur comme si j'étais dans la même situation que le protagoniste, c'était assez perturbant comme expérience. Pour vous dire j'ai souvent du faire des pauses dans ma lecture car je trouvais le roman trop intense (le comble quand même). Le récit alterne entre les points de vues des deux protagonistes et au fur et à mesures de nombreux rebondissements nous font remettre en question ce qu'on est en train de lire. J'ai peur de vous en dire trop et je pense que ce livre n'aura pas le même effet sur tout le monde mais en tout cas pour moi ça l'a fait et je suis ravie d'avoir découvert cet auteur grâce à ce roman.

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Nous sommes à Berlin, vers 22 heures, quand Jules va recevoir son premier appel, dune jeune femme Klara. Il travail au standard d'un service d'accompagnement dédié aux femmes en danger. Klara s'excuse d'avoir appelé car elle la fait par erreur, elle ne voudrait mettre mettre son correspondant en danger car elle est persuadé que le tueur au calendrier qui lui a annoncé sa future mort va s'en prendre à lui aussi si elle lui raconte son histoire ...

Un roman qui se déroule principalement avec cette appel téléphonique, où Jules va tout faire pour aider Klara. Il se montre rassurant, à son écoute et se livre même sur sa propre vie pour bien la mettre en confiance et l'empêcher de commettre l'irréparable.

Lors de ses confidences, Klara va raconter le calvaire de femme battue et humiliée qu'elle vie depuis plusieurs années.

J'ai été prise directe dans l'histoire, les événements racontes sont très difficiles à lire, j'ai même eu un passage qui m'a soulevé le cœur et il fait dire que je suis abitué à lire des romans de ce style !

Les chapitres courts, alternent sir les deux protagonistes et terminent en général sur un rebondissement, qui rend ce roman en véritable page-turner.

Alors, oui on est d'accord ça part un peu loin et on se dit même que certaines choses sont impossibles mais comme le precice l'auteur dans les notes à la fin du roman, je reprend un des passages : " On m'a souvent reproche d'écrire des livres dont les événements n'étaient pas crédibles, les crimes pas assez réalistes, purs produits de mon imagination. Aujourd'hui, je ne peux que rétorquer : heureusement !..."

Et je trouve qu'il a bien raison, d'ailleurs la suite de ses notes est très interresante. Malgré le fait que certains evenements ne sont pas crédibles, pour moi l'auteur a complètement rempli son rôle, j'ai lu un roman addictif, oppressant, angoissant et rempli de rebondissement, et jusqu'à la fin je n'ai rien vu venir. C'est donc une réussite et ça reste une lecture coup de coeur !

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꧁_L’accompagnateur_꧂
service presse de @netgalley et @archipel écrit par sébastien fitzek

Thriller psychologique

Ce roman m’a immédiatement tenté quand j’ai lu le résumé et l’avis de @spirale . J’ai bien évidemment demandé dans la foulée le service presse à archipel sur la plateforme netgalley.

Je sors de cette lecture en n’ayant pas eu le coup de coeur attendu malgré le haut level du roman. Ce thriller mets la haine, la frousse mais est un peu trop long à mon goût. Impatiente j’ai toujours beaucoup de mal avec le milieu des livres qui fond plus de 300 pages, j’ai trop hâte d’arriver au dénouement final, ce qui me fait perdre le rythme et la chance d’avoir un coup de cœur ♥️.
Je n’hésiterai malgré tout pas à dire que ce roman est génial.

⚠️ Âme sensible s’abstenir ⚠️
certaines scènes remuent pas mal.
L’auteur a réussi à me donner de l’empathie pour le tueur 😱🙈😂
Un roman à lire absolument quand on est fan du genre !!!

note 4/5 🌟

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Jules est un ancien pompier ; touché par un drame terrible, il a quitté son poste et remplace un ami « accompagnateur », répondant aux appels de femmes qui se sentent en danger, du harcèlement de rue aux violences conjugales. Ce soir là, il tombe sur Klara, une jeune femme prise entre le marteau et l’enclume, maltraitée par son mari, poursuivie par un tueur en série…

C’est noir, c’est glauque, c’est oppressant. Fitzek parvient à nous faire entrer dans la peau de Klara, dans celle de Jules, et on ressent le stress, la peur panique, comme si nous étions à la place de l’une ou de l’autre… On a vraiment l’impression de courir contre le temps, et les chapitres courts qui se succèdent, les retournements de situation renforcent ce sentiment. Malgré quelques incohérences parfois, ou une impression de « too much », on ne peut encore qu’admirer la maestria avec laquelle Fitzek embarque son lecteur à sa suite. J’ai, de plus, retrouvé ici ce qui m’avait fait enchainer les premiers romans de l’auteur les uns après les autres : sa capacité à imaginer des personnages franchement « tordus » mais possibles, le frisson qui découle de ses intrigues, l’envie qu’il suscite de tourner les pages et encore et encore… Et c’est avec ce genre d’auteurs, et de romans, tels que « l’accompagnateur », que le mot « thriller » prend tout son sens !!! Je tiens à remercier les éditions de l’Archipel via Netgalley pour cette lecture passionnante.

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Je découvre Sébastian Fitzek avec ce roman et je dois dire que sa plume m'a conquise. Klara appelle un centre de secours car elle est menacée de mort par un tueur en série, elle tombe sur Jules, qui si il n'a aucun pouvoir, peut au moins essayer de l'aiguiller sur la démarche à suivre afin d'avoir la vie sauve. On s'aperçoit au fil des pages que la vie de Klara n'est pas simple, mais celle de Jules non plus, il semble que deux coeurs brisés viennent de faire connaissance.
J'ai beaucoup aimé le début de cette histoire, j'ai ressenti une petite lassitude vers le milieu du livre, trouvant l'histoire un peu invraisemblable, mais arrive très vite l'explication à tout cela et le récit redevient de nouveau intéressant et l'envie de connaître le dénouement est prenante.
J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman, j'ai maintenant envie de connaître les autres thrillers de cet auteur allemand qui semble être très prolifique.

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J'ai vraiment adoré ce thriller complètement dingue, j'ai adoré Klara, même si je me posais beaucoup de questions à son sujet (ce qu'elle raconte lui arrive-t-il vraiment, ou est-elle en plein délire ?). J'ai adoré la fin, absolument géniale ! Tout est à sa place et c'était un réel plaisir à lire, je ne regrette clairement pas ma lecture 😄

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Nous sommes donc à Berlin. Cette nuit, Jules remplace, au pied levé, son copain Kaiser au standard du service d’accompagnement pour les femmes en danger, lorsqu’il reçoit un appel de Klara qui semble terrorisée, car elle se sent poursuivie par un psychopathe qui lui a promis de la tuer si elle ne quittait pas son mari violent. Elle a fait sa connaissance par hasard a priori et après une relation sexuelle harmonieuse, il s’est soudain changé en monstre (Dr Jekill et Mr Hyde ?)

Il s’est introduit dans sa chambre où il a peint la date de sa mort en lettres de sang, comme le tueur en série que l’on surnomme « Le tueur du calendrier ». Klara n’a plus que deux heures devant elle pour échapper à l’ultimatum.

Jules va essayer de garder Klara en ligne pour la protéger, n’hésitant pas à lui raconter ses propres malheurs. Elle panique d’autant plus, qu’elle a semble-t-il composé le numéro de manière involontaire, et pense que son mari a placé un traceur sur son portable.

Ce roman traite de crimes en série, sur fond de violence conjugale et dès le prologue, on sait que cela va être dur, les détails ne nous sont pas épargnés. Le mari de Klara dépasse en violence et en idées tordues, jeux sexuels immondes qui n’amusent que lui, faisant du lit conjugal un enfer, mais elle ne se résout pas à le quitter ou du moins à porter plainte. Une femme sous emprise caractéristique, d’autant plus devenue incapable de réagir parce qu’elle a une fille qu’elle veut protéger même si elle reste persuadée que son époux ne s’en prendra pas à elle.

L’intrigue est rondement menée, le suspense haletant comme toujours avec Sebastian Fitzek qui n’hésite pas à nous envoyer sur plusieurs pistes, rebondissements qui nous égarent et rendent la lecture addictive. Qui est ce fameux tueur au calendrier et quelles sont ses victimes ?

J’ai bien aimé retrouver la plume de l’auteur que j’ai découvert avec « Thérapie », et « Le briseur d’âmes » et plus récemment « Le cadeau » car il s’agit chaque fois d’un polar psychologique haletant avec des héros psychologiquement (très) perturbés, qui ont l’air de sortir tout droit d’un hôpital psychiatrique.

Sebastian Fitzek décrit très bien la répétition des scenarii de vie : les enfants battus, ou dont la mère a été battue devant eux reproduisent la même chose quand ils sont en couple. Ce n’est pas une lecture facile, car les scènes de violence sont décrites de manière très explicite. Le sujet est hélas d’actualité, les violences conjugales et les féminicides ayant encore atteint des niveaux record pendant les confinements.

J’ai terminé ce livre en apnée, avec une insomnie car je voulais le terminer à tout prix mais, je mettrais un bémol : Klara a tout d’une femme battue, certes, mais ce qu’elle subit est tellement caricatural, la violence atteignant des niveaux difficiles à imaginer, que cela laisse parfois planer le doute, mais il s’agit d’un roman. En fait, ce qui est curieux quand même, je mets toujours un bémol quand je lis un roman de l’auteur mais chaque fois que j’en vois un nouveau je me précipite !

Un grand merci à NetGalley et aux éditions de l’Archipel qui m’ont permis de découvrir ce roman et de retrouver la plume de son auteur.

#LACCOMPAGNATEUR #NetGalleyFrance !

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L’accompagnateur de Sébastien Fitzek nous plonge dans l’histoire de Klara et Jules. Ils ne se connaissent pas et pourtant leurs destins vont se croiser. Jules travaille dans une cellule d’écoute et Klara est une femme battue en perdition. Tout au long du roman, les histoires des deux protagonistes alternent et se complètent. Sébastien Fitzek a l’art d’emporter son lecteur dans son univers. Au début de ma lecture, je me suis prise d’amitié pour ses personnages mais au fil des pages, le doute s’est installé en moi. Chaque geste de Klara ou Jules deviennent suspects et si… Mais là encore, l’auteur va faire preuve de tout son génie en surprenant son lectorat. J’ai littéralement dévoré ce thriller. Le rythme est haletant et je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer. C’est le souffle coupé que j’ai terminé ma lecture. La fin nous offre également un rebondissement que l’on n’attendait pas et permet ainsi de clore ce thriller avec brio.
Encore une fois, Sébastien Fitzek nous montre qu’il sait construire des intrigues complexes et machiavéliques. Son schéma narratif est impitoyable. L’ambiance qui se dégage de ce roman est remplie de violence et de tension. Bref, un vrai bon thriller.

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Habituée des romans de Fitzek, c’est avec grand plaisir que je me suis mis à la lecture de l’Accompagnateur. Lu en deux soirées !
Un thriller très psychologique sur les violences faites aux femmes au sein du couple. Un livre avec un message fort.
Jules prend la place de son ami d’enfance Kaiser au standard d’un site d’accompagnement pour aider les femmes victimes de violence. Klara lui téléphone. Elle a décidé de se suicider ne supportant plus les violences quotidiennes de son mari et étant trop lâche pour le quitter.
On plonge dans un huis-clos parmi des personnes très fragiles psychologiquement ayant vécus une enfance dans un foyer où la figure paternelle domine et où la femme subit.
Grâce à la narration, on perd très vite pied ne sachant plus qui dit la vérité et qui est vraiment qui.
Le suspens est haletant. Petit reproche. J’ai trouvé parfois les situations peu crédibles mais l’atmosphère oppressante est très bien rendue.
Merci à NetGalley et à l’Archipel de m’avoir permis de lire ce nouveau roman.

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Merci à Netgalley et aux éditions L'Archipel pour cette lecture. Avec Sébastien Fitzek, je me fais avoir à chaque fois. J'ouvre ses romans, je me dis que je vais passer un bon moment, et puis....impossible de le lâcher...Ce fut encore le cas avec celui-ci.

On y fait la connaissance de Jules, jeune papa perdu, qui pour une soirée remplace un ami au standard d'une ligne d'aide pour les femmes en danger. Son premier coup de fil va bouleverser sa soirée. En ligne, Klara, qui veut se suicider pour échapper à un tueur qui la traque. La course-poursuite démarre...

Une fois de plus, Sébastien Fitzek frappe juste. Dès les premières pages, il se saisit du lecteur, l'emprisonne et l'empêche de fuir. Par son style haletant, et ses rebondissements incessants, on ne peut plus s'arrêter. Il explore, comme à son habitude, l'âme humaine, mettant en place des personnages du quotidien, confrontés à l'indicible.

L'auteur sait ce qu'il veut faire, et il y parvient. Il retourne littéralement le cerveau de ses lecteurs, les faisant passer par toutes les émotions. On ne sait pas qui croire, à qui faire confiance, même ceux qui paraissent tout gentil peuvent se révéler redoutables et redoutés.

Des personnages mystérieux, ciselés, rudes ....mais surtout comme nous, ce qui les rend si crédibles.

Sur l'histoire certaines incohérences se font jour par moments. Des situations improbables pour notre réalité mais dont les défauts laissent place au rythme éffréné du récit, et passent donc au second plan.

Un pari réussi pour un thriller haletant! A vous de le découvrir !

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J'ai une relation un peu bizarre avec Sebastian Fitzek. C'est un auteur qui m'intrigue mais qui ne répond pas à mes attentes lorsque je le lis (il me manque toujours un je ne sais quoi que je ne parviens pas à définir). Pourtant, à chaque nouvelle parution j'ai envie de me lancer. C'est encore une fois le cas et je remercie L'Archipel pour m'avoir encore une fois accordé la chance de découvrir ce roman.

À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d'un service d'accompagnement dédié aux femmes en danger.
Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l'idée d'être suivie par un psychopathe. Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher. Et ce jour se lèvera dans deux heures !

Alors ? Après cette lecture est ce que j'ai toujours le même ressenti vis-à-vis de l'auteur ? Et bien non. Cette fois, j'ai apprécié ma lecture de bout en bout et je n'ai pas trouvé de passages complétement extravagants auxquels je ne crois pas. Non. Je me suis même dit que c'était super original et totalement inattendu. Je me suis laissée trimballer comme une bleue (j'ai tout de même l'habitude de lire des thrillers).

Le bouquin est donc hyper bien ficelé et, même si le début peut paraitre un peu classique, il prend une tournure complétement inattendue qui m'a vraiment séduite. J'ai beaucoup aimé les personnages (même si j'ai honte d'avoir oublié le prénom de l'un d'entre eux ... Jules je crois), ils sont bien travaillés et on s'attache à eux. J'ai tremblé avec et pour Klara et j'ai même en doute sa santé mentale. Le lecteur passe par plusieurs phases, c'est très réussi.

Et puis c'est vraiment bien écrit, fluide, rythmé et agréable à parcourir. J'ai passé un super moment en compagnie de ce bouquin et j'aurai vraiment regretté de passer à côté. Les thèmes sont forts, percutants et très actuels. Le début du livre peut paraitre un peu classique mais les derniers chapitres sont vraiment haletants et on a qu'une envie : découvrir le fin mot de l'histoire ! Quelle fin ! Elle correspond parfaitement à mes attentes, je suis comblée. Ce ne sera peut-être pas un coup de coeur effectivement mais maintenant, je me plongerai dans du Fitzek sans plus me poser aucune question !

Service d'accompagnement téléphonique, que puis-je pour vous ?...

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Une plongée terrifiante dans le monde de la violence sous toutes ses formes. Des personnages forts et une intrigue habilement menée qui entraînent le lecteur dans les méandres de la noirceur humaine. Sebastian Fitzek tisse avec brio une toile dans laquelle on plonge avec délice. Un auteur de thriller qui glace le sang et qui arrive parfaitement à nous manipuler pour nous emmener là où il le souhaite. Une fin surprenante et inattendue !
Du sang, de la violence, de la manipulation et du suspens à n'en plus finir par tous les amateurs de policiers sanglants, haletants et sombres !

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C'est le second roman que je lis de Sebastian Fitzek et j'y ai retrouvé la même tension que dans "Le cadeau". On sent l'angoisse et l'anxiété montée au fur et à mesure du récit, j'ai douté parfois de certains personnages, me demandant s'ils n'étaient pas fous, s'ils n'imaginaient pas tout, si tout simplement nous étions dans la tête d'un esprit dérangé. Mais en même temps, des dialogues et des situations me disaient : "Mais non, tout cela a l'air bien réel". C'est tout cela l'art de Sebastian Fitzek : faire monter la pression et nous faire marcher sur le fil du rasoir. Par contre, la fin pourra peut être paraître trop abracadabresque   pour certains mais il faut dire que l'intrigue est tellement alambiquée qu'il faut avoir la tête bien reposée pour en démêler tout l'écheveau.  
Ici, Sebastian Fitzek aborde aussi un sujet difficile : celui des femmes battues. En effet, le personnage principal, Jules, est bénévole dans un service d'aide aux personnes et hélas, ce sont souvent des femmes qui contactent ce service. Klara a justement, "par erreur", appuyé sur le numéro de l'assistance. Jules le sait, c'est un appel au secours déguisé et elle a besoin d'aide. Va s'ensuivre pour Jules une dure bataille pour que Klara ne raccroche pas et lui parle de ce qui la menace. Jules en viendra même à expliquer le drame qui a complètement bouleversé sa vie quelques mois auparavant. Mais les propos de Klara vont vite s'avérer sybillins, elle est très réticente à en dire davantage sur elle et, surtout, elle lui dit qu'il est maintenant en grand danger. Or, depuis la sanglante scène d'ouverture du roman, nous savons qu'un tueur en série, surnommé le Tueur au Calendrier, sévit dans Berlin. Est-ce que tout cela a un rapport ?

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Avec cet auteur c'est plutôt quitte ou double pour moi j'ai beaucoup aimé certains de ces récits et beaucoup moins aimé d'autre.

Mais je dois reconnaitre que la curiosité pour ces écrits est toujours présente et l'écriture de l'auteur se lit tout de même très bien ce qui fait que j'y reviens à chaque nouvelle parution. J'ai également eu la chance de rencontrer l'auteur plusieurs fois durant des salons littéraires et je dois reconnaitre que celui-ci est extrêmement sympathique.

Ici première surprise pour moi le thème du roman car il s'agit de violence conjugale et plus globalement également les violences faites au femme.

Jules est un jeune homme qui est bénévole au service d'accompagnement, il reçoit un appel d'une femme se nommant Klara un soir à 22 heures. A ce service d'accompagnement les personnes on très peu de temps au final pour prendre des décisions suivant les dires des personnes au bout du fil, les situations pouvant être plus ou moins alarmantes.

Mais dès le début la situation de Klara semble plus qu'alarmante elle semble en effet être suivie, au fil du récit nous en apprenons plus sur cette situation et le récit devient de plus en plus haletant avec un compte à rebours qui se met en place.

J'ai aimé en apprendre plus sur ces deux personnages que sont Klara et Jules, leurs psychologies est plutôt bien décrites et les pages défilent rapidement, Sebastian Fitzek est tout de même maitre pour les récits à haute tension.

Malheureusement le final ne m'a pas convaincue, celle-ci m'a semblé un peu facile.

Mais je reconnais l'écriture toujours autant addictive de l'auteur et le thème plus qu'intéressant de cette lecture.

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Alors que Jules Tannberg remplace un ami au call center du Service d’accompagnement téléphonique, il reçoit un appel de Klara. Et se trouve confronté au pire cauchemar des call takers : la personne en ligne tente de se suicider en direct. Comment réagir? Que dire pour l’empêcher?

Sebastian Fitzek aborde ici le thème difficile des violences conjugales. Mariée à Martin, Klara subit de la torture, des humiliations verbales et physiques et ne sait comment sortir des jeux de pouvoir mis en pace par son époux. Autant dire que la tension est palpable et la lecture particulièrement éprouvante.

Tout au long du roman, j’ai eu l’impression de me trouver aux côtés de Jules, suspendue aux lèvres de Klara et vivant la même situation de stress et de peur.

Il faut dire que l’auteur réussit très habilement à nous tenir en haleine, mettant en place des cliffhangers qui nous poussent à poursuivre notre lecture sans tenir compte de l’heure avancée ou de notre état de fatigue. Sans compter les retournements de situations qui nous poussent à nous interroger sur le degré de folie de Jules et de Klara.

L’accompagnateur est un roman addictif, difficile à lâcher et plein de surprises. Et même si l’explication finale est un peu alambiquée, je suis contente de retrouver Sebastian Fitzek au top de sa forme!

Remerciement aux Editions L’Archipel pour cette lecture.

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Jules remplace son ami César au standard d’un service bénévole qui accompagne au téléphone des personnes effrayées, le plus souvent des femmes qui doivent traverser un parking ou une zone sans éclairage, d’habitude il ne se passe rien et les personnes ont juste besoin d’être rassurées et de savoir que quelqu’un va appeler les secours si jamais. Klara appelle par inadvertance et tombe sur Jules. Elle court dans une forêt berlinoise, persuadée d’avoir à ses trousses un tueur en série qui a dit vouloir la tuer le 30 novembre, donc dans quelques heures. Elle raconte à Jules qu’elle va se suicider car c’est la seule issue pour elle : le tueur va l’exécuter si elle n’a pas éliminé son mari Martin. Peu à peu Klara se confie à Jules et lui dévoile sa vie de femme violentée de toutes les manières possibles par cet homme cruel. Evidemment tout est caché et Martin passe pour un respectable dentiste, mais il n’hésite pas à torturer sa femme et à la prostituer, entre autres. Jules parle aussi de ses drames, sa femme a été tuée peu avant et ses deux enfants sont morts dans l’incendie qui a suivi, enfin peut-être pas les deux. Jules essaie de la convaincre de renoncer à son projet, mais Klara lui affirme que le tueur ou son mari s’en prendront à lui dès qu’ils sauront qu’elle a appelé à l’aide, d’ailleurs Jules sent une présence dans l’appartement mais il n’y a personne…

Comme dans tous les romans de Fitzek, on est rapidement pris dans un suspense très dense. Ici il y a en plus une dimension angoissante. L’écriture est fluide et agréable, la tension ne retombe jamais et les rebondissements s’enchaînent, pas toujours très vraisemblables, mais c’est une des marque de l’auteur et il répond à ses détracteurs sur ce point dans la postface. Mais cet aspect ne m’a pas dérangée, j’aime beaucoup les thrillers de Fitzek. Par contre il y a un bémol qui me fait donner seulement quatre étoiles à ce livre c’est son ultraviolence. Il y a de nombreuses scènes très crues et très sanglantes, comme si l’auteur se complaisait à nous décrire par le menu et à de nombreuse reprises, les sévices divers et variés dont est victime Klara. Je n’ai pas du tout aimé cet aspect, il n’y avait pas besoin d’en dire autant pour démontrer le martyre de cette femme, là on se sent voyeur et complice, comme si le but était se satisfaire nos plus vils instincts. C’est un livre très dur par sa thématique : violence envers les femmes, meurtres, viol, suicide, mort d’enfants, en plus de nombreuses scènes sont vraiment très glauques. Il y a un climat angoissant et oppressant. La fin du roman est aussi peu convaincante, on se demande ce que fait la police et pourquoi personne ne l’a appelée au bon moment, en particulier la personne qui était au courant de toute l’affaire.

Malgré tous ses malheurs, je trouve Klara peu attachante, un peu cliché de la femme soumise, Jules l’est plus, au moins au début. Il y a l’idée que les femmes victimes de violences ne peuvent jamais sortir du cercle vicieux et surtout que les filles de maris violents épouseront ensuite un homme comme leur père.

A part son côté trop violent, ce thriller est totalement réussi et nous embarque pour une nuit d’angoisse. L’intrigue est très bien ficelée et le suspense monte peu à peu, avec des rebondissements et des retournements qu’on ne voit pas venir. Si les scènes de violence très crues ne vous rebutent pas, ce thriller psychologique ne peut que vous enchanter.

Un grand merci à Mylène de L’Archipel et à Netgalley pour ce roman.

#LACCOMPAGNATEUR #NetGalleyFrance !

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J'aime beaucoup cette auteur, un recit bien ecrit tellement bien ecrit jai du m'interrompre dans la lecture.
Une monté d'angoisse dès que l'on lis, mais on ne peut pas laché la lecture.

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