Terra Nullius

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Date de parution 3 mars 2022 | Archivage 8 juin 2022

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Résumé

"Le problème de cette affaire, ce n'est pas le nombre de pièces dans le puzzle, c'est le nombre de puzzles."


Hugo Boloren a perdu la bille. Celle qui l'accompagne dans ses enquêtes et qui fait "ding" pour le mettre sur la bonne piste. Alors il erre dans le commissariat, neurasthénique, au grand dam de Lulu la stagiaire. Même ses carrés de chocolat échouent à le remettre d'aplomb. Il est temps de changer d'air. Justement, le commissaire Grosset a obtenu pour la mère d'Hugo un rendez-vous dans la clinique lilloise d'un spécialiste de la maladie d'Alzheimer. La veille du départ, Boloren apprend qu'un garçon d'une dizaine d'années, Jimcaale, vient de se faire agresser dans une immense décharge publique coincée à la frontière franco-belge et jouxtant un étonnant camp de laissés-pour-compte. L'instant d'Hugo lui murmure d'aller jeter un œil à cette intrigante Terra Nullius, un territoire sans maître ; sans se douter que l'attend là-bas l'affaire criminelle la plus sordide de sa carrière. 

"Le problème de cette affaire, ce n'est pas le nombre de pièces dans le puzzle, c'est le nombre de puzzles."


Hugo Boloren a perdu la bille. Celle qui l'accompagne dans ses enquêtes et qui fait "ding"...


Ils recommandent !

" Une plume espiègle et un héros désenchanté à souhait. Une belle découverte ! " - ALIBI

" Une plume espiègle et un héros désenchanté à souhait. Une belle découverte ! " - ALIBI


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782755693959
PRIX 19,95 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Très honnêtement ce n’est pas la quatrième de couverture qui m’a donné envie de lire ce roman. Une histoire de bille, Lulu la stagiaire, des chocolats, Jimcaale,… beaucoup d’informations étranges à assimiler. Et je suis honnête jusqu’au bout, je n’avais pas compris que c’était la suite des aventures de Hugo Boloren.

On retrouve donc notre flic pince-sans-rire et qui ne sait pas mentir (j’aimerais tant avoir ce super pouvoir) à Lille, où il emmène sa maman atteinte d’Alzheimer dans une clinique spécialisée. Il demande alors à la police s’il peut aider les enquêteurs à retrouver le coupable d’un meurtre sordide : un petit garçon, Jimcaale, a été trucidé dans la décharge qu’on appelle Terra Nullius, à cheval entre la France et la Belgique. Il y des rumeurs qui disent qu’il avait trouvé un trésor qui l’aiderait à sortir de sa condition actuelle.

Hugo Boloren est bien embêté : il a perdu sa bille, c’est-à-dire son intuition de flic. Il est donc un peu paumé sans elle, il ne sait pas par où commencer mais il sait qu’il y a quelques chose qui cloche dans cette affaire. A mesure que les investigations avancent on découvre des pièces de puzzle qui ne s’imbriquent pas entre elles. Et pour cause : il y a plusieurs puzzles.

Je n’en dis pas plus, à vous de découvrir si Hugo va retrouver sa bille, si elle va l’aider à faire l’éclairage sur cette histoire mystérieuse. En tout cas, les personnages sont hauts en couleurs, attachants pour certains, et j’aime toujours autant Hugo. Victor Guilbert a réussi à faire une suite cohérente à cet excellent livre qu’est Douve.

En un mot

Très bon thriller, mais je conseille quand même de lire Douve avant, histoire de bien comprendre comment fonctionne le personnage de Hugo Boloren.

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L’auteur récidive en aménageant le « huis clos ». Dans Douve il nous avait entrainé au bout de nulle part. Dans cette suite, nous visitons un « non-monde ». Avant Schengen entre deux pays il y avait le « no man’s land », une zone entre les deux frontières. Maintenant entre la Belgique et la France, il y a Terra Nullius, un territoire non revendiqué et à la gouvernance douteuse, aux mains d’une économie parallèle.
Comment tirer le meilleur parti de la misère du monde ? Un apprenti super-héros va en faire les frais, un gamin d’une dizaine d’année qui va nous émouvoir et nous faire réfléchir à l’avenir que nous accordons aux laissés pour compte.
Boloren est affectivement perdu : ses références sont soit à Shangaï, soit en perte de mémoire. Il a gardé son addiction au chocolat millésimé et devient adepte de la bière lilloise, au prix d’une belle série de gueules de bois. Celui qui nous avait ému dans Douve, retrouve comme auxiliaire pour la résolution de ses enquêtes une improbable bille qui se balade dans son subconscient, matérialisant ses angoisses et débloquant son intuition. Il est particulier Boloren, lunaire et pragmatique ! Il s’entoure d’adjoints improbables : une stagiaire et un accro aux faux témoignages. Il peut aussi compter sur sa mère, ancienne journaliste d’investigation, qui découvrira de nouvelles pistes pendant ses rares moments de clairvoyance.
Notre enquêteur borderline, va sinon prendre fait et cause pour les miséreux, mais voir avec bienveillance les modes de survies des bidonvilles, peuplés de seconds rôles bien barrés. Il nous propose un dénouement à la mode Hercule Poirot qui aurait pu être un peu plus rythmé pour répondre aux attentes des lecteurs pris pas ces 345 pages.
Un agréable moment de lecture qui m’a remémoré avec plaisir ma ville natale et ses spécialités culinaires ...

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Un gamin d'origine somalienne meurt assassiné dans une décharge à ciel ouvert. Eh non, on n'est pas en Afrique mais non loin de Lille, cependant étonnamment ni en France, ni en Belgique , mais à Terra Nullius, une zone de territoire qui n'appartient à aucun état : une décharge et un bidonville à la frontière entre les deux pays. Jim habitait dans le bidonville, jouait au super héros dans la décharge, son jardin. Il y est mort.
Hasard ou destinée, l'inspecteur Boloren doit justement y venir à Lille, accompagner sa maman pour une consultation dans une clinique haut de gamme. Alors, parce que l'annonce de cette mort entendue à la radio a créé un frémissement dans sa tête, il demande à être intégré à l'équipe qui travaille sur le meurtre.
Ce qu'il faut savoir sur l'inspecteur, c'est qu'il résout ses enquêtes à l'aide d'une bille, une bille qui roule dans sa tête jusqu'à trouver la vérité, et cette bille avait disparu, Alors ce frémissement lui laisse penser qu'elle peut réapparaitre.

Plus que l'enquête, qui quoiqu'il en soit se tient d'un bout à l'autre et dont je n'avais absolument pas envisagé la fin, ce qui m'a séduite dans ce polar ce sont d'abord les personnages.
En premier lieu, cet inspecteur, aux méthodes improbables, dont le désarroi est grand entre la maladie de sa mère et la perte de sa bille, et qui ne peut même plus compter sur son vice pour un moment de réconfort : Son étui à cigarettes est rempli de chocolats, et le chocolat n'a pas forcement les vertus consolatrices d'une bonne cigarette, même s'il va parfois jusqu'à sortir à l'extérieur pour en prendre un. de plus, il ne sait pas mentir, cela peut être pénalisant quand on interroge un suspect :
"Grosset me regarde pour vérifier. Mon visage incapable de mentir confirme que je n'en sais pas plus que lui sur cette affaire. Il parvient tout de même à percevoir que je n'ai rien contre y mettre mon nez. Je suis un livre ouvert et Grosset un lecteur habitué"
A coté de lui, on trouve un panel de personnages attachants, entre Lulu la stagiaire au commissariat qui est toute heureuse d'avoir dégoté une bizarrerie dans les dossiers qu'elle étudie, pour la soumettre à Boloren, et le ramener un peu plus dans le monde des vivants, et puis Raphaël l'inspecteur Lillois, qui essaye de déterminer quels sont les puzzles derrière cette enquête (impossible que toutes les pièces, viennent du même) et qui désespère de paraitre son age et d'être pris au sérieux :
"L'inspecteur se lève en rajustant son costume trop grand. Il est persuadé que les costumes le vieillissent, qu'ils lui donnent ses vingt-huit ans que sa tête de blondinet lui refuse.Alors qu'en flottant dans son costard, il empire l'effet. On dirait qu'il l'a emprunté à son père"
Et aussi tous les protagonistes qui gravitent autour de cette décharge et autour du petit Jim, gamin magnifique, qui survivra les 6 jours de l'enquête, allongé sur un lit d'hôpital dans le coma et séduira tous ceux qui l'approcheront malgré cette présence réduite. Il y a Mani, qui règne sur la décharge, la vieille Sara, mère par substitution de Jim, l'espion vietnamien, le photographe peut-être un peu pédophile, sans oublier Magnétophone le chien à collerette.

L'auteur nous peint tous ces personnages et le déroulement de l'enquête dans une écriture savoureuse, pleine de trouvailles et d'humour, pleine aussi de tendresse pour ses personnages. Et j'ai aimé que la vie de l'inspecteur fasse partie de l'enquête : la façon dont l'auteur décrit comment la maladie d'Alzheimer débutante de sa mère est difficile à gérer pour Hugo Boloren, comme il est compliqué de voir une personne qu'on aime perdre la mémoire, comme il est douloureux de ne pas être reconnu par cette personne, comme les va-et-vient entre période d'oubli et période normale sont éprouvants, pour l'entourage et pour la malade qui à ce stade se rend compte de ce qui lui arrive.
Un vrai coup de cœur pour moi ce polar inventif, aux personnages attachants. Je vais surement lire le premier roman mettant en scène cet inspecteur.

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Bonjour, merci d'avoir accepté ma demande. Je ne suis malheureusement pas en mesure de chroniquer ce livre car je ne parviens pas à le télécharger. J'en ai informé NetGalley et j'espère qu'une solution pourra être trouvée car, ayant dévoré le premier ouvrage de cet auteur, j'avais vraiment hâte de me plonger dans son nouveau roman.

Bonne soirée,

Nathalie

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J’avais découvert « Douve » l’an dernier grâce à la sélection du Prix Découverte Iris Noir. Dans ce livre, mon plaisir de lecture tenait particulièrement à l’écriture assez originale portée par Hugo, le narrateur et héros. Cette fois encore, je me suis laissé entraîner à la suite d’Hugo Boloren, un drôle d’inspecteur qui fonctionne à l’intuition, laquelle lui vient sous forme de vagues qu’il appelle « la bille » et qui, pour le moment, lui fait cruellement défaut. Autre particularité de cet enquêteur hors normes : il ne sait pas mentir ! Pour un inspecteur, ce n’est pas banal car pour intimider un témoin, ne pas être capable de bluffer, ça complique l’approche !

Dans sa vie privée, tout n’est pas rose… Il doit se rendre à Lille pour accompagner sa mère qui souffre d’Alzheimer dans une clinique spécialisée. L’occasion pour lui de prêter main-forte aux enquêteurs du coin qui doivent faire face au meurtre d’un gamin agressé dans une décharge publique voisine du camp de miséreux dans lequel il vivait. Hugo espère que cette enquête lui ramènera la bille et les inspecteurs locaux sont ravis de cette aide bienvenue. Avec eux, Raphaël et Côme, il découvre cette drôle de zone, appelée terra nullius, dont ni la France, ni la Belgique voisine ne semblent vouloir revendiquer la propriété.

J’ai à nouveau ressenti cette espèce d’indolence réconfortante dans la narration d’Hugo, un je-ne-sais-quoi dans l’écriture de Victor Guilbert qui m’emporte à mille lieues de mon quotidien et je suis fascinée par cette capacité que je ne parviens pas à expliquer ! Hugo vit une enquête palpitante, mais lui, sa timidité, ses carrés de chocolat et ses doutes profonds nous la font vivre avec calme et sérénité, c’est une fois de plus ce choc entre rythme et narration qui m’impressionne le plus.

L’auteur nous dépeint également une galerie de personnages vraiment attachants, la palme revenant à celui qui en fait le moins : la victime, Jimcaale, considéré comme mort cliniquement mais dont le « débranchement » a été retardé. Il est immobile, silencieux, pourtant se dégage de lui une émotion particulière que ressentiront presque tous les protagonistes.

L’enquête prend des formes de puzzle, comme le souligneront à plusieurs reprises les enquêteurs, et force est de constater que lorsque la dernière pièce s’emboîte, le tableau est aussi parfait qu’inattendu !

Une fois de plus, j’ai passé un moment de lecture particulièrement agréable et, une fois de plus, j’ai l’impression d’être bien en peine pour exprimer mes émotions !

Cependant, tant que vous comprenez qu’il faut découvrir cet auteur, mon job est fait 😉 !

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Le résumé de ce roman m’interpellait et puis, j’étais curieuse de découvrir la plume de l’auteur dont on voyait de plus en plus d’avis passer partout, que ce soit avec son premier roman Douve qu’avec ce Terra Nullius. J’ai donc découvert ce thriller qui m’a fait passer un bon moment.

Cette phrase « Le problème de cette affaire, ce n’est pas le nombre de pièces dans le puzzle, c’est le nombre de puzzles » résume vraiment très bien l’histoire. Elle est tellement énigmatique, mais nous allons comprendre petit à petit qu’elle prend tout son sens.

Comme vous l’aurez compris avant Terra Nullius, il y a « Douve » et, même si ce sont deux enquêtes totalement différentes, quelque chose me dit que j’aurais dû lire ce premier roman avant de me pencher sur ce deuxième opus qui nous entraine avec Hugo Boloren, car j’ai l’impression d’avoir loupé quelques éléments de sa vie et de celle de sa maman atteinte d’Alzheimer. Je me trompe peut-être totalement, ce n’est que mon sentiment. Passons à ce roman et oublions un instant le précédent.

On commence donc ici avec un prologue qui nous immerge immédiatement dans le Terra Nullius avec Jim. Ensuite, l’auteur nous entrainera sur six jours et j’ai beaucoup aimé ce découpage qui donne un certain rythme à l’histoire.

Nous allons nous retrouver du point de vue de Hugo Bolloren tout au long du roman et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on va très vite se rendre compte qu’on est avec un flic pas banal du tout. Hugo a perdu sa bille (cette bille, c’est toute une histoire que je vous laisse découvrir) et il doit la retrouver. Il a également une addiction au chocolat comme d’autres pourraient être accro à la cigarette et il va souvent nous faire tout un épilogue autour du chocolat. Ces deux éléments font que nous n’allons pas nous ennuyer un instant dans les pensées de notre flic.

Notre flic, qui est à Paris avec sa maman souffrant d’Alzheimer, va donc se retrouver à la PJ de Lille pour l’accompagner dans un centre spécialisé et être près d’elle, tout en continuant son travail. On va suivre son arrivée à la PJ de Lille, on va découvrir le Terra Nullius et le décès de Jimcaale. On va s’attacher à notre flic et on va se plaire à enquêter avec lui et ses nouveaux collègues de Lille. La plume de l’auteur est tellement entrainante qu’on va tourner les pages encore et encore pour connaitre le dénouement de l’histoire. On va émettre des hypothèses encore et encore, mais sera-t-on sur le bon chemin, telle est la question. On va rencontrer et suspecter énormément de personnages et, même si on n’est pas dans un thriller qui va à 100 à l’heure, le plaisir est de se laisser mener en bateau pour l’auteur. Autant vous dire que je n’avais pas vu venir la fin qui m’a très agréablement surprise.

Concernant le Terra Nullius, j’ai été légèrement perturbée, parce qu’en plus d’essayer de résoudre l’enquête, je voulais également le situer. Le fait qu’il se trouve à cheval sur la France et la Belgique a fait que je cherchais quelle ville du Nord et quelle ville de Belgique pouvaient bien le délimiter. J’aurais cherché jusqu’à la fin du roman, mais ce fut chose impossible. Toujours est-il, qu’habitant à la frontière et passant souvent en France et ayant même déjà vécu très proche de la frontière, j’en croisé plus d’un de ces terrains. Ado, j’en voyais même un de chez moi et qui justement se situait sur deux frontières, du coup j’ai souvent eu cette image.

Bref, si vous aimez les personnages atypiques et les enquêtes qui vous font émettre énormément d’hypothèses sur le tueur, je vous conseille ce roman. A moins que vous ne commenciez pas Douve pour l’histoire de notre inspecteur.

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-Un suspens bien présent, des personnages atypiques et attachants,une écriture subtile, intelligente et addictive, de l'émotion, de la tendresse, de l'humanité ...

Dans terra nullius de Victor Guilbert polar aussi original sur le fond comme sur la forme , On retrouve le personnage d'Hugo, découvert dans précédent roman de l'auteur ,Douve, qui m'avait plu mais moins convaincu . Terra nullius peut être lu indépendamment, même si je conseille toujours de lire ds l'ordre pour suivre l'évolution des personnages Un gamin qui vit ds un camp de laissés pour compte , juste a côté d'une décharge, passe son temps à jouer dans cette dernière. Ni la France ni la Belgique, ne veulent reconnaître ce camp, d'ou le titre , Terra nullius, la terre dont personne ne veut .
Ce gamin va être très grièvement blessé et ça se retrouver ds le coma. Dès le début la couleur est donnée : le gamin va mourir ds 6 jours ..(la déjà j'ai failli pleurer)
Hugo va être amené à assister l'équipe d'enquêteurs , alors qu'il est à la recherche de sa fameuse " bille" qui lui est indispensable pour mener a bien l'enquête, et qu'il est toujours addict au chocolat.
On va se trouver à une galerie de personnages vraiment originaux ( les bons comme les méchants) . Certains sont drôles , attachants et émouvants, a l'image d'Hugo , pour qui j'ai eu de l'empathie (ce qui m'avait manqué dans le premier tome). Franchement, j'ai trouvé tous ces personnages forts. et marquants , inoubliables pour certains .
L'auteur ,à travers l'intrigue, dénonce une situation ubuesque , inhumaine, cruelle et l'inaction de l'état français comme belge .
J'ai trouvé ce livre humaniste, et poétique a sa façon, avec une ironie et de l'humour qui ont fait mouche .
La plume est très fluide, légère , addictive bien que j'ai trouvé quelques répétitions (sur la bille et sur l'étui de chocolat)
L'intrigue est surprenante. le dénouement est original , sur le fond et sur la forme .
Il y a en plus une belle relation mère /fils , qui traite de la maladie d'Alzheimer, une histoire vraiment touchante.
Une lecture originale , rafraîchissante qui me donne vraiment envie de vite retrouver Hugo et ses comparses .

BREF, un joli et gros coup de coeur , un très bon moment de lecture que je ne peux que vous conseiller de découvrir. Merci à #netgalley france et aux éditions #hugothriller de 'avoir fait confiance .

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