The last

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Date de parution 18 sept. 2020 | Archivage 23 nov. 2020

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Résumé

Jon pensait avoir largement de répondre au dernier sms de sa femme. Mais alors qu'il prend son petit-déjeuner dans le hall de l'Hotel Sixième en Suisse après une conférence, le monde se rappelle à lui avec d'atroces nouvelles. Washington DC a été effacée par une bombe nucléaire. Plus de nouvelles de New-York. Londres s'est éteinte. Berlin aussi. Voilà ce qu'il a le temps de comprendre avant que les média et les réseaux sociaux ne soient coupés à leur tour. Avant que le ciel ne se couvre de nuages oranges.


Deux mois plus tard, ils sont vingt survivants réfugiés dans cet hôtel connu pour son histoire teintée de suicides et de meurtres. Jon et ses compagnons d'infortune essaient de maintenir un semblant de quotidien. Jusqu'au jour où ils découvrent le corps d'une petite fille.

Les provisions s'amenuisent, les tensions s'affutent. Et si finalement le danger n'était pas à l'extérieur?


Vingt survivants. Un hôtel. Un meurtre.

Jon pensait avoir largement de répondre au dernier sms de sa femme. Mais alors qu'il prend son petit-déjeuner dans le hall de l'Hotel Sixième en Suisse après une conférence, le monde se rappelle à...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782017125556
PRIX

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Alors, il faut dire que j'ai été surprise par ce roman . Je ne suis absolument pas adepte de ce genre littéraire. On se retrouve dans le journal de Jon , qui écrit presque au jours le jour son expérience et sa vie, suite à la fin du monde. IL se retrouve bloqué dans un hôtel en Suisse ,avec des gens d'autres nationalités qui plus est. On est carrément dans un 8 clos!
Il découvre rapidement l'histoire de cet hôtel, qui est un peu particulier. Et il décide d'enquêter sur le meurtre d'une fillette qu'il a découvert.
Au milieu du roman, l'enquête s'estompe un peu pour vraiment se concentrer sur la survie des personnages et sur leur vie passée, ce qui enrichis pas mal le roman.
Par moment, j'avais l'impression de me retrouver dans un roman d'horreur ( un rien me fait peur haha )
La fin n'est pas extraordinaire, je m'attendais à plus spectaculaire mais j'avoue avoir passé un bon moment et je me suis pas mal attaché à plusieurs personnages .

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La fin du monde est arrivée. Et si les derniers survivants (ou presque) étaient une vingtaine de personnes dans un hôtel perdu au milieu de nulle part ? Ou quand "Shining" rencontre le monde de la dystopie.

     Un roman à l'ambiance un peu étrange, un peu comme "Shining" (les fantômes en moins.) Car nous sommes coincés avec ces personnes dans un semi huis-clos (pas tout à fait un), avec leur stress, leurs tensions. Parce que les stocks de nourriture baissent, le ciel est recouvert d'étranges nuages dû aux multiples explosions, un corps est retrouvé, personne n'a de nouvelles, les gens se suicident... Il y a forcément un brin de folie, quelque chose de latent.
     Et l'auteure lance des pistes, par-ci par-là, pour nous perdre nous aussi : sont-ils mort et dans une forme de purgatoire ? Sont-ils vraiment les seuls survivants ? Sont-ils tombés dans une sorte de dystopie ? Faut-il qu'ls se méfient ou osent ?

J'ai bien aimé cette ambiance. Et il a ce petit quelque chose à mettre sur le compte de Jon, le narrateur et l'auteur de ces textes, qui ajoute une sorte de décalage. Il se passe des choses, le quotidien n'est pas complètement monotone (surtout pas celui de Jon), il y a de l'action, du suspens, des rebondissements...  mais le ton reste calme. Ce qui va avec le fait que c'est un historien qui relate les faits. Il met une légère distance, sans pour autant rendre le texte trop objectif ou froid. C'est l'un de ses points forts, ça, les pistes et des petits détails sur la vie en société, les rapports humains...

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Prenez « Shining », ajoutez-y un peu plus de personnages, juste de quoi pouvoir traiter des grands problèmes de notre société, et ajoutez-y un meurtre. Vous obtiendrez « The Last ». Ce mélange m’a tout de suite séduite, et j’ai dévoré ma lecture, dans l’attente de découvrir comment la situation allait évoluer pour les personnages, et d’en savoir plus sur ce mystérieux meurtre. J’ai eu un peu de mal à cerner le personnage principal, d’autant plus que c’est lui qui raconte les évènements, mais l’écriture va droit au but, ce qui n’était pas plus mal pour apprécier le récit. Vous l’aurez compris, il s’agit d’une bonne lecture. Le petit bémol que je dois noter, est que je m’attendais un peu plus à un roman policier. Mis à part cela, il s’agit d’une bonne lecture de saison.

En bref, il s’agit d’un bon moment de lecture.

Merci à l'éditeur pour cette découverte !

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🌺 Rentrée littéraire 2020 🌺

Une très bonne surprise ce thriller post-apocalyptique ! le monde a été partiellement détruit par des bombes atomiques et les communications sont coupées. 20 survivants se retrouvent dans un hôtel isolé en Suisse.
🔮
Jon est historien dans une université américaine et était venu pour une conférence. Il va rédiger, au jour le jour, la chronique de l'hôtel et de ses occupants. Une amorce d'organisation est mise en place et fonctionne tant bien que mal jusqu'à ce que le corps d'une fillette soit découvert dans un réservoir sur le toit. Jon va se focaliser sur cette fillette et rechercher son identité, son assassin et la raison de sa mort. Le monde extérieur finit par refaire surface et chacun se dévoile tel qu'il est vraiment.
🔮
J'ai apprécié l'absence de surenchère de catastrophes et de violence gratuite mais les “banalités” d'un quotidien de survit augmentent vite l'angoisse exprimée par Jon et la nôtre en réaction. C'est un roman plus axé sur le mental et le psychologique que sur le physique, le huis clos étant présent sur une bonne part de l'histoire. Il renouvelle le genre post-apocalyptique qui est bien souvent dans le catastrophisme et l'horreur.
🔮
J'en recommande la lecture. A noter que c'est le second livre de Hanna Jameson mais le premier du genre et le premier traduit en français ! Bravo

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Je viens de terminer ce livre et j'éprouve déjà le besoin d'en parler ! C'est très bon signe !
Mais que c'était fou !! Ce roman aborde énormément de thématiques, et il les aborde tellement bien !
J'avais peur que l'histoire parte un peu dans tous les sens mais en fait non. J'ai trouvé l'utilisation de la première personne parfaite, ça laisse un aspect très subjective et on ne sait jamais si le narrateur divague ou non.
Ce livre vaut donc trois nuits blanches. C'est le genre de livre auquel on pense dans la journée "Mais, est si...", c'est juste fou. Ce livre était une expérience. Merci de m'avoir permis de la vivre.

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J’ai adoré ma lecture. Le style est efficace, concis mais en même temps travaillé de telle sort qu’on a réellement l’impression d’être Jon ou de le voir agir. On s’attache donc à lui très rapidement et on vibre avec lui au rythme des événements plus qu’inquiétants qui s’enchaînent.

C’est un véritable page turner glaçant et criant de vérité puisqu’on s’imagine aisément dans la même situation tant notre monde part en vrille facilement ...

Pour moi qui aime beaucoup les huit clos, j’ai trouvé celui-ci terriblement bien réussi. On a du mal à le lâcher, le suspense est au rendez-vous et le frisson aussi ! Bref je recommande !

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Un thriller post-apo, mélange surprenant mais efficace de "The Walking Dead" (les zombies en moins) et des "Dix petits nègres", où l'enquête est finalement secondaire par rapport aux difficultés d'un groupe de survivants à une guerre nucléaire à vivre ensemble, avec son passé, et les incertitudes quant à l'avenir. Une fin surprenante, un rythme bien dosé, un très bon roman.

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Jon Keller prof d'histoire à l'université est à l'hôtel le Sixième pour une conférence en Suisse lors de la guerre nucléaire : tous les pays sombrent les uns après les autres tandis que l'hôtel reste debout. Plus de Président des USA, plus d'ordre, plus de civilisation et plus de traces de sa vie d'avant. Personne ne peut sortir de l'hôtel ils doivent rester confinés et survivre avec les vivres de l'hôtel. Mais quelques jours plus tard un corps est retrouvé aux alentours de l'hôtel. Un meurtrier dans l'établissement ? Jon va mener l'enquête..⁣

Très bon thriller post apocalyptique ! J'ai aimé suivre l'enquête de Jon pour trouver l'assassin de l'hôtel mais aussi suivre ce qu'il se passe en dehors de ces murs. ⁣
La tension entre les gens montent crescendo et il y a de quoi : plus de forme d'autorité sur terre, un manque de nourriture et plus d'électricité bref ils sont totalement coupés du monde et ils doivent apprendre à se débrouiller seuls pour survivre. ⁣
Des amitiés naissent dans cet hôtel mais aussi des rivalités, et les masques tombent quand il s'agit de survie. ⁣

J'ai beaucoup aimé ce qu'il se passait dehors mais malheureusement je n'ai pas trouvé que c'était énormément exploité dans le récit. ⁣

La fin est étonnante je ne l'avais absolument pas deviné ! ⁣

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Bien que les survivants se retrouvent confinés dans un hôtel isolé en Suisse et que cela puisse vous faire penser à Shining, l’histoire ne tombe jamais dans l’horreur.

Bien qu’il est question de la mort d’une fillette, l’histoire ne tombe pas non plus dans l’enquête.

En fait, nous sommes quelque part à la croisée de ces genres et de celui de la survie.

Les survivants sont non seulement isolés par leur situation géographique mais également par le manque d’informations. Jamais nous ne savons ce qu’il s’est passé exactement ayant donné lieu aux attaques nucléaires.

Cependant, nous assistons aux conséquences de ces faits et cela nous glace d’effroi par plusieurs aspects.

La société qui se constitue sous nos yeux est digne des dystopies. Il n’y a pas besoin de satyre ou de critique de la société. Tout est là.

En glissant l’Homme dans le pur instinct animal et de survie, nous constatons des choses qui font peur. Confronté à l’extinction de sa race, les limites morales s’effacent. L’universitaire le plus gentil devient un prédateur et n’hésite pas à tuer afin de pourvoir à ses besoins. La personne la plus inoffensive vole pour se protéger, au risque de constituer une menace elle-même envers les autres. L’homme le plus civilisé pense à repeupler la Terre, très souvent contre le gré des femmes et tout ça pour quoi? Parce que c’est un devoir? Je serais des personnes qui pensent que sur une Terre inondée de radiations et de dangers à tout va, où tout manque comme la nourriture saine ou l’eau, il vaudrait mieux que la race humaine s’éteigne définitivement et laisse place à la Nature. D’autant plus lorsqu’après une tentative de viol, une femme doit en plus prouver qu’elle a été victime de ladite tentative. Vraiment, l’auteure nous montre la laideur de l’Homme sans rien nous épargner. Vous allez voir des personnes se disputer pour savoir qui a plus de valeur que les autres. Vous allez en voir d’autres faire preuve d’égoïsme et d’injustice. Vous allez être presque dégoûtés de voir la nature de l’Homme se révéler si bien que vous vous demandez à quoi ressemblera la fin de cette histoire.

L’action du récit nous emmène véritablement au coeur de la nature humaine. Elle est sombre, elle est réaliste, elle ne montre aucune complaisance vis-à-vis de l’Homme.

Dans le même temps, alors que la fin du roman approche et avec elle, la fin de ce huis-clos, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander comment elle va être. Y aura-t-il une grande révélation? Y aura–t-il un bouleversement même si on ne l’attend plus?

Et puis, c’est là qu’on réalise ce que nous avions pressenti tout au long du récit. Ce n’est pas une simple histoire de survie. The last est surtout une histoire de l’après. Comme le disait Buffy, le plus dur n’est pas de mourir mais de vivre, de continuer à avancer alors que tout nous incite à rendre les armes. C’est le récit de ce qu’est la résilience humaine.

Bien que la fin soit plutôt sombre, j’ai passé un excellent moment avec ce roman. Ce récit d’anticipation peut faire peur, il fera certainement réagir mais il nous invite à la réflexion et à penser le monde et nos pairs autrement.

Je recommande donc chaudement The last pour tous les messages qu’il véhicule et les raisonnements qu’il nous force à faire. C’est un roman et un essai deux-en-un qui fait mouche.

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