Je ne voulais pas vous faire pleurer

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Date de parution 16 janv. 2020 | Archivage 21 avr. 2020

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Résumé

Julie-Anne a 15 ans quand ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents. Anorexique, son poids est trop faible pour qu'elle puisse mener l'existence d'une jeune fille de son âge dans le monde extérieur. Elle doit prendre 7 kilos pour pouvoir sortir de l'hôpital et surtout, retrouver sa famille. Commence alors pour elle un long parcours, "enfermée" dans cette unité d'hôpital psychiatrique pour adolescents. Il va falloir s'y faire et malgré tout, s'y amuser. Mais elle va surtout y trouver un tout nouveau sens à sa vie grâce à des rencontres, les échanges avec sa meilleure amie, et... une passion inattendue.

Julie-Anne a 15 ans quand ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents. Anorexique, son poids est trop faible pour qu'elle puisse mener l'existence d'une jeune fille de son...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782375542323
PRIX 10,90 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Un roman qui se lit d'une traite en très peu de temps. La plume est simple, fluide, addictive.
Capture d'un instant dérobé de la vie de Julie-Anne, cette jeune fille qui a décidé de disparaître tout en désirant viscéralement d'être aimée.
L'autrice nous offre une représentation réaliste de l'hôpital psychiatrique, avec ses règles et ses rencontres, ses traitements et ses entretiens. Pas un lieu de soin idéalisé emprunt de bienveillance trop collante mais pas non plus cette prison terrible où se déroulent bien trop de films extravagants.
Notre héroïne confie au lecteur ses pensées de chaque instant. Ses espoirs et ses craintes, le chemin parcouru et celui qu'il lui reste à poursuivre. Elle fait le point avec elle-même, se redécouvre, grandit le temps de quelques semaines.
J'ai aimé que tout ne soit pas expliqué, que tout ne soit pas parfaitement résolu et qu'on nous laisse le choix d'espérer, nous aussi.
Une très belle lecture que je recommande avec plaisir!

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Dans ce livre nous suivons Julie-Anne, à 15 ans elle souffre d’anorexie. Ses parents et sa sœur, s’inquiétant de la voir perdre du poids demande à ce qu’elle se fasse hospitaliser en unité psychiatrique. Pour pouvoir voir ses parents, il va falloir qu’elle prenne 7 kg, et pour pouvoir sortir, il faut qu’elle en prenne 10.

Ce livre, c’est son parcours dans l’unité. Julie-Anne s’adresse à nous, elle se confie à nous. C’est donc un peu comme un journal intime.

Elle nous explique également comment elle est tombée dans l’anorexie. Ce livre aborde principalement l’anorexie, mais aussi plein de sujets qui peuvent nous tourmenter à l’adolescence.

C’est un petit livre qui se lit très vite, le langage est très jeunesse, mais ça ne m’a pas dérangé. Il peut donc être lu par les plus jeunes et peux sensibiliser sur beaucoup de choses.

J’ai malheureusement trouvé que ce livre était un peu bâclé, le sujet était tellement intéressant. Tout a été un peu trop vite à mon goût, ça n’a pas été assez développé, j’ai trouvé ça vraiment dommage.

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Je remercie énormément les éditions Slalom pour l'envoi, via net galley, du roman Je ne voulais pas vous faire pleurer de Charlotte Monnier.
Julie-Anne a 15 ans quand ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents.
Anorexique, son poids est trop faible pour qu'elle puisse mener l'existence d'une jeune fille de son âge dans le monde extérieur. Elle doit prendre 7 kilos pour pouvoir sortir de l'hôpital et surtout, retrouver sa famille.
Commence alors pour elle un long parcours, "enfermée" dans cette unité d'hôpital psychiatrique pour adolescents. Il va falloir s'y faire et malgré tout, s'y amuser.
Mais elle va surtout y trouver un tout nouveau sens à sa vie grâce à des rencontres, les échanges avec sa meilleure amie, et... une passion inattendue....
Je ne voulais pas vous faire pleurer est un roman pour adolescents qui aurait pu être très poignant. Le sujet abordé est important car beaucoup d'adolescents et adolescentes sont anorexiques. J'ai déjà lu plusieurs ouvrages mettant en scène des adolescents atteints de cette maladie, qui m'a toujours touché. Je n'ai jamais été anorexique mais la nourriture et moi, c'est tout un poème lol Je suis très intéressée par les romans mettant en scène des troubles de la nourriture car quelque part, cela me parle.
Et ici, je trouve que Charlotte Monnier survole un peu le sujet de l'anorexie ; elle n'approfondit pas assez c'est dommage.
On suit cette jeune fille de 15 ans à son arrivée dans une unité psychiatrique. C'est assez froid, j'ai eu un peu de mal à m'attacher à elle. On ne ressent pas suffisamment sa souffrance. On la ressent un peu, notamment lors de sa prise de poids, toutefois il est assez difficile de s'attacher à elle.
Par contre, le ton est vraiment celui d'une enfant de quinze ans mal dans sa peau. L'autrice a réussit à bien cerner son personnage.
En fait, c'est une jolie histoire qui montre plus l'inquiétude de l'entourage, la vie des ses adolescents dans ce genre d'unité, les difficultés du personnel que la vraie souffrance de cette jeune fille.
Ce n'est donc pas tout à fait ce que je pensais lire, malgré tout j'ai apprécié ma lecture. J'ai une petite sensation d'inachevé en refermant ce livre, c'est pour cela que je ne vais mettre que trois étoiles et demie.
Mais je le recommande :)

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Je remercie les éditions Slalom et le site NetGalley de m'avoir permis de découvrir le premier roman de Charlotte Monnier "Je ne voulais pas vous faire pleurer". J'ai passé un bon moment de lecture avec l'adolescente de 15 ans Julie-Anne. Elle est anorexique et ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents afin qu'elle y reçoive des soins. On suit avec intérêt son parcours au sein de cette unité spécialisée. On découvre progressivement son quotidien et celui d'autres jeunes patients dont les pathologies sont différentes. Le sujet abordé est important pour de nombreux adolescents et adolescentes. L'auteure montre bien la souffrance ressentie par l'adolescente, elle décrit aussi très bien le quotidien des adolescents enfermés (réveil, prise de médicaments, repas, moment de parole auprès des soignants, désoeuvrement, ...). On s'identifie très facilement aux personnages et on leur souhaite la guérison. Je recommande ce roman qui plaira très certainement aux adolescents.

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Julie-Anne est hospitalisée à la demande de ces parents et surtout de sa sœur dans un hôpital psychiatrique pour soigner son anorexie. Elle ne sortira qu’après avoir repris 7 kilos.
C'est un roman court, intense sur sur maladie grave qu'est l'anorexie. On suit cette lente reconstruction de Julie-Anne, qui souhaite s'en sortir et c’est ce qui fait sa force et sa réussite.

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L’anorexie mentale est un sujet terrifiant, une spirale de sur-contrôle sur son propre corps, de désamour de la nourriture source de vie, de cette vie si incertaine, si problématique parce que justement on ne peut rien y contrôler…l’anorexie mentale mène à la mort.

Julie-Anne a 15 ans et elle vient d'accepter de se faire interner en hôpital psychiatrique dans un service pour adolescents. Il faut dire qu’elle n’a pas vraiment le choix : après avoir visiblement tout essayé, sa famille est à bout de forces; ce service est sa dernière chance, pour prendre 7 kilos, les 7 kilos qui vont l’amener à un poids de vie qui lui permettra de mener enfin une vie normale.

Julie est pleine de doutes, de questions et d’incertitudes qui la ronge, qui prennent toute la place dans sa tête et dans son corps.
« Quand est-ce que j'allais enfin pouvoir retrouver ma famille ? Est-ce que j'allais pouvoir les revoir un jour ? Comment est-ce que ça allait se passer pour Kévin ? Pourquoi Jill ne progressait pas ? Qu'est-ce ce que je foutais là ? Qu'est ce qu'on voulait de moi ? Qu'est-ce que je faisais mal ? Pourquoi je ne savais pas vivre ? Pourquoi mon cœur était si lourd et mon poids si léger ? Je ne comprenais pas. »
Comment lorsque l’on est déjà bourré à l’excès de tout ce qu’on ne digère pas, avoir encore de la place pour avoir faim ?

De ce sujet, Charlotte Monier a décidé de faire un livre sur l’Espoir. Un livre qui refuse de confronter les jeunes et moins jeunes sensibles à ce sujet, qui liront ce livre, à la douleur, la difficulté de vivre des adolescents du service, à la lutte impitoyable pour regagner ces kilos, au combat contre soi-même. Charlotte Monnier choisit au contraire de montrer que la résurrection se trouve dans la vie incroyable et la solidarité qui règnent dans ces petits microcosmes de la douleur.
Car c’est bien ici, soi-disant « coupée du monde », que Julie-Anne va trouver un tout nouveau sens à sa vie, un sens qui jusqu’à présent lui avait échappé : la distance peut faire du bien, le recul peut permettre de mieux appréhender les évènements, ses problématiques. la vie en commun peut-être surprenante, et émulant.

Car c'est bien grâce à des nouvelles rencontres, à l’amitié, aux échanges avec sa meilleure amie, grâce également, et oui…à une passion inattendue, que Julie-Anne va finalement éclore à la vie, se laisser enfin aller, se risquer à lâcher prise, à aimer, à oser… Et reprendre confiance : car les nourritures terrestres, ne se composent pas que d’aliments, mais aussi et surtout, de nourritures du cœur et de l’esprit : les relations, les relations dont naissent les mots, les rires, les sentiments. Tous ces cadeaux inattendus de la Vie, qui pansent progressivement et naturellement les maux, et permettent d’absorber peu à peu sans trop y penser les autres nourritures.

Un très très beau livre, très doux, très délicat, presque évanescent...

Un sincère Merci à la plateforme NetGalley et aux Éditions Slalom pour leur confiance...

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Je ne voulais pas vous faire pleurer est un court roman traitant de l'anorexie d'une jeune adolescente. le roman commence par l'entrée à l'hôpital psychiatrique de Julie-Anne. Pour retrouver sa vie de jeune adolescente de 15 ans, elle devra prendre sept kilos, défi qui lui semble impossible à atteindre au premier abord. Pour cela, il faudra du temps, de l'accompagnement ainsi que beaucoup d'amitié.

Je ne voulais pas vous faire pleurer est un roman très court de seulement de 140 pages qui va à l'essentiel. Charlotte Monnier nous propose un roman qui traite l'anorexie de façon plutôt intelligente et qui saura intéresser les adolescents par sa plume fluide et bienveillante. Malgré son titre, le roman ne se veut pas tire-lame et est plein d'espoir. Julie-Anne trouvera sa rédemption dans les nouvelles rencontres qu'elle fera dans cet hôpital, rencontres aussi (parfois même plus) écorchées qu'elle ainsi que dans tout le soutien de sa famille et de sa meilleure amie qui l'attendent impatiemment dehors. Écrit principalement à la première personne, nous suivons réellement l'évolution psychologique de cette adolescente qui, enfin, apprend à connaître et à aimer son corps.

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~ Résumé ~

Julie-Anne est anorexique, elle n’aime pas son corps, se déteste, se morfond, refuse ses formes de femme depuis l’apparition de ses premières règles. Et voilà qu’on l’enferme dans un hôpital psychiatrique pour enfants. C’est pour son bien, elle le sait mais c’est un combat très dur que de se battre pour l’envie de vivre.

~ Mon avis ~

Une SUPER lecture ! Rapide mais suffisante pour nous faire vivre le calvaire de Julie-Anne et de ces millions d’autres personnes qui souffrent d’anorexie. Ces personnes ne s’aiment pas, se hait, déteste leur corps et pourtant elles doivent apprendre à en prendre soin, à l’aimer à le nourrir.

Une lecture rapide donc un avis bref mais je recommande à 100% ! Merci pour cette sublime lecture

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Ce titre m'a permis de découvrir à la fois l'auteure et l'éditeur, merci !
Ce court récit, simple et efficace, nous plonge dans le quotidien d'une unité psychiatrique pour adolescents à travers l'expérience de Julie-Anne, quinze ans, qui souffre d'anorexie. Son séjour de quelques semaines sera l’occasion pour elle non seulement de faire le point sur sa maladie mais aussi de s'ouvrir à d'autres, soignants ou patients, de réfléchir sur sa situation familiale et de s'éveiller au sentiment amoureux. La forme de ce roman évoque un peu le journal de bord. L'atmosphère n'est ni idyllique, ni sombre. Le sujet est intéressant et traité de façon nuancé, mais manque de profondeur à mon goût. Je conseillerais toutefois facilement ce roman aux jeunes lecteurs pour qui le texte sera très accessible et clair.

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/!\ Avant que vous ne commenciez la lecture de ma chronique, je tiens à préciser qu'elle traite d'un sujet (l'anorexie) qui peut heurter la sensibilité de certaines personnes. Si vous êtes confronté(e)s à cette situation et/ou que c'est un sujet difficile pour vous, je vous conseille de ne pas lire ma chronique afin de vous préserver au mieux.


Coucou tout le monde :-)


Aujourd'hui je souhaiterais vous partager mon avis sur le roman Je ne voulais pas vous faire pleurer écrit par Charlotte Monnier et publié chez les éditions Slalom. Je tiens tout d'abord à remercier les éditions Slalom pour m'avoir permis de découvrir ce roman qui traite d'un sujet difficile : l'anorexie.


Je vais rapidement vous présenter l'histoire. Le roman débute avec Julie-Anne, une adolescente de 15 ans, qui fait son premier jour d'entrée dans un hôpital psychiatrique car elle souffre d'anorexie. Nous suivons son évolution dans ce nouvel environnement, qui certes s'avère très difficile au départ ; mais petit à petit Julie-Anne s'adapte à ce nouveau mode de vie.


J'ai lu ce roman d'une seule traite, et ce que je trouve admirable dans le travail de Charlotte Monnier, c'est que l'auteure parvient à nous parler de l'anorexie, à travers un personnage principal fictif, et à développer son histoire avec toutes les informations nécessaires, alors que le roman ne fait que 76 pages. Je me suis tout de suite attachée au personnage principal, que je nommerai Elle durant le reste de ma chronique – car Julie-Anne a horreur que l'on prononce son prénom en entier -. J'ai été touchée par sa vulnérabilité, sa détresse face à une maladie qu'elle ne maîtrise plus, mais aussi la souffrance qu'elle ressent face à l'idée de n'avoir aucun contact avec l'extérieur, donc avec sa famille et ses amis, et ce tant qu'elle n'aura pas repris 7 kilos.


À partir de là, Elle va se livrer dans un combat de chaque instant, luttant contre l'envie de laisser la maladie prendre le dessus. Même si au départ elle regrette d'être dans cet hôpital, elle comprend vite que ça vaut la peine de se battre. Son histoire est très touchante, ses mots sont semblables à ceux d'une enfant, mais en même temps Elle n'a encore que 15 ans, et elle exprime ce qu'elle ressent comme elle le peut. J'ai pris un grand plaisir à la voir avancer pas à pas vers un avenir qui ne peut qu'être meilleur.


Je ne veux pas trop vous en dire sur l'histoire non plus, afin de ne pas gâcher le plaisir de votre lecture. Mais en tout cas Je ne voulais pas vous faire pleurer est un de ces romans dont on ressort grandi à la fin de la lecture, un roman qui nous montre à quel point la vie est précieuse, et que l'aide des autres ne peut que nous être bénéfique !


Si j'ai souhaité découvrir et chroniquer ce roman, c'est tout simplement car les troubles du comportement alimentaire est un sujet qui, je pense, n'est pas encore assez abordé dans la société d'aujourd'hui. Et le problème c'est que beaucoup de femmes, hommes, jeunes femmes et jeunes hommes souffrent de cette maladie, car oui c'est une maladie, qui malheureusement touche des personnes de plus en plus jeunes... C'est pour cela que j'aimerais vous dire que si vous êtes confronté(e)s à un/plusieurs trouble(s) du comportement alimentaire – anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie – ou si vous connaissez une personne dans cette situation, n'hésitez pas à demander de l'aide à un professionnel. Et je tiens à préciser que ce n'est en aucun cas une honte d'avoir cette maladie, mais au contraire il ne faut pas rester seul(e)(s) si vous y êtes confronté(e)s.


Je remercie encore une fois Charlotte Monnier pour ce roman très touchant, et pour sa plume qui est agréable à lire ! Je vous recommande donc Je ne voulais pas vous faire pleurer si vous souhaitez comprendre un peu mieux ce qu'est l'anorexie, ou juste découvrir l'histoire d'une jeune fille qui, malgré une épreuve difficile dans sa vie, se trouve être une vraie battante !

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Ce livre est touchant et bouleversant, et traite d'un sujet pas facile à aborder !
Dans ce roman vous ferait la connaissance de Julie-Anne qui est anorexique, et qui se bat contre ses démons.
L'anorexie est une maladie grave et dangereuse, mais bon là, notre jeune héroïne va réussir à le combattre mais surtout à nous expliquer pourquoi elle a arrêté de se nourrir !
Dans la vie de cette jeune fille il va se passer quelque chose qui pour certains ou certaines d'entre vous n'ai pas important et qui pour d'autres peut être tragique surtout si on est pas préparé !
Je ne peux que vous conseiller de le lire, car il sera également vous toucher.

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A 15 ans, Julie-Anne est anorexique. Ses parents, sa soeur et sa meilleure amie s’inquiètent pour elle et pour sa vie car son poids est trop faible. Le quotidien de sa famille s’en voit bouleversé et ... ne supporte plus la situation. C’est elle qui fait pression sur leurs parents jusqu’à ce qu’ils décident enfin de la faire hospitaliser. Interner avec d’autres adolescents, elle est coupée du reste du monde et de sa famille : aucune communication avec l’extérieur ne lui est permise. Si elle souhaite revoir ses parents, il lui faut prendre 7Kg ; si elle souhaite sortir, il lui faut prendre 10 Kg.

Nous rencontrons Julie-Anne le jour de son hospitalisation. Elle nous raconte son parcours, ses rencontres mais aussi comment elle est devenue anorexique. Avec elle, nous vivons des hauts et des bas car si elle souhaite s’en sortir il lui faut se battre. Son parcours n’est pas facile. Il lui faut retrouver le goût de vivre et celui de manger. Même si elle est coupée du reste du monde, elle n’est pas protégée des déboires de la vie adolescente. Elle s’attache à d’autres patients, à des soignants. Certains arrivent, d’autres partent et cela ne facilite pas son cheminement.

Un roman intéressant qui aborde l’anorexie de manière simple. On y découvre l’inquiétude de l’entourage et son impuissance face à la maladie. On y découvre aussi et surtout la vie d’une adolescente souffrant d’anorexie alors qu’elle intègre une unité capable de l’aider. Charlotte Monnier nous parle donc plutôt du cheminement vers la prise de poids sans jamais tomber dans le pathos. Julie-Anne souffre mais elle a déjà fait un pas vers la guérison lorsque nous la rencontrons. Elle nous montre ainsi qu’il est possible de trouver la force et la volonté de s’en sortir lorsque l’on accepte l’aide qui nous est proposée.

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L'histoire est touchante et aborde le sujet difficile de l'anorexie et de l'hospitalisation des adolescent.es
Certains aspects auraient pu être plus questionnés (en quoi punir des enfants les aident à trouver le goût de vivre et d'aller mieux ?) mais je comprends que ce ne soit pas le but du livre.
Je n'ai pas spécialement apprécié le style de l'autrice, ni le personnage de Julie-Anne dont on sait peu de choses au final en dehors de sa maladie.
Une autre chose qui m'a mise mal à l'aise est le fait que ça soit la grande soeur qui semble forcer les parents à hospitaliser Julie-Anne.
Je trouve ce livre difficile à conseiller aux lecteurs car même s'il aborde un sujet important, l'univers est loin d'être neutre. Par contre cela peut être un bon outil pédagogique car c'est un sujet important et à ma connaissance très rarement abordé en littérature ado/jeunesse. Ce livre peut donc aider à comprendre, pour des ados souffrant de cette même maladie, ou pour ceux dont les proches en souffrent. (et c'est pour ça que c'est bien de pas mettre le poids réel des jeunes filles pour éviter "l'effet compétition" fréquent dans l’anorexie donc bravo d'y avoir pensé).
Dernier point: j'ai trouvé l'explication de l'anorexie de Julie-Anne assez bancale. Enfin j'imagine que c'est UNE explication possible mais il est important de rappeler que ce n'est certainement pas le cas de toutes les personnes qui en souffrent (les garçons peuvent être anorexiques aussi).
Pour résumer : j'ai apprécié ma lecture mais certains points m'ont questionnés. Mais je pense quand même que c'est un bon outil pédagogique (à avoir dans des CDI et bibliothèques fréquentées par des ados)

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Il y a plusieurs éléments intéressants dans ce récit dont la couverture est interpelante, notamment le ton de Julie-Anne, qui sonne authentique de A à Z, et la relation importante qui se noue entre les jeunes et les éducateurs de l’unité fermée dans laquelle l’adolescente se trouve. Il y a toutefois trop d’éléments seulement survolés ou abandonnés au fil de l’histoire. On effleure l’idée de l’abus, il y a la famille absente (qui est finalement aimante) sans qu’on comprenne pourquoi, la sœur qui insiste pour qu’elle soit hospitalisée, les autres troubles des résidents de l’unité... autant d’éléments qui auraient pu être creusés, mais par moment c’est comme si on ne faisait qu’effleurer l’histoire. D’ailleurs, la finale est sur le même ton, complètement (trop) ouverte. Dommage.

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Je ne voulais pas vous faire pleurer est un roman que je suis heureuse de vous faire découvrir aujourd'hui !
J'ai fait un petit tour sur les réseaux sociaux avant ma lecture afin de voir les notes sur ce titre, j'ai été un petit peu déçue et surprise de voir qu'il est plutôt moyennement noté, je m'attendais à mieux, du coup, j'étais peu enjouée lorsque j'ai commencé à le lire. Et pourtant...
Pourtant, je l'ai dévoré ce livre, je l'ai aimé, j'ai adoré la façon dont il est écrit, j'ai trouvé les personnages attachants, l'histoire jolie, le sujet bouleversant. Ce n'est pas une biographie, mais bien une fiction, une fiction plus que réelle qui traite de plusieurs sujets d'actualités tels que l'anorexie, le suicide chez les adolescents, l'internement en hôpital psychiatrique, le burn-out, mais aussi le combat de l'entourage et des accompagnants.
Je suis donc, une nouvelle fois, à l'opposé de ce que j'ai très rapidement aperçu sur ces quelques sites. Tant mieux, j'aime les belles surprises !

Julie-Anne a 15 ans, elle est anorexique et a atteint un poids très dangereux pour elle. Ses parents essaient de l'aider, mais sont clairement impuissants. Seule sa sœur va prendre cette maladie en main et trouver le courage de taper du poing sur la table afin d'imposer sa volonté de faire interner Julie-Anne en hôpital psychiatrique afin que celle-ci soit aidée par des professionnels et reprenne un poids acceptable.
7 kilos, c'est ce qu'elle doit reprendre avant de revoir ses parents. 10 kilos avant de pouvoir ressortir de l'HP.
Un long travail va démarrer pour la jeune fille, mais elle ne lâchera jamais rien, ne se découragera pas. Ses pesées, ses repas, ses moments de repos, ses rencontres, ses amitiés naissantes et ses premiers sentiments amoureux, rien ne nous est caché.
L'évolution de Julie-Anne -physique et moral- est là au fil des pages, tout cela est bénéfique pour elle et ça fait plaisir à voir.

J'ai tourné les pages rapidement, avancé dans ce "presque" huis clos avec plaisir. Oui, avec plaisir, car l'histoire est très positive, très optimiste. L'auteure traite d'un sujet lourd, mais avec beaucoup de légèreté et ça fait du bien, on ressort de cette lecture avec le sourire et non le cœur lourd.
Pour moi, ce livre devrait être présent dans toutes les bibliothèques à la portée de tous lecteurs de tous âges.
En tout cas, je vous le conseille vivement. Il se lit vite, il ne fait que 144 pages.

Bravo à l'auteure Charlotte Monnier pour ce premier roman de qualité !
Je remercie chaleureusement les Éditions Slalom pour la découverte de ce roman ainsi que NetGalley, et je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne lecture :)

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Ce roman démarre avec l'arrivée de Julie-Anne, 15 ans, dans un hôpital psychiatrique. Si cette adolescente se retrouve dans une telle situation c'est à cause d'une maladie réputée pour être des plus destructrices: l'anorexie. J'ai passé un bon moment de lecture, le texte est fluide, accessible sans difficulté pour les jeunes lecteurs et traite d'un sujet très important qui doit être mis en avant pour prévenir et sensibiliser les adolescents.
Le roman est rendu très dynamique avec les différentes variations d'écritures (SMS, lettres..) et les nombreuses références musical et cinématographiques qui donnent vie au récit.
Même si on aborde très bien le côté destructif de la maladie pour l'entourage, les difficultés de l'isolement dans l’hôpital psychiatrique ou encore la souffrance du personnel soignant j'ai trouvé que plusieurs choses étaient survolées et auraient mérité d'être plus approfondie (c'est lié à la longueur du texte aussi, il s'agit là d'un court roman). J'ai aussi été dérangée par un extrait du texte autour de l'arrivée des règles que je n'ai pas trouvé très bien tourné dans l'écriture (mais évidement c'est très subjectif).

Malgré tout j'ai passé un bon moment de lecture et je pourrai recommander ce livre sans soucis à de jeunes ados. Charlotte Monnier nous propose ici un chouette premier roman et j'espère pouvoir la retrouver par la suite dans de nouveaux textes.

Je remercie la maison d'édition Slalom ainsi que la plateforme NetGalley pour l'envoi du roman.

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J'aime beaucoup la littérature jeunesse même si ces derniers temps, je n'en ai pas beaucoup lu. La raison principale, c'est que je m'en étais lassée parce que les auteurs (et les maisons d'édition) nous proposaient toujours des thèmes identiques. Et puis là, j'ai découvert le résumé de ce petit ouvrage de Charlotte Monnier et j'ai eu envie de voir ce qu'il avait dans le ventre (jeu de mots très recherché lorsqu'on connait le thème du livre ... j'ai un peu honte, au revoir !). Un grand merci aux Editions Slalom de m'avoir procuré un exemplaire numérique du livre.
Julie-Anne a 15 ans quand ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents. Anorexique, son poids est trop faible pour qu'elle puisse mener l'existence d'une jeune fille de son âge dans le monde extérieur. Elle doit prendre 7 kilos pour pouvoir sortir de l'hôpital et surtout, retrouver sa famille.
Commence alors pour elle un long parcours, "enfermée" dans cette unité d'hôpital psychiatrique pour adolescents. Il va falloir s'y faire et malgré tout, s'y amuser. Mais elle va surtout y trouver un tout nouveau sens à sa vie grâce à des rencontres, les échanges avec sa meilleure amie, et ... une passion inattendue.

J'ai beaucoup aimé ce court récit, même si j'aurai aimé qu'il soit un peu plus long. En effet, j'ai trouvé que certains traits de caractère et certains événements étaient un peu survolés. Tout est bien trop rapide, on n'a pas le temps de s'immerger dans l'histoire, c'est quelque part un peu frustrant. J'aurai aimé en apprendre un peu plus parfois, surtout au sujet de Julie-Anne, notre personnage principal. Je ne connais pas l'anorexie, je n'ai pas été confrontée au problème ni personne de mon entourage. Je n'ai donc pas toujours bien compris pourquoi cette jeune fille refuse de s'alimenter et se sent tellement mal lorsqu'elle mange ne serait-ce qu'un petit morceau de quelque chose.

C'est très bien écrit, j'ai trouvé la plume de l'auteure vraiment fluide. C'est agréable à lire et bien adapté à un lectorat adolescent. Ça se lit très rapidement, en une demie-journée ma lecture était pliée. Charlotte Monnier nous permet de découvrir ce qui se trame derrière les murs des hôpitaux qui accueillent des jeunes en difficulté psychologique, elle ne porte aucun jugement. Je pense, sans en être certaine, que l'ambiance de ces services a été bien rendue. Les personnages secondaires qui entourent Julie-Anne sont tous importants finalement et donnent du corps au récit malgré son petit nombre de pages.

C'était chouette mais un peu trop rapide à mon goût !

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Un roman très court (environ 74 pages sur liseuse), un extrait de cette période dans la vie de Julie-Anne, de son arrivée à l'hôpital à sa prise de poids. Son combat et sa psyché durant ce processus de guérison. Elle réfléchit beaucoup et ne comprend pas tout.
Elle pense avoir cerné ce qui a provoqué cette réaction. Elle apprend à connaître ce nouveau corps et cette nouvelle identité. Mais guérit-elle ? C'est peut-être la légère frustration, celle de ne pas savoir, de s'arrêter brusquement. Et en même temps, la guérison psychique est un long processus. Rien ne certifie que cela suffit à la soigner, à ne pas la faire replonger.

Dans l'unité, il y a la boxe comme catharsis. Va-t-elle continuer à la pratiquer ? Frapper un punching-ball à défaut de se faire du mal ? Elle ne se scarifie pas comme d'autres, mais elle punit autrement son corps.

C'est un roman assez touchant qui ne cherche pas à donner de réponse. Il nous dévoile des souffrances et des manières différentes de les vivre. Un aperçu non exhaustif, sans jugement, même si Julie-Anne ne comprend pas Jill.
Le tout, sous le regard d'une adolescente assez mature pour son âge, qui prend du recul pour analyser et qui nous offre sa compréhension. Sans en faire un mélodrame.

Un livre qui ne fait pas pleurer mais, au contraire, fait du bien. Nous passons avec elle et nous regrettons seulement de savoir qu'ils ne s'en sortiront pas tous. Un livre qui nous parle anorexie et souffrance souterraine, qu'on ne peut pas toujours expliquer. Mais qui est bien réelle et qui impacte la vie de tous les jours, sa santé, son bien-être et même son entourage.

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C'est un livre pour jeunes lecteurs. Plus particulièrement, jeunes lectrices en général. Le thème abordé est bien mené. Cela nous permet d'en apprendre plus sur l'anorexie et sûrement que les jeunes personnes touchées pourrons se reconnaître dans le livre. Malgré ce sujet principal, un autre en découle. Les premières règles. Et les jeunes adolescents (surtout adolescentes mal informées cela peut provoquer des problèmes plus grave comme on peut le voir avec le personnage principal). J'ai beaucoup apprécié ce livre, je pense qu'il est destiné au jeune adolescent, mais qu'il convient parfaitement aux personnes plus âgées. L'écriture est fluide et l'histoire possède des touches de positivités ce que j'apprécie beaucoup dans les livres. Merci beaucoup à Netgalley, pour cette lecture.

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L’anorexie est une maladie qui m’intrigue. Parce que je connais des gens qui en souffrent et parce que j’ai parfois du mal à comprendre. Je me suis dit que ce lire aller m’aider à comprendre, ou du moins à en savoir plus.

Son poids étant devenue alarmant, Julie-Anne est hospitaliser pour reprendre du poids et reprendre goût à la vie. Mais le combat ne fait que commencer…

J’ai commencé ce livre pleine de curiosité. J’ai fait connaissance avec Julie-Anne et tout de suite sa fragilité et sa franchise m’ont émue. Elle ne cache rien et dévoile tout ce qui la tourmente depuis des années. Depuis ce temps où elle a décidé que pour maitriser sa vie, elle devait maitrisait ce qu’elle mangeait. En surtout ce qu’elle ne mangeait pas. De ce que j’ai pu en comprendre, l’anorexie est une historie de contrôle. On contrôle son corps en lui faisait faire ce que l’on veut, c’est à dire maigrir. Plus on le malmène, plus il tient le coup et plus on est fort. Cela Julie-Anne nous l’explique très bien. Mais pour le reste…
J’ai trouvé que le livre, qui est très court, n’approfondissait pas assez le sujet. Il reste souvent en surface des choses. Je suis restée avec des tas de questions. Par exemple, Julie-Anne ne veut pas qu’on l’appelle par son prénom, mais on ne sait pas comment elle veut qu’on l’appelle, jamais elle ne communique d’alternative ou de surnom. Peut-être qu’il faut juste l’apostropher…
Elle n’a pas l’air non plus de trop lutter pour reprendre du poids, elle en prend et cela n’a pas l’air d’être difficile pour elle. Elle se dit proche de personnes, avec qui elle a de longues discussions, dont nous ne savons rien… Les personnages secondaires ne sont pas creusés, et même elle au final, je n’ai pas eu l’impression de la connaitre. Elle est restée quelqu’un de lointain que je n’ai pas toujours compris et qui n’a pas réussi à m’émouvoir plus que cela.
C’est dommage parce que j’attendais beaucoup de se livre. Peut-être trop…
Je pense qu’il est plus destiné à ceux, les plus jeunes notamment, qui veulent avoir un premier « contact » avec cette maladie.

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Ce roman se lit d'une traite !
L'écriture simple rend la lecture très rapide. Je me suis sentie aux côtés de Julie-Anne. Les émotions sont très bien retranscrites je trouve.
Quelques passages sont peut-être un peu rapides, je n'aurais pas été contre une cinquantaine de pages en plus !
J'ai aimé les différents supports de narration : récit, conversations sms, lettres.
Je trouve que c'est un très bon roman qui touche de nombreux ados aujourd'hui.
Un peu court, mais très bon !

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Julie-Anne, qui déteste qu’on l’appelle par son prénom, vient d’être hospitalisée pour son anorexie mentale et nous la suivons à travers son journal intime qui intègre également des correspondances de sa mère et ses amies sur elle. Du coup, le lecteur a un regard croisée sur le destin de Julie-Anne. Elle a 15 ans quand ses parents la déposent dans un hôpital psychiatrique pour adolescents. Anorexique, son poids est trop faible pour qu'elle puisse mener l'existence d'une jeune fille de son âge dans le monde extérieur. Elle doit prendre 7 kilos pour pouvoir sortir de l'hôpital et surtout, retrouver sa famille.
Commence alors pour elle un long parcours, "enfermée" dans cette unité d'hôpital psychiatrique pour adolescents. Il va falloir s'y faire et malgré tout, s'y amuser. Mais elle va surtout y trouver un tout nouveau sens à sa vie grâce à des rencontres, les échanges avec sa meilleure amie, et... une passion inattendue. Ce récit de vie est poignant et donne une vision sociétale d’une maladie qui touche plus d’adolescent que nous imaginons.

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Ce court roman (un peu moins de 150 pages) de Charlotte Monnier aborde le difficile sujet de l'anorexie, à travers la voix d'une adolescente, Julie Anne, quinze ans. Cette jeune fille est ici hospitalisée au sein d'une unité psychiatrique suite à cette perte de poids extrême, et c'est presque sous la forme d'un journal intime qu'elle délivre au lecteur son histoire, ce dernier étant finalement son seul lien avec l'extérieur.

De par cette narration à la première personne, on est finalement plus dans le témoignage que dans le "roman", et j'imagine que la voix de Julie Anne pourra trouver une résonance particulière chez les jeunes filles de cet âge. Pour ma part, j'aurais souhaité quelque chose de plus construit, moins ... survolé, de moins ... détaché peut-être. En fait, j'aurais aimé en savoir plus sur les différents personnages que côtoie l'héroïne, j'aurais aimé savoir encore plus comment elle en est arrivée là, et comment elle s'en sortira ensuite. Seulement, le format choisi par l'auteur ne le permet pas, encore une fois, on est davantage dans le témoignage, dans le récit intime que dans un récit romanesque à proprement parler. Le livre est très bref, la fin est trop précipitée à mon goût, c'est dommage.

Une lecture pas complètement convaincante donc. :/

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Merci @netgalleyfrance et aux éditions slalom pour cette belle lecture. Je ne voulais pas vous faire pleurer de Charlotte Monnier.

Julie-Anne est très, très mince, obsédée par son poids et sans aucun appétit. Sa soeur Marine dit qu'elle est anorexique et doit se faire aider par un hôpital. Ses parents ont besoin de plus de persuasion que les mots de la grande soeur qui serait jalouse de l'attention portée à la plus jeune. Pas facile d'admettre que son enfant ne va pas bien quand on a juré de tout faire pour lui apporter le meilleur. ⁣

Même volontaire, se faire enfermer dans un hôpital psychiatrique pour ado est une épreuve. Se confronter au regard des autres, réaliser qu'il y a d'autres personnes qui ne vont pas bien aussi. Ju découvre Jill. Elle aussi est anorexique et Ju éprouve au départ une jalousie devant sa maigreur avant de réaliser qu'elle est malade et doit se battre pour aller mieux. Elle découvre aussi la sollicitude du personnel, la camaraderie et rencontre un garçon.⁣

Cette histoire, c'est celle de Ju, de Jill, c'est aussi celle de beaucoup d'ado qui vivent très mal la puberté, cette violente et rapide transformation du corps, ce changement de catégorie de petite fille à jeune femme, ce changement de regard à laquelle aucune fille n'est vraiment prête qu'elle veuille ou non se l'avouer.⁣

Les motivations de Ju pour ne pas manger, elle  traverse l'esprit de chaque fille ou femme à un moment donné. Ju vous touche. Est ce que sa guérison peut sembler miraculeuse ? Peut être car cette lecture est courte et j'aime imaginer que ce journal écrit par Ju ne livre pas tous les moments difficiles, les rechutes, le dégoût de la nourriture, le dégout de soi. Peut-on décider de guérir et regrossir suffisamment pour ne plus mettre sa santé en danger en l'espace de 3 mois ? Aucun cas n'est pareil. C'est vrai que Ju ne connait pas vraiment de rechute. En cela, sa camarade est un contre exemple très parlant de la lutte contre la maladie. Jill ne grossit pas vraiment, elle n'arrive pas à se sortie du gouffre dans lequel elle est, même si la fin du livre nous donne de l'espoir. L'anorexie se combat toute sa vie.⁣

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Julie-Anne est une adolescente, avec une grande soeur et des parents aimants mais elle se sent mal dans sa vie, au point d'être anorexique. On a "rencontre" quand elle entre dans un hôpital, son poids étant trop faible.
Lecture interessante, mais je ne sais pas pourquoi il m'a manqué quelque chose pour être complètement prise par l'histoire.

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Bonjour à tous

J'ai fini "je ne voulais pas vous pleurer".
Un court roman sur le thème de l'anorexie narrée par une adolescente hospitalisée. Il permet de mieux comprendre la souffrance endurée par cette maladie qu'on ne comprends pas toujours.
Un roman émouvant qui fait réfléchir.

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C’est un petit roman pour ados très touchant, assez complet, dont le sujet est abordé sans prétention et avec justesse. Le format de l’œuvre est aussi très bien pour le publique visé, entre le point de vue de la jeune héroïne et conversations SMS de ses proches. On est vraiment dans le genre de livre qui plait et qui mérite d’être lu. Néanmoins, l’héroïne aurait mérité d’être un peu plus développée : elle passe rapidement du coq à l’âne dans ses émotions, ou au contraire appuie beaucoup trop sur certains points. Malgré ce petit aspect négatif je me suis beaucoup attachée à Julie-Anne, et ça reste une bonne lecture.
En bref, il s’agit d’un roman avec un très beau message, mais qui aurait mérité d’être un peu plus complexe. C’est pourquoi je vais suivre de très près cette auteure prometteuse !

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Cher lecteur,

Aujourd'hui, parlons de Julie-Anne (drôle de prénom, non ?). Elle a 15 ans et d'importants troubles alimentaires. Bref, elle est anorexique et ses parents ont décidé de l'hospitaliser dans une unité psychiatrique spécialisée. De là, le lecteur va suivre le parcours de la protagoniste jusqu'à ce qu'elle sorte de l'hôpital.

Dans ce court roman, Charlotte Monnier a mis l'accent sur la vie quotidienne des adolescents hospitalisés, l'inquiétude et les difficultés de l'entourage et du personnel qui portent ces jeunes à bout de bras.... Finalement, l'autrice donne un point de vue assez large et parle peu de la souffrance personnelle de Julie-Anne et ça manque : la jeune fille a l'air de se remettre sur pieds tellement facilement que cela manque de crédibilité. Mais, le plus important n'est-il pas de montrer que se nourrir est important pour la vie mais les relations sociales, les activités et autres sont tout aussi importants pour vivre ?


J'aurais adoré que ce roman fasse quelques pages de plus car la fin, dans les faits, est un peu abrupte.

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On découvre dans ce roman le parcours d'une adolescente qui subit de plein fouet cette maladie inquiétante qui est l'anorexie. On suit son parcours pour se rapproprier ce corps qui disparaît. Sa reconstruction se fera au sein d'une unité spécialisée grâce à de belles rencontres faites de solidarité et d'écoute pour mettre à jour cette souffrance qui a déclenché cette terrible maladie
Un livre à faire découvrir à de nombreux adolescents et adultes, , un ton juste , une écriture limpide et agréable.

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Un court roman très touchant sur l'anorexie. Il n'est pas très détaillé, il reflète plutôt les pensées sur un court laps de temps d'une ado souffrant d'anorexie. Ça passe ou ça casse. Personnellement, je l'ai trouvé très fort, très intense et je ne vais pas aller chercher très loin ce qui aurait pu être mieux, car il se suffit très bien comme ça malgré quelques manques, tout dépend comment on voit les choses.

Julie-Anne vient tout juste d'intégrer une unité psychiatrique pour adolescents, sur lequel son entourage compte beaucoup pour qu'elle aille mieux. Elle doit reprendre sept kilos pour pouvoir remettre un pied à l'extérieur et revoir sa famille et ses amis. L'adolescente est là parce qu'elle l'a bien voulu elle aussi mais combien de temps ça va prendre sept kilos ? Combien de temps va-t-elle devoir se priver de tout contact extérieur, s'obliger à rester enfermée alors qu'il n'y a rien à faire ? Son séjour dans cette unité va lui (ré)apprendre beaucoup de choses...

Dans le fond, je trouve ce roman vraiment excellent. La maladie n'est pas détaillée en long, en large et en travers, il manque des éléments pour lesquels je me pose encore des questions mais c'est surtout pour alimenter ma curiosité, ils ne sont pas forcément indispensable. C'est juste qu'on s'attache tellement à Julie-Anne, à ce qu'elle vit, qu'on veut en apprendre davantage. Le fait qu'elle raconte tout comme si elle se confiait à nous, ça fait passer le message clairement et simplement.
Sans avoir vécu l'anorexie, on peut assez aisément se faire une idée de ce que travers Julie-Anne rien qu'à travers ses pensées. Globalement en tout cas. Elle se contredit parfois. Elle sait pourquoi elle est dans cette unité mais elle se demande quand même pourquoi. Elle veut absolument sortir, donc elle doit manger, elle le sait, mais elle ne le fait pas forcément. Toutefois, ce ne sont pas des contradictions lourdes à lire. L'auteure n'a pas abusé des "justifications". Julie-Anne dit les choses très simplement et on comprend chaque état par lequel elle passe. On y découvre rapidement mais, encore une fois, efficacement et simplement, son rapport avec la nourriture et son corps, sa façon de voir les choses, de les comprendre, de les interpréter, de les accepter ou non. C'est pour toutes ces raisons que je pense que ce roman se suffit très bien comme il est. On y découvre des pensées sincères, touchantes, qui évoluent au fil du temps quand Julie-Anne prend conscience de quelque chose.
Bien sûr, j'aurais aimé en apprendre davantage sur cette maladie, sur ses difficultés parce que tout a été relaté dans un court laps de temps, ça laisse peu de temps à de nombreux détails sans que ce soit trop lourd. Je reste sur ma position, même en y réfléchissant de toutes les façons possibles : non, il n'y a pas tout de détailler et tout va très vite, mais ce que l'on y trouve est amplement suffisant pour s'y retrouver, pour s'attacher çà Julie-Anne, pour la comprendre un minimum. Je pense que je ne voulais surtout pas quitter Julie-Anne et que le plus gros manque vient de là...

L'histoire de Julie-Anne se rapproche très fortement de la mienne, l'anorexie en moins. C'est peut-être pour cette raison que je me suis attachée à elle. En tout cas, je me suis beaucoup retrouvée dans ses mots, dans ses incompréhensions alors que la situation est pourtant claire, dans ses doutes, dans ses appréhensions. Tout est dit simplement mais efficacement, avec des phrases parfois fortes qui savent toucher le lecteur. Les ressentis de Julie-Anne sont très justes et je trouve que c'est important, surtout pour ce genre de sujet.

En bref, c'est un roman que j'ai beaucoup apprécié, tant pour la protagoniste que pour l'histoire en elle-même. C'est rapide, fluide, efficace et très touchant, avec des pensées pertinentes. Je ne peux que conseiller ce roman et encore plus aux adolescents.

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Je tiens tout d'abord à remercier les éditions Slalom et NetGalley pour m'avoir permis de lire ce livre.

J'ai bien aimé le thème du livre qui traite de l'anorexie, un sujet important à aborder notamment chez les jeunes files. J'ai bien aimé comment c'était abordé : du point de vue de la fille en question, on a son ressenti et c'était très intéressant. Après, je trouve que le thème n'est peut être pas assez poussé et qu'on reste un peu trop en surface. Il s'agit là de mon avis personnel, je ne remets pas en question le travail de l'auteure sur ce livre qui reste très intéressant. On aborde aussi d'autres thèmes car l'histoire se déroule dans un hôpital psychiatrique et j'ai trouvé cela très bien.

J'ai aussi bien aimé le personnage principal de Julie Anne même si j'ai eu un peu de mal à m'attacher à elle. Elle suit ce qu'elle pense, comment elle vit les choses par rapport à sa maladie, par rapport aux autres ados de l'hôpital... c'était un personnage intéressant à suivre.

Ce roman aborde un thème important, je pense que c'est important que les jeunes filles le lisent après pour moi, le roman ne rentre pas assez dans les détails, on reste en surface.

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Julie-Anne a 15 ans et elle vient d'accepter de se faire interner en hôpital psychiatrique dans un service pour adolescents. Elle est anorexique... Si on ne sait rien de sa vie d'avant, on comprend vite que sa famille est à bout, et que cette solution est celle de la dernière chance. Trouvera-t-elle la force de prendre les 7 kilos qui lui permettront de sortir ?

Je ne voulais pas vous faire pleurer est un roman jeunesse sur un mal qui touche de plus en plus de nos jeunes : l'anorexie.

Charlotte Monnier a une écriture agréable, qui va à l'essentiel et qui saura plaire aux plus jeunes.
Son but n'est pas de perdre ses lecteurs dans la douleur ou la difficulté de vivre des adolescents du service, mais de montrer qu'on peut trouver la volonté de s'en sortir quand on est entouré et qu'on accepte les mains tendues.

Le corps ne se remplit pas que de nourriture, mais aussi de mots et de relations...

Merci à NetGalley et aux Éditions Slalom pour leur confiance...

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