Le retour d'Arsène Lupin

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Date de parution 10 oct. 2018 | Archivage 9 nov. 2018

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Résumé

1908. Arsène Lupin a entamé une thérapie pour soigner son addiction au cambriolage. Hélas pour lui, son médecin exige qu’il cesse de voler pendant toute la durée de la cure. Le voilà contraint de trouver un moyen honnête de payer les séances dont il espère sa guérison. Pour cela, il ouvre une agence de détectives, l’agence Barnett. Sa première cliente, la très riche Mme Bovaroff, se plaint qu’on lui a dérobé un inestimable autoportrait de Delacroix, L’Homme au gilet vert. Surprise  ! Voilà que l’œuvre réapparaît comme par magie sur le mur d’où elle avait disparu, tandis que tous ceux qui l’ont eue entre les mains sont assassinés les uns après les autres.
On rencontre au milieu de tout cela une ensorcelante danseuse orientale nommée Mata Hari, dont le charme sera l’un des obstacles les plus dangereux que Lupin-Barnett aura à surmonter.
 
Dans les fastes de la Belle Époque, à travers une intrigue riche en rebondissements, Frédéric Lenormand nous offre un Arsène Lupin ivre d’astuce et de rouerie.

1908. Arsène Lupin a entamé une thérapie pour soigner son addiction au cambriolage. Hélas pour lui, son médecin exige qu’il cesse de voler pendant toute la durée de la cure. Le voilà contraint de...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782702447857
PRIX 8,49 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Suspens, humour, rebondissements garantis. Arsène. Lupin n'a perdu de talent ni d'ingéniosité. D'autres récits seraient les bienvenus.

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Tout d’abord un grand merci aux Editions du Masque et à Netgalley pour ce partenariat très sympa.

Cette nouvelle aventure du grand Arsène est vraiment très réussie. Certaines personnes n’aiment pas les pastiches ou les suites de romans célèbres car elles craignent d’être déçues par un livre qui ne serait pas à la hauteur de l’original. Aucun risque avec ce polar signé Frédéric Lenormand, le pari est gagné haut la main, aucun risque d’insatisfaction. C’est un polar très réussi et plein d’humour à ne pas manquer.

Le commissaire Ganimard, l’ennemi d’Arsène l’arrête suite à un vol de bijoux, mais le roi des cambrioleurs lui fausse vite compagnie. Il entreprend une thérapie avec un psychanalyste pour guérir de son addiction au cambriolage. Son médecin lui interdit toute activité malhonnête durant la cure et lui demande de financer son traitement avec de l’argent propre. Arsène ouvre une agence de détective privée qui va lui servir de couverture. L’un de ses clients est un policier à la recherche d’Arsène Lupin et qui ne se doute pas à quel point il est proche de son gibier, ce qui donne lieu à des quiproquo très amusants.

Une riche veuve s’est fait cambrioler une perle noire d’une valeur inestimable, elle convoque une assemblée de détectives privés pour leur confier la mission de retrouver le bijou. Arsène, sous le nom de Jim Barnett, est le seul à comprendre que le vol est fictif et que la pierre est cachée dans le foulard de la veuve. Par contre il lui apprend que son tableau de Delacroix est un faux. La femme lui demande de retrouver le vrai et lui dit qu’elle s’inquiète du fait que son fils est amoureux d’une danseuse de cabaret allemande du nom de Greta, qui ne s’intéresse sûrement qu’à son argent.

Arsène se lance dans une enquête à rebondissements qui réserve bien des surprises aux lecteurs. Comme toujours les plus méchants ne sont pas ceux qu’on croit. Nous visitons le Paris interlope de la Belle époque, des meublés miteux aux palaces, des boites de nuit louches au Bateau-Lavoir, nous rencontrerons Mata-Hari, Picasso et bien d’autres personnages fictifs dans un polar au rythme endiablé dans lequel on ne s’ennuie jamais.

L’écriture est très belle, le vocabulaire et le style très riche. Surtout il y a beaucoup d’humour et de jeux de mots qui rendent le livre très amusant, et ce nouvel Arsène bien plus sympathique que le vrai de Maurice Leblanc. Pour moi ce livre est de mes coups de coeur de l’année, très distrayant et agréable à lire. J’ai passé un excellent moment et je vous le recommande chaleureusement.
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Un véritable régal que cette lecture, où, sous l'envol de la plume facétieuse de Frédéric Lenormand, on retrouve le plus célèbre des gentlemen cambrioleurs, l'homme aux innombrables succès, tant dans la cambriole qu'auprès des femmes : j'ai nommé le seul, l'unique, Arsène Lupin.

Lupin, qui, ici, tente de se reconvertir en détective privé pour soigner son addiction aux cambriolages, mais comme on dit, "Chassez le naturel, il revient au galop". Surtout que les payements acceptés par son psychiatre sont pour le moins étranges... Mais laissons cela pour nous intéresser à l'affaire confiée à Barnett, détective privé de son état, et bien entendu avatar de Lupin. Bien étrange, cette affaire aux multiples tiroirs, où un rebondissement en cache un autre, le tout sur fond de rencontre avec des personnes dont les noms, aujourd'hui, sonne autrement à nos oreilles qu'en 1908. Comme Pablo Picasso, par exemple. Ou Mata Hari.

En bref, c'est enlevé, truculent, drôle, bien mené, et même si les cadavres ont une fâcheuse tendance à s'accumuler, on garde le sourire du début à la fin, et on en arrive à souhaiter que Lupin continue à vouloir se soigner de la cambriole pour suivre un nouvel opus des enquêtes de l'agence Barnett...

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Plus de cent ans après l’apparition du gentleman cambrioleur dans une nouvelle du magazine Je Sais tout, Frédéric Lenormand se ré-approprie le personnage pour lui faire vivre une aventure supplémentaire. Mais c’est un Arsène en proie au doute que nous découvrons là, en thérapie avec un psychanalyste pour tenter de le débarrasser de son addiction au larcin ! Pas facile, ne serait-ce que pour régler les honoraires de son thérapeute! D’autant que l’agence de détective qui constitue sa couverture et un avatar de plus n’est pas des plus rentable, en regard des fortunes glanées dans le passé.

Néanmoins une enquête lui est commanditée par une riche veuve, qui se plaint de la disparition d’un autoportrait de Delacroix. Avant même que Lupin-Barnett ne se lance sur la piste d’un éventuel voleur, le tableau réapparait.. La situation est cependant loin d’être aussi limpide qu’elle ne le paraît et le détective a l’occasion de mettre à profit sa malice et son sens aigu de l’observation, toutes qualités nécessaires à un cambrioleur surdoué.

L’intrigue est bien construite , et le lecteur est entrainé dans les méandres d’une histoire bien fournie en rebondissements et en chausse-trapes de tout genre.

Le personnage est sans doute plus sympathique que l’original, parce qu’il nous montre ses failles, et pratique l’autodérision, ce à quoi ne nous avait pas habitué l’Arsène du XXè siècle. Le récit et les dialogues sont aussi plus modernes que dans les romans de Maurice Leblanc, et plus humoristiques également.

Fidèle au contexte des romans originaux, et aux personnages secondaires (on retrouve le pauvre Ganimard, qui croit un moment avoir réussi à coincer son meilleur ennemi ) , Frédéric Lenormand nous propose une aventure agréable à parcourir qui redonne vie à l’illustre voleur sans le désavouer.

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Les jours "sans" ont pour moi un seul dénominateur commun : la lecture comme refuge. Et Frédéric Lenormand représente pour moi le summum de l'auteur réconfortant. "Les Nouvelles enquêtes du juge Ti" et la série des "Voltaire mène l'enquête" ont égayé nombre de mes journées. Arsène Lupin est venu lui aussi à la rescousse de mon moral défaillant. Pendant quelques heures, j'ai oublié ce mois d'octobre où souffle en Bretagne un vent ressemblant au sirocco.
1908 à Paris, Arsène Lupin entreprend de guérir de sa fâcheuse tendance à la cambriole. Il s'est attaché les services d'Amédée Kloucke,, psychiatre de son état, dont le diagnostic a été sans appel. Son patient est "prisonnier d'une névrose cambrioleuse cyclothymique". Le médecin préconise une thérapie qui n'a rien d'audacieux, mais qui va se révéler très contraignante pour Arsène Lupin : l'abstinence. Entendez par là une pause dans les vols. Pour éviter de sombrer dans la dépression et surtout pour passer le temps, Arsène Lupin se glisse alors dans la peau de Jim Barnett, seul et unique employé de l'agence Barnett et Cie. Théodore Béchoux, inspecteur de police, personnage sympathique malgré ( ou à cause) de sa médiocrité amène sur un plateau une affaire à notre faux détective : la magnifique perle noire de Madame Bovaroff a été dérobée et Georges Clémenceau, ministre de l'Intérieur met la pression sur ses troupes pour retrouver le bijou et redorer l'image de la police. Théodore Béchoux soupçonne Arsène Lupin d'avoir commis ce vol. Jim Barnett est bien placé pour savoir qu'il n'en est rien.
Nous sommes au début d'une enquête rocambolesque, où l'énigme de la perle sera rapidement résolue pour laisser place à une autre affaire : la disparition chez Madame Bovaroff d'un autoportrait de Delacroix. Nous allons assister à la multiplication non pas de petits pains, mais de copies de ce tableau ainsi que de meurtres perpétrés à l'aide d'un pistolet de dame (facile à glisser dans un sac à main entre le poudrier et le rouge à lèvres). L'enquête va mener notre héros jusqu'au Bateau-Lavoir, lieu que tous les amateurs d'art connaissent. Il abritait à cette époque des peintres sans le sou, dont un certain Pablo Picasso, pas totalement étranger à notre affaire de copies de tableaux. Arsène Lupin fréquentera aussi un cabaret " Le Chat qui miaule" et aura le plaisir d'assister à une danse "exotique" de Mata-Hari.
Comme à son habitude, Frédéric Lenormand nous livre une fantaisie érudite, une histoire qui agit comme un baume pour le cœur et l'esprit. Je ne peux que vous inciter à vous glisser dans les pas du gentleman cambrioleur.

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Je ne présente plus ma passion pour ce personnage, pour cet univers si particulier qu'est Arsène Lupin. J'étais ultra curieuse de découvrir le héros sous un autre jour, une autre plume. J'ai bien aimé le roman qui m'a longuement fait penser à un épisode de la série Arsène Lupin (avec Georges Descrières).
Nous avons une très belle histoire policière. J'avais quelques doutes sur certains personnages, mais l'auteur m'a complètement promenée. Je n'ai pas su trouver le fin mot de toute cette aventure, les suspects se rallongeaient, les motifs aussi, les hypothèses étaient très nombreuses. La surprise fut totale, preuve que ce policier est réussi, fin et habile, très bien mené. L'enquête se fait à coup de rencontres, de meurtres, et de tout un tas d'éléments qui me fascinent comme la belle Mata Hari, l'amour, la vengeance, la mort. L'auteur exploite tout un tas de choses aussi sombres que surprenantes et le résultat mérite qu'on s'y attarde.
Le style d'écriture change de celui de Leblanc, mais Frédéric Lenormand a su ne pas créer d'important décalage. Il a su présenter une atmosphère de tension et de drames, un décor de Paris historique, des personnages vivants et extraordinaires, des émotions présentes. On sent que son style se rapproche de celui de l'auteur d'origine pour instaurer un lien de confiance, sans pour autant s'oublier et donc présenter une intrigue que même un non initié à l'univers Lupin pourra apprécier.
En conclusion, cet épisode des aventures d'Arsène Lupin m'a déroutée au départ. La plume et le héros changeaient de ce que je connaissais. Mais cet épisode gênant a très vite disparu pour laisser place aux excellents atouts du roman, un style d'écriture précis et moderne sans être simpliste et lourd. Les personnages sont attachants et extraordinaires, inoubliables ; Lupin lui-même apparaît plus humain, plus proche de nous, ce qui le rend davantage fascinant et complexe. L'ambiance est formidable et cette intrigue policière est clairement géniale, l'histoire est mon gros coup de cœur pour cette lecture. L'histoire est maîtrisée, les rebondissements et les révélations sont aussi géniaux que les fausses pistes, suspects, j'ai passé un très bon moment à lire ce roman et je me le prendrai certainement en format papier pour aller ma collection d'Arsène Lupin.

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Afin de soigner son addiction aux cambriolages, Arsène Lupin, sur les conseils de son thérapeute, arrête de voler.
Il va s'occuper en jouant au détective sous le nom de Barnett.
Sa première cliente est la riche Mme Bovaroff. Tout commence par une perle pas si "volée" que ça et d'un tableau toujours accroché et pourtant volé, s'en suivront quelques morts.
Une enquête où Arsène Lupin va tirer les fils (très emmêlés) d'une enquête pelote. Il va, comme à son habitude, jouer plusieurs personnages, croisant sur son passage d'autres personnages hauts en couleurs : des femmes, bien-sur, dont Mata Hari, des artistes dont Picasso sans oublier la police avec Bertoux policier caricaturé comme il se doit.
Je n'ai pas beaucoup lu d'Arsène Lupin de Maurice Leblanc, mais je pense qu'on retrouve bien le personnage, en peut-être plus humain avec quelques faiblesses.
Une bonne histoire.

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