Une Vita pas si Dolce
par Mélanie Taquet
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Date de parution 5 juin 2017 | Archivage 10 août 2017
Résumé
Quand Nina s'envole pour l'Italie sur un coup de tête, elle frappe à la porte de La Dolce Vita, un Bed&Breakfast tenu par Hannah, sa meilleure amie de fac.
Mais les retrouvailles des deux femmes ne sont pas à la hauteur de leurs espérances : Hannah est aux prises avec sa sorcière de belle-mère et ses problèmes de couple ; quant à Nina, elle refuse d'expliquer les raisons de sa venue et semble fuir la réalité, préférant se laisser distraire par les délices florentins au bras de Marco, un Napolitain pensionnaire du B&B.
Pourquoi Nina a-t-elle quitté la France aussi subitement ? Quels secrets tente-t-elle de dissimuler ?
Sous le soleil de Florence, les parts d'ombre et de lumière de chacun se révèlent tour à tour.
Plongez dans ce roman choral éblouissant : une escapade en Italie dont vous ne voudrez plus revenir !
Quand Nina s'envole pour l'Italie sur un coup de tête, elle frappe à la porte de La Dolce Vita, un Bed&Breakfast tenu par Hannah, sa meilleure amie de fac.
Mais les retrouvailles des deux femmes ne...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9791026210306 |
PRIX | 1,49 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Une Vita pas si Dolce est un roman que je qualifierai « hors des sentiers battus », différent… Pourtant, en regardant la couverture, je m’attendais à une histoire Chick-lit, une romance légère, un moment de plaisir sans « prise de tête ».
Je me suis trompée ! Le roman de Mélanie TAQUET est vrai, prenant, allant percuter mes opinions et déranger mes préjugés. Il m’incite à réfléchir, il me questionne, il est profond et incontestablement original. Voici mon avis…
Le résumé de l’éditeur LIBRINOVA
Quand Nina s’envole pour l’Italie sur un coup de tête, elle frappe à la porte de La Dolce Vita, un Bed & Breakfast tenu par Hannah, sa meilleure amie de fac.
Mais les retrouvailles des deux femmes ne sont pas à la hauteur de leurs espérances : Hannah est aux prises avec sa sorcière de belle-mère et ses problèmes de couple ; quant à Nina, elle refuse d’expliquer les raisons de sa venue et semble fuir la réalité, préférant se laisser distraire par les délices florentins au bras de Marco, un Napolitain pensionnaire du B&B.
Pourquoi Nina a-t-elle quitté la France aussi subitement ? Quels secrets tente-t-elle de dissimuler ?
Sous le soleil de Florence, les parts d’ombre et de lumière de chacun se révèlent tour à tour.
Plongez dans ce roman choral éblouissant : une escapade en Italie dont vous ne voudrez plus revenir
Des attentes… mais pas les bonnes !
Je suis sûre que vous vous attendez à un roman chick-lit ou tout au moins à une romance contemporaine pétillante et légère ! Non ? Alors vous êtes une lectrice ou un lecteur plus fin que moi. Je n’ai pas relevé le titre. Je me suis laissée berner par ses longues jambes fines, très sensuelles mais aussi par cet éclat de soleil qui rend la vie moins difficile, en apparence… J’aurais dû prendre avec sérieux le titre qui agit comme un avertissement, ainsi que ce jeu d’équilibriste au-dessus de la ville, si belle soit-elle.
Des rencontres humaines…
Cette ville, c’est Florence, envoûtante, magnifique, artistique, brillante. Nina (c’est cette femme qui agit sur un coup de tête et qui joue les funambules) y rencontre des personnages, tous très différents, tous chargés d’histoires, d’expériences et de problématiques. La plus touchante, selon moi, c’est la belle-mère d’Hannah, cette vieille femme aigrie. Je n’en dis pas plus !
Vous vous attendez à des protagonistes caricaturaux, accompagnateurs mais sans essence et sans subtilité ? Non, ils sont vivants, bourrés de qualités et de défauts, très réalistes, aussi. Je pensais que tout tournerait autour de Nina. Ils existent en dehors d’elle. Ils ont des relations, ils s’affrontent, ils s’écoutent, ils s’imaginent…
Un nouveau terreau de réflexion…
Je visite Florence, l’Italie, Rome, ses rues et ses places. On voyage dans ce livre. On sent, on touche, on entend comme un vrai voyageur, avec la même passion. J’ai aussi emprunté des chemins incongrus : la déroute des attitudes, le tracé tortueux des sentiments, des contradictions, la piste des provocations. L’auteure et son héroïne m’ont choquée parfois (gentiment, je vous rassure, tout est dosé !) : un mot, un acte, une idée, une pensée… Par l’interaction de l’aventure de Nina, ses gestes et la plume de Mélanie TAQUET, je me suis questionnée et j’ai interrogé le message que les mots me transmettaient. Pourquoi cette attitude ? Pourquoi cette folie ? Pourquoi ce rejet ? Pourquoi cet éloignement ? Forcément, Nina était une victime, selon moi… Et bien non. Elle est l’auteur de son mal-être. Voilà ce qui est différent et dérangeant… Je suis allée jusqu’au bout. J’ai eu raison.
Certains avis de lecteurs peuvent être contrariés par les décisions des uns et des autres personnages dans ce roman : la fuite, l’adultère, l’irresponsabilité… On condamne. On rejette. C’est évident ! Pourtant, cette histoire personnelle m’amène à envisager la différence, à chercher des personnalités et des réponses à la vie, autres que les miennes, habituelles et conventionnelles. Peut-être serais-je comme Hannah, je ne pardonnerais jamais. Oui, peut-être… Mais est-ce pour autant qu’on ne peut pas concevoir que les êtres humains sont dissemblables, en apparence, en réactions et en sentiments ?
En bref…
Une Vita pas si Dolce décrit le cheminement assez particulier d’une jeune femme qui a tout laissé derrière elle. Elle a décidé de tirer un trait sur son passé. Cet oubli s’avère difficile et impossible. Nina doit s’assumer, passer par des comportements transitoires, se chercher et se redéfinir.
Une Vita pas si Dolce n’est pas un récit essentiellement centré sur ce seul personnage, Nina. Il est riche de relations humaines. Il est un panel de visages et de personnalités, de rencontres aussi.
Il m’a diverti. Il a eu cet atout supplémentaire, celui de me questionner sur les autres.
Voici une belle expérience qui est loin d’être légère et superficielle. Une très bonne lecture, en résumé !
Inattendu douloureux et pourtant plein d amour
Un roman qui aborde les relations humaines comme on ne les imagjne pas
Quand Nina arrive en Italie chez son amie Hannah tout change mais est-ce vraiment ce qu elle recherche?
J’avais sollicité ce roman sur Netgalley sans savoir réellement de quel genre de lecture il s’agissait. Lorsque je l’ai finalement reçu en service presse de la part des éditions Librinova (que je remercie), je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais je m’attendais logiquement vu son titre, son résumé et sa couverture, à une lecture de vacances, une comédie dépaysante qui sent bon l’Italie. J’étais loin du compte.. Critique.
L’histoire : Quand Nina s’envole pour l’Italie sur un coup de tête, elle frappe à la porte de La Dolce Vita, un Bed&Breakfast tenu par Hannah, sa meilleure amie de fac.
Mais les retrouvailles des deux femmes ne sont pas à la hauteur de leurs espérances : Hannah est aux prises avec sa sorcière de belle-mère et ses problèmes de couple ; quant à Nina, elle refuse d’expliquer les raisons de sa venue et semble fuir la réalité, préférant se laisser distraire par les délices florentins au bras de Marco, un Napolitain pensionnaire du B&B. Pourquoi Nina a-t-elle quitté la France aussi subitement ? Quels secrets tente-t-elle de dissimuler ?
Sous le soleil de Florence, les parts d’ombre et de lumière de chacun se révèlent tour à tour.
Mon avis : Avant toute chose, un avertissement s’impose : la première impression est trompeuse. Ce roman n’est pas une comédie, il n’a rien à voir avec de la chick-lit et m’en rendre compte a constitué une première déception pour moi qui attendais une lecture fraîche et légère. En vérité, cette histoire m’a semblé étonnamment sombre, je dirais qu’il s’agit plutôt d’une tragicomédie : certains instants sont dramatiques, d’autres drôles et cyniques.
Une fois passée cette première surprise, j’ai pu me plonger dans la lecture de ce roman. L’écriture de Mélanie Taquet est efficace, j’ai beaucoup aimé son style très précis qui nous plonge au plus près de chacun des personnages, grâce à une alternance des points de vue entre les différents protagonistes. Elle nous fait également découvrir l’Italie et ses paysages enchanteurs. Sur ce point-là, je ne m’étais pas trompée : ce roman fait véritablement voyager, et c’est le grand atout de cette lecture. L’auteure nous emmène en Italie, dans ce pays de folklore, de culture, de dolce vita et de chefs d’œuvres architecturaux. Tout y est décrit très précisément, des paysages à l’atmosphère, et je n’ai pas été étonnée d’apprendre que l’auteure a vécu en Toscane, tant elle semble si bien connaître les différents lieux qui servent de décor à son récit.
Malheureusement, de beaux décors ne suffisent pas à créer une belle histoire. Mon avis sur cette lecture est assez mitigé, à cause des personnages. On suit deux femmes à la dérive : il y a Nina, en pleine dépression, qui part en Italie sur un coup de tête en abandonnant ses soucis derrière elle et se laisse griser par la dolce vita, allant d’aventure en aventure, en devenant de plus en plus irresponsable et détachée de la réalité. Citons aussi Hannah, sa meilleure amie, une Américaine autre fois si joyeuse, dont la gaieté naturelle a été effacée par ses problèmes de couple et de fertilité. Ces deux héroïnes ne sont pas au meilleur moment de leur vie, et ne parviennent pas à se comprendre au beau milieu de cette crise. Autour d’elle gravitent une galerie de personnages qui semblent chacun préoccupés par leurs propres problèmes, et qui peinent à leur être d’un véritable soutien. Je pense que l’auteure a voulu créer des personnages profondément humains et imparfaits, qui ont des secrets, des défauts, et des problèmes malgré l’atmosphère merveilleuse et romantique de l’Italie dans laquelle ils vivent.
C’est ce qui m’a principalement déplu chez eux. Je les ai trouvés caricaturaux et antipathiques, et si l’histoire est relativement fluide, je n’ai pas pris tant de plaisir que ça à la suivre, justement à cause de ces personnages trop humains et de leurs décisions que je n’ai pas approuvées. L’héroïne Nina m’a semblé particulièrement égoïste et indécise, je me suis sentie de plus en plus agacée au fil de ma lecture, par elle et par son amie Hannah qui m’ont semblé incapables de se remettre en question. Le parti pris de l’auteure est original, mais à force de trop travailler le caractère de ses héros, cela empêche l’attachement ou l’identification, qui sont pour moi essentiels pour une lecture réussie. Je n’ai pas non plus apprécié la fin, qui m’a semblé assez ouverte, et où chacun semblait au final avoir très peu appris sur lui-même.
En conclusion : « Une vita pas si dolce » est un premier roman qui n’est pas dénué de qualités. J’ai aimé la façon d’écrire de l’auteure, particulièrement douée par les descriptions des personnages ou pour créer une ambiance réaliste et un peu magique qui nous plonge tout droit dans une Italie rêvée. Si l’histoire tient la route et se déroule de façon assez fluide, j’ai malgré tout énormément de mal à l’apprécier à sa juste valeur, à cause des personnages qui m’ont semblé antipathiques et bien trop imparfaits. Je vous conseille néanmoins ce roman si vous avez envie de vacances sous le soleil de Florence le temps d’une lecture, le dépaysement est assuré!
Comme le résumé et la couverture le prédisent; on se retrouve ici dans un contemporain qui se passe en Italie et où on va suivre les vies pas si facile et belles de ces deux amies de fac. Déjà qu’elles ont toujours été à l’opposé l’une de l’autre; on va apprendre que les événements de la vie ont fait qu’elles sont devenues presque des étrangères l’une pour l’autre et qu’elles ne se comprennent plus trop.
J’ai beaucoup aimé l’écriture de l’auteur qui est fraîche et pétillante. Elle aborde tout de même des sujets assez tristes et graves mais tout en douceur. Ce livre est idéal à lire pendant cette période estivale. J’ai retrouvé le soleil et le goût des vacances grâce à ce livre. Le livre est ponctué de discours avec des sonorités italiennes qui m’ont fait voyagé et rappelé mon séjour à Rome.
Les personnages sont attachants. J’ai beaucoup aimé le personnage de Nina et de Marco. On y découvre leur faille et comment ils vont faire pour surmonter les épreuves. Je me suis identifiée au personnage de Nina, ce qui est plutôt rare dans un roman. La rencontre que Nina fait dans la deuxième partie du roman et qui va faire partie des personnes qui vont l’aider à se reprendre en main est juste superbe. J’adorerai qu’on m’aide ainsi si je me perdais dans ma vie.
Je vous le recommande notamment si vous aimez les contemporains et/ou que vous cherchez une lecture fraîche et divertissante. Je lirai sans problème d’autres lectures de l’auteur.
Depuis quelques temps, j'ai envie de lire des choses un peu légères, un peu estivales. Lorsque je suis tombée sur ce livre de Mélanie Taquet, je me suis dit qu'il pouvait correspondre à mes envies. En plus, on me parle de Florence qui est une ville que j'aime tout particulièrement alors je ne pouvais pas passer à coté ! Je remercie donc la plateforme Netgalley et les Editions Librinova pour ce moment de lecture !
Quand Nina s'envole pour l'Italie sur un coup de tête, elle frappe à la porte de La Dolce Vita, un Bed&Breakfast tenu par Hannah, sa meilleure amie de fac.Mais les retrouvailles des deux femmes ne sont pas à la hauteur de leurs espérances : Hannah est aux prises avec sa sorcière de belle-mère et ses problèmes de couple ; quant à Nina, elle refuse d'expliquer les raisons de sa venue et semble fuir la réalité, préférant se laisser distraire par les délices florentins au bras de Marco, un Napolitain pensionnaire du B&B.Pourquoi Nina a-t-elle quitté la France aussi subitement ? Quels secrets tente-t-elle de dissimuler ?
Nous partons donc pour Florence où nous retrouvons Nina qui vient de débarquer chez sa meilleure amie de fac. On ne sait pas pourquoi Nina s'est barrée de Paris, on sent bien qu'elle a quelque chose à cacher mais on ne sait pas trop quoi. On le devinera au fur et à mesure de l'avancée de la lecture, du coup la révélation tombe un peu à plat mais elle a le mérite d'exister. Parce que je déteste les livres qui se terminent sur des non-dits. Là au moins c'est limpide.
J'ai adoré la place que Mélanie Taquet donne à la ville de Florence, elle est presque un personnage à part entière. C'est une ville que j'aime beaucoup comme je l'ai déjà dit et ça m'a beaucoup plu de pouvoir arpenter ses rues au fil des pages. Je me suis reconnue dans la plupart des lieux et ça m'a beaucoup aidé pour me figurer toutes les situations. En plus, l'auteure a une plume dynamique qui est très agréable à lire. C'est une lecture fluide, ça se lit facilement.
C'est avec les personnages que j'ai eu un peu de mal. J'ai galéré pour m'attacher à eux ... et je n'ai pas réussi. Nina m'a laissé indifférente, je sentais bien qu'elle était une écorchée vive mais elle n'a pas réussi à me toucher. J'en suis un peu déçue et désolée mais bon, j'ai pourtant fait des efforts. J'ai eu aussi du mal avec Hannah qui ne m'a pas plu. En fait je ne l'ai pas comprise. J'ai pas capté la plupart de ses réactions, elle m'a fait lever les yeux au ciel plusieurs fois. En revanche, la belle-mère dont j'ai mangé le prénom (Paola peut-être ?) m'a beaucoup touché.
Alors, je m'attendais à un roman hyper léger, sans prise de tête ... genre chick-lit en fait mais ça n'est pas du tout ça. L'auteure nous propose plutôt un roman qui nous permet de nous interroger sur le cours de la vie, sur les épreuves qu'on doit traverser, sur les choix qu'on doit faire et sur les relations humaines qui sont au coeur du livre.
Un livre intéressant, une plume à découvrir ...
On s'attend à du léger avec une chick-lit mais c'est un roman plus profond que nous livre Mélanie Taquet avec ce roman chorale. Les moments légers côtoient des moments poignants. Chaque personnage a sa part d'ombre et son lot de peines et apprend à vivre avec en les dissimulant aux autres sous une apparence de légèreté.
Nina débarque sur un coup de tête chez son amie de fac, Hannah, qu'elle n'a pas vu depuis trois ans. L'euphorie des retrouvailles fait vite place à la méfiance, puis à l'inimitié face au secret de Nina, qui fera des rencontres dans cette ville inconnue, l'aidant à arrêter de fuir ...
Une jolie histoire, pleine de sentiments divers : rires, larmes, colère, ... qui font de ce roman contemporain une jolie découverte pleine de fraîcheur et en même temps qui fait réfléchir avec des personnages féminins complexes et une écriture fluide nous entraînant dans les jolies rues de Florence qu'on imagine aisément.
Ne jugeons pas ce que nous ne pouvons pas comprendre pourrait être la morale de cette histoire...
Je remercie NetGalley et Librinova pour la découverte de ce roman et de cette auteure.
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