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Couverture du livre pour Laisse aller, c'est une valse

Laisse aller, c'est une valse

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Date de parution 30 avr. 2025 | Archivage 31 juil. 2025
J.C. Lattès | JC Lattès

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Résumé

Depuis son enfance, la vie de Brune alterne entre chutes vertigineuses et remontées phénoménales, mais à chaque étape, elle s’accroche à une idée : on rebondit toujours. À 40 ans, alors qu’elle vient de démissionner et n’a pas un euro de côté, elle décide de suivre son désir et d’ouvrir Au Bon Plaisir, une épicerie qui concentre les meilleurs produits culinaires.
  Portée par un humour ravageur, Delphine Plisson livre le récit d’une femme de 50 ans qui tente de faire cohabiter ses vies de femme, mère et entrepreneure, affrontant chaque obstacle avec audace et autodérision.

Depuis son enfance, la vie de Brune alterne entre chutes vertigineuses et remontées phénoménales, mais à chaque étape, elle s’accroche à une idée : on rebondit toujours. À 40 ans, alors qu’elle vient...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782709675895
PRIX 13,99 € (EUR)
PAGES 160

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Un roman qui m’a autant déroutée que touchée.
On suit une femme qui vend son magasin alimentaire a un grand groupe peut scrupuleux de sa déontologie.
Cette étape de vie déclenche chez elle une avalanche de souvenirs. Présent et passé s’entrelacent, dans une sorte de valse intérieure parfois désordonnée.
Ce que j’ai surtout aimé, c’est elle.
Une femme entière, drôle, bouleversée, profondément humaine. Une vraie copine "attachiante" qu’on écoute parler, même quand elle se répète.
Ses mots font souvent mouche. Ils résonnent. Ils touchent. On se reconnaît.
Mais ce flou narratif m’a parfois perdue. Peu d’intrigue, beaucoup de retours en arrière, un récit qui tourne un peu en rond.
Une lecture sincère, imparfaite, mais pleine d’émotion.

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Laisse aller, c'est une valse
Brune la narratrice est le double de l'autrice Delphine Plisson, fondatrice de la Maison Plisson, épicerie de luxe parisienne.
L'avis de Buvard
Le temps d'une valse, l'autrice nous livre de manière drôle, sûre d'elle et parfois il faut le dire un peu agaçante les contours de cette vie de femme bien remplie qui croque la vie avec un appétit sans limite. On aime ses listes et sa façon de rebondir aux évènements. On tourne avec elle, jusqu'à en avoir le tournis mais finalement on s'y attache, on la remercie et on aurait même envie de boire un bon verre de vin blanc avec elle :)

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Elle est pleine d’entrain et de joie de vivre cette quinqua dynamique, qui a essuyé quelques revers sentimentaux et professionnels au cours de ses cinq décennies actives. Le bilan était plutôt positif : elle avait réussi à créer une entreprise qui lui ressemblait, un lieu convivial et défiant la grisaille du quotidien, nommé Au bon plaisir et proposant aux chalands de victuailles de qualité. Elle avait pour cela dû braver les airs obliques des banquiers sans qui l’affaire ne pouvait voir le jour, et elle avait réussi. Est-ce l’ambition, la folie des grandeurs, de mauvais conseils ou tout simplement les circonstances (quoique de pire qu’une pandémie ou qu’une bande de gilets jaunes perdus dans la capitale pour ruiner une recette de Noël ?), mais Au bon plaisir 2 a été un mauvais calcul. Les dés sont jetés. Après un rachat calamiteux et malhonnête, tout s’achève.

Une gentille chronique pleine d’humour et d’autodérision, qui n’hésite pas à fustiger les âpres au gain qui détournent leur regard de l’humain, et ne voient le monde qu’au travers un filtre en forme de devise monétaire.

« si le banquier n'a pas vraiment de questions, dites donc ça a l'air formidable tout ça, je vais regarder votre dossier et je reviendrai vers vous, on sait qu'on peut ranger la petite carte de visite du monsieur dans la boîte des gens qu'on ne reverra pas »

Les drames ont laissé des traces, une thérapie est en cours depuis longtemps, l’occasion de mouvement se moquer gentiment de l’art de la psychanalyse.

C’est aussi l’occasion de revenir sur la famille, les amis, les amours, les échecs et les moments de bonheur.

Le style est alerte, enjoué et nous entraine dans le sillage de cette battante, prête à en découdre, à cinquante ans, on en a vu d’autre. Pas non plus d’autoflagellation, ni de doigts pointés vers l’injustice de la vie, on n’est pas dans le larmoiement. Positive attitude.

Inspirée de sa propre expérience, Delphine Plisson nous propose un roman léger sur le dur monde des affaires. C’est court, pas d’ennui en perspective.Un bon moment de lecture.

Merci à Netgalley et aux éditions Lattès pour ce service de presse.

160 pages Lattès 30 avril 2025
#Laisseallercestunevalse #NetGalleyFrance

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