📔 Service Presse : Je remercie Netgalley et les éditions de l'Archipel cet envoi

Et oui à chaque fois, je me dis c’est le dernier mais dès que je l’ai vu, j’ai foncé sur ce 14ème tome .(14 vous avez bien lu…).
Et encore une fois j’ai pris énormément de plaisir à retrouver Peggy et sa famille.
Je crois que Ron, son beau-père si haut en couleur, est mon personnage préféré. Sous ses airs d’ours mal léché se cache un grand cœur qui n’hésite pas à se battre pour ce qui compte. Ainsi quand tous le pensent oisif, il est engagé dans la résistance.
Après avoir assisté aux préparatifs du débarquement dans le tome précédent, nous vivons maintenant le débarquement mais du point de vue de la campagne anglaise, ce qui est assez original.
En parallèle, nous découvrons un pan de cette période que nous connaissons moins en suivant Jim, l’époux de Peggy, parti combattre les Japonais en Birmanie.

L’écriture très fluide et imagée de Tamara McKinley rend la lecture de cette saga addictive (c’est le moins que l’on puisse dire avec 14 tomes). Même si chaque livre peut se lire indépendamment, du fait des nombreux rappels, il est clair que le plaisir sera moindre.
Donc pour les adeptes de sagas familiales comme moi.

Dans ce quatorzième tome, nous quittons le Devon pour revenir à plein temps à la Pension du Bord de Mer, auprès de Peggy et des siens. Tandis que Pauline entre en guerre contre sa mère Dolly suite aux révélations du précédent volume, l’Angleterre suspend son souffle devant l’imminence du débarquement des forces alliées en Normandie. La tension va croissant, et pour jouer encore davantage sur cette frustration, Tamara McKINLEY va entrecouper ces faits historiques d’anecdotes locales, centrées sur les manigances de Ron. Entre chien, chat, coq et furets, ce dernier a de quoi s’occuper, mais c’est surtout par ses histoires de cœur qu’il va briller de maladresse ! Avec son petit-fils Brendon qui part sur le front et son fils Jim toujours en prise avec les Japonais en Birmanie, il faut croire que le personnage avait besoin d’encore plus de péripéties pour rythmer son quotidien, et ma foi, je ne vais pas m’en plaindre ! J’ai adoré découvrir plus en profondeur ce vieux bonhomme nonchalant, que j’avais à peine entrevu dans le tome 13. Il tire ici des leçons de ses erreurs, se remet en question en voyant qu’il lui arrive de blesser son entourage sans le vouloir. Je l’ai trouvé très attachant… et amusant aussi, notamment lors de ses déboires avec l’infirmière de l’hôpital.

La valse des personnages de cette grande saga familiale se poursuit et je me suis sentie moins perdue. Il faut clairement que je reprenne la série depuis le début, j’y ai trop pris goût ! Ma curiosité est piquée, je voudrais tout savoir même si grâce aux nombreux rappels de l’autrice, on peut assez facilement prendre le train en marche comme je l’ai fait. Peggy est elle aussi plus nuancée. Certes, elle est le roc sur lequel tout le monde se repose, mais elle nous dévoile ses failles bien humaines et compréhensibles, et ça rend sa générosité et son empathie d’autant plus touchantes. Pour pimenter son intrigue, l’autrice développe deux personnages secondaires, Ethel et Olive. Les fameuses langues de vipère locales qui ne vivent que pour leurs petits complots mesquins, comme on en trouve dans chaque ville et village. À l’image des pressions exercées contre les Nazis, on attend de pied ferme que le karma rétablisse l’équilibre et leur rende la monnaie de leur pièce. Tamara McKINLEY gère ce point avec intelligence parce que même s’il est assez jouissif de voir le retour de manivelle, elle modère notre ressenti en mettant en avant les dommages collatéraux que le comportement d’Ethel et Olive occasionne et on rit (un peu) moins fort.

J’ai tourné les pages de ce volume sans les compter tant je me suis régalée à renouer avec ce joli monde. L’aspect historique est toujours aussi prenant, l’attente et les discours prononcés à la radio nous font vivre la Seconde Guerre Mondiale à travers un regard extérieur. Comme avec l’opération Tigre, dont j’ignorais l’existence avant de la découvrir dans le treizième tome, l’autrice fournit dans cette suite un travail de documentation non moins impressionnant, qui nous fait saisir l’ampleur du désastre et du poids de la guerre sur le quotidien de chacun. Même si globalement, le rythme reste tranquille, je me suis prise au jeu. Quant au final, il m’a véritablement choquée – je n’ai rien vu venir – mais il s’inscrit sans problème à la fois dans la continuité de l’intrigue ainsi que dans le contexte général.

Après Carol et Ron, j’ignore sur quel personnage Tamara McKINLEY prévoit de se focaliser dans le prochain opus, mais une chose est sûre : j’en serai !

Toujours un peu de bonheur de retrouver Peggy et tous les pensionnaires de la Pension du Bord de mer. (Avec une mention spéciale pour Ron et son chien ?)

Malgré ou avec la guerre, la vie évolue pour tous, de la tristesse et aussi quelques joies.
On suit les dernières opérations de la guerre, dans l'attente du débarquement libérateur. Mais aussi la vie de "l'arrière", vie quotidienne de plus en plus difficile.
Il est intéressant d'avoir aussi des chapitres sur la partie qui se déroule en Asie, dont on parle plus rarement.
Mais j'avoue que suivre Jim dans la jungle m'a été assez difficile. Même si l'autrice ne s'appesantit pas sur la cruauté et l'horreur de ce côté-là, j'abordais ces chapitres avec angoisse.
Il me semble aussi que, au fil des tomes, ça devient un peu plus sombre, la guerre s'intensifie.

Ce volume m'a aussi paru parfois un peu long, dans les descriptions des moindres faits et gestes de certains.
Peut-être est-ce dû juste au fait que certaines pages, en numérique, sont parsemées de tirets au milieu des mots, ce qui n'empêche pas la lecture mais la rend assez pénible.
De même les notes, censées être de bas de page, sont chaque fois au milieu d'une phrase et d'une page.

Mais j'espère malgré tout retrouver encore prochainement tout ce petit monde !

C'est déjà le 14eme tome, et même, si je suis loin d'avoir lu tous les précédents, cela ne pose pas de problème à la compréhension de l'histoire.
Ici, on retrouve nos chers personnages, à l’aube d’un tournant historique. On ressent d'ailleurs une certaine gravité, par rapport au tome précédent.
L’attente est insoutenable, tout le monde guette les 1ers signes d'un débarquement en France, alors qu'en Italie, les Alliés avancent. On guette et en même temps, on appréhende ce moment.
Peggy, est toujours là, comme le pilier qu'elle est, à veiller sur chacun, à garder la tête haute, malgré l'inquiétude qui la ronge. Il y a aussi Ron, son beau-père, charmeur, facétieux, mais qui sait rester sérieux quand il faut. Et puis, il y a tous les autres, Rita, Pauline, Dolly, Cordélia….
J'ai beaucoup aimé ce roman, à l'ambiance plus dramatique, au caractère plus émotif et introspectif, car il met en lumière l’usure morale de l’attente, les ravages psychologiques du conflit sur l’arrière, et la force de celles — et ceux — qui, sans porter l’uniforme, luttent quotidiennement pour maintenir un semblant de normalité.
Chaque voix, chaque personnage tissent une tapisserie riche de solidarité, de blessures silencieuses et de petites victoires. Les scènes de la vie domestique, loin d’être anecdotiques, deviennent autant de refuges face à la violence du monde.
Merci Tamara McKinley pour ce récit qui continue de me captiver encore et encore.

4.5 ☆

Je connaissais déjà Tamara McKinley pour avoir dévoré La dernière valse de Mathilda il y a quelques années, un roman passionnant qui m’avait profondément marquée.

C’est donc avec plaisir que j’ai retrouvé le style de l’autrice, que j’ai tout autant apprécié dans Un baiser et une promesse. Il s’agit du quatorzième tome d’une saga familiale — ce que je n’avais pas réalisé avant de commencer ma lecture, n’ayant pas lu les treize premiers tomes. Pourtant, il ne m’a fallu que quelques pages pour être complètement immergée dans le monde de Peggy, cette pension en bord de mer, et ses personnages (plus ou moins) attachants.

Ce tome peut tout à fait se lire de manière indépendante, sans que l’on se sente perdu au milieu de l’intrigue ou des protagonistes. Et le roman donne, quoi qu’il en soit, très envie de découvrir les premiers volumes de la saga !

Nous suivons l’histoire de Peggy Reilly, dont le mari est déployé en Birmanie, ainsi que celle de son beau-père Ron, un personnage haut en couleur dont les déboires amoureux, malgré lui, viennent égayer la vie d’un village marqué par la guerre. Autour d’eux gravitent toutes les locataires de la pension — jeunes ou moins jeunes — qui partagent un même espoir : le retour de leurs proches partis au front.

On s’attache très vite aux personnages, même à ceux simplement esquissés, et on tremble pour eux lorsque le Débarquement approche.

Et puis, il y a ces personnages, comme Ethel ou Olive, que l’on aime détester. Personne n’est parfait ici : chacun a ses failles, mises en lumière par le stress permanent dans lequel ils vivent. C’est justement ce qui les rend si humains, si touchants.

La plume de l’autrice est fluide, les pages se tournent toutes seules, et l’on brûle de savoir ce qui va arriver à tous ces personnages. Que leur réserve encore l’histoire ?

Un grand merci à NetGalley et aux éditions l'Archipel pour m'avoir permis de découvrir ce livre en avant-première !

#Unbaiseretunepromesse #NetGalleyFrance

Mai 1944
Si le tome précédent nous a tenu éloignés de Cliffehaven, ce 14ème volet ramène le lecteur à la pension du Bord de mer. Ici, chacun de ses habitants voit en un débarquement imminent sur les côtes françaises, la promesse de la fin de la guerre et le retour au pays des êtres chers.
Tamara McKinley a brillamment réussi à créer une saga puzzle, en réunissant et mêlant les destins de personnages uniques, le tout intégré avec talent à une période historique particulière décrite avec justesse et sensibilité.
Un tome très centré sur le petit monde de la pension qui assiste, non sans angoisse, de loin, aux premières heures du débarquement.
Quelques situations cocasses apportent néanmoins un peu de légèreté au récit où domine une impression de temps suspendu, inspiré par des personnages dans l'attente de recevoir des nouvelles rassurantes.
Les facéties de Ron, le beau-père de Peggy, sont distrayantes. Ses déboires amoureux avec la belle Rosie vont amener cette force de la nature à réfléchir sur son comportement impulsif qui laisse parfois à désirer. Il n'est pas toujours simple d'aimer en temps de paix, alors en temps de guerre...
Certains chapitres consacrés à Jim, le mari de Peggy qui se bat en Birmanie avec l'armée britannique contre les Japonais, éclairent sur cette autre facette du conflit mondial. Les combats font rage et les soldats en plus de se battre, doivent s'adapter au climat, à la géographie du terrain et à une culture étrangère.
J'aime beaucoup cette saga qui à travers l'histoire des membres de la famille Reilly, de leurs amis, voisins, nous instruit sur le quotidien de la population britannique pendant ces années de guerre.
Même sans avoir lu les tomes précédents, il est toujours aussi aisé de franchir la porte de la pension de Peggy Reilly. L'auteure prend soin de rappeler les événements majeurs antérieurs, ce qui permet de suivre le déroulement de l'intrigue sans problème.

Sortie en librairie le 10 avril 2025
Je remercie @editionsdelarchipel et @NetGalleyFrance pour m'avoir offert le plaisir de retrouver l'attachante famille Reilly 📚

Dans cette oeuvre nous retrouvons la pension du bord de mer tome 14. Une nouvelle aventure de la famille Rilley, Peggy, Ron et Jim. Alors que nous sommes à Cliffehaven sud de l’Angleterre en mai 1944 et que tout le monde attend impatiemment le débarquement en Normandie, Nous vivons le quotidien des membres de la pension du bord de mer. Au cours du récit l’autrice nous transporte dans le passé à l’aide de sa fiction très documentée avec des notes de bas de pages très fournis permettant une compréhension très accessible par un jeune lecteur en quête de « saga familiale » qui aurait pu avoir du mal à bien percevoir le contexte historique sans la plume exceptionnelle de Tamara McKinley.

Au cours du récit nous pouvons suivre en alternance et en majeure partie : Peggy, Ron et Jim. Les personnages sont très développés et très attachants. Pour ma part, mention spéciale au personnage de Ron qui m’a tenu en haleine tout le roman

Ce fut une très bonne lecture je recommande grandement nous rappelant les horreurs vécues par les alliés durant la seconde guerre mondiale cependant l’intrigue principale vous tiendra en haleine jusqu’au bout de l’histoire


Pour terminer, je tenais à remercier la maison d’édition l’Archipel, NetGalley France ainsi que Tamara McKinley pour leur confiance me permettant d’accéder à ce nouveau roman intitulé « un baiser et une promesse » en avant première afin que je puisse en faire une chronique.

#Unbaiseretunepromesse #NetGalleyFrance #editionsdelarchipel
#Tamara McKinley

Je viens de finir le 14e opus de cette saga qui me plaît tant.
Cliffehaven ,mai 1944 .
La population est épuisée par les bombardements et les risques encourus par leurs hommes. Peggy qui s’occupe avec cœur de tout le monde commence à craquer. Ron toujours aussi cabottin que son fidèle chien se relève d’une peine de cœur. La petite Danuta accueillie précédemment à la pension ,fini par être rapatriée en Angleterre dans un état lamentable.
A la moitie de ce tome , le Débarquement a enfin eu lieu .

Nous refermons le livre partageant la même attente que nos chers personnages , ne sachant pas si leurs proches ont survécus ou non.
Il va falloir être patient jusqu'au prochain tome .

Quand un roman nous immerge au cœur de la guerre et des familles qui attendent…
Quand on parle de saga familiale, Tamara McKinley sait ce que cela veut dire puisque c’est du tome quatorze dont je vais vous parler aujourd’hui. Je n’ai pas lu tous les précédents mais les retours dans le passé permettent de comprendre sans effort les liens entre les personnages.
Nous sommes en 1944, les combats font rage dans le monde et l’Angleterre résiste malgré les années de guerre. Peggy Reilly tient la pension du Bord de mer à bout de bras et attend, comme tous, le débarquement en Normandie. Tous locataires ont des amoureux, des frères, des pères au combat et l’inquiétude règne malgré l’acharnement de tous à se soutenir et s’entraider. Et Ron, le beau-père de Peggy n’est pas le dernier à vouloir profiter de la vie faisant frasque sur frasque, au point de menacer sa relation avec la pimpante Rosie.
La romancière nous entraîne sur un fond historique superbement documenté vers des plongées familiales dans lesquelles la peur de l’avenir n’empêche pas les querelles entre sœurs et belles-sœurs. Il n’y a pas de révélation comme dans le dernier chroniqué mais une immersion dans la guerre contre les Japonais en terrain très hostile. C’est Jim, le mari de Peggy qui essaie d’y sauver sa peau.
Il y a des histoires d’amours car la jeunesse demande l’intensité face aux risques, des sauvetages d’agents persécutés par la Gestapo, des courages et des sacrifices et une vie quotidienne qu’il faut savoir apprécier, dans laquelle le mélange des générations apporte le souffle nécessaire. J’ai apprécié d’avoir en toile de fond les nouvelles de la guerre, et le roman nous laisse alors que le débarquement a commencé.
Les notes de bas de pages aident à comprendre l’aspect technique mais aussi les secrets de la cuisine anglaise comme le « Victoria sponge cake ».
Amateurs de sagas historiques, je ne peux que vous conseiller de découvrir la pension du Bord de mer et ses habitants. Je remercie #NetGalleyFrance et les Editions de l’Archipel pour le service presse de #Unbaiseretunepromesse.

Je suis toujours très pressée de lire les romans de Tamara McKinley, "Un baiser et une promesse" est le 14ème tome de la pension du bord de mer. Il n'est pas obligatoire de lire tous les tomes pour lire celui-ci, chaque histoire étant indépendante des autres, même si on découvre petit à petit les personnages au fur et à mesure des romans.
Angleterre, mai 1944. La guerre continue à perturber le monde. Tout le monde dans l'entourage de Peggy Reilly évoque le débarquement tant attendu. Mais il se fait attendre et les habitants de Cliffehaven doivent avancer avec l'espoir que des jours meilleurs vont arriver. Peggy, entourée de ses pensionnaires, de sa fille et de son beau-père, n'a pas le temps de s'ennuyer. Elle attend chaque jour des nouvelles de Jim, son époux, qui a été envoyé à Bali, et chaque lettre est pour elle un trésor et l'espoir d'un retour proche. Ron, son beau-père, reste égal à lui-même ! Fantasque, mais le cœur sur la main, il va devoir faire face à des choix.
La plume de l'auteur est fluide, c'est un vrai plaisir de découvrir tout ce qui se passe dans cette pension. On tourne les pages avec joie, pressé de lire la suite. Les personnages sont attachants, ont tous une identité particulière. On en apprend un peu plus à chaque fois, et surtout, on vit ces moments de guerre difficiles du point de vue des habitants. J'ai été émue, j'ai ri, j'ai été horrifiée aussi, autant de sentiments qu'on ressent au travers de cette fiction historique. Il s'agit certes d'une fiction, mais qui aurait pu être l'histoire de n'importe lequel de nos aïeux, des moments qu'on ne doit surtout pas oublier. C'est un roman qui nous présente essentiellement des femmes, celles qui ont dû remplacer les hommes partis au front, celles qui travaillent à leur place, qui font partie d'associations d'aide, qui se battent au quotidien pour survivre à ces heures sombres; Merci encore à NetGalley et aux éditions l'Archipel pour ce service presse.
N'hésitez pas à lire ce roman, c'est un vrai moment de détente qui nous emmène dans les affres de la seconde Guerre mondiale en Angleterre, qui nous rappelle aussi que certains ont joué un rôle capital dans cette guerre.
#Unbaiseretunepromesse #NetGalleyFrance

Il y a des rendez-vous, que l’on est heureux de retrouver. C’est le cas, avec la pension du bord de mer, depuis déjà, quatorze volets.
La fin de la guerre est proche, et nos personnages se débattent toujours entre le cours de l’histoire et les multiples aléas de la vie quotidienne, sans oublier, les romances occasionnées par le contexte.
Alors bien sûr, tous les romans ne sont pas aussi réussis. Celui-ci, pour moi, est un peu moins addictif, il se passe peu de choses, ou de moindre importance….comme une sorte de transition, vers le prochain, qui sera certainement décisif.
Mais qu’importe, on se laisse charmer par Peggie, Ron, et tous les habitants de Cliffehaven, en espérant pour eux, une fin sans encombres.