La ville au plafond de verre

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Date de parution 3 nov. 2023 | Archivage 24 nov. 2023

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Résumé

Korost bouillonne.

Dans la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés de guerre et de réfugiés. La cité crépite de tension entre ses très nombreux et très pauvres verriers et les riches et savants forgiers, propriétaires de l'arnoire – 

le mystérieux métal capable de transformer les rayons du soleil en énergie. L'alliage de leurs sciences a bâti la renommée de Korost ; leur rivalité préfigure son explosion.

Dans ce chaudron vivent Enik l'institutrice, Istven le jeune orphelin,et Katlik, la soeur éplorée. Trois vies, trois destins emmêlés dans l'échevau de fils tissés par les jeux de pouvoir de la ville. Trois mèches allumées qui, peut-être, transformeront la poudrière en bombe.

Avec La Ville au plafond de verre,Romain Delplancq, auteur du remarquéSang des princes, nous entraîne dans la tourmented'une ville en insurrection et dans la destinée terrible de trois de ses âmes – à la fois héroset victimes de sa grande Histoire.

Korost bouillonne.

Dans la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés...


Note de l'éditeur

POURQUOI L'AVONS-NOUS ÉDITÉ ?
Parce que c'était l'occasion de replonger dans l'univers du Sang des princes par une histoire totalement indépendante.

Parce que la plume de Romain Delplancq est toujours aussi incisive et puissante.

Parce que ça met en scène un trio de personnages parfaitement brossés, aux dynamiques implacables.

Parce que c'est une tragédie épique entremêlée d'intrigues politiques et sociales.

Parce que c'est un puissant récit clockpunk au service d'un récit parlant de la lutte des classes avec une intelligence rare.

POURQUOI L'AVONS-NOUS ÉDITÉ ?
Parce que c'était l'occasion de replonger dans l'univers du Sang des princes par une histoire totalement indépendante.

Parce que la plume de...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782918541783
PRIX 27,90 € (EUR)
PAGES 616

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Chronique : Plongez au cœur de Korost, la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres, où l'air est chargé de tensions et d'intrigues dans "La Ville au plafond de verre" de Romain Delplancq. Dans cette cité noircie par la fumée de ses verreries, la poudre des arquebuses flotte dans l'atmosphère, les rues sont peuplées de blessés de guerre et de réfugiés, et une rivalité féroce fait rage entre les verriers pauvres et les forgiers riches et savants. Ces derniers détiennent le secret de l'arnoire, un mystérieux métal capable de transformer la lumière solaire en énergie. L'alliance de la science et de la technologie a élevé la réputation de Korost, mais sa rivalité pourrait bien conduire à sa destruction.

Au milieu de ce chaudron de tensions, nous découvrons Enik, l'institutrice, Istven, un jeune orphelin, et Katlik, la sœur éplorée. Trois vies, trois destins entrelacés, qui se retrouvent pris dans la toile des jeux de pouvoir de la ville. Chacun d'eux est une mèche allumée qui pourrait bien transformer cette poudrière en bombe à retardement.

Romain Delplancq, l'auteur du remarqué "Sang des princes," nous emmène dans une ville en insurrection et nous plonge dans le destin tumultueux de ces trois âmes, à la fois héros et victimes de l'immense Histoire qui se déroule autour d'eux. Son écriture incisive et puissante nous entraîne dans une épopée où les tragédies s'entremêlent aux intrigues politiques et sociales.

Ce récit clockpunk, situé dans un univers fascinant, brille par son intelligence rare dans la manière dont il aborde la lutte des classes. "La Ville au plafond de verre" est une expérience de lecture immersive qui mêle habilement la fiction spéculative à des enjeux sociaux, offrant une histoire captivante et résonante pour les amateurs d'aventure, de politique et de drame.

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Merci à Netgalley et aux éditions Les Humanoïdes pour cette lecture. Je dois bien avouer que je ne connaissais pas Romain Delplancq et son univers fantastique, ce roman fût donc l'occasion de m'y plonger. 

Bienvenue donc à Korost, une cité bouillonnante où un vent de révolte souffle dans les ruelles. Les castes qui régissent la ville s'opposent et les tensions sociales sont au plus haut. C'est en suivant le destin de 3 personnages que le lecteur va se trouver plongé dans cette poudrière. Enik, institutrice réputé qui vient en aide aux nécessiteux, Istven ancien élève d'Enik qui a tout pour devenir l'une des élites de la Ville, et Katlik, fille de la noblesse, qui vient de perdre son frère à la guerre et qui ne se remet pas de ce deuil. Ces 3 là, vont se croiser, et se donner la main pour nous conter leurs histoires. 

Ce sont d'ailleurs les personnages qui représentent la grosse plus-value de ce roman.ON s'attache sans peine à leurs histoires, leurs blessures mais surtout leurs combats, car peut importe leurs origines, on peut se sentir toucher par une quête de justice sociale, familiale, ou une quête de reconnaissance. Chaque lecteur aura son chouchou. 

L'Univers présenté par l'auteur est lui aussi plaisant même si finalement limité: on reste dans la ville dans une forme de huis-clos que l'on aimerait amplifier, et peut-être cela sera-t-il le cas dans un autre roman. 

Le seul point négatif au final est le temps que j'ai mis à rentrer dans l'intrigue. Car entrer dans l'Univers de Korost se mérite, le temps de saisir l'étendue et le foisonnement de la cité. Les premiers chapitres nécessitent de s'accrocher pour se fondre dans le moule et profiter pleinement de cette lecture.

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J’ai malheureusement abonné cette lecture. L’univers était intéressant, mais le rythme était beaucoup trop lent et l’intrigue était décevante.

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Je trouve que la couverture du roman est très bien réalisée.Vous connaissez mon adduction pour les couv. A elle seule, elle symbolise parfaitement l’atmosphère de l’histoire. Il a un léger éclat, semblable aux vitraux souvent vus dans les bâtiments historiques, et est vraiment magnifique !

Passons à l'histoire. L’auteur nous fournit un excellent cadre bien organisé et basé sur de nombreuses recherches. Cela donne au roman une atmosphère particulière.

Dans La Ville aux Plafonds de Verre, nous plongeons dans l'univers de Korost, capitale économique de l'ancien empire des Trois terres, plein de tensions et d'intrigues. Dans cette ville enfumée, les rues sont remplies de blessés de guerre et de réfugiés, et une rivalité amère existe entre les pauvres verriers et les riches et érudits forgerons. Vous voyez venir le conflits et la différence de caste?

Dans ce roman, nous suivons trois protagonistes aux destins croisés pris dans la toile des jeux de pouvoir dans cette ville infernale. Enik est enseignant, Istven est un jeune orphelin plein de rêves et d'ambitions, et Katlik est une sœur en deuil après avoir perdu son frère à la guerre.

J'ai beaucoup aimé les personnages. Ils sont émouvants et apportent beaucoup au roman. Nous souhaitons suivre leurs histoires à leurs côtés, suivre leurs fissures, mener les combats à leurs côtés et les aider dans leur recherche.

L'auteur nous entraîne dans ces intrigues et nous propose de nombreux rebondissements. Ce travail n’est pas une mince affaire et il m’a fallu un certain temps pour comprendre l’histoire. J'ai dû passer les 200 premières pages complètement immergées dans ce roman à essayer de m’en imprégner. Comme aux prémices de toute autre création, il est nécessaire de représenter l'atmosphère et l'univers pour s'immerger dans son monde, mais le monde construit par Romain Delplanck est unique, intelligent et très immersif, il n'y a donc pas de soucis malgré le temps que j’ai pris à le comprendre. Ne vous en faite pas! Une plume fluide et bien mené vous entraînera dans ma quête de vérité de cet ouvrage.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

J’ai eu un coup de cœur pour ce livre, plusieurs du moins, le premier pour la couverture et le second pour l’histoire et ses personnages !

La couverture est un reflet de la ville et de son histoire. L’auteur a su construire la ville et son environnement de manière très complète avec son passif, toujours nécessaire pour bien comprendre l’actualité et ce sans y mettre des longueurs très vite indigestes ! La représentation en est aisée et de fait agréable.

Ses personnages ne sont pas caricaturaux malgré le fait qu’ils sont représentatifs de leur classe sociale, car bien évidemment une ville devenue riche et spécialisée ne peut que creuser des écarts entre les habitants et c‘est là que nous arrivons au cœur du roman : la lutte des classes, l’inévitable et inamovible lutte des classes que l’on retrouve partout et de tout temps !

Le récit autour des personnages commence par son cercle rapproché qui s’élargit jusqu’à se croiser avec celui d’un autre personnage. Une structure que je trouve efficace et intéressante pour se souvenir de tout ce qui importe sur chacun !

Et autour de ces histoires personnelles et communautaires, celle de la conquête de pouvoir et de territoire ! Romain Delplancq nous happe dans une fresque qui pour être intimiste de prime abord devient universelle, où la morale n’est pas reine !

Un de mes coups de cœur de cette année ! Une histoire fascinante.

#NetGalleyFrance #lavilleauplafonddeverre

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Un roman politique assez complexe qui met beaucoup de temps à démarrer. Il faut se repérer au milieu d'un contexte politique déjà bien avancé dans sa dégradation, avec trois points de vue et de multiples factions. L'histoire avant lentement mais inexorablement vers une société qui implose sous le poids de la guerre, des machinations politiques et de l'oppression du peuple. Bien qu'intéressant, il a été un peu trop long à démarrer pour moi.

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Je m'attendais à un livre de fantasy et finalement à part la pierre, l'arnoire, qui a certains pouvoirs, il n'y a pas vraiment de fantasy. On se trouve ici dans un roman sociétal un peu comme dans Germinal pour vous situer un peu.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, les personnages ont des noms assez similaires notamment les personnages féminins.

Je ne me suis pas du tout attachée au personnage et j'ai trouvé que l'histoire trainait un peu en longueur. La plume est très exigeante, il faut s'accrocher mais clairement ce roman n'était pas fait pour moi.

Il trouvera son public mais je n'en fais pas partie malheureusement.

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Graou tout le monde !

Un magnifique ouvrage qui m’a été conseillé par une personne qui a le talent de m’attirer vers des livres fantastiques. L’intérieur est-il aussi surprenant que l’extérieur, allons découvrir cela tout de suite.

Résumé de l’éditeur :

Korost bouillonne.
Dans la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés de guerre et de réfugiés. La cité crépite de tension entre ses très nombreux et très pauvres verriers et les riches et savants forgiers, propriétaires de l'arnoire - le mystérieux métal capable de transformer les rayons du soleil en énergie. L'alliage de leurs sciences a bâti la renommée de Korost ; leur rivalité préfigure son explosion.
Dans ce chaudron vivent Enik l'institutrice, Istven le jeune orphelin, et Katlik, la sœur éplorée.
Trois vies, trois destins emmêlés dans l'échevau de fils tissés par les jeux de pouvoir de la ville.
Trois mèches allumées qui, peut-être, transformeront la poudrière en bombe.

Voilà voilà, que dire... Ça a été difficile et pénible de la première à la dernière page donc vraiment pas très voir trop mitigé dans mon esprit. J’ai survolé la moitié du livre car c’est lent, aucun attachement à un personnage quelconque, l’histoire m’a petit à petit fait couler car il ne se passe rien ou sans intérêt. C’est terrible comme avis mais je me suis complètement perdu dans ce livre, j’avais l’impression de perdre l’intérêt à la lecture au fil des pages. Je peux tout à fait comprendre qu’il plaise ou que certains voient une histoire incroyable dans cette ville si particulière mais pas pour moi malheureusement.

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La ville au plafond de verre est un roman à l’univers incroyable, mais qui souffre de pas mal de longueurs par moment.
L’univers que l’auteur a imaginé et créé est véritablement intéressant, que ce soit Korost ou encore son mode de fonctionnement ou la forge est au cœur du fonctionnement de cette ville sous tension.
Les trois personnages principaux sont bien développés, attachants même, et leur caractère est bien retranscrit durant le récit.
La plume de l’auteur est agréable, bien que parfois un peu trop descriptive, cassant ainsi le rythme à de nombreuses reprises. C’est le seul point négatif que j’ai à souligner.
En dehors de cela, l’histoire est riche, l’univers est très intéressant et ses protagonistes attachants.

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Katlik Kelfédis, jeune étudiante en forgerie qui vient de perdre son frère, Attel, à la guerre. Enik Sugo, institutrice d'une quarantaine d'années qui s'occupe illégalement de l'éducation des enfants des verreries. Istven Armor, adolescent issu des verreries accepté comme étudiant forgier qui compte bien apporter sa pierre à l'édifice des découvertes sur la forgerie et l'arnoire.

Excepté le fait que tous trois vivent et puissent se croiser à Korost, capitale qui a construit sa prospérité, et celle des Trois Terres, par la découverte, il y a cent cinquante ans, d'un métal aux propriétés exceptionnelles, l'arnoire, l'on pourrait penser que peu de choses les relie. Mais chacun, au carrefour d'un moment-clé de son existence, va lier son destin aux autres, ainsi qu'à celui de la ville au plafond de verre, et à celui de la révolte qui gronde, de plus en plus fort, au sein des verriers, cinquième roue du carrosse quant à un mot à dire au sein de la politique des Trois Terres. En effet, la fédération, mettant au pouvoir les forgiers et les barons-tessons, vient de voir le jour depuis peu avec la chute de l'Empire, se trouve toujours engluée dans une guerre contre la toute-puissante République des Deux Cités, et ne fait que renforcer les inégalités préexistantes en raison des décisions qu'elle prend.

Derrière une alternance de trois voix narratives et une intrigue plutôt classiques du genre se cache un roman qui prend le temps de laisser découvrir ses subtilités, de personnages, de style, qui dessine un univers riche, décrit avec une grande clarté, qui se laisse glisser vers une histoire cohérente de bout en bout, qui nous happe de plus en plus, qui nous transporte vers un dénouement certes fataliste, mais prenant tout son sens ainsi, qui nous fait nous attacher à nos trois protagonistes, avec une préférence personnelle, pour Enik, à mon sens véritable Louise Michel korostienne.

Car oui, ce roman, par ce qu'il nous raconte – enfin me semble-t-il –, fait résonner une époque historique qui m'est bien familière, qui m'interpelle, et m'a toujours interpellée, celle de la Commune. Et c'est sûrement, pour cette raison aussi, qu'il m'a emmenée autant avec lui, et de plus en plus, au fil des pages.

Je remercie les éditions L'homme sans nom et NetGalley de m'avoir permis la découverte de la ville au plafond de verre. Je lirai bien volontiers d'autres oeuvres de Romain Delplancq, dont j'ai apprécié et la plume, et l'esprit.

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Voici mon retour de lecture sur La Ville au plafond de verre de Romain Delplancq.
Korost bouillonne.
Dans la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés de guerre et de réfugiés.
La cité crépite de tension entre ses très nombreux et très pauvres verriers et les riches et savants forgiers. Ces derniers sont propriétaires de l'arnoire, le mystérieux métal capable de transformer les rayons du soleil en énergie. L'alliage de leurs sciences a bâti la renommée de Korost ; leur rivalité préfigure son explosion.
Dans ce chaudron vivent Enik l'institutrice, Istven le jeune orphelin, et Katlik, la sœur éplorée.
Trois vies, trois destins emmêlés dans l'écheveau de fils tissés par les jeux de pouvoir de la ville.
Trois mèches allumées qui, peut-être, transformeront la poudrière en bombe.
La ville au plafond de verre est un très bon roman qui nous emmène à la découverte de Korost où les riches sont.. très riches et les pauvres.. très pauvres ! Résultat, la révolte gronde.
Nous suivons Enik l'institutrice, Istven le jeune orphelin, et Katlik, la sœur éplorée. Des destins qui s'entremêlent et pourraient bien allumer des mèches dans cette cité prête à exploser..
J'ai apprécié les suivre, découvrir ce qui va leur arriver. Leur personnalité est bien construite, assez fouillée. On ne s'ennuie pas une seule seconde avec eux et il y a de nombreux rebondissements.
L'histoire en elle même est classique. Il y a des très pauvres, des très riches, la révolte gronde. Ce n'est pas original en soi et pourtant, ça fonctionne très bien.
L'univers crée par Romain Delplancq est extrêmement riche, bien construit. il est important de bien suivre au départ car il y a de nombreux noms, au départ il ne faut pas hésiter à prendre des notes :) Une fois dedans, j'ai adoré ma lecture et j'ai eu du mal à lâcher mon roman pour aller travailler !
La ville au plafond de verre est une très bonne surprise qui aborde la lutte des classes avec une grande intelligence.
Je vous le recommande et le note quatre étoiles :)

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