LE DÉSOSSEUR DE LIVERPOOL

C'est l'histoire du boogeyman, le croque-mitaine ... C'est une comptine, mais est-elle basée sur des faits réels ?
Louise Henderson est detective constable à Liverpool et fait équipe avec Paul Shipley, detective sergeant. L'histoire commence lorsqu'une femme prénommée Caroline est retrouvée, sa peau comme "émincée", errante dans une rue d'un quartier jouxtant un des nombreux bois de Liverpool, les bois du désosseur (the bone keeper, celui qui garde les os) ...
Tandis que Louise tente de juguler les crises de panique qui l'assaillent de plus en plus régulièrement et qui semble liées à un drame de son enfance, les deux acolytes vont voir les cadavres s'accumuler ou plutôt les découvrir enterrés dans les bois : le désosseur devient de plus en plus réel et les indices forment des culs de sac. Louise semble pourtant savoir bien des choses ou du moins les deviner, mais ne pas vouloir lever le voile de ses souvenirs sur un souvenir en particulier, un souvenir lié à la légende du croque-mitaine local.
Un policier qui se lit bien, entraînant, avec des personnages attachants d'autant plus que les monstres ne sont pas toujours sous le lit, ils sont parfois dans la maison au grand jour. Merci aux Editions de l'Archipel et à NetGalley de m'avoir permis de découvrir cette histoire.

Je viens de finir cet ouvrage qui m'a apporté du très bon temps.
Ce roman noir nous entraîne dans les bois, face à un étrange désosseur, aussi terrifiant que mortel. Ce désosseur, tout droit sorti d'une légende urbaine et qui semble prendre vie dans la forêt et alentour ! Un personnage de mythe qui frappe et tue...
Louise Henderson et Paul Shipley mènent l'enquête, mais une enquête parsemée de mystères, de cul de sacs, tandis que les cadavres s'accumulent...
Louise, elle-même en proie à des souvenirs d'enfance terrifiants qui lui procurent de grandes crises de panique, se retrouve face à un destin dont elle ne pensait plus côtoyer
J'ai totalement adhéré à l'histoire, même si je m'attendais à plus de gore. Ce roman est plus léger que je m'y attendais.
L'action est souvent un peu brisée par ces détails des sentiments de Louise, ses crises qui s'étirent le long des pages. Mais dans l'ensemble, c'est un excellent policier...
Toutefois, je rassure les lecteurs de thrillers, il ne fait pas vraiment peur;)
En bref, ce fut une belle découverte et je remercie les Editions de l'Archipel pour leur confiance

Le Désosseur, c'est la version sauce Liverpool du croque-mitaine ou du "Loup-y-es-tu?". Il vit dans la forêt depuis toujours et fait disparaître des gens. Légende urbaine (ou sylvestre), elle a même sa comptine. Quoi de plus effrayant pour éloigner les enfants du bois qui borde la ville? Mais quand une jeune femme s'en échappe poignardée (et amnésique ?) et qu'on y découvre un charnier... La légende prend corps et la police enquête. Il existe, ou pas ? Il est seul, ou pas ?
Voilà pour le résumé de ce qui commence comme un honnête polar, avec son duo de flics Louise Henderson et Paul Shipley qui bien sûr vont flirter. Avec ses victimes, ses disparus, ses mères inconsolables, ses médias à l'affut et même son copycat. Rien de déplaisant, rien de révolutionnaire non plus.
Mais l'auteur est assez habile pour maintenir le suspense sur Louise. Ses crises de panique, ses accès de violence, sa solitude... assez troublant. Les révélations distillées sur son passé, aussi. Quel fardeau porte-t-elle ? De quoi donner sa singularité au roman écrit avec fluidité - on se laisse entraîner.
On gagne en intérêt au fil du livre, quand on se prend à s'interroger sur les non-dits en famille et les vérités qu'on préfère oublier. L'héritage meurtrier, la lutte interne pour s'en débarrasser. Car plusieurs personnages se révèlent porter ces souffrances de l'âme.
Un roman qui prend de l'épaisseur si on prend la peine de gratter sous l'écorce.

Un thriller sur fond de légende urbaine…une comptine que tous les enfants connaissent depuis plusieurs années, ils aiment se faire peur au fond des bois…mais quand la fiction devient réalité, c’est la peur qui prend le dessus.

C’est un thriller qui pourra plaire au plus grand nombre, avec la thématique de la disparition d’enfants en arrière plan, sur la gestion du manque de réponses…est il vivant ? est il mort ?Si il est mort où est son corps ? une mère ne devrait elle pas pouvoir ressentir ces choses là ? Les parties concernant les familles des disparus sont très touchantes et en même temps très angoissante.

En fil conducteur, il y a Louise, notre inspectrice,on devine assez tôt que le désosseur et elle sont liés d’une certaine manière…j’avoue que la fin m’a surprise et la toute fin encore plus…

BREF…VOUS N’ALLEZ PLUS VOUS PROMENER DANS LES BOIS DE LA MÊME FAÇON.

MERCI NETGALLEY ET LES ÉDITIONS L’ARCHIPEL POUR CETTE LECTURE

Je tiens à remercier le site Netgalley et les éditions L'Archipel pour m'avoir permis de lire ce livre en avance bien avant sa sortie.

Quand on parle du désosseur de Liverpool est ce une légende urbaine ou bien un meurtrier en chair et en os?

A Liverpool tous les enfants connaissent le fameux désosseur. Ce serait un monstre vivant dans les bois depuis bien longtemps. Il enlève et tue tous ceux qui se trouvent dans son chemin. Mais jamais rien ni personne n'a pu prouver quoi que ce soit sur lui.

Jusqu'au jour où Louise et son collègue Shipley tombent sur une femme blessée à l'arme blanche affirmant avoir été la victime du fameux désosseur. Les deux enquêteurs ni croient pas trop jusqu'à ce qu'on retrouve le corps d'un homme là où elle a été agressée. Et la police va trouver des traces du désosseur.

Quant à Louise elle aurait un lien très proche avec ce désosseur, que nous cache t'elle?

Un livre lu d'une traite tellement j'ai de suite accroché à l'histoire si prenante, émouvante à certains passages, captivante, addictive, remplie d'intrigues, de suspens et de rebondissements avec des personnages très attachants. Ce livre m'a tenu en haleine du début à la fin. A précommander absolument.

Le Désosseur arrive,
Le Désosseur existe,
Il ne s'arrête jamais,
Il ne ressent rien,
Il t'attrapera,
Il te fera pleurer,
Il coupera dans ta chair,
Et ne gardera que tes os.

Une jeune femme et retrouvé sérieusement blessé sur le bord d'une route de Liverpool. En état de choc, elle chante la comptine du désosseur. Les agents Louise Henderson et Paul Shipley sont mis sur l'affaire. Dès le lendemain, ils retrouvent un cadavre dans la forêt près de l'endroit où a été retrouvée la jeune femme. Sur les arbres sont sculptés d'étranges symboles. Ceux du désosseur. Le principal suspect est introuvable et partout des indices qui ramène au Désosseur. Le suspect est-il réellement humains ? Les absences et l'enfance oubliée de Louise ont-ils un lien avec le Désosseur ? Et cette voix dans sa tête ? Louise doit ce dépêcher de trouver la réponse car les morts s'enchaînent et le danger se rapproche dangereusement d'elle.

Je ne lis pas beaucoup de thrilleur mais celui-ci ma beaucoup plu. J'ai beaucoup réfléchi à qui était le coupable et s'il était humain ou non. Le retournement de situation de la fin est bien trouvé. J'aurais aimé avoir encore plus de détail sur Louise, se qu'elle ressent. Il n'y a pas beaucoup de moments "frisson". C'était une bonne lecture pour le mois d'octobre

Je remercie Netgalley et L'Archipel de m'avoir permis de chroniquer ce roman.

Ne vous promenez pas dans les bois… Surtout si vous êtes influençables, jeune, sans abri et/ou un peu perdu dans votre vie ! (selon le roman)
Le désosseur ne semble pas être seulement une légende inventée pour effrayer les enfants, et pour cause, une jeune femme est retrouvée dans un état second, errant dans une rue de Liverpool. Elle prétend avoir été enlevée par le désosseur et être miraculeusement parvenue à lui échapper. Seulement personne n'échappe jamais au désosseur…
Les agents Henderson et Shipley sont chargés de l'affaire, mais ce drame va raviver des blessures bien réelles chez la jeune femme.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il n'y a pas de gore dans ce roman. Il est certes sombre et il y a quelques descriptions de blessures, mais rien de très effrayant.
Les deux agents de police ne sont pas des caricatures, ce qui appréciable, mais je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire de Louise et je n'en ai d'ailleurs pas aimé le dénouement.
J'étais intriguée par la légende et le début du livre me semblait très prometteur ; on passe de quatre enfants s'amusant à se faire peur dans la forêt avec une simple légende à des adultes confrontés à des crimes perpétrés selon ladite légende. L'histoire est prenante, mais j'ai le sentiment qu'il manque quelque chose… Du frisson, peut-être ?

Le désosseur de Liverpool de Luca Veste

Une jeune femme est retrouvée blessée et perdue dans la rue près de la forêt. Elle chantait une vieille chanson que tous les enfants connaissent la chanson du désosseur.
Le désosseur arrive,
Le désosseur existe,
Il ne s'arrête jamais,
Il ne ressent rien,
Il t'attrapera,
Il te fera pleurer,
Il coupera dans ta chair,
Et ne gardera que tes os.
Louise est chargée de cette affaire qui fait ressurgir certaines brides de son passé.

L'histoire est très intéressante, jouer sur un mythe et créer une affaire criminelle autour super idée. L'intrigue est bien faite, la fin est très intéressante aussi.
Il y a juste la chronologie qui me perdait, j'aurais préféré qu'à la place d'hier quand on était dans le passé mettre genre plus de 10 ans, sinon j'ai beaucoup aimé surtout que je l'ai commencé pendant halloween 🎃

#netgalleyfrance #editionarchipel #thriller #ledesosseurdeliverpool #mardilecture #bookstagram #lecturefinie #lecturehalloween

Grâce #NetGalleyFrance et aux éditions L'ARCHIPEL, j’ai eu la chance de découvrir avant sa sortie #LEDÉSOSSEURDELIVERPOOL de Luca Veste

Mon avis :
Le Désosseur de Liverpool est un roman très prenant avec une belle écriture qui nous immerge tout de suite dans l’ambiance.
Mais même si l'histoire est prenante, je n’ai pas eu le frison auquel je m’attendais, car malgré ce que laisse croire le titre il n’y a pas de gore dans ce roman. On a des descriptions de scènes de crimes et de blessures mais rien d’effrayant.
L’histoire est essentiellement décrite à travers les yeux de Louise. Et grâce aux informations distillées, au fil des pages, on se rend compte que cette histoire la touche plus qu’elle ne veut l’avouer, et on devine que quelque chose la relie au désosseur …mais quoi ?
Et c’est là que je dois avouer que l’auteur m’a complètement bluffé, il a réussi à m’amener vers de fausses conclusions et j’ai été complètement surprise par le dénouement.


Résumé :
Ne vous promenez pas dans les bois…
Tous les enfants de Liverpool connaissent la légende du Désosseur, sorte de monstre qui vivrait dans la forêt depuis des décennies, enlèverait les gens et collectionnerait leurs os, même si l’on n’a jamais réussi à prouver son existence…

Un jour, Louise Henderson et son collègue Shipley sont appelés au chevet d’une jeune femme blessée à l’arme blanche, qui affirme avoir été attaquée par le Désosseur. Les deux policiers attribuent d’abord ses allégations au choc, mais, peu après, le corps d’un homme est retrouvé là où elle aurait été attaquée, une clairière où l’on identifie bientôt des traces du monstre…
Le Désosseur ne serait donc pas qu’une légende ? Mais comment aurait-il survécu seul si longtemps ? L’affaire prend une tournure singulière lorsqu'il apparaît que Louise a une connexion personnelle avec Le Désosseur. Que cache son passé, qui la hante depuis si longtemps ?

Tant le titre de ce livre que son résumé ont séduit l'amatrice de thrillers que je suis. Cerise sur le gâteau, lors de ma lecture la période d'halloween approchait 😈.

Résumé :
Deux enquêteurs de la police de Liverpool vont enquêter sur l'agression au couteau d'une jemme femme. Celle-ci est encore en vie et leur indique que son agresseur n'est autre que le Desosseur. Pour les policiers, il ne s'agit que d'une légende urbaine. Mais, bien vite plusieurs corps vont être retrouvés et donnent à penser que le Désosseur existe bel et bien. Alors, s'agit t-il d'un mythe ou de la réalité ?

Mon avis:
Je suis rentrée aisément dans l'histoire. L'idée qu'une légende urbaine devienne réalité m'a intéressée et séduite. Cependant au vu de cette légende, j'attendais un récit plus sombre donnant dans de l'horreur. Ce côté noir m'a quelque peu manqué.

J'ai apprécié le personnage de Louise. On sent rapidement qu'elle cache des éléments à son collègue sur son passé. Elle donne l'impression d'être mêlée au Désosseur. Jusqu'au dernier moment, le seul fait connu du lecteur est qu'elle a vécu des moments difficiles et perdus ses parents lors de son enfance.

Il s'agit d'un début prometteur pour l'auteur qui signe ici son premier roman. Il a su me surprendre dans les révélations finale que j'ai trouvé originales.

Paul Shipley informe l’officier de police Louise Henderson qu’une femme a été retrouvée dans les rues de Melling, complètement paumée. Elle a été victime d’une agression, elle salement amochée. Elle a reçu des coups de poing, des coups de couteau et on lui a coupé des morceaux de peau. Un garçon a remarqué que cette femme chantait avant de s’effondrer, elle chantait la chanson du désosseur. Elle dit elle-même être la victime du Désosseur, qu’il existe vraiment et qu’il va revenir la chercher. Au cours de l’enquête, ils vont retrouver d’autres corps. Chaque meurtre, chaque découverte ramène les enquêteurs au bois où la légende du désosseur est née. Est-ce vraiment une légende ou existe-t-il vraiment ?
Cette histoire monte progressivement en puissance. Elle est bien ficelée et fait tenir en haleine le lecteur jusqu’à la dernière page. J’ai juste été un peu déçu car au vue du titre, je m’attendais à quelque chose de plus terrifiant.
#LEDÉSOSSEURDELIVERPOOL #NetGalleyFrance

A Liverpool, Louise, détective constable, est appelée sur une scène de crime. Une femme a été retrouvée à la sortie d'un bois, couvertes de sang et d'entailles...Elle a l'air en état de choc et chantonne une comptine bien connue des gens du coin, celle du désosseur, une légende locale...Louise fait équipe avec le detective sergeant Shipley, et on comprend vite que Louise a un secret dans son passé qui la lie à l'enquête et qu'elle ne peut pas tout dire...La violence s'enchaîne et des corps sont trouvés, ramenant toujours plus Louise vers son passé. Elle doit aller chercher en elle la clé de l'énigme...
J'ai trouvé ce policier agréable à lire, même si certaines fois, certains passages m'ont forcé à revenir en arrière....Le personnage de Louise est intéressant et il est évident que l'on veut en découvrir plus sur l'enquêtrice....

Une légende urbaine ou un monstre qui sévit dans les bois? La légende du Désosseur est dans tous les esprits, enfants pour les terroriser, adolescents pour les frissons et adultes… et si ce n'était pas qu'une légende d'un tueur qui découperait les gens vivants et collectionnerait leurs os…
Les policiers, Louise Henderson et Shipley vont enquêter. Une victime, Caroline, dit avoir été blessée par le Désosseur.
D'autres morts viennent alimenter leurs doutes.
Et si cette légende existait vraiment? Quel est le lien avec Louise?

C'est le premier roman que je lis de l'auteur. J'ai aimé le style et l'atmosphère qui se dégage dans la première partie du roman.
Et puis j'ai trouvé que cela perdait en intensité, en densité et en angoisse la deuxième partie.
L'écriture est fluide. J'aurais aimé plus de frissons.
Merci toutefois à #NetGalleyFrance et #ledesosseurdeliverpool pour la découverte de ce roman.

Une légende locale circule depuis de nombreuses années à Liverpool sur l'existence d'un monstre, le désosseur.. Celle-ci est adossée à une comptine macabre... La découverte d'une femme totalement hagarde et lardée de coups de couteau puis d'un corps dans une forêt relance cette histoire et pose la question de l'existence réelle de ce tueur....
Un duo d'enquêteurs prend en charge cette affaire. Louise est une jeune femme au passé trouble.... Très vite, on comprend qu'elle pourrait avoir un lien particulier avec cette histoire. Aussi, à l'enquête se mêle un mystère sur son passé.

Le démarrage de l'histoire est très promoteur et installe une ambiance noire... le personnage de Louise est intriguant et constitue pour moi l'intérêt de la lecture : que s'est-il passé dans son enfance qui la hante à ce point et qui la conduit à adopter certains comportements ?
Sinon, à mon sens, la promesse initiale d'un thriller très sombre (titre, 4ème et premiers chapitres) n'est pas tenue sur la longueur. Le dénouement contient des rebondissements auxquels je ne m'attendais pas, d'autres étaient plus prévisibles.
Au final, une lecture prenante mais globalement mitigée pour moi....

Coucou bonjour les amis lecteurs me voici avec un nouveau livre : Le désosseur de Liverpool de Luca Veste des éditions de l'archipel .
Je remercie NetGalley ainsi que les éditions de L'archipel de m'avoir permis de lire ce policier qui ma plu , l'auteur a su bien décrire chaque scène avec pleins de suspens jusqu'à la fin , cela ma tenue en haleine dés le début avec des personnages très attachant .
Le désosseur de Liverpool est une légende et comptine que tous les enfants connaissent , esse une rumeur ou le désosseur existe vraiment ?
Ce serait un monstre vivant depuis des décennies, il vivrait dans les bois depuis longtemps .
Puis un jour on découvre une jeune femme qui erre dans les rues d'un village , elle est blesser et ne sait plu ou elle est , il y a aussi des enfants qui disparaissent dans la foret et on ne revois plu et en plein jour .
Jusqu' au jour ou Louise et son collègue Shipley découvre cette personne qui erre et blessé a l'arme blanche , elle affirme avoir été la victime du désosseur , mais les enquêteurs se méfis de ces dires car ils ne la croit pas, il pense qu'elle est encore sur le coup de son agresseur , jusqu' a ce que l'on trouve un corps d'homme a l'endroit ou elle a été agresser et la police découvre des inscriptions sur les arbres de la foret .
Louise doit se dépêcher a trouver la ou les personnes et aussi de trouver le désosseur au plus vite .
Les absences de Louise et l'enfance oubliée ont il un lien avec le désosseur .
J'ai vraiment été surprise de ce policier très intéressant et les personnages très attachant .
L'auteur a mis beaucoup de rythmes , suspens une belle écriture fluide .
Vraiment ce policier ma tenue en haleine jusqu'au bout .
Je vous le recommande vivement vous passerez un agréable moment de lecture .
Ma note 4/5

Possible mauvais casting pour moi. Ou mauvaise période ?

Franchement, j’ai failli abandonner ce roman. J’avais très peur de tombé dans certains clichés du genre. J’avais aussi choisi ce roman au vu de la 4e qui avait l’air prometteuse et pleine de suspense pour le roman.

Finalement, je me suis accrochée et je l’ai terminé. Finalement, les frissons n’ont pas eu lieux.

Le roman est un peu en dent de scie, tantôt ça file, tantôt c’est plutôt lent voir répétitif.

C’est un premier roman, je laisserais, je crois une seconde chance à l’auteur.

Cela commence comme une comptine que les enfants des faubourgs de Liverpool se plaisent à chantonner pour se faire peur… inspirée d’une légende urbaine, celle d’un monstre vivant dans les bois qui entourent la ville et qui tuerait ceux qui s’y aventurent…

Le Désosseur arrive,
Le Désosseur existe,
Il ne s’arrête jamais,
Il ne ressent rien,
Il t’attrapera,
Il te fera pleurer,
Il coupera dans ta chair,
Et ne gardera que tes os.

Dans la banlieue toute proche, une jeune femme sort des bois, hagarde, le corps criblé de coups de couteaux. Elle chantonne la fameuse comptine et avoue aux policiers qu’elle est persuadée que le désosseur existe bel et bien et qu’il va revenir la chercher. En fouillant les alentours la detective constable Louise Henderson et son collègue Paul Shipley font d’autres découvertes inquiétantes : des signes tracés sur l’écorce des arbres s’apparentent à ceux d’un culte satanique… et le corps d’un homme est découvert dans une clairière… La terrifiante légende locale deviendrait-elle réalité ? Louise hantée par son passé suit de près la piste du désosseur et se rapproche de Caroline la première victime.

Le personnage de Louise est torturé et énigmatique : elle souffre de crises de panique qui s’accentuent avec l’âge, d’un mal-être évident qui puise ses racines dans un passé dont elle ne souvient que par bribes. Elle entend des voix et soufre d’accès de violence assez incompatible avec son métier. Elle intrigue et séduit, on devine rapidement que le dénouement de l’intrigue sera lié à son passé. Le second personnage tout aussi mystérieux est Caroline Rickards, la première victime du désosseur, retrouvée gravement blessée à l’orée des bois. Le récit évolue autour de ces deux femmes qui se serrent les coudes et sont persuadées que la légende du désosseur est réelle.

L’intrigue se déroule sur deux périodes, « hier » et « aujourd’hui »: le lecteur comprend ainsi que des évènements tragiques se sont passés une vingtaine d’années plus tôt et seront en lien avec les crimes actuels. Je me suis beaucoup questionnée sur les liens entre les évènements passés et les protagonistes actuels, j’ai cru deviner et me suis fourvoyée, le dénouement est parfaitement inattendu ! Sans révolutionner le genre, ce bon thriller est agréable à lire, par ses personnages intéressants et son intrigue assez riche en rebondissements. Je remercie les Editions de L’Archipel via NetGalley pour ce partenariat

Le Désosseur de Liverpool, ou l'hésitation entre la survivance surnaturelle d'une légende urbaine et son incarnation humaine diabolique, le doute entre une créature mythique (mystifiée ?) et un être sauvage destructeur...
Louise Henderson, detective constable, accompagnée de son chef-coéquipier Paul Shipley, retrouve une jeune femme hagarde et égarée, amochée, provenant du bois voisin. Celle-ci murmurait la chanson du Désosseur, connue par tous dans la région :
"Le Désosseur arrive,
Le Désosseur existe.
Il ne s’arrête jamais,
Il ne ressent rien.
Il t’attrapera,
Il te fera pleurer,
Il coupera dans ta chair,
Et ne gardera que tes os."
Et lorsqu'un premier corps est retrouvé dans cette même forêt ; le monde s'affole, les cadavres s'amoncellent, laissant les deux enquêteurs aller de fausses pistes à des indices véritables, cumulant les suspects se cachant derrière l'identité du Désosseur, car n'est-ce pas, il n'existe pas ? Il ne peut exister... ou bien ? Surtout qu'il semble bien connaître Louise, en proie à ses propres démons. Alors, simple être de chair tueur, ou véritable légende maléfique ?
Premier récit de Luca Veste, alternant comme beaucoup de récits actuels, les points de vue, entre l'héroïne et les autres personnages ou événements concomitants, avec d'authentiques plongées dans l'esprit torturé de ces êtres de papier, à foison ; trop peut-être pour moi. Ma lecture demeure mitigée, car la multiplication des fils d'intrigue m'a perdue, embobinée dans plusieurs temporalités et lieux, au point de ne plus les distinguer et de les suivre jusqu'au dénouement qui m'a quelque peu déçue ; beaucoup d'actions, de nœuds dramatiques pour une double fin prévisible, sans réel suspense pour moi. J'ai également eu du mal à m'identifier, voire à adhérer, à la personnalité de l'héroïne, peut-être à juste titre narratif. Ainsi, cette histoire bien alléchante sur papier ne m'a pas attrapée dans sa lecture, mais régalera sûrement les amateurs de récits policiers psychologiques/thrillers, par sa construction complexe et son sujet original. Pour ma part, j'en attendais simplement plus, ou autre...
MERCI, néanmoins, pour cette découverte livresque, à NetGalley et à l'éditeur L'Archipel pour sa confiance renouvelée !

Tout commence hier, avec ces 4 enfants qui jouent dans un tunnel, à se faire peur, avec la légende du Désosseur, une espèce de croquemitaine de comptines. Tandis qu'ils ressentent une étrange présence dans le tunnel, l'un d'eux disparaît…
Aujourd'hui, la DC Louise Henderson, persuadée que le Désosseur s'est incarné, doit convaincre son coéquipier Paul Shipley, face à une femme retrouvée errante, couverte de traces de tortures, face à des disparitions puis des corps retrouvés dans les bois… Qui est le Désosseur ? Que sait vraiment Louise pour être convaincue de l'existence de celui-ci ???
Je dois avouer que d'après le titre, je m'attendais à une histoire un peu cracra ; ça n'est pas vraiment le cas : ça reste très subtil, et psychologique, plus que sanguinolent…. Et parfois, c'est aussi bien !!!
La première moitié du roman a eu sur moi un effet plutôt soporifique : j'ai trouvé qu'elle manquait franchement de dynamisme, j'ai eu du mal à me repérer sur les flashbacks et les différents points de vue adoptés ; c'est un peu répétitif également, du point de vue des découvertes. de facto, l'intrigue piétine… La deuxième moitié du livre, par contre, se lit d'une traite, et rattrape largement l'ennui que j'ai ressenti au premier abord : les évènements s'enchaînent, l'enquête progresse vite, le personnage de Louise devient de plus en plus intéressant car il interroge le lecteur. Quant au dénouement… je n'ai rien vu venir!!!
Merci à Netgalley et aux éditions de l'Archipel pour la découverte de l'univers de Luca Veste.

Tout débute tambour battant dans ce récit avec une jeune femme mutilée qui est retrouvée dans la rue errante et ayant de multiples blessures dues à des coups de couteaux.

Les enquêteurs Louise Henderson et Shipley sont appelés sur cette affaire et rapidement un parallèle va être fait avec la chanson du Désosseur de Liverpool, une comptine que les jeunes chantonnent lors de certaines actions comme par exemple dans le récit lorsqu'ils se rendent dans un tunnel pour ce donner du courage.

Après enquête sur la piste de l'agresseur de la jeune femme des corps sont retrouvés dans la forêt, d'abord un puis rapidement les autres corps vont suivre, j'ai aimé suivre cette enquête cependant j'avoue avoir trouvé le milieu et la fin plus lente.

Le début est vraiment addictif cependant au milieu du récit j'ai trouvé le récit moins haletant et prenant, j'ai trouvé le reste du récit moins crédible à mes yeux ce qui m'a également fait lâcher prise à ma lecture.

Une lecture en demi-teinte mais il s'agit aussi ici du premier livre de cet auteur.

Merci à Netgalley et aux éditions de L'archipel pour cette lecture. J'ai été séduite par le résumé de ce roman, qui mise sur les peurs de notre enfance. 

On découvre un duo d'enquêteurs , Louise Henderson et Shipley, qui vont faire face à une série de meurtres sortie des légendes urbaines de la ville de Liverpool. Et si le déssosseur, utilisé depuis des décennies pour faire peur existait réellement... Mais cette traque va les plonger dans le passé de Louise, jusqu'où voudra-t-t-aller? 

Ce polar est définitivement addictif. Basé sur les légendes urbaines, et les croyances populaires, il explore avec noirceur tous ces mythes utilisés pour faire peur aux enfants. L'auteur joue avec les peurs d'une héroïne au passé tourmenté et génère de l'empathie pour elle. Bien mystérieuse, on a envie qu'elle se livre et nous dévoile le passé qui semble la relier à la légende du déssosseur. Très vite, le thème s'élargit, à la libération de la légende familiale, et aux pouvoirs de leaders de sectes sur l'esprit humain. C'est un très bon point positif.

On retrouve une galerie de portraits très marqués, et charismatiques, autant du côté des "bons" que des "mauvais". D'ailleurs certains vont passer d'un camp à l'autre sous nos yeux. Toutefois j'ai regretté certaines répétitions et lenteurs. Si l'histoire dans son ensemble est bien construite, et se lit facilement, le rythme est très inégal d'un moment à l'autre. Intense et effréné lors des scènes d'enquête, il devient lent lors des flashbacks, ou des introspections de Louise. 

Le final lui est détonant et émouvant et vient clotûrer avec réussite. Alors aurez-vous peur?

Il n'y a pas de fumée sans feu et le désosseur de Liverpool en est le parfait exemple . Entre légende urbaine, enfants qui jouent à se faire peur ou peur ancestrale : le mal rôde dans la forêt.

Cette histoire commence avec la disparition d'un enfant : Matty qui pour effrayer ses amis leur fait prendre un tunnel dont il ne sortira jamais. Sa soeur va le chercher pendant des années. Et se brûlera les ailes. Une réaction en chaîne se produira dévoilant une bien macabre vérité.

C'est un pur policier avec une approche psychologique des personnages intéressante. Nous sommes entre remords, culpabilité, incrédulité, perte et espoir de voir réapparaître l'être cher.

Du début à la fin j'ai été gênée par cette enquête où la policière semble étrange et la victime trop mystérieuse . J'ai aussi trouvé quelques lenteurs ou manque de rythme au début mais ce n'est que mon avis.

L'histoire amenée par Luca Veste n'est pas sans me rappeler quelques romans de Maxime Chattam par sa narration et la traduction de Philippe Vigneron. L'auteur n'en est pas à son premier roman puisqu'il est l'auteur de dix thrillers. .

Ce fut une bonne lecture et je remercie les éditions de L'Archipel.

#Le désosseur de Liverpool#NetGalleyFrance

Roman abandonné, je n'ai vraiment pas réussi à entrer dedans ni à m'attacher aux personnages, j'ai persisté jusqu'à 25 % mais vraiment pas moyen d'adhérer, ce roman n'était sans doute pas fait pour moi

J'ai bien aimé le résumé de ce livre ainsi que sa couverture un peu glauque (dans le ton en somme), j'étais très curieuse de voir ce qu'il avait dans le ventre. Un immense merci aux Editions de l'Archipel pour m'avoir confié un exemplaire numérique de ce bouquin de Luca Veste.

Un jour, Louise Henderson et son collègue Shipley sont appelés au chevet d’une jeune femme blessée à l’arme blanche, qui affirme avoir été agressée par le Désosseur.
Les deux policiers attribuent d’abord ses allégations au choc subi, mais, peu après, le corps d’un homme est retrouvé là où elle aurait été attaquée, une clairière où l’on identifie des traces du tueur. Ne serait-ce donc pas qu’une légende ?
Il apparaît bientôt que Louise aurait un lien très personnel avec le Désosseur. Que cache donc son passé, qui la hante depuis si longtemps ?

Je ne vais pas le cacher, ce livre ne sera pas un coup de coeur mais il m'aura fait passer un chouette moment de lecture. Pourtant, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. J'ai trouvé le début, la mise en place un peu laborieuse. Mais une fois l'histoire lancée, je n'ai plus pu poser mon bouquin. Le Désosseur est une légende urbaine dans la petite ville où va se dérouler notre histoire. Une légende urbaine, vraiment ? C'est ce que nous allons tenter de découvrir aux côtés d'un duo d’enquêteurs que j'ai bien apprécié.

Les personnages sont sympa, on ne s'attache peut-être pas à eux mais on est très curieux de ce qui va leur arriver. J'ai particulièrement apprécié Louise parce que je pense qu'elle a un passé riche qui mériterait d'être exploité dans d'autres romans. Le récit m'a paru un peu inégal, parfois il est mené tambour battant et le lecteur a presque l'impression d'étouffer, parfois j'ai trouvé le temps un peu long. C'est peut-être parce qu'il s'agit là du premier roman de l'auteur.

J'ai beaucoup aimé la légende du Désosseur, c'est plutôt efficace et ça fait froid dans le dos. La fin du bouquin m'a surprise, je ne m'attendais pas à ça et c'est plutôt un bon point. J'ai adoré l'ambiance de ce livre ! Pas besoin de tonnes de descriptions pour nous mettre mal à l'aise. Ca m'a beaucoup plu et pour ça, je suis contente d'avoir découvert ce livre.

Le Désosseur arrive, le Désosseur existe. Il ne s'arrête jamais, il ne ressent rien.

Un thriller se déroulant dans une forêt obscure.

Le livre débute sur les chapeaux de roues ! Shipley et Louise Henderson sont appelés car une femme a été attaquée à l´arme blanche près d'un bois. Elle chantait une comptine, connue pour faire peur aux enfants; celle du désosseur.

Si au départ les enquêteurs trouvent cela impossible voire futile, il n´en sera pas de même  quand on va découvrir un autre corps en forêt et des traces d'une personne pouvant être le désosseur.

L'enquête va se lier au passé de Louise et celle-ci va souvent se sentir submergée pendant leurs recherches.

Le titre est prometteur et l'écriture est assez abordable mais quelque chose m´a gênée .. je pense qu'on peut largement enlever une centaine de pages de descriptions ou de longueur qui nous facilite pas la reprise du livre.

Je ne pense pas relire l´auteur mais ce fut agréable de découvrir son univers

Je remercie Mylène, des éditions L'Archipel, pour l'envoi via net galley du thriller : Le désosseur de Liverpool de Luca Veste.
Ne vous promenez pas dans les bois…
Tous les enfants de Liverpool connaissent la légende du Désosseur, sorte de monstre qui vivrait dans la forêt depuis des décennies, enlèverait les gens et collectionnerait leurs os, même si l’on n’a jamais réussi à prouver son existence…
Un jour, Louise Henderson et son collègue Shipley sont appelés au chevet d’une jeune femme, Caroline, blessée à l’arme blanche et qui affirme avoir été attaquée par le Désosseur.
D'abord sceptiques, les deux policiers vont découvrir qu'un homme aurait pu s'emparer de la légende et.. la créer dans la réalité !
Le Désosseur ne serait donc pas qu’une légende ?
Mais comment aurait-il survécu seul autant de temps ?
L’affaire prend une tournure singulière lorsqu'il apparaît que Louise a une connexion personnelle avec Le Désosseur. Que cache son passé, qui la hante depuis tant d'années ?
Le désosseur de Liverpool est un thriller captivant, que j'ai pris plaisir à lire en trois jours.
Je ne l'ai pas lu d'une traite car c'est un roman très noir, dont j'ai eu besoin de digérer certaines scènes. Il m'a parfois mis mal à l'aise car l'ambiance crée par l'auteur est très anxiogène. Un soir, je me suis fait peur toute seule en le lisant dans ma chambre, sans bruit. J'ai cru que le Désosseur guettait dans l'ombre lol
Louise est dans la police, elle va se retrouver à enquêter sur le Désosseur, une légende urbaine qui a l'air de prendre vie. Très rapidement, on comprend que cette jeune femme a un passé compliqué et de sacrées fêlures.
L'auteur nous emmène sur de fausses pistes car j'ai pensé que Louise était une certaine personne de part les flash backs du passé. Mais l'auteur a une sacré imagination, et ce roman est plus complexe que je ne l'ai imaginé au premier abord.
A chaque fois que je pensais un truc, à chaque fois je me suis trompée ! Et pourtant, d'habitude, j'ai plutôt une bonne intuition.
Le Désosseur de Liverpool est un bon thriller, même si je regrette un peu de ne pas avoir réussi à mieux cerner le personnage de Louise. Le roman refermé, je me suis rendue compte que je ne connaissais pas tant que ça cette femme, c'est un peu dommage. J'aurais aimé que sa psychologie soit un peu fouillée et qu'elle nous soit un peu plus dévoilée.
Malgré tout, nous avons là un bon roman qui ravira les amateurs de thriller bien noir.
Ma note : quatre étoiles.

Le désosseur arrive. Le désosseur existe. Il ne s’arrête jamais. Il ne ressent rien. Il t’attrapera, il te fera pleurer, il coupera ta chair et ne gardera que tes os.

Tous les enfants de Liverpool connaissent cette légende urbaine, cette comptine que l’on fredonne en groupe pour s’effrayer le soir. Pourtant pour certains c’est beaucoup plus qu’une légende. Pour Camille déjà que l’on retrouve errante dans une rue, mutilée et qui raconte que c’est la faute du désosseur. Pour les cadavres qui vont joncher le parcours des deux enquêteurs un peu dépassés par cette enquête. Et pour Louise, de plus en plus persuadée de son existence de par son expérience enfantine.
Peut-on arrêter une légende ? Où est ce nous qui la construisons par nos récits ?
Un très bon thriller efficace et soigneusement rythmé par une bonne dose de suspense. Rien de gore ou d’effrayant malgré ce que le titre pourrait laisser penser mais une certaine complexité qui m’aura eue jusqu’à la dernière page. L’auteur a réussi à instiller la confusion dans mon esprit autant que dans celui de Louise.

Tout débute tambour battant dans ce récit avec une jeune femme mutilée qui est retrouvée dans la rue errante et ayant de multiples blessures dues à des coups de couteaux.
Les enquêteurs Louise Henderson et Shipley sont appelés sur cette affaire et rapidement un parallèle va être fait avec la chanson du Désosseur de Liverpool, une comptine que les jeunes chantonnent lors de certaines actions comme par exemple dans le récit lorsqu'ils se rendent dans un tunnel pour ce donner du courage.
Après enquête sur la piste de l'agresseur de la jeune femme des corps sont retrouvés dans la forêt, d'abord un puis rapidement les autres corps vont suivre,
Le début est vraiment addictif cependant au milieu du récit j'ai trouvé le récit moins haletant et prenant, j'ai trouvé le reste du récit moins crédible à mes yeux ce qui m'a également fait lâcher prise à ma lecture.

Liverpool - Une légende urbaine prédit que si vous vous promenez dans les bois, le Désosseur vous enlèvera et collectionnera vos os.
Quand une jeune femme, blessée à l'arme blanche, prétend que c'est l'oeuvre du "monstre", les policiers Louise Henderson et son coéquipier Shipley ont plus que des doutes. Mais.......mythe ou réalité?

Voici une belle surprise que ce récit. On se souvient de Freddy Krueger et sa comptine, celui-ci y a droit aussi et est tout aussi glauque.
@Luca Veste exploite les mêmes terreurs d'enfants pour rendre l'atmosphère de son roman anxiogène.
Ceux d'entre vous qui attendent des découpages de membres en veux-tu en voilà, seront déçus, l'auteur ne nous noie pas sous l'hémoglobine mais s'attarde sur la psychologie de Louise qui, au fil des pages, semble de plus en plus énigmatique.
Même si l'histoire n'est pas révolutionnaire, l'écrivain parvient à nous tenir en haleine en instillant le doute et la confusion.
Un thriller que je vous recommande!

Un livre étrange qui nous plonge dans le quotidien et l'enquête de Louise, jeune constable méfiante et solitaire... On y découvre également Caroline, victime d'une légende ayant pris vie, seule à être encore en vie. Rapidement, l'enquête prend un tour étrange, avec des flash-back qui finissent par entrainer le lecteur sur de fausses pistes et distillent correctement l'angoisse grandissante. J'ai beaucoup apprécié l'idée de mettre une légende urbaine au centre de l'intrigue tout comme les tâtonnements de l'enquête. La dynamique entre Paul et Louise est intéressante tout comme la relation étrange de Louise et de Caroline. La fin m'a énormément surprise et j'ai vraiment apprécié le dénouement.

Ce que j'aime : le scénario, l'idée du Désosseur et toute la partie "emprise"

Ce que j'aime moins : je me suis fait avoir ! J'étais à des kilomètres de la solution

Pour résumer

Un très bon roman qui balade son lecteur et dont le "Désosseur" est à la hauteur

Ma note

8/10

Un thriller plutôt pas mal mais qui souffre surtout de nombreuses longueurs. Louise, la personnage principale, n'est pas franchement attachante et ses (trop nombreuses) crises d'angoisse alourdissent le récit. Le rythme est très (trop ?) lent et j'avais parfois envie de sauter des passages pour avancer dans l'histoire. J'ai apprécié la fin, même si elle n'est pas vraiment surprenante.

Caroline a été retrouvée, blessée et hagarde, au beau milieu de la rue d’une petite ville. Interrogée, elle raconte avoir été enlevée par le Désosseur, une légende urbaine de la région.

Chargée de l’enquête, Louise se retrouve confrontée à ses propres souvenirs d’enfance, ce qui la bouleverse plus profondément qu’elle ne le voudrait...

Mais si le Désosseur n’existe pas, qui a pu commettre ce crime?

La thématique m’avait attirée tout de suite. Ce genre de scénario me plaît toujours beaucoup. Mais je dois dire que l’auteur a vraiment eu le don de me brouiller les idées!

La première scène nous place directement dans l’ambiance: 4 enfants partis se balader en forêt, 3 seulement en reviennent... Une impression de malaise pèsent sur cette disparition, et l’ambiance donne le ton.

Louise est une jeune femme douée dans son métier. Mais cette enquête en particulier la déstabilise. Parce que ça la renvoie à des choses auxquelles elle ne veut pas penser. Des souvenirs de son passé tellement horrifiant qu’elle a préféré les oublier.

Au fil de l’enquête, la monstruosité du criminel se dévoile peu à peu. Des découvertes macabres parsèment le chemin des enquêteurs, et la peur va crescendo.

L’auteur nous emmène sur des chemins tortueux, brouillant les cartes à volonté, nous amenant à penser certaines choses pour nous démontrer le contraire ensuite.

J’ai été totalement accrochée par cette histoire! Elle est sombre, pleine de rebondissements, et intrigante du début à la fin! Il n’y a aucun temps morts, et le rythme de l’histoire m’a laissé le temps de dresser mes propres hypothèses.

J’ai donc passé un très bon moment avec ce roman!

La légende du désosseur est connue de tous les enfants de Liverpool : ils savent tous qu'ils ne doivent pas se promener dans les bois sinon ils seront rattrapés et désossés... L'intrigue commence tambour battant avec la disparition d'un enfant dans un tunnel. Le récit est glaçant et le lecteur est happé dans un scenario digne d'un film d'horreur. Des années plus tard, des policiers sont appelés au chevet de Caroline, blessée à l'arme blanche et qui affirme avoir été attaquée par le Désosseur. Mais est-ce possible ? La légende est-elle réelle ou est-ce un copieur ? Et lorsque l'enquêtrice, Louise, semble avoir un lien avec le Désosseur, le mystère s'épaissit. Que cache son passé qui la hante depuis tant d'années ? C'est un livre qui se lit rapidement même si l'atmosphère est parfois lourde et anxiogène. j'ai parfois eu des difficultés à comprendre la psychologie des personnages et notamment celle de Louise. Les rebondissements sont multiples et les fausses pistes nombreuses. Un bon thriller donc.

Promenons-nous dans les bois pendant que le désosseur n'y est pas. Légende urbaine ? conte à faire peur pour les petits enfants ou réalité ?
Des os il y en a quelques uns dans ce récit et ce sera la tâche de Louise Henderson et Paul Shipley d'y faire toute la lumière, d'éviter de s'y casser les dents et un amoncellement de victimes.

Le récit reste 'gentillet', je m'attendais à une plus "grande" descente dans l'horreur (à l'image du Boogeyman, véritable croquemitaine de notre enfance)

Une enquête intéressante, l'auteur a du savoir-faire.

A réserver aux amateurs qui apprécieront avoir peur sans trop avoir peur :D

Le résumé du Désosseur de Liverpool me tentait et, à lire certains retours, j’avais encore plus envie de découvrir ce thriller de Luca Veste. L’histoire commence suite à l’agression d’une femme, grièvement blessée à l’arme blanche mais toujours vivante. Elle est traumatisée et ce qu’elle raconte alors aux policiers les laisse perplexes ; elle affirme à Louise Henderson et Paul Shipley que c’est le Désosseur qui l’a attaquée. Or, celui-ci n’est rien d’autre qu’une légende urbaine. Vraiment ?
Taillons tout de suite dans le gras : j’ai un ressenti plutôt mitigé quant à cette lecture. Elle avait pourtant tout pour me plaire, à savoir un duo de flics certes pas parfait mais efficace, une histoire de disparitions mêlée à une légende urbaine, etc. Mais voilà, des « mais », il y en a pas mal.
Avec sa narration alternant le présent et le passé, et en alternant occasionnellement les personnages, Luca Veste réussi à créer de nombreuses pistes, mais aussi à les brouiller, ce que je trouve bienvenu. Cela dit, bien que l’auteur ait instillé de la confusion dans l’ensemble du récit, je me suis doutée de certains points assez rapidement et, avant d’avoir la conclusion, de connaître la vérité, j’avais fini de deviner la fin. Se pose alors la question de savoir si, pour qu’un thriller soit bon, il doit être imprévisible jusqu’au bout. Sans développer, pour moi, la réponse est non. Le souci est que, dans Le Désosseur de Liverpool, c’est couplé à d’autres choses auxquelles je n’ai pas accroché.
Je n’ai pas trouvé les personnages attachants. Il y a de nombreuses raisons à cela et la première est que l’on a un binôme composé d’une femme et d’un homme et, même si iels ne se le disent pas, l’une a clairement une attirance pour l’autre, et c’est bien sûr réciproque. C’est tellement attendu que, dès la première allusion à cela, j’ai levé les yeux aux ciel. Aussi, dans leurs interactions, on a la flic qui tait son passé mais qui sait tout de la vie de son collègue. Et il y a plein de petites choses de cet acabit, que l’on retrouve fréquemment dans d’autres polars. Mais je me suis dit que ce n’était pas grave, que je finirai par me prendre d’affection – en tout cas un minimum – pour Louise Henderson quand on en saurait plus sur elle. Eh bien non. D’une certaine façon, je l’ai trouvée trop lisse et, si on apprend à connaître un peu son passé, on ne connaît finalement pas grand chose de sa vie actuelle. Pour faire simple, elle vit pour son travail, est célibataire, a un passé et a un crush pour son collègue Shipley. Quant à lui, je ne me souviens de rien à son sujet. Pourtant, Veste a essayer de donner du corps à son héroïne, mais le torturé et l’imprévisible de Louise Henderson n’ont clairement pas fonctionné avec moi.
Tout cela est servi par une écriture qui ne m’a pas transcendée, à moins que ce ne soit la traduction. Quoiqu’il en soit, ça ne m’a pas aidé à apprécier ma lecture. Et l’enquête, alors ? Est-ce qu’elle rattrape l’ensemble ? Il faut dire que ça commence fort, ça, y a pas à dire ! J’ai beaucoup apprécié que l’auteur nous propose une intrigue se basant sur une légende urbaine, c’était glaçant. Et pour le coup, plus le récit avançait, plus j’étais curieuse, je me demandais où s’arrêtaient les faits pour laisser place au mythe du Désosseur. Seulement, comme je le disais déjà plus haut, la résolution ne m’a pas surprise. Surtout, j’ai trouvé que c’était un peu « trop ». Difficile d’en parler sans en révéler ; disons que Luca Veste a voulu trop en faire et ça a perdu en crédibilité. Or, ce qui marche le plus avec moi dans les thrillers, c’est justement que je peux croire à l’histoire. Mais ici, nous tombons dans la surenchère.

C’est plaisant de voir tous les récits converger vers la conclusion, mais c’est dommage que celle-ci laisse un goût un poil décevant sur la langue. Je me suis pas mal interrogée sur l’impact de mon déménagement quant à mon appréciation de cette lecture. Seulement, il s’avère que ce n’est pas d’avoir mis longtemps à lire Le Désosseur de Liverpool qui m’a déplu mais bien le fait que je n’ai pas eu d’intérêt pour les personnages, tout comme le récit (qui commençait super bien) m’a paru un poil fade durant le plat de résistance, et bien trop assaisonné pour le dessert. Ce n’est certes pas mauvais, mais ce n’est pas ce que je vous recommande.

Livre lu grâce à #netgalleyfrance et aux éditions l'Archipel . Le résumé du désosseur de liverpool de luca Veste m'avait attirée, mais malheureusement, ce thriller n'aura pas réussi à me convaincre . j'ai bien aimé le décor, c'est à dire la ville de liverpool, ca dépayse et ca permet de voyager un peu tout en restant bien assis au chaud dans son canapé . Et l'auteur fait une courte référence au film les goonies qui m'a fait sourire ( tout le monde ne s'arrêtera pas dessus , question de génération) . Ce livre pâtit de trop de longueurs , il n'y a au final pas autant d'action que j'aurais voulue et le dénouement est trop tiré par les cheveux et un peu long . Une histoire de légende urbaine qui refait surface, une victime qui survit et qui cache des choses, une flic qui cache aussi des choses .Je n'ai pas eu d'empathie pour les personnages, et l'héroïne principale m'a parfais agacée avec ses hésitations (amoureuses et autres) . L'intrigue est trop centrée sur la psychologie de deux trois personnages , c'était répétitif.
Rien à redire par contre sur le style d'écriture .
Je suis passée à coté mais je pense tout de même qu'il pourra plaire à un grand nombre de lecteurs .

Le désosseur de Liverpool n’existe pas. C’est une légende urbaine, un monstre caché dans la forêt qui effraie les enfants, le personnage d’une comptine pour se faire peur… Mais quand les victimes deviennent réelles la réalité de son existence est remise en question : un monstre de légende ou un tueur en série bien humain ?

Retour de lecture
Ce ne sera malheureusement pas un retour de lecture très enthousiaste de mon côté. J’ai beaucoup aimé l’idée de mêler tueur en série et légende urbaine au point d’effacer la frontière d’un monstre à un autre. C’est le point fort du livre. Mais l’intrigue est – avis très personnel – entachée par le personnage principal : Louise. Je n’ai pas du tout aimé ce personnage et ses interactions dans l’histoire. L’autrice a voulu la rendre torturée par un passé qu’elle a occulté. Mais le tout reste un peu trop brouillon et perturbe la compréhension et le rythme de l’histoire.
Je suis peut-être un peu lassée de trouver ce stéréotype de personnage dans les romans policiers sans que cela apporte vraiment quelque chose à l’histoire ou se renouvelle un peu. Il y avait pourtant un potentiel grâce à son passé particulier mais l’exploitation qui en est faite m’a laissée de glace et alourdit inutilement l’enquête. Quelque chose n’a pas fonctionné sur moi malgré mon envie d’en savoir plus sur l’enquête.

La légende du désosseur
Comme je le disais dans le retour c’est pour moi le point fort du livre : imaginer que les monstres de l’enfance deviennent réels. Il y a quelque chose d’assez angoissant dans cette idée. Et cette impression nous suit tout au long de l’enquête. Même si nous devinons vite qu’un fou furieux s’inspire de la légende nous sommes surpris par la tournure que prend l’investigation. Le tout donne un côté sombre à l’histoire pour le plus grand plaisir des amateurs de thrillers.
Après vérification le désosseur serait une légende inventée par l’auteur. Mais cette histoire aurait de quoi devenir virale et devenir une réelle légende urbaine à son tour. Le cauchemar est prêt à se répandre. C’est un sujet crucial dans le roman. J’avoue que si l’auteur avait géré différemment son personnage principal pour donner toute son importance à l’intrigue – au lieu de la parasiter par Louise et ses problèmes – j’aurai frissonné. Le potentiel était immense.

Un personnage principal torturé
Après le développement du point fort (l’intrigue et l’enquête), je développe en quelques mots ce qui pour moi est le point faible : Louise. L’auteur a sans doute cherché à nous donner un personnage complexe, quelque peu borderline, sombre et torturé. Nous apprenons à la connaître au fur et à mesure de l’histoire et ne découvrons son passé qu’à la toute fin. C’est pourquoi j’évite de trop en parler. Mais cette idée développée dans les dernières pages m’a beaucoup plu… elle aurait pu donner une autre dimension au personnage.
Au lieu de ça Louise se perd dans ses troubles psychologiques, dans ses crises de panique et dans ses absences. Pourquoi pas, n’importe quel être humain aurait craqué comme elle, ce n’est pas ce qui m’a dérangée. Ce qui m’a laissée de glace c’est la manière dont l’auteur nous l’amène et nous le raconte. J’ai trouvé que la construction des phrases et la manière de le raconter étaient lourds et un peu trop appuyés. Mais rappelons-le, il s’agit d’un premier roman. Il a des défauts qui seront sans doute comblés dans les prochains romans de l’auteur.

Un début d’histoire qui te met directement dans le bain, avec un début d’enquête sur un « monstre » qui vivrait dans la forêt, enlèverait des personnes et conserverait leurs os comme trophée. La légende l’appelle « Le désosseur ».

Après avoir retrouvé Caroline, une femme blessée par plusieurs coups de couteau et qui prétend avoir été agressée par le desosseur, les enquêteurs qui au début sont sceptiques quant au récit de cette femme, vont finir par découvrir petit à petit que la fameuse légende serait peut-être pas si fausse que ça, mais plutôt assez réelle.

Louise et Shipley vont se retrouver en duo pour cette affaire et ils vont découvrir d’autres corps et s’apprête à affronter une histoire bien plus cruelle que celle à laquelle ils s’attendaient.
Deux personnages très attachants, au caractère opposé mais qui match à la perfection.

Louise va se retrouver mêlait bien plus qu’elle ne le croit à cette enquête, et on est pas au bout de nos surprises.

Louise et Paul, deux policiers habitués à des querelles de voisinage ou à des violences domestiques, sont appelés sur le lieu d’une agression. Une femme a reçu plusieurs coups de couteau alors qu’elle s’enfuyait d’un bois. Des enfants l’ont entendu chanter la comptine du Désosseur, un monstre de légende local. Elle prétend avoir justement agressée par lui, Paul pense qu’elle est seulement sous le choc et délire alors que Louise sent qu’il y a une piste à creuser. Tous les enfants connaissent cette légende et l’utilisent pour se faire peur, mais les adultes savent bien que les monstres n’existent pas. A défaut d’un monstre, nos policiers pensent qu’un criminel pourrait avoir endossé le personnage pour se dissimuler, surtout que des marginaux disparaissent régulièrement. L’un d’eux semble particulièrement douteux, il aurait même poussé son cousin déficient mental au suicide. Caroline, la victime et Louise paraissent en savoir nettement plus qu’elles ne veulent bien le dire sur ces crimes. Elles ont vécu un drame dans leur enfance en lien avec le monstre et le climat d’angoisse monte peu à peu, alors que Paul vit uniquement dans le monde réel avec son désir d’intégrer la brigade criminelle. Il se lance à fond dans l’enquête dans ce but alors que Louise est peu à peu rattrapée par son passé. Les bois de Liverpool livrent plusieurs charniers, la tension monte.

C’est avant tout un thriller psychologique, avec une ambiance glauque qui s’assombrit peu à peu. Les deux héroïnes sont nimbées de mystère, par moment on ne sait pas si on parle du passé de Caroline ou de celui de Louise, cette ambiguïté m’a gênée par moment, il y aussi quelques longueurs, mais dans l’ensemble on est vraiment tenu en haleine. C’est un polar d’ambiance et on se surprendrait presque à vérifier qu’aucun monstre ne se cache sous notre lit. On se doute que le Désosseur n’est pas un vrai monstre, mais il y a une ambiance fantastique qui fait qu’on s’attend quand même à une apparition surnaturelle comme dans les romans de Stephen King, j’ai trouvé cela très prenant et agréable.

On explore la psychologie des personnages, Paul est le plus simple, il est terre-à-terre, a des ambitions professionnelles claires et se donne les moyens de les atteindre, cette enquête est une opportunité d’entrer dans la brigade criminelle et il s’y investit totalement. Il a des sentiments pour Louise, mais n’ose pas aller jusqu’au bout. Louise et Caroline sont entourées d’ombres, on sent tout de suite qu’elles ont bien des choses à cacher, elles sont mues par une forte culpabilité par rapport au passé. Une fois confrontée à lui, Louise aura besoin de changer de vie, comme si son masque était tombé.

Je ne connais pas tout Liverpool, mais j’ai été étonnée que cette grande ville soit ainsi entourée de forêt. La majorité de l’action s’y passe d’ailleurs. Le roman critique aussi notre société, si le désosseur est un monstre, que faut-il penser des spectateurs qui se massent sur les scènes de crimes en essayant de filmer tout ce qu’ils peuvent avec leur téléphone pour le diffuser sur les réseaux sociaux ? Et comment se fait-il que des dizaines de marginaux aient pu disparaître depuis des années sans que personne ne se rende compte de rien ? L’assassin n’a pas l’apanage de la cruauté.

C’est un excellent thriller que je recommande chaleureusement à tous ceux qui aiment les ambiances glauques et anxiogènes. Un grand merci à Mylène de L’Archipel et à Netgalley pour cette très bonne lecture.

#LEDÉSOSSEURDELIVERPOOL #NetGalleyFrance !

J`ai passe un tres bon moment avec cette lecture, une lecture terrifiante et c`est ce que l`on recherche. je vous le conseille si vous etes adepte des thriller.

Un livre basé sur une légende urbaine, cette lecture est à la fois étrange qui nous happe dans l'enquête de Louise.
Le rythme du livre est assez constant et la relation avec les personnages est intéressante.
J'ai apprécié ma lecture

On part d'une légende urbaine entretenue par la peur des enfants face à la dense forêt de Liverpool, un désosseur habite cette sombre forêt , tue et ne laisse que des cadavres mutilés. Légende ou réalité, le thème de ce livre sera le fil conducteur de ce roman angoissant au possible.
La violence très présente peut-être dérangeante ainsi que quelques longueur ....

Le Désosseur de Liverpool de Luca Veste, Traduit de l’anglais par Philippe Vigneron, Éditions de l’Archipel, 2021 (Roman policier).

Un décor de quartiers périphériques et de forêts dans les environs de Liverpool…
Une légende urbaine : tous les enfants de Liverpool connaissent la comptine du Désosseur, monstre qui vivrait dans les bois depuis des décennies, enlèverait et tuerait ceux qui s’y hasardent, les faisant disparaître sans laisser de trace, même si l’on n’a jamais pu prouver son existence…
Une femme, Caroline, rescapée d’une agression particulièrement violente et sanglante, qui affirme avoir échappé au Désosseur…
Un duo de policiers qui s’entendent plutôt bien, à deux doigts de tomber amoureux l’un de l’autre… Le « detective sergeant » Paul Shipley se révèle très protecteur envers sa collègue la « detective constable » Louise Henderson… Cette dernière, très discrète sur son passé, aurait-elle un lien très personnel avec le fameux Désosseur ?

Ce roman m’a vraiment tenue en haleine, baladée entre ma perception de Caroline et de Louise et des personnalités multiples du Désosseur. Difficile d’en dire plus sans divulgâcher !
J’ai apprécié la façon dont l’auteur a su tirer parti d’une comptine ancrée dans l’imaginaire collectif de tous les protagonistes, l’élevant au rang de mythe urbain, l’adaptant à notre époque et à ces contraintes pour la rendre finalement crédible, métaphorique.
L’ambiance particulière, entre enquête policière proprement dite et possibilité d’une influence surnaturelle donne un cachet supplémentaire à l’intrigue. Les descriptions des lieux participent à l’évocation d’une atmosphère d’inquiétante étrangeté.
Un dénouement en devenir, autour d’une idée de transmission et de pérennité.
Luca Veste a fait des études de psychologie et de criminologie et utilisent ses connaissances… Ses personnages sont torturés, portent en eux les stigmates de lourds passés. Il décrit également le peu d’espoir dans l’avenir d’une jeunesse en perte de repères, victime idéale de prédateurs idéalisés.

Ce roman semble être le seul de cet auteur italo-anglais à être actuellement traduit en français. D’autres suivront sans doute. Si c’est le cas, je serai au rendez-vous.

#ledésosseurdeliverpool #NetGalleyFrance