Le dieu venu du Centaure

Lu par Frédéric Souterelle
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Date de parution 27 oct. 2021 | Archivage 14 janv. 2022
Audiolib | Imaginaire

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Résumé

Qui est Palmer Eldritch ?

Un aventurier parti dix ans plus tôt découvrir les richesses de Proxima du Centaure, aujourd’hui de retour dans le Système solaire.

Un nabab de l’industrie qui s’apprête à lancer le K-Priss, une drogue destinée à remplacer le D-Liss, et à lui assurer le monopole du juteux marché des colons martiens.

Un dieu omniprésent qui s’incarne dans chacun de vos trips.

Un organisme extraterrestre venu prendre le contrôle de la Terre.

Oui, tout cela, et peut-être plus encore.

Qui est Palmer Eldritch ?

Un aventurier parti dix ans plus tôt découvrir les richesses de Proxima du Centaure, aujourd’hui de retour dans le Système solaire.

Un nabab de l’industrie qui s’apprête...


Formats disponibles

FORMAT Livre audio, Intégral
ISBN 9791035405601
PRIX 21,95 € (EUR)
DURÉE 8 Heures, 56 Minutes

Disponible sur NetGalley

Application NetGalley Bibliothèque (AUDIO)

Chroniques partagées sur la page du titre

Pur roman de science-fiction lu pendant mon adolescence et dont j’avais gardé un bon souvenir !

Audiolib a eu la bonne idée de le proposer à l’écoute via NetGalley et je n’ai pas hésité après avoir entendu Frédéric Souterelle dans un extrait. Sa voix de basse renforce l’impression d’irréalité donnée par le texte !

Une partie de l’humanité est exilée sur Mars où la vie est aussi difficile que sur Terre, la nostalgie en plus ! Le D-Liss est une drogue illégale mais tolérée qui fait vivre ses consommateurs dans des illusions et où leurs phantasmes peuvent prendre vie ! Cette drogue est le monopole de Leo Bulero. Mais la guerre du commerce et du pouvoir va faire rage avec l'arrivée du K-Priss et de Palmer Eldrich.

A partir de là tout part en vrille et Philip K. Dick nous embarque dans les délires de son imagination débridée et m’a donné l’impression d’être tout autant manipulée que les consommateurs de K-Priss ! Qu’est-ce qui est vrai ? La réalité existe-t 'elle toujours ou tout est-il devenu éthéré et immatériel ?

Complexe mais Jubilatoire !

#LedieuvenuduCentaure #NetGalleyFrance

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Un grand merci à NetGalley et à Audiolib pour la découverte de ce roman de Philip K. Dick, Le Dieu venu du Centaure…

Ce que j’ai retenu de ce roman de science-fiction écrit dans les années 1960, dont certaines thématiques m’ont paru très actuelles, mettant en avant la posture visionnaire de l’auteur, son talent d’anticipation…
Philip K. Dick nous parle du réchauffement climatique sur la Terre, de colonisation de l’ensemble des planètes du systèmes solaires par une sorte de conscription, du contrôle des marchés, d’une Organisation des Nations Unies omnipotente mais sujette à caution…
Il est question de la commercialisation de drogues hallucinatoires destinées à rendre la vie des colons plus attrayantes ; l’une est légale, l’autre d’origine extra-terrestre… Le D-Liss s’utilise avec des accessoires, des sortes de poupées produite par une société spécialisée ; le K-Priss semble plus performant mais aussi plus dangereux…
Certains personnages ont des pouvoirs cognitifs très développés appréciés notamment pour prévoir la réussite de certains projets commerciaux…
Des thérapies existent pour réaliser des évolutions mais cela ne fonctionne pas de la même façon sur tout le monde ; il y a un risque de régression chez certains individus…
Il y a aussi un versant très mystique dans ce roman, une notion de néo-christianisme dont je n’ai pas tout saisi.

Le personnage principal est particulièrement complexe…
Palmer Eldritch, un aventurier parti dix ans plus tôt découvrir les richesses de Proxima du Centaure, est de retour dans le système solaire. Il s’apprête à bouleverser le marché des drogues pour s’assurer le monopole de la distribution auprès des colons martiens…
En fait, il a plus ou moins fusionné avec un organisme extra-terrestre qui veut prendre le contrôle de la terre. Je me suis un peu perdue dans les mondes imaginaires qu’il contrôle, dans les voyages dans le passé et le futur, dans les soi-disant évolutions de l’espèce humaine. Palmer Eldritch devient une sorte de surhomme intemporel qui s’incarne dans plusieurs êtres humains ; on le reconnaît à trois stigmates : une main artificielle robotique, une dentition en acier et un regard particulier…

Parmi les personnages secondaires, j’ai retenu la vie sentimentale compliquée du précog Barney Mayerson qui entame une relation avec son assistante alors qu’il est toujours amoureux de son ex-femme… Plus tard, sur Mars, il va s’intéresser de très près à une néo-chrétienne.
Il y a aussi son patron, celui qui doit tuer Palmer Eldrich, un certain Leo Bulero, dont j’ai eu du mal à suivre les agissements…

Très honnêtement, je dois avouer que je me suis souvent endormie sur ce livre-audio, même si je n’ai pas grand-chose à reprocher à la lecture de Frédéric Souterelle…
Je crains d’être passée à côté de problématiques essentielles (C’est du Philip K. Dick tout de même !).

#LedieuvenuduCentaure #NetGalleyFrance

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Après avoir relu un peu plus tôt cet annéel'excellent Ubik, j'ai profité avec plaisir de sa disponibilité sur Netgalley pour m'essayer de nouveau à Phlip K. Dick avec un de ses romans que je n'avais pas encore lu. Malheureusement, je me suis ennuyé fermement cette fois...

Ce qui commence comme une lutte pour un monopole commercial termine par une bataille idéologique mystique pour la survie du genre humain. Voilà comment résumer grossièrement ce roman qui en moins de 300 pages n'aura jamais su me passionner, que ce soit pour son intrigue poussive qui décolle véritablement dans le dernier quart, ses personnages relativement clichés sur lesquels repose malheureusement la quasi totalité du récit ou bien les ébauches de questionnement métaphysique sur la nature de dieu, de la réalité et de la permanence de l'illusion.

Dick fait reposer son intrigue sur ses personnages, surtout Barney Meyerson et ses atermoiements sentimentaux, ses questionnement philosophique sur la manière de traiter les femmes qui traversent sa vie et c'est raté. Probablement la faute à une vision très ancré dans son époque des relations hétéro et uen propension de l'auteur à s'attarder trop souvent et trop longuement sur la description des poitrines des personnages féminins.

Et comme malheureusement le reste de l'intrigue consiste en la lutte pour le monopole commercial d'une drogue permettant de s'évader de la réalité, on s’ennuie.

Certes, on peut retrouver de l’intérêt quand les préoccupations bassement matérielle cèdent la place aux délires mysticodickien mais tout cela arrive trop tard, quand l'interet des lecteurices s'est envolé.

Concernant l'audiolivre en lui même, rien à redire, la production est de grande qualité, le lecteur talentueux offre une belle galerie de voix très variées. Je mettrai éventuellement un bémol sur les voix féminines parfois trop surjouées peut-être.

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Ce livre de science-fiction retourne le cerveau. Un univers où l'on a du mal à dicerner le vrai du faux, le bien du mal, le rêve de la réalité 🤔

Le réchauffement climatique, les pouvoirs psychiques, un monde futuriste, le marché de la drogue...

Un univers trop riche ou sombre pour moi.
Je ne suis pas sûre d'avoir compris toutes les subtilités de ce roman aux touches mélancoliques 🙃

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Dans un monde futuriste où l'humanité fui de plus en plus la Terre dont l'atmosphère est de plus en plus étouffante, une poignée d'humains jouent en coulisse pour acquérir un peu plus de pouvoir au travers de drogues mises sur le marché.
J'ai vraiment adoré la narration de Frédéric Souterelle, qui donne vit à chaque personnage avec chaleur, interprétant chacun en modifiant son intonation.
Côté intrigue, j'ai un peu plus de réserves. J'ai peu lu Philip K. Dick, donc je suis loin d'être une experte en la matière, mais j'ai vraiment trouvé que c'était un peu du n'importe quoi. L'histoire part dans tous les sens, multipliant les sous-intrigues qui n'apportent pas grand-chose à l'intrigue principale, voire parasitent la narration. Les personnages sont un peu trop nombreux, au point que je les mélangeais.
Pourtant, le ton est léger et plein d'humour, mais çà ne m'a pas suffi pour apprécier mon écoute.
Une petite déception pour ce roman, qui m'a un peu ennuyée.

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On connait Philip K. Dick pour Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?, adapté en cultissime Blade runner, Ubik ou Le Maître du Haut Château, ses œuvres de science-fiction les plus connues. Il y a aussi Le Dieu du centaure dans lequel, comme à son habitude, l’auteur explore un monde entre réalité et hallucination pour mieux décontenancer son lecteur. C’est la première fois que je découvrais l’univers aussi fantasque que déroutant de Philip K. Dick et la première chose à dire est qu’il vaut mieux être bien accroché. En lecture audio grâce à Audiolib, que je remercie pour cette lecture, Le Dieu venu du Centaure nous emmène au sein d’un futur dans lequel l’être humain a réussi à coloniser toute planète et lune du Système solaire.

Cependant, la vie dans les colonies est bien monotone, et c’est pourquoi les Combinés P.P., une énorme société de ventes de poupées terriennes, développe illégalement un autre commerce très fructifiant : la vente de D-Liss, une drogue hallucinatoire qui permet de “translater” dans les poupées et de goûter à une hallucination collective. Mais, Leo Bulero, le patron des Combinés P.P., voit arriver depuis peu sur le marché une nouvelle drogue, le K-Priss, qui pourrait rapidement concurrencer son produit. Palmer Eldritch, revenu du système de Proxima du Centaure grâce au secours des Nations Unies, est l’homme qui a développé cette nouvelle drogue extraterrestre et qui compte bien s’imposer dans les diverses colonies.

À côté de ça, Barney Mayerson, un précog réputé chez les Combinés P.P. pour ses prévisions se révélant le plus souvent exactes, tente d’obtenir davantage de responsabilité dans la société tout en essayant de se faire réformer vis-à-vis des services de colonisation, ces derniers désirant l’envoyer sur Mars. Venant d’entamer une nouvelle relation avec son assistante tout en étant toujours amoureux de son ex-femme Emily, Barney n’a aucune envie de quitter son poste pour la colonie martienne. Philip K. Dick ne nous ménage pas avec des personnages qui ont chacun un but et qui vont devoir converser les uns avec les autres pour obtenir ce qu’ils désirent. Pour cela, il faudra feinter, jouer finement et parfois même se coucher pour ne pas tout perdre.

Le récit est finement maîtrisé tout en nous offrant une intrigue bien alambiquée, sans que celle-ci ne devienne lassante. Au contraire, on s’intéresse rapidement à l’environnement des protagonistes, à ce futur quelque peu délirant dirigé par les colonies spatiales et la drogue qui est l’ultime moyen de s’évader dans ce monde devenu bien lisse. La religion trouvera sa place dans le derniers tiers du récit, l’auteur interrogeant sur la création de l’être humain, sur la foi et sur son utilité dans la vie de chaque homme et femme. Ce thème de la croyance se mêle particulièrement bien à l’opposition constante entre illusion et réel, laquelle amène à plusieurs moments troubles pour les personnages et le lecteur qui ne savent plus dissocier le rêve de la réalité.

En avance sur son temps, comme bon nombre d’auteurs de science-fiction, Philip K. Dick reste néanmoins un auteur de son époque et nous le fait bien sentir lorsqu’il est question du traitement de la femme en tant que personnage. Dès les premières lignes, on se retrouve face à une hyper sexualisation du corps féminin qui, après deux ou trois passages sur la description de la cambrure ou de la taille de la poitrine des personnages, devient vraiment lassante. Ronnie, la nouvelle assistante de Barney Mayerson, est confondante de bêtises. Érotisée dès le premier chapitre, tout le monde semble trouver normal qu’elle couche avec son patron (comme s’il y avait une clause spéciale dans son contrat). Elle peut également sembler arriviste au vu de son travail imparfait qui ne colle absolument pas avec son ambition alors démesurée. Heureusement, les autres personnages relèvent le niveau mais étonnamment, tous sont des hommes – si on ne compte pas Emily et Zoé Eldritch qui sont très peu présentes dans l’histoire.

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Ce 2 mars 2022 marque le 40ème anniversaire de la mort de Philip Kindred Dick, un auteur de la science-fiction visionnaire. Personnellement j'ai récemment lu "Ubik" et l'uchronie "Le Maître du Haut Château", Alors j'ai voulu tenter "Le Dieu venu du Centaure" disponible en livre audio chez Audiolib depuis octobre dernier. Mais cela n'a pas collé du tout. Je repousse l'écoute depuis des mois, et j'écoute les chapitres à doses homéopathiques....L'intrigue est confuse ... Les personnages ne sont pas attachants, La façon dont Dick décrit les femmes est particulièrement misogyne ( gros seins etc.) Le sexe ne semble pas important , il a perdu tout sens : même les agressions sexuelles sont traitées sur un mode mineur ! Dans cet univers invivable ( à la Blade Runner ou Total Recall) , c'est la drogue qui permet aux gens d'accepter la réalité. Il va y avoir compétition entre la K-Priss et la D-Liss... Si j'avais eu un peu de mal à suivre "Ubik "et que j'ai trouvé quelques défaut d'écriture des personnages dans "Le Maitre du Haut château" , je dois avouer que j'ai décroché de ce roman. On y retrouve certes les obsessions dickiennes , les télépathes et precogs sont de retour et ils apportent quelque chose d'intéressant au roman... Peut-on changer le futur ? Que faire si on nous annonce qu'on va tuer un inconnu ? Passionnante question que Dick lance mais il part dans tellement de sous intrigues différentes... Certaines scènes font froid dans le dos ; le savant qui "modifie" le cerveau représente de possibles dérives de la science... Et puis il y a le côté mystique auquel je n'ai pas adhéré. Le comédien lecteur fait ce qu'il peut, et il assure plutôt bien ( il y a beaucoup de personnages...) Les personnages féminins ne sont pas son fort, parfois les accents sont volontairement marqués. Néanmoins c'est du très bon travail ! Certains amateurs de SF adorent ce roman, moi je suis passée à côté, c'est aussi simple que cela et pourtant je le regrette. Je ne remets en aucun cas la qualité globale de l’œuvre de Philip K Dick, ma déception ne concerne que ce texte. Et peut-être qu’en lisant le roman version papier, à tête reposée, et pas en livre audio, j'arriverai mieux à rentrer dans cette œuvre complexe.

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Du Philip k. Dick comme on les aime. Dans ce roman on retrouve du minority report et mémoire effacé. Il sait nous amener dans son univers dystopique et nous rendre compte de ce que l'on est entrain de faire de notre avenir.
Pollution, drogue, échelle social, chercher à connaître le futur pour l'amener à se détruire, la famille et la foi . On retrouve tout ces thèmes qui sont importants pour l'auteur.
Ici on retrouve le D-liss qui est vendu comme du chocolat, que Leo Bulero offre aux exilés martiens, comme un exutoire, en leur permettant grâce à leur combiné et cette drogue de vivre sur terre en intégrant une illusion dans le corps des poupées du combiné. Seulement, cela ne dure qu'un temps et reste une illusion faite par les matériaux achetés pour perfectionner sa "maison de barbie". Mais Palmer Eldricht, lui, arrive avec le K-priss, une drogue en compétition et n'offre pas une illusion de quelques heures, mais une sorte de vie éternelle avec possibilité de se transformer en ce qu'on veut, changer son passé ou voir son avenir, pour une expérience qui peux sembler durer des années.
Seulement, est ce une illusion, qui est ce Palmer, pourquoi apporter cette nouvelle drogue, ce caprice de l'humanité à une fuite de leur réalité ?
Un livre prenant que le lecteur Frédéric Souterelle a su faire vivre. Les voix différentes, timbres, bruits de fond ont rendu cette histoire plus vivante qu'un film. Merci de faire vivre ces livres mythiques d'un auteur disparu.

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