On dirait que je suis morte

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Date de parution 3 janv. 2019 | Archivage 17 janv. 2019
Buchet Chastel | LIttérature étrangère

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Résumé

Traduit par Céline Leroy
Langue d'origine : Anglais (États-Unis)

Mona a vingt-quatre ans, une vie cabossée, une âme pure et une intuition désastreuse lorsqu’il s’agit de se construire une vie meilleure. Le jour, Mona fait des ménages pour gagner sa vie, vidant au passage les tiroirs d’anxiolytiques de ses riches clients. Le soir, elle distribue des seringues aux junkies de Lowell, Massachusetts. C’est là qu’elle tombe amoureuse de M. Dégoûtant, un artiste raté et sans dents.

C’est le début d’une odyssée trash et burlesque qui la mènera jusqu’au Nouveau-Mexique. Là-bas, au milieu de loufoques en tout genre, elle s’évertuera, à force de cuvettes à récurer, de drogues plus ou moins douces et d’introspections un brin erratiques, à trouver sa place dans le monde.

Un premier roman poignant et drôle, qui donne vie à un personnage hors norme et extrêmement attachant.

Traduit par Céline Leroy
Langue d'origine : Anglais (États-Unis)

Mona a vingt-quatre ans, une vie cabossée, une âme pure et une intuition désastreuse lorsqu’il s’agit de se construire une vie...


Note de l'éditeur

Bonjour à tou.te.s,
Nous vous demandons de bien vouloir publier vos chroniques à partir de la date de parution du livre.
Merci d'avance et à bientôt,
Les éditions Buchet Chastel

Bonjour à tou.te.s,
Nous vous demandons de bien vouloir publier vos chroniques à partir de la date de parution du livre.
Merci d'avance et à bientôt,
Les éditions Buchet Chastel


Ils recommandent !

« Je me promène joyeusement parmi les pages de On dirait que je suis morte de Jen Beagin, l’un des textes les plus marrants, les plus tordus et les plus rafraîchissants qui m’aient été donnés de lire depuis longtemps. »
The Observer

« Remarquable…sans compromis...tour à tour drôle à pleurer et profondément troublant... On dirait que je suis morte devrait rafler les suffrages des lecteurs comme des jurys de prix littéraires. »
Irish Times

« Un mélange de Mange, prie, aime d’E.Gilbert et de La Belle et la bête. »
Cosmopolitan

« Un premier roman incroyable. Singulièrement plaisant. »
Kirkus (Starred Review)

« Ce livre c’est un peu Eleanor Oliphant va très bien sous acide. Barré, marrant… et tout simplement excellent ! »
Goodreads, Sara Wingfield

« Ce roman m’a rendue accro à sa protagoniste, Mona (…). Un des textes les plus bouleversants que j’ai lus cette année »
Elle (Royaume-Uni)

« Jen est l’une des voix les plus rafraîchissantes que j’ai pu lire ces dernières années (…). J’ai dévoré On dirait que je suis morte emplie d’affection pour sa galerie de personnages imparfaits et leurs existences douces-amères. »
Jamie Attenberg, auteure de La Famille Middlestein

« Je me promène joyeusement parmi les pages de On dirait que je suis morte de Jen Beagin, l’un des textes les plus marrants, les plus tordus et les plus rafraîchissants qui m’aient été donnés de lire...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782283031797
PRIX 20,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

"Il comptait parmi ces gens chanceux: il était sorti de l'enfance en un seul morceau et son passé n'était pas une énorme masse inamovible dotée d'un climat propre."

Mona, jeune femme de ménage (elle adore les aspirateurs !) distribue le soir des préservatifs et des seringues aux drogués. C'est là qu'elle tombe amoureuse de celui qu'elle surnomme M. Dégoûtant, artiste raté et édenté. Au vu du titre de cette première partie , Le Trou, on se doute bien de l'issue de cette relation.
Mais Mona n'a pas dit son dernier mot et la voilà bientôt en route pour le Nouveau-Mexique où, au fil de rencontres (voisins, clients, amis, hauts en couleurs et éclectiques), elle parvient progressivement à se libérer d'un passé qu'on devine toxique, d'après des bribes qu'elle nous a distillés.jen beagin
Ce pourrait être trash, mais c'est plein d'émotion et de retenue.La langue est métaphorique, surprenante et Jen Beagin, dans ce premier roman, réussit un pari fou: créer un univers et des personnages pleins de vie, attachants , sans jamais tomber dans le glauque. Tout est sur le fil du rasoir mais Mona fait toujours un léger pas de côté in extremis pour éviter le sordide et choisir le camp de l'humour ,de la surprise ou de l'art. On n'oubliera pas de sitôt Yoko et Yoko, Jésus, Betty, et Mona , bien sûr. Une vraie découverte !

Un roman enthousiasmant

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