Mon autopsie

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Date de parution 30 août 2017 | Archivage 13 nov. 2017

Résumé

"Je suis mort. 
C'est pas le pire qui pouvait m'arriver."

Jean-Louis Fournier s'est fait autopsié par la charmante Egoïne pour qu'on sache ce qu'il avait dans la tête, dans le coeur et dans le ventre.

"Je suis mort. 
C'est pas le pire qui pouvait m'arriver."

Jean-Louis Fournier s'est fait autopsié par la charmante Egoïne pour qu'on sache ce qu'il avait dans la tête, dans le coeur et dans le ventre.


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782234081376
PRIX 7,49 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Face à la mort, on ne peut plus tricher... Eh bien Jean-Louis Fournier, toujours aussi original, nous convie directement à son autopsie et nous permet ainsi d'assister à son (presque) examen de conscience !
Comme il a donné son corps à la science, il imagine donc son autopsie par une jeune et jolie étudiante (tant qu'à faire, y'a pas de mal à se faire du bien !) qu'il baptise "Egoïne" à cause de son habile maniement de l'outil.
Chaque détail anatomique, chaque organe devient alors un prétexte pour revenir sur sa vie, personnelle et professionnelle, ses œuvres, sa famille, ses amis...
Un rapide tour d'une vie pourtant bien remplie, qui appelle l'humilité.
C'est plein d'humour, d'amour, d'amitié, d'ironie, il y a quelques regrets (pas trop quand même !) et un peu de sagesse, et plein de bons mots et de jolies formules lapidaires !
J'ai beaucoup aimé, c'est fluide, ça se lit tout seul, c'est décalé comme l'humour de l'auteur (si proche de son défunt ami Pierre Desproges).
Il n'y a pas à dire : Jean-Louis Fournier a une "plume". On aime ou pas, peut-être, mais on ne peut que saluer la performance de faire le tour d'une vie en si peu de pages.
Je commence juste mes lectures de la rentrée littéraire de l'automne 2017, mais à coup sûr, ce roman fera partie de mes "coups de coeur".

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Mille mercis à NetGalley et aux éditions Stock de m'avoir permis de lire ce roman en avant première :)
J'adore Jean-Louis Fournier, et son dernier roman est une réussite.
J'aime l'humour noir de l'auteur, son impertinence, sa tendresse.. Et avec Mon autopsie je n'ai pas été déçue !
Le narrateur, Jean-Louis Fournier, est mort, il a donné son corps à la science et profite de son autopsie pour revenir sur certaines périodes de sa vie.
C'est drôle, parfois osé, toujours tendre et vraiment sympathique :)
J'ai adoré l'idée de ce roman, il fallait vraiment être Jean-Louis Fournier pour écrire ce livre :)
Je le recommande chaudement si vous aimez l'humour noir, que vous connaissez ou pas l'auteur, une seule chose à lire : Foncez et lisez le :)

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Après avoir lu Où on va, papa? Il a jamais tué personne mon papa, J’irai pas en enfer et Je vais t’apprendre la politesse, c’est avec un certain plaisir et surtout une grande appréhension que j’ai découvert le dernier titre, autofiction de son état, de Jean-Louis Fournier : Mon autopsie.

Je dois dire que j’ai été assez surprise puisque l’auteur semble ne pas avoir changé. En tout cas, son style, fidèle à mes souvenirs, est toujours aussi impertinent voire totalement politiquement incorrect mais plein d’humilité. En bref, c’est totalement décalé et je me laisse toujours surprendre par le recul que l’auteur possède sur sa vie où tout est loin d’être rose.

A travers Mon autopsie, l’auteur fait son introspection : jeu dangereux quand le texte sera publié après. Il s’agit de trouver l’équilibre entre l’humour, la vie publique, la vie privée et ce qui est de l’ordre du très intime. Jean-Louis Fournier gère parfaitement ça.

Donnant son corps à la science, l’auteur imagine ce que donnera son autopsie par une étudiante en médecine surnommée Egoïne. Chaque organe manipulé devient alors une nouvelle raison de revenir sur sa vie, sa famille, ses amis et ses souvenirs.

Mon autopsie se lit d’une traite.

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C'est mon premier livre de Jean-Louis Fournier et cela ne sera pas le dernier. Ce qui m'a attiré dans ce livre c'est son sujet. Il raconte son autopsie fictive qui lui permet de revenir sur son passé. Un livre avec beaucoup d'humour et d'autodérision qui se lit très rapidement et qui met de bonne humeur. J'ai beaucoup apprécié les titres de chapitre. Chaque partie de son corps qui lui est enlevé est l'occasion d'une rétrospective sur lui-même. Il aborde les sujets tels que la mort de Sylvie, l'handicap de ses enfants, sa fille qui le méprise. Rien qu'avec ce livre on découvre un homme qu'on a envie de mieux connaître. A lire qu'on connaisse ou pas Jean-Louis Fournier.

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"J'ai toujours eu peur de l'attendrissement.
La sensibilité me semblait une faiblesse qu'il fallait cacher.
J'ai essayé d'être dur. Je crains d'avoir réussi."

C'est à une double autopsie que nous convie Jean-Louis Fournier: celle de son corps (dont il a fait don à la science), qu'il imagine réalisée par une très jolie étudiante ( charmeur jusqu'au bout des os, Jean-Louis), celle de son âme, qu'il se réserve.
Quand on est familier de l’œuvre du créateur d'Antivol ou de la Noiraude, on retrouve ici les membres de sa famille évoqués dans ces précédents ouvrages, mais ici l'auteur se livre à une sorte d'examen de conscience sans complaisance et n'hésite pas à nous livrer certains aspects de son caractère ou de son comportement pas forcément sympathiques.
Il n'en reste pas moins que l'humour s'invite régulièrement , souvent en fin de chapitre, et que la fiction de l'autopsie corporelle apporte la distance nécessaire à ce qui aurait pu devenir un exercice trop auto centré. Une nouvelle fois, l'auteur de La servante du seigneur tend les bras métaphoriquement parlant à sa fille qui s'est éloignée de lui. Une œuvre sensible et touchante qui manie l'humour noir avec dextérité.

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Dans ce nouveau livre, Jean-Louis Fournier imagine qu’il est mort, et comme il a donné son corps à la science, qu’une jeune étudiante en médecin l’autopsie. Il a surnommé la jeune étudiante « Égoïne », à cause de la scie qu’elle utilise pour l’autopsier. Cette autopsie devient vite un prétexte à des digressions autobiographiques, sur sa jeunesse, la religion, les femmes, ses enfants, mais aussi à un examen de conscience, et l’auteur en profite pour s’excuser ou remercier diverses personnes qui ont traversé sa vie. Derrière l’humour noir apparent, il y a finalement beaucoup de lucidité, et l’aveu sans fards de ses angoisses et ses failles.

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