Dakota Song

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Date de parution 30 mars 2017 | Archivage 19 avr. 2017

Résumé

New York, 1970. Shawn Pepperdine, jeune de Harlem, assiste, horrifié, au meurtre de son meilleur ami. Pour échapper aux assassins, il trouve refuge dans les sous-sols du Dakota, l’immeuble le plus mythique de Manhattan.
Au coeur d'une ville en pleine ébullition, le Dakota reste, lui, immuable : un club très fermé, un château médiéval sur Central Park, un havre de paix des « rich and famous ». S’y côtoient Lauren Bacall, Leonard  Bernstein et Rudolf Noureev. Ici, Polanski tournera les images du film Rosemary’s Baby.
Devenu le premier portier noir du Dakota, Shawn côtoie ses résidents : Nigel, Abigail, Nathan, Cherie, Becky, Andrew, Tyler et les autres.
Quand la plus grande star du monde, John Lennon, emménage à son tour, l’immeuble et sa communauté s’enflamment…
 
Dakota Song est le portrait survolté d’une Amérique en pleine révolution artistique, intellectuelle et sexuelle, celle de la Beatlemania et du disco, du Studio 54 de Warhol et du Chelsea Hotel, du scandale du Watergate et d’une décennie de violences.

New York, 1970. Shawn Pepperdine, jeune de Harlem, assiste, horrifié, au meurtre de son meilleur ami. Pour échapper aux assassins, il trouve refuge dans les sous-sols du Dakota, l’immeuble le plus...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782714475411
PRIX 20,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Par où commencer cette chronique ? Je manque de temps en ce moment, comme beaucoup de collègues, et je veux partager le plaisir que j’ai eu à lire ce livre.
Les premières pages m’ont happée, par leur violence même, leur injustice. Shawn assiste au pire, et comme il ne peut plus rien faire pour son meilleur ami si ce n’est sauvé sa peau, il trouve refuge dans l’immeuble où travaille son oncle. Sauver sa peau, oui, mais aussi penser à sa mère, ses petites soeurs, que sa présence ne pourrait que mettre en danger.
Ce qui frappe dans cet immeuble ? Il est un monde clos, protégé, aux règles immuables. Cet immeuble fonctionne un peu comme ces vastes palais européens dans lesquels les domestiques effectuent des tâches pour le bien-être de leur patron, tout en restant le plus invisibles possibles. Un monde si protégé que les minorités sont exclues : engager un portier noir a été soumis au vote, certains habitants ne cachent pas du tout leur racisme, sous leur vernis si respectable.
N’entre pas qu veut dans cet immeuble, y compris quand un appartement se libère et qu’un artiste aussi connu que John Lennon souhaite y vivre. J’ai aimé le portrait qui est fait dans ce roman de cet homme, homme sincère, touchant, qui souhaite simplement rester un artiste et profiter de sa vie de famille, avec femme et enfant.
D’autres portraits sont tracés des habitants de cet immeuble. Presque tous sont attachants. Nous les suivons sur dix ans, chaque chapitre est consacré à un personnage et/ou à une période donnée. Surtout, les personnages changent, évoluent, en bien, en mal, certains se révèlent véritablement. Je pense notamment à Andrew, ce publicitaire beaucoup plus altruiste qu’il n’y paraît de prime abord et qui cache des plaies profondes. Je pense à ceux qui se relèvent après avoir subi coup dur sur coup dur. Je pense à ceux qui prennent leur vie en main, ceux qui osent. Vivre dans un monde protégé ne protège pas de la solitude, de ses douleurs et de ses peines. Cela protège encore moins de l’égoïsme, du racisme.
Reste l’espoir, la patiente, la ténacité – Shawn et les siens n’en manquent pas.
Dakota Song est un roman fort, dynamique, que j’ai lu avec beaucoup de plaisir.

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Ce livre avait vraiment tout pour me plaire. Les lunettes de John Lennon et le pont de Brooklyn, un combo parfait lorsqu'on me connait. Je ne pouvais donc pas passer à côté de ce bouquin ! Je me suis jetée dessus lorsque je l'ai découvert via la plateforme Netgalley et je remercie beaucoup les Editions Belfond pour m'avoir permis de découvrir cette histoire ! Je suis juste désolée d'avoir trainer pour rendre ma chronique mais ma vie privée a pris le dessus ces derniers temps puisque l'Homme et moi nous sommes mariés (et je peux vous dire que ça occupe beaucoup !).

New York, 1970. Shawn Pepperdine, jeune de Harlem, assiste, horrifié, au meurtre de son meilleur ami. Pour échapper aux assassins, il trouve refuge dans les sous-sols du Dakota, l'immeuble le plus mythique de Manhattan.
Au coeur d'une ville en pleine ébullition, le Dakota reste, lui, immuable : un club très fermé, un château médiéval sur Central Park, un havre de paix des "rich and famous". S'y côtoient Lauren Bacall, Leonard Bernstein et Rudolf Noureev. Ici, Polanski tournera les images du film Rosemary's Baby.
Devenu le premier portier noir du Dakota, Shawn côtoie ses résidents : Nigel, Abigail, Nathan, Cherie, Becky, Andrew, Tyler et les autres.
Quand la plus grande star du monde, John Lennon, emménage à son tour, l'immeuble et sa communauté s'enflamment ...

Attention, coup de coeur ! Oui oui, je n'exagère pas ! J'ai vraiment adoré ma lecture que j'ai atomisé en quelques heures. On se retrouve en plein coeur de New-York (ville que j'aime de tout mon coeur et où je rêverai de vivre) à la fin des années 70. L'auteure nous propose de suivre le quotidien des habitants du célèbre Dakota building qui se situe tout près de Central Park.

J'ai tout de suite été happée par ce récit, la plume de l'auteure m'a beaucoup plu et ce roman choral m'a emportée. Je me suis laissée porter par les péripéties quotidiennes de certains des habitants de ce célèbre building new-yorkais, quelque part ce livre m'a fait fortement penser aux Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin (série que j'avais adoré lorsque je l'avais découverte au lycée). Tous les personnages de ce récit sont extrêmement attachants. J'ai aimé passer des habitants inconnus mais qui ont tous leur petit grain de folie aux habitants connus tels que Lauren Bacall, Leonard Bernstein (West side story mon amour !) ou encore John Lennon. Oui parce qu'il faut bien avouer que j'attendais avec grande impatience l'arrivée de Lennon et Yoko Ono parmi les résidents du Dakota.

Je n'ai pas été déçue et j'ai aimé le fait que l'auteure ne s'attarde pas que sur la famille Lennon une fois qu'elle est installée dans l'immeuble. Non, elle continue de naviguer parmi les habitants et c'est hyper plaisant. J'appréhendais aussi l'assassinat du célèbre Beatle mais l'auteure a pris le parti de rester dans la sobriété et j'ai trouvé ça très bien vu. Ariane Bois a su me faire ressentir l'ambiance de cette époque et j'ai adoré navigué avec ses personnages dans une Big Apple encore mal famée dans certains quartiers.

Un véritable bonheur, n'hésitez pas à découvrir ce livre !!

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