Elliot au collège
Tome 1 - Panique en sixième
par Théo Grosjean
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Date de parution 13 janv. 2023 | Archivage 18 août 2023
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Résumé
À peine arrivé dans la cour de récréation pour sa première journée de collège, le jeune Elliot, légèrement stressé de nature, voit ses angoisses se matérialiser sous la forme d'une grosse mascotte orange qui se propose de le guider dans les méandres impitoyables de l'adolescence. Banc réservé aux populaires, difficulté de se faire des amis dans ce monde de requins quand on a encore une tête de bébé, cours de natation quand on est le seul à porter un slip de bain et quand le bonnet vous fait une tête d'œuf... les avertissements de cet étrange ange gardien complètement paranoïaque ont surtout un effet immédiat sur Elliot : le stresser encore bien davantage ! Et faire de ces passages obligés et délicats que sont le collège et l'adolescence un véritable enfer !
Dans la foulée de L'Homme le plus flippé du monde, Théo Grosjean nous raconte son passage au collège à travers son alter ego, Elliot, gamin craquant mais aussi angoissé que son auteur !
À peine arrivé dans la cour de récréation pour sa première journée de collège, le jeune Elliot, légèrement stressé de nature, voit ses angoisses se matérialiser sous la forme d'une grosse mascotte...
Formats disponibles
FORMAT | GF cartonné |
ISBN | 9791034757787 |
PRIX | 14,50 € (EUR) |
PAGES | 64 |
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Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Autre bande dessinée découverte en avant-première grâce aux éditions Dupuis, que je remercie : Panique en sixième, premier tome de la série Elliot au collège de Théo Grosjean.
Légèrement stressé, le jeune Elliot a quitté l'école primaire pour entrer au collège.
Cette légère appréhension va se transformer en véritable boule d'angoisse qui prend vie et va le guider dans les méandres de la grande école.
Mais ce nouvel ami imaginaire est dix mille fois plus angoissé qu'Elliot et, en tentant de l'avertir de tous les dangers qui l'attendent maintenant qu'il a quitté l'enfance, il va transformer sa vie en véritable enfer !
Panique en sixième est un premier tome qui raconte l'entrée en sixième et la vie au collège d'un jeune garçon nommé Elliot. Il s'agit en fait de l'adolescence de l'auteur, Théo Grosjean, qui nous est relatée ici.
Elliot n'est pas serein quand il arrive au collège. Il est tellement angoissé qu'il se crée un ami imaginaire : une énorme boule d'angoisse qui.. le stresse encore plus ! Si si c'est possible ;)
J'ai adoré la façon dont l'auteur décrit, avec une grande justesse au niveau du ton, le fait d'arriver au collège, en sixième. C'est grand, il y a plein de monde, on ne sait pas trop aller.. On ne connaît pas les codes, c'est loin d'être facile. Il y a ceux des classes supérieures qui se croient les rois, et les petits sixièmes ne sont les plus appréciés.
Les situations décrites dans cette BD sont criantes de vérité et elles raisonneront sûrement en vous. En tout cas, je me suis parfois retrouvé en Elliot même si ma rentrée en sixième commence à dater lol
J'ai apprécié comment l'ami imaginaire est représenté, c'est plus crédible d'en faire une espèce de boule d'angoisse qu'un enfant du même age. C'est plus représentatif et ça fonctionne parfaitement.
Cet « ami » qu'est le stress est vraiment handicapant dans la vie d'un collégien. Cela donne des passages touchants.
Il y a beaucoup d'humour, c'est même très drôle par moment.
Eliott est un gamin attachant dont j'ai pris plaisir à suivre le parcours en sixième.
Les illustrations et la colorisation m'ont beaucoup plu. C'est une réussite.
J'ai passé un très bon moment de lecture et je serais ravie de lire la suite quand elle sera publiée.
Ma note : un énorme cinq étoiles.
Qui n'a jamais connu cette boule d'angoisse qui se loge au creux de nous ? Parfois de manière épisodique parfois de façon chronique. Cette angoisse se manifeste chez Eliott sous une drôle de forme, un petit personnage rondouillard et extrêmement bavard. Eliott entre au collège et avec tous les tracas que cela amène, autant vous dire que son angoisse s'en donne à cœur joie. Elle parle sans cesse mais est assez représentative, on peut la trouver pessimiste et tirant vers le bas, plus que le ferait l'angoisse elle-même mais finalement non, parce que l'angoisse c'est aussi ça. C'est donner une importance inutile aux choses, c'est amplifier ou même inventer des regards, c'est de se voir avec du flou dans les yeux et imaginer le pire, toujours.
Même si Eliott se traîne sans cesse son angoisse, il fait tout de même des rencontres, se questionne, apprend et se rebelle aussi de temps à autre. Il faut dire qu'elle est usante cette angoisse, pas forcément méchante mais elle prend de la place dans le cœur et dans la tête. Cependant, nous sommes loin d'une bande dessinée tristounette même si certains moments émeuvent. Eliott est avant tout un jeune collégien qui vit sa vie, partageant sa passion des jeux vidéos avec son seul ami certes mais le meilleur tout de même, qui voit son cœur s'emballer à la vue d'une certaine camarade. Un adolescent comme il en existe des milliers.
Et justement, voilà un autre point que j'ai aimé dans cette bande dessinée. Comme vous pouvez l'imaginer (ou plutôt vous en souvenir), le collège n'est pas forcément un endroit de tout repos quand on n'a pas forcément le caractère adéquat ou la volubilité nécessaire pour se faire apprécier et c'est bien représenté ici. Les élèves qu'Eliott côtoie ne sont pas tous des anges mais merci à l'auteur de ne pas en avoir fait des démons pour autant. Eliott a son angoisse qu'il traîne comme un boulet mais il n'est certainement pas le seul à avoir cette boule à l'intérieur de lui qui lui tord le ventre. Certaines boules d'angoisse sont au collège, d'autres à la maison.
Je suis heureuse de t'avoir rencontré Eliott, je sais que ce n'est pas toujours facile mais avec le temps, ça finit par aller un peu mieux. Je ne dis pas que l'angoisse disparaîtra mais on trouve des astuces parfois. En attendant, prends soin de toi et je serais ravie de voir comment tu évolues au fil des années.
J'ai adoré cet album sur ce collégien qui entre en 6ème, accompagné au quotidien par une sorte de monstre qui personnifie son angoisse quotidienne et qu'il est le seul à voir. Cette angoisse le guide et le bloque surtout dans ses relations sociales. Heureusement, Elliot parvient quand même à se faire quelques amis et si ses journées au collège sont rudes (qui sincèrement a de bons souvenirs du collège à part les harceleurs ?!) il a une mère aimante et il passe aussi de bons moments avec son grand-père. L'épilogue nous montre que d'autres monstres d'angoisse existent, et parfois plus féroces lorsqu'ils incarnent des blessures plus graves.
Théo Grosjean annonce en introduction qu'il suivra Elliot sur plusieurs années et c'est plutôt alléchant car le ton de ce premier album est excellent et se lit d'une traite. Vivement la suite alors !
BD lue en avant première sur net galley. Elliott entre au collège. C'est un garçon timide, angoissé par la rentrée. Il ne sait pas comment être accepté par les autres et son angoisse se matérialise sous la forme d'une étrange créature qui lui parle. Peu à peu il se fait des amis et se rend compte que d'autres personnes, comme lui, ont des angoisses (et aussi une créature monstrueuse à leurs cotés)Une BD qui touchera et amusera les collégiens. des histoires courtes qui permettent au lecteur de faire des pauses durant la lecture.
Elliot rentre en 6ème. La rentrée au collège mais aussi la rentrée dans l'adolescence n'ont rien d'évident et cela est une grande source d'angoisse pour Elliot. Comment trouver sa place au milieu des autres et les décoder les nouvelles règles de vies du collège ? D'autant qu'un nouvel ami imaginaire à rejoint Elliot et ne vas pas lui faciliter la tâche.
Je suis fan de ce que fait Théo Grosjean, je le suis depuis longtemps sur Instagram et c'est sans surprise que j'ai beaucoup aimé cette bande dessinée.
Étant moi-même quelqu'un de très anxieuse, l'adolescence n'a pas été facile à l'image de celle d'Elliot. Tout est bien retranscrit dans cette bd. De la rentrée angoissante, à la solitude d'être choisi en dernier en sport, en passant par les moqueries et la hiérarchie dans la cour de récré. Le harcèlement scolaire, le rejet des autres...le collège, ce monde impitoyable.
Le plus grand ennemi d'Elliot c'est son angoisse à l'imagination débordante. Je trouve ça très bien trouvé de l'avoir formalisée en un monstre. Ça le rend aussi réel pour le lecteur que pour Elliot. On a envie de lui tordre le cou d'ailleurs pour qu'il arrête de pourrir la vie de ce pauvre Elliot.
J'ai vraiment beaucoup aimé la fin !
Quand aux dessins, je suis une fan conquise depuis longtemps.
Je ne peux que vous recommander cette bd. A offrir aux adolescents et ex-adolescents.
Je remercie chaleureusement Netgalley France et les éditions Dupuis pour cette lecture.
Rien que par le sujet, j’avais déjà très envie de le lire. Puis avant de le lire, j’ai vu quelques planches sur Insta. Et je l’ai lu!
Clairement, il est à mettre dans toutes les mains des ados. Car les angoissent sont quelque chose de normal quand on est à cet âge. Car être le $£¥ de service qui martyrise les autres, c’est peut-être qu’il y a un souci à la maison (ce qui n’excuse pas le fait de s’en prendre aux autres, soyons d’accord). Car être soutenu à cet âge là et pouvoir parler librement de ses peurs à des adultes et amis de confiance permet de se construire solidement.
Merci Théo Grosjean d’avoir mis des mots sur ces angoisses qu’on a été nombreux à subir et à ne pas gérer. À nous maintenant de faire en sorte que les enfants ne subissent pas la même. Et cette BD est un moyen d’ouvrir le dialogue.
Tout d'abord, j'ai apprécié que cette BD soit un témoignage (édulcoré, j'imagine !) de la vie de l'auteur lorsqu'il était collégien. Une période difficile, entourée de jugements et de moqueries.
Un petit mot sur les illustrations, qui sont amusantes, colorées, en harmonie avec les sentiments des personnages et tout à fait adaptées à un public adolescent. Bref, un joli coup de crayon ici !
Nous suivons donc Elliot, jeune adolescent qui arrive au collège. Un moment charnier où bien souvent, le changement d'école fait que l'on a plus nos amis du primaire. Difficile donc de se faire une place et de rejoindre un groupe. Elliot va quand même s'y essayer, avec peu de succès, soyons honnêtes. Néanmoins, il va parvenir à se faire un ami, en plus de l'imaginaire créature qui vient représenter son angoisse. Autant dire que celle-ci a beau être mignonne, elle est assez peu de bons conseils ! Ce qui ne l'empêche pas d'être amusante, voire touchante, autant qu'Elliot et ses amis.
Premiers émois, harcèlement, moqueries, la vie d'adolescent n'a rien de simple ! Toutefois, cette BD dédramatise un peu les choses et démontre avec humour que c'est loin d'être un cas isolé.
J'ai aimé que le personnage qu'Elliot et son ami idolâtrent soit une fille forte, qui a une vie personnelle compliquée. Leurs réactions face à elle sont très drôles, ainsi que leurs tentatives pour qu'elle accepte d'être leur amie. Les passages dans le jeu vidéo m'ont aussi beaucoup amusée !
Bref, ce premier tome promet une suite intéressante et humoristique, même si des sujets importants sont quand même mentionnés, avec ce qui me semble beaucoup de justesse.
Elliot entre au collège et ne connaît personne. Il veut s'intégrer sans se faire remarquer. Il est accompagné de sa boule d'angoisse qui ne facilite pas son intégration.
Cette bande dessinée se compose d'une blague par page mais avec un fil rouge: l'angoisse à l'école.
Les situations sont réalistes mais nous nous retrouvons dans au moins une situation. Les thèmes abordés sont lourds mais présentés efficacement et avec humour (harcèlement scolaire, la violence intra-familiale, confiance en soi). Malgré cette légèreté apparente, les situations parlent au lecteur.
J'ai vraiment apprécié le point de vue de l'auteur et la concrétisation de cette angoisse que chacun a connu dans son adolescence.
📚Elliot entre en 6eme et il est du genre anxieux.
Nouveau dans le collège, il doit se faire de nouveaux amis mais sait que le moindre faux pas lui sera fatal.
Malheureusement, son angoisse, personnalisée par une petite boule rondouillarde, ne va pas lui faciliter la tâche.
Au final, Elliot est plutôt un garçon banal.
Il n'a pas le profil d'un leader mais pas non plus celui d'un bouc-émissaire.
Graphiquement, il est une sorte de "mini" Théo Grosjean.
Un choix loin d'être anodin quand on sait qu'une partie de l'album est tirée des propres souvenirs de l'auteur.
L'album regorge d'humour "pince sans rire".
En somme, on n'éclate pas forcement de rire mais on sourit souvent, très souvent.
L'auteur aime jouer avec le décalage des situations, rendant souvent les réflexions des enfants assez grotesques ou inappropriées.
Théo Grosjean a su recréer un vrai microcosme de collège avec son élève populaire, sa jeune fille rebelle, sa professeur énervée et ses amis fidèles.
Cela aurait pu être caricatural mais, au final, il s'en sort en insufflant par petites touches des moments plus sensibles, voire réalistes, qui apportent déjà un certain recul envers l'aspect essentiellement comique de cet album.
Surtout que, on le rappelle, l'ambition de l'auteur est assez conséquente.
Mais il sait parfaitement qu'il ne pourra pas de changer radicalement l'ambiance de sa série et, pour cela, il doit préparer le terrain en amenant certaines transitions.
C'est ce qu'il fait ici, de façon assez surprenante, et sans pour autant négliger l'aspect gag de l'album.
C'est d'ailleurs assez épatant, notamment sur les dernières pages de l'album et sur l'épilogue qui montre toutes les possibilités et évolutions de la série.
Elliot a une particularité.
A l'image d'Ernest et Rebecca de Guillaume Bianco, le jeune garçon a personnalisé son angoisse sous la forme d'une petite créature avec laquelle il dialogue continuellement.
Cette dernière exprime, d'une certaine façon, toutes les pensées qui traversent la tête du jeune garçon, tout en restant une entité propre.
En effet, le rapport qu'a Elliot avec son angoisse est la source de nombreux décalages et de gags dont le message est simple : " C'est en écoutant nos angoisses qu'on se retrouve à faire n'importe quoi ."
Car il est clair que la petite créature n'est pas la meilleure des conseillères, loin de là même.
Elle passe son temps à le rabaisser, l'amène à s'isoler, à s'inquiéter pour rien... Au final, elle est cette petite voix qu'on entend tous et qu'on écoute un peu trop souvent...
Ici, forcément, c'est traité avec humour et les deux compères deviennent au final inséparables.
L'un ayant besoin de l'autre et vice versa.
Car il ne faudrait pas que l'angoisse du jeune garçon soit remplacée par autre chose de plus... lumineux.
🖊Elliot au collège a toutes les qualités d'un très bon premier album.
Sous forme de gag d'une page, Theo Grosjean met en scène les angoisses d'Elliot, un jeune collégien qui entre en 6eme et nous montre, à travers quelques uns de ses souvenirs, tout ce qui peut trotter dans la tête d'un enfant de cet âge.
Plus qu'un album jeunesse d'humour, la série regorge de petits moments tendres et doux qui apportent un certain recul et préparent de futurs développements intéressants.
Une oeuvre qui, derrière un certain classicisme, cache une véritable ambition.
Pour Eliott, jeune garçon très timide et introverti, la rentrée au collège est un calvaire. Il n'a que son angoisse qui l'accompagne, sous les traits d'un petit monstre grassouillet à quatre pattes et deux antennes. Celui-ci lui prodigue avis et conseils pas toujours avisés, suivant les événements que le collégien rencontre.
La BD, dans les tons orangés et verts, aborde un panel de sujets auxquels sont confrontés les jeunes ados : les relations amicales, l'engagement, les jeux vidéos en ligne ... et surtout l'exclusion, la solitude et la peur du groupe. Chaque planche raconte une anecdote, drôle ou émouvante, très fidèle au quotidien des collégiens. On n'a qu'une envie, encourager Eliott à s'ouvrir aux autres, à oser s'avancer et à faire disparaître sa boule d'angoisse qui se manifeste même quand il est sensé se détendre. Ce tome ne peut rester unique, l'évolution d'Eliott, de son parcours personnel méritent d'être dessinés dans une suite.
La rentrée en sixième, promesse ou angoisse ? Sur ce thème éternel du passage au niveau supérieur, voici une bande dessinée jeunesse très sympa.
Elliot entre en sixième, il ne connaît personne et doit donc s’intégrer… Vaste problème ! Ses questionnements, ses doutes, ses peurs, ses tactiques sont astucieusement matérialisés par un ami imaginaire en forme de boule-monstre, hyper bavard et un poil envahissant, comme peuvent l’être les angoisses d’un enfant ou pré adolescent. L’angoisse lui apprend à la fois les bases de la survie au collège, mais, et c’est ce qui est le plus rigolo, elle lui propose des solutions, souvent foireuses, ou des tactiques d’évitement, avec mise en pratique pas toujours heureuse mais formatrice !
Cette BD dédramatise le problème, en démontant finement le mécanisme de l’angoisse face au changement, à l’arrivée de l’adolescence, à la peur des autres et de l’inconnu.
Elle explique bien que chacun est confronté à ses propres problèmes (même les profs !), pas forcément visibles des autres, et que chacun a ses techniques de survie en société et ses propres ressources à trouver.
Une invitation au vivre ensemble, à la tolérance, bien servie par des illustrations très expressives, un dessin bien détouré, un texte prédominant.
Cela pourrait devenir un classique de CM2…
Coup de cœur pour cette bande dessinée ! Théo Grosjean s’inspire de son adolescence pour nous livrer un récit réaliste et très drôle, qui aborde l’anxiété, l’adolescence, l’amitié, le premier amour…
Qui n’a jamais perdu ses mots lors du fameux tour de table de début d’année scolaire ? Qui n’a jamais eu peur de se retrouver tout seul en plein milieu de la cour ? Qui n’a jamais angoissé en prévision du cours de natation du vendredi matin ?
Si vous avez levé la main à plusieurs reprises, vous allez vous retrouver en Elliot, ce petit collégien attachant et en proie à ses angoisses. Son ami imaginaire l’accompagne partout, mais le laisser prendre des décisions à sa place n’est pas malin, car cela revient à laisser ses peurs diriger sa vie.
J’ai beaucoup aimé voir l’évolution du personnage principal, qui décide parfois d’aller contre son anxiété et d’agir sur des coups de tête. Il grandit énormément pendant le récit, et l’épilogue nous confirme qu’il comprend mieux son anxiété et qu’il apprend à cohabiter avec elle, bien qu’elle ne soit pas toujours de bonne compagnie.
Encore une fois, Théo Grosjean réussit l’exploit de représenter l’anxiété avec justesse et humour. La série va grandir en même temps que son personnage principal, puisque les formats vont changer au fur et à mesure des tomes (taille, pagination…). C’est une originalité éditoriale qu’il me tarde de voir !
Cette fois, Théo Grosjean se livre à une sorte de biographie à travers son personnage d’Elliot, jeune garçon rentrant au collège.
Des historiettes à la fois drôles, touchantes et très réalistes qui nous font passer un bon moment tout en nous replongeant dans nos propres années collège !
Vivement la suite !!
Elliot c'est un peu la personne qu'on est tous en arrivant au collège. Enfin, personnellement je m'y suis beaucoup retrouvé ! Dans cette BD, on suit Elliot, jeune 6ème qui fait sa rentrée dans l'univers "des grands". Il n'est pas seul, puisque un ami imaginaire qui symbolise son anxiété l'accompagne partout, quitte à être TRES envahissante.
Cette BD est drôle, touchante et très addictive ! Elle est parfaite que ce soit pour des jeunes pré-ados, stressés d'arriver au collège ou des adultes (comme moi!) qui revoient leurs premières années collèges.
Théo Grosjean traite avec humour un sujet qui touche beaucoup de jeunes : l'anxiété. Personnaliser l'anxiété par ce petit être peut peut-être aider ceux qui ont du mal à poser des mots sur ce qui les bloque au quotidien...
Bravo à Théo Grosjean pour cette superbe BD, vivement la suite !
Comme toujours j'aime énormément les illustrations de GrosJean, ses personnages sont à la fois touchant et drôle et j'aime la façon dont on s'identifie, nous lecteur, à ses personnages.
Seul tout petit bémol (un vraiment tout petit), Grosjean nous propose toujours le même profil de personnage qui, on le sait bien, le représente à chaque fois, cequi fait que part moment, les récits sont légèrement trop autocentré. J'aimerais lire autre chose de lui peut être, même si ce schéma fonctionne bien, je risque d'être un peu lassée.
Je suis Théo Grosjean sur les réseaux sociaux depuis quelques temps et j'étais curieuse de découvrir son travail autrement. J'ai sauté sur l'occasion de lire en avant-première le premier tome de sa nouvelle série dont le premier tome est Elliot au collège. Je remercie les éditions Dupuis pour cette jolie lecture !
Etant anxieuse, j'étais intriguée de lire une BD jeunesse centrée sur l'anxiété d'un jeune garçon à son entrée au collège, la cour des grands, ce passage si difficile. Je n'ai nullement été déçue ! Quel plaisir de suivre les aléas du quotidien d'Elliot. On suit son parcours tel un supporter silencieux, on voit ses efforts et ses échecs d'un oeil bienveillant, on l'encourage à se dépasser et à vivre avec son anxiété. Les planches sont intéressantes à parcourir et franchement drôles. J'ai souri plus d'une fois et j'ai même ri. Je me suis tant retrouvée à travers ces passages. J'aurais aimé lire ce genre d'ouvrage durant mon adolescence.
Si vous hésitez, ne le faites plus, lisez cette BD ! Une belle BD qui vous fera touchera et qui vous fera passer un bon moment aux côtés d'Elliot et de son anxiété personnifiée. Je lirais la suite avec grand plaisir.
L'auteur décrit avec brio l'entrée au collège et dans l'adolescence avec toutes les interrogations et le stress qui peut y avoir autour. Chacun, peu importe son âge sait se reconnaître dans l'une des situations évoquées, souvent drôle et parfois tendre.
Un gros coup de cœur sur la partie au camping.
Des sujets importants abordés avec humour et un BD, parfait pour le lectorat concerné !
une très jolie bande-déssinée !
j'ai vraiment beaucoup aimé la plume de Théo Grosjean .
Un jeun garçon rentre en 6ème et est très angoissé. Il s'imagine un ami imaginaire et au lieu que ce soit une aide, c'est un boulet supplémentaire..
une lecture remplis de sensibilité et de moments vécus !
Avec Elliot au collège, Théo Grosjean renoue avec son adolescence et ses angoisses, lesquelles prennent la forme d'un ami imaginaire tour à tour bourreau et sauveur du garçon tout juste entré au collège. Au début amusant et divertissant, le récit se révèle de plus en plus pertinent dans son propos et d'une grande justesse dans sa manière d'aborder les questions et doutes qui surviennent à cet âge. De nombreux passages ont su me faire rire, me toucher, me surprendre et qui rappellent que les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. Je me suis régalée et j'attends la suite avec grande impatience !
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