No limit la violence

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Date de parution 6 janv. 2022 | Archivage 1 mars 2022
Scrineo | Engagée

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Résumé

À 14 ans, Hugo n’a connu que des écoles des quatre coins du monde, et n’a jamais vécu en France. Jusqu’au jour où, contraint de regagner le pays avec ses parents, il intègre un collège supposé ordinaire où il espère bien faire de nouvelles rencontres. Sa déception va être cruelle. Car, très vite, il découvre que son nouveau collège est un chaudron frémissant de vieilles rivalités de quartiers, où deux clans se livrent une guerre sans merci. Laquelle, de la bande des Mariniers ou de celle des Tanneries, dominera l’autre ?

Hugo se sent comme un extraterrestre dans ce monde de la violence adolescente ordinaire. Et il tient absolument à rester neutre. Pourtant, et presque en toute conscience, il va se laisser piéger. Jusqu’où ?

Un ado plongé dans une guerre des gangs d’une violence inouïe

À 14 ans, Hugo n’a connu que des écoles des quatre coins du monde, et n’a jamais vécu en France. Jusqu’au jour où, contraint de regagner le pays avec ses parents, il intègre un collège supposé...


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FORMAT Grand Format
ISBN 9782381670799
PRIX 10,90 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Ce roman très court a une réelle portée didactique pour le lecteur. Au travers d'une fiction, il nous donne une leçon sur la place de la colêre et de la violence dans nos vies et comment gérer ces émotions. Personnellement, j'ai trouvé ça plutôt naïf mais je pense que cela peut réellement être utile pour les plus jeunes. Certains passages violents peuvent cependant heurter certaines personnes donc attention tout de même.

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Je tiens à remercier la maison d'édition Scrineo pour ce service presse via NetGalley.


Professeur-documentaliste, je suis toujours à la recherche de nouvelles pépites qui pourraient plaire à mes élèves. Mon attention s'est naturellement porté sur "No limit, la violence" d'Arthur Ténor.


Effectivement, l'auteur aborde ici un thème malheureusement de plus en plus récurent dans les établissements scolaires : la violence.
De plus en plus d'élèves en viennent aux mains ou utilisent le harcèlement pour en venir à leurs fins et c'est un réel fléau.


Dans ce livre, nous suivons le jeune Hugo, âgé de 14 ans qui vient de déménager avec ses parents en France. Si le jeune garçon a l'habitude de changer d'école suite aux boulots de ses parents, c'est la toute première fois qu'il met les pieds dans une telle école. Là-bas, deux clans se font face et mènent une guerre sans pitié. D'un côté les Mariniers et de l'autre les Martinots.
Si Hugo compte bien rester à l'écart et observer cette bagarre de loin, il risque à tout moment de se retrouver mêler à cette querelle incessante. Bien qu'étant de nature calme et réfléchit, les bons sentiments d'Hugo se font la malle lorsqu'on s'en prend à sa famille et à ses amis.
La grande question qui se pose alors est : Hugo, parviendra-t-il à suivre cette année scolaire sans devoir prendre position pour l'un ou l'autre des deux clans ?


Arthur Ténor ne prend pas de gants dans ce livre, ce qui est une bonne chose. Effectivement, s'il y avait plus de romans jeunesses dans ce genre, peut-être que de telles conséquences n'auraient pas lieu dans la vie réelle. Chaque scène qui prend place dans ce livre est purement réfléchit de la part d'Arthur Ténor qui n'hésite pas à dépeindre sans fioritures les disputes qui prennent place dans le roman.
Certes, certaines scènes sont plutôt violentes, mais elles sont nécessaires pour l'avancée du récit.


En plus de cette violence, Arthur Ténor aborde le thème de la colère qui pousse les jeunes à agir sans réfléchir aux conséquences de leurs actes. C'est par exemple le cas de notre jeune héros, Hugo. Loin d'être imperturbable, il réagit au quart de tour lorsqu'on s'en prend à lui et à ses proches ce qui lui attire des ennuis au fur et à mesure du roman.


Le message que veut faire passer Arthur Ténor est que la violence ne résout rien. Effectivement, la violence appelle la violence et cela empêche les jeunes de réfléchir correctement.


En résumé un livre sympathique que j'ai pris plaisir à découvrir. Je n'ai aucun doute sur le fait qu'il trouvera sa place, aussi bien dans les étagères des établissements scolaires, mais également chez les familles.

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Arthur Ténor connait bien les établissements scolaires et les adolescents. Dans son nouveau roman, il parle avec justesse de la rivalité entre bandes de quartiers aussi bien dans qu'à l'extérieur du collège. Hugo, âgé de 14 ans, a parcouru les cinq continents et a souvent déménagé pour suivre ses parents. Il arrive en classe de 4e et comprend très vite qu'il y règne une ambiance particulière. En effet, deux clans : les Mariniers et les Martinots, deux quartiers séparés par la rivière se livrent une guerre sans pitié. Arthur Ténor nous décrit avec exactitude les incidents qui émaillent le collège : vols, bousculades, bagarres et scènes de harcèlement quotidien (un sac retrouvé dans les toilettes, lancer de téléphones...). Hugo compte bien rester à l'écart et observer cette bagarre de loin mais il est pris à parti aussi bien par ceux de son quartier (qui le veulent dans leur bande) que par les autres. Petit à petit, les vengeances se multiplient et la violence augmente : harcèlement sur les réseaux sociaux, bagarres de bande... jusqu'à une scène dramatique. Un roman si "vrai" qu'il peut mettre le lecteur mal à l'aise face à cette violence sans limite. En tant qu'enseignante, je n'ai pu qu'être touchée par ce ton juste et le désarroi des adultes et des autorités. Un roman pédagogique et salutaire même si en ces temps difficiles, il faut être bien accroché pour le lire jusqu'au bout.

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Hugo a quatorze ans et a changé d’école au gré des mutations de son père à l’international, jusqu’à ce qu’une maladie contraigne ce dernier à se rapatrier en France le temps de sa convalescence. Quand l’adolescent débarque au collège de son nouveau secteur, il ne s’attendait pas à une telle guerre des tranchées entre les représentants de deux quartiers : les Mariniers et les Tanneries. Garçon sans histoire, posé et réfléchi, Hugo observe d’abord les rivalités de loin. Un beau jour, un smartphone finit malencontreusement cassé pendant un de ces jeux idiots où on se lance un objet entre copains pour agacer un tiers, et à partir de là, c’est l’escalade. L’autre bande réclame justice, la spirale infernale de la vengeance est en marche, avec de moins en moins de remords et d’inhibition chez les différents intervenants. Si au départ, Hugo semblait vouloir aider à rétablir la paix entre les deux clans, son caractère change au contact de l’effet de groupe. Il émerge rapidement de lui un sentiment de supériorité, une audace, un trop-plein d’assurance qui lui font sous-estimer la gravité de la situation et les tensions flambent encore lorsqu’il refuse de prendre part aux altercations aux côtés des habitants de son quartier. Ses tentatives de médiation se soldent toutes par des échecs criants qui le font presque passer au rang d’ennemi n°1, toutes bandes confondues. Trouvera-t-il enfin les mots justes pour ramener le calme avant que l’irrémédiable ne se produise ? Saura-t-il désamorcer la bombe sur le point de faire exploser leur quotidien ?

Entre cyberharcèlement, bastons sur le parking, bizutage dans les toilettes, vandalisme et bris d’objets, les violences ne manquent pas, comme le laisse supposer le titre de cet ouvrage. La gravité des faits empire au fil des pages et on finit par ne plus voir d’issues possibles à toute cette haine héritée d’on ne sait trop où, mais qui doit remonter à bien plus loin qu’un simple nom de rue et une rivière servant de frontière physique entre les « gentils » et les « méchants ». Arthur Ténor veille à ce que sa plume reste accessible à tous, ce qui en fait un ouvrage idéal dès les premiers jours de collège, justement. La construction de son intrigue dénote un travail de réflexion certain, l’escalade de la violence se fait subtilement, tout comme le changement de comportement d’Hugo. Ce dernier n’est pas si innocent que cela dans le fond, puisque quand il commence à déraper dans son approche du problème, il ne cesse de rechercher l’aval de son Maître Zen à l’autre bout du monde afin de taire des doutes qu’il sait légitimes. Le parallèle avec les Jedi de Star Wars est d’ailleurs bien trouvé, car en se servant de cette référence de pop culture, l’auteur facilite l’identification de ses jeunes lecteurs à son personnage principal. C’est une saga qui parle à chacun à travers les âges, que l’on soit fan ou non ! En bref, Hugo n’est encore qu’un enfant. Il est humain, et donc faillible. En dépit de ce qu’il peut parfois penser, il n’a pas la science infuse, il commet des erreurs et devra un jour ou l’autre en payer le prix.

Nuances ou pas, Arthur Ténor ne fait toutefois aucune concession sur ce mal qui ronge les quartiers. La violence qui appelle à plus de violence, la surenchère jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour regretter. Je ne m’attendais d’ailleurs pas à ce que l’auteur aille si loin vu le public visé ; la chute de ce récit ne m’a que d’autant plus choquée. L’ensemble reste crédible et chacun sait que cela arrive, par chez nous et ailleurs dans le pays, dans le monde, mais d’être ainsi mis au pied du mur, face aux conséquences désastreuses de ce qui avait débuté par une bête altercation autour d’un smartphone dernier cri, cela contribue forcément à la remise en question, à l’éveil des consciences, au besoin de dialoguer sur des faits similaires pour éviter que cela ne se reproduise. L’auteur ne nous ménage pas, mais on sent une grande humanité dans son message. C’est un cri de ralliement, un « c’est assez ! » d’anthologie. On ne peut que déplorer l’incroyable gâchis auquel n’aboutit que trop souvent pareil cycle de vengeances. En dépeignant un gentil garçon ordinaire et en situant l’action dans un coin de France qui l’est tout autant, Arthur Ténor nous rappelle que personne n’est à l’abri de ce genre d’événements. À chacun de rester vigilant et demander de l’aide aux adultes quand cela va trop loin… et tant pis pour ce qu’en diront les copains…

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Lecture plutôt pour le collège. Tout comme Femine le roman est intéressant. Il vient bousculer les stéréotypes et met face à des situations proches du réel qui obligent à se questionner

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Ce livre porte bien son nom. La violence y est présente du début à la fin et sous toutes ses formes. On suit alors Hugo, jeune ado qui veut rester bien loin de toute cette violence et de la guerre de gang qui fait rage dans les couloirs du lycée. Mais il est inévitablement impliqué dans toute cette affaire, on ne peut pas lutter contre la violence : c'est ce que ce livre dénonce. Pourtant, Hugo lutte, à son niveau, avec son ami Rémi. Un livre qui percute !

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