FLEURS DE FEU

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Date de parution 12 mai 2021 | Archivage 12 mai 2021

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Résumé

1837. L’espoir d’une vie meilleure pousse Ida et ses parents à partir à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande. Quand leur navire, accoste enfin au sud de l’île, les colons s’installent dans un village de pêcheurs. Et Ida déchante.

Non seulement est-elle mariée de force à un homme qui se révèle brutal, mais la vie, au sein de cette communauté rigoriste, y est tout aussi dure qu’en Europe.

Par chance, Ida se lie avec Cat, qui n’a pas non plus été épargnée par le destin. Les deux jeunes femmes vont dès lors se soutenir. Et, qui sait, trouver enfin le bonheur…


1837. L’espoir d’une vie meilleure pousse Ida et ses parents à partir à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande. Quand leur navire, accoste enfin au sud de l’île, les colons s’installent dans un...


Note de l'éditeur

Le premier volet de cette nouvelle saga n’est pas sans rappeler Le Pays du nuage blanc, l’immense succès de Sarah Lark.

Le premier volet de cette nouvelle saga n’est pas sans rappeler Le Pays du nuage blanc, l’immense succès de Sarah Lark.


Ils recommandent !

« Amour, chagrin, espoir et nouveaux départs, dans les paysages colorés de Nouvelle-Zélande. Sans doute le meilleur roman que Sarah Lark ait écrit depuis longtemps. » Bremen Magazine

« Amour, chagrin, espoir et nouveaux départs, dans les paysages colorés de Nouvelle-Zélande. Sans doute le meilleur roman que Sarah Lark ait écrit depuis longtemps. » Bremen Magazine


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809841800
PRIX 24,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

L'entrée dans cette histoire est assez saisissante de réalisme.
Que ce soit dans un bar miteux, en Nouvelle Zélande, ou dans les champs glacés de la campagne allemande, dans la boue, la faim au ventre, ou bien encore épuisée, et traquée par les désirs des hommes..., les principaux personnages de ce roman rêvent tous d'un ailleurs et d'une vie meilleure.

Quelques courts chapitres pour rencontrer Ida, soumise à son père, intelligente et pieuse, Karl, qui va prendre son destin en main à seulement 13 ans, Jane trop maligne pour rester à sa place, et Cat déterminée à ne pas être une proie et c'est déjà le grand départ.

Nous sommes en 1837, quelques respectables familles d'un petit village allemand s'engagent dans la grande immigration vers la Nouvelle Zélande.
Là-bas se trouvent déjà d'autres immigrants anglais, mais qu'importe, on a promis à ces braves gens religieux et naïfs des terres, officiellement achetées aux autochtones.
Voilà le projet mais évidemment tout ne va pas se dérouler selon le plan.

Une lecture que j'ai beaucoup aimée car elle mêle grande aventure et rencontre avec des personnages attachants.

Tout y est : les travers des petits groupes sociaux, la survie, les drames, l'audace, l'amour, la jalousie, les promesses, les trahisons, les catastrophes, les bonnes idées, le pouvoir de la religion, les abus de pouvoir, les transgressions....
Et cette saga se déroule dans un écrin magnifique : la Nouvelle Zélande.
C'est le bonheur d'en savoir un peu plus sur ses habitants historiques, leur histoire (et notamment la spoliation de leurs terres) sachant que l'autrice s'est inspirée de faits réels.

Je recommande cette lecture pour son effet dépaysant mais aussi parce qu'on y trouve des personnages de femmes (immigrantes et autochtones) vaillantes, solidaires et pionnières.
L'immigration choisie (en mode survie) y est traitée avec beaucoup de détails mettant en valeur la vie de l'époque.
Le puissant espoir qui tenait ces gens dans leur désir de se construire un avenir meilleur est illustré par des événements frappants, parfois mélodramatiques, l'émotion est là.

Merci à NetGalley et aux Éditions de l'Archipel pour cet excellent moment de lecture.

#FLEURSDEFEU #NetGalleyFrance

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Fleurs de feu de Sarah Lark aux éditions de l'Archipel
Quelle aventure! Conteuse hors pair Sarah Lark nous emmène en Nouvelle-Zélande ce pays qu'elle affectionne et connait très bien.
Nous sommes en 1837, nombreux sont ceux qui rêvent de partir au loin . C'est le cas d'une communauté de vieux-luthériens du Mecklembourg qui décide de partir s'implanter en Nouvelle-Zélande pour acquérir des terres et y vivre selon leurs lois. C'est le cas de la famille Lange. C'est pour Ida la fille ainée le début d'un long périple et d'une vie aussi austère qu'en Allemagne. Sa route va croiser celle de Cat, fille d'une prostituée, ayant vécu dans une tribu maorie dont elle a été bannie. Les aléas de la vie sont au rendez-vous. Le contexte historique très documenté est à souligner ainsi que la qualité de la traduction de Jean-Marie Argelès La plume de Sarah Lark nous embarque et ne nous lâche qu'arrivés à bon port pour une escale puisque ceci est le premier volet d'une trilogie qui s'annonce palpitante.

Merci à Mylène des éditions de l'Archipel pour ce partage via netgalley
#FLEURSDEFEU #NetGalleyFrance

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Ida et Karl vivent au Nord de l'Allemagne au XIX ème siècle,. La famille d'Ida et d'autres familles très pieuses ayant un peu d'argent décident d'acheter des terres en Nouvelle Zélande pour y construire un nouveau village dans de meilleures conditions. L'aventure est risquée, la vie en Nouvelle Zélande est différente et difficile pour ceux qui ne veulent pas changer par peur ou pour leurs croyances...

Kitten est l'enfant d'une prostituée et vit dans un bar...

D'autres personnages vont peu à peu enrichir le roman et accompagner Ida et Karl chacun de leur côté dans cette nouvelle vie.

C'est un très beau roman, parfois brutal et injuste, en même temps il est à l'image de ce pays neuf pour les européens. L'auteur au travers de ce roman historique nous fait rêver avec de magnifiques paysages, avec la culture maori et un mode de vie bien plus respectueux de la vie et de la nature que celui des nouveaux arrivants qui exportent avec eux leurs pratiques, pour le meilleur et pour le pire.

L'aventure c'est aussi les débuts de l'élevage des moutons en Nouvelle Zélande et le développement du commerce après une phase de troc avec les maori.

J'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce roman. Les personnages ont ce côté brutal pour certains, attachants humains et bienveillants pour d'autres , la foi peut parfois aveugler des familles et toutes ces qualités mises ensembles enrichissent l'histoire et stimulent le plaisir de la lecture.
Les chemins des uns se séparent et d'autres arrivent puis ils se recoupent. La lecture est ainsi entrecoupée par la vie des uns et des autres, alternant à chaque chapitre.

Merci beaucoup pour cette belle découverte.

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Début XIXème, la famille Lange et d'autres membres d'une communauté luthérienne rêvent de s'installer en Nouvelle-Zélande pour avoir une meilleure vie.
On va suivre quelques personnages forts comme Ida, une femme intelligente mais si pieuse qu'elle n'ose avouer ses rêves les plus secrets. Karl, amoureux de cette dernière, qui va tout faire pour changer son destin de miséreux pour un jour épouser la belle Ida. Ou encore Cat, fille d'une prostituée, qui fuit sa vie pour être accueillie dans une famille maorie.
Le point commun de tous ces personnages est la recherche d'un monde meilleur. Pour le meilleur et pour le pire, dans un monde de violences et de jalousies, dans un monde dominé par les hommes, les femmes vont tenter de faire leur place.
Je n'ai pas réussi à accrocher à un des personnages. J'essaie encore aujourd'hui de savoir pourquoi. Alors que beaucoup de lecteurs ont aimé cette lecture, je suis restée complètement en retrait.
Peut-être que l'histoire était trop conventionnelle, trop mélodramatique aussi et surtout sans réel suspens. Malgré les apports historiques indéniables sur la culture maori, j'ai trouvé l'histoire un peu tirée par les cheveux.
Merci néanmoins à netgalley et aux éditions l'archipel pour cette lecture.

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A travers deux héroïnes nous découvrons le dur chemin pour ceux qui pensent que les pays lointains ici la Nouvelle Zélande est source de bonheur, elles doivent faire leur place dans ce nouveau monde et être une femme est une difficulté supplémentaire.
L'auteur nous permet de découvrir à travers cette saga ce pays qu'est la Nouvelle Zélande et le peuple Maori, elle nous fait partager ses connaissances approndies
Si on aime les belles histoires et la nature ce roman est pour vous.

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Coup de cœur !
Kitten à 13 ans quand elle comprend que son avenir dans la baie de Pekari sera de satisfaire les désirs des chasseurs de baleines ou du révérend, qui entend bien être le premier à profiter de ses charmes.
Ne voulant pas de ce futur, elle profite du départ du marchand ambulant Carpenter, pour se glisser dans sa charrette et qui elle l'espère la fera arriver dans un endroit où elle pourra trouver un travail honnête.
Elle n'est découverte que lorsque Carpenter s'arrête dans un village Maori où la fille du chef décide de l'adopter;
Pendant ce temps à Raben Steinfeld, an Allemagne, Ida, une jeune fille timide et studieuse apprend que toute la communauté va quitter le village pour partir s'installer en Nouvelle-Zélande...
En arrivant à Nelson, les colons apprennent que les terres qu'ils avaient convoitées ont été distribué à d'autres... Ils doivent donc partir plus à l'Est vers une région moins accueillante...
Récit d'une épopée vers un monde plus prometteur pour ces colons.
Les paysages, les conditions climatiques, les traditions sont parfaitement décrits.
La plume de l'auteure est fluide et agréable.
Premier volet d'une nouvelle série qui promet de belles aventures à venir.
J'ai hâte de lire la suite...

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# XIXe S # Nouvelle-Zélande # Saga # Romanesque # Historique # 1er volet # Lecture détente
# Colons # Maoris # Terres # Croyances # Cohabitation difficile # Espoir d'une vie nouvelle et meilleure

1837, La Nouvelle-Zélande riche en terres inexploitées fait rêver les européens. Pourquoi ne pas partir ailleurs y trouver une vie meilleure, ne plus être la proie des anti-luthériens et pouvoir enfin s'acheter des terres comme bon leur semble.

Nombreux seront les colons qui s'engageront dans cette aventure et qui à la fin de la traversée se verront confrontés à la réalité. Ils ont été trompés. Les terres qu'on leur avait promises ont été attribuées à d'autres, ils seront obligés de s'installer dans une autre région où la nature est plus hostile. Certains n'y résisteront pas.

Dans cette saga dont c'est ici le premier volet, Sarah Lark renoue avec ce qui avait fait son succès dans la trilogie du Nuage blanc. Un récit romanesque qui s'appuie sur une documentation historique solide et qui nous fait voyager au bout du monde, découvrir les Maoris, populations autochtones considérées comme de grands guerriers et qui jusqu'à présent avaient été principalement en contact avec les chasseurs de baleines et de phoques.
Entre les Colons européens, attachés à leur religion, leurs habitudes et leur confort et les Maoris proches de la nature (animus, anima) aux croyances et aux rites bien ancrés, les malentendus seront nombreux et la cohabitation sera loin d'être un long fleuve tranquille.

He aha te mea nui o te ao ? he tangata, he tangata, he tangata
Qu'il y a-t-il de plus important au monde ? les hommes, les hommes, les hommes

# XIXe S # Nouvelle-Zélande # Saga # Romanesque # Historique # 1er volet # Lecture détente
# Colons # Maoris # Terres # Croyances # Cohabitation difficile # Espoir d'une vie nouvelle et meilleure

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Le nouveau roman de Sarah Lark nous fait voyager en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle.
En 1837 : Nombreux colons rêvent d'un nouveau monde. C'est la cas d'une communauté très pieuse d'Allemagne. Ils décident de partir s'installer en Nouvelle-Zélande, pour acheter des terres dans l'espoir d'avoir une vie meilleure façonnée à leur image. Arrivés à bon port, tout ne va pas se dérouler selon leur plan, les terres qu'ils avaient longtemps convoitées ont déjà été distribuées à d'autres. Ils vont devoir s'implanter dans une région moins accueillante. C'est un voyage risqué et difficile, pour ceux qui ont peur de la nouveauté. Et qui ne veulent pas changer leur façon de vivre. Que va-t-il se passer ? Que vont-ils découvrir ?
J'ai apprécié la lecture du premier volet de cette belle épopée. « Fleur de feu » est un roman historique bien documenté. L'écriture m'a happé dès la première page et m'a transporté en Nouvelle-Zélande. Ce territoire inconnu à l'époque, mais riche de promesses, sorte d'Eldorado. Les personnages sont bien travaillés ; certains sont détestables et d'autres très attachants, plein de courage, tous liés par le fantasme d'avoir une vie meilleure. Ce roman traite de nombreux sujets comme la colonisation, la désillusion, le respect de la nature et de la religion, la place de la femme à cette époque et les droits de l'homme.

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Sarah Lark est sans doute une de mes autrices préférées en littérature adulte.
J'aime ces romans qui font voyager, dans le temps et dans l'espace, qui nous emmènent aux confins du monde, il y a un ou deux siècles. Et quand c'est avec l'écriture de cette autrice, je ne peux simplement pas les lâcher.
Celui-ci est d'autant plus intéressant que, tout en étant très prenant à lire, il retrace des épisodes historiques réels. Ce dont je ne me suis aperçue qu'en lisant la postface, tant c'est un vrai roman qui se lit d'un trait.

1837 - Ida et Karl vivent pauvrement dans le Mecklembourg, et tous deux doivent à leur grand regret quitter l'école. Lui pour subvenir aux besoins de sa famille, elle parce que fille.
Quand le père d'Ida, écoutant l'enthousiasme d'un envoyé de la New Zealand Company, décide d'émigrer avec toute sa famille et même son village, Karl, simple journalier bien trop pauvre, ne peut se résoudre à laisser partir Ida, et ruse pour se joindre au voyage. Avec ceux qui partent dans l'espoir d'être enfin propriétaires de terres, alors qu'ici, impossible même aux plus travailleurs.

Au début, je me suis dit : Quel courage ces gens qui s'embarquent pour les antipodes ou presque, sans savoir du tout de quoi pourra être fait leur quotidien, quelle terre, quels animaux vont-ils trouver, quels "sauvages" ? ... La plupart n'ont rien lu, aucune notion sur le pays.
Et puis, je me suis aperçue que ce n'est pas vraiment du courage, plutôt de l'absurdité.
Car ils pensent reformer là-bas leur village, leur civilisation, leur religion ; vivre comme dans la vieille Europe.

Leur chemin croise celui de Cat, qui bien que née là, en Nouvelle-Zélande, n'a ni nom, ni famille. Et d'autres personnages hauts en couleurs.
Les aventures et les chassés-croisés sont multiples, mais surtout nous pénétrons sur les territoires des Maoris, et nous faisons connaissance "de l'intérieur".

Plus encore que dans d'autres romans, les graves méfaits d'une religion extrémiste sont ici mis en exergue. Des religieux très durs pour les autres, mais qui s'autorisent tous les débordements. Et surtout, aucun droit pour les femmes, qui ne doivent qu'accepter sans se plaindre, sans jamais dénoncer les violences sous peine d'être elles-mêmes accusées.

J'ai lu tout ce livre comme un roman passionnant, (et facile à lire) au plus près des populations maoris, et de leurs difficiles relations avec les Pakehas.
Avant de découvrir dans la postface qu'il se base sur un grand nombre de faits réels, même si les personnages principaux sont fictifs, et si les faits ont été romancés pour certains. J'avais pourtant déjà entendu parler du massacre de Wairau notamment, mais j'étais si plongée dans le roman que je n'ai pas réalisé la part d'historique qu'on retrouve ici.

Comme chaque fois, un grand regret : qu'il n'y ait pas une carte des lieux. Plus encore ici, car j'avais souvent du mal à suivre les pérégrinations des personnages, proches, lointains ? Difficile de savoir quand ils se rapprochaient, quand au contraire ils étaient à l'opposé de cet immense territoire.
C'est mon seul reproche.

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Avis : INTENSE

Ah que j’aime les romans dans lesquels Histoire et les contrées d’ailleurs se mêlent pour nous faire revivre les exploits de ceux qui, contraints et forcés, ont un jour quitté leur pays. C’est le cas dans ce beau roman qui devrait être le premier d’une saga et j’y ai trouvé mon bonheur, au point de ne pas le lâcher pendant deux jours et de laisser de côté ce qui pouvait attendre. Il fait six cents bonnes pages et quand on a commencé…
L’auteure va nous faire découvrir la Nouvelle Zélande, ce pays constitué de deux îles principales séparées par le détroit de Cook, et la vie des colons entre 1837 et 1844. Plusieurs familles d’une communauté de vieux-luthériens du Mecklembourg, vont quitter l’Allemagne pour tenter leur chance sur un territoire neuf, Eldorado de ce début du XXème siècle. Karl et Ida vont partir, l’une avec sa famille, l’autre seul grâce à son intelligence et sa débrouillardise qui vont lui permettre de faire le voyage gratuitement Si Karl trouve la liberté qu’il est venu chercher, en revanche Ida, mariée par son père rigoriste, puritain et pieux au fils d’une famille de l’ancienne communauté, sera longtemps femme à devoir tout souffrir. Heureusement que sur son chemin, Cat, fille de prostituée, elle-même en grande difficulté, va lui apporter le soutien et l’énergie pour supporter labeur incessant et époux brutal.
C’est un roman voluptueux et fouillé qui fourmille de détails sur les raisons et les conditions qui ont accompagné les premiers émigrants, chassés de leur pays par la misère et croyant pouvoir reconstituer ailleurs ce qu’ils ont perdu. Mais c’est aussi l’histoire du peuple des Maoris qui dans un premier temps, ont bien accueilli les étrangers mais qui ont su se battre pour défendre leurs terres convoitées sans intelligence. C’est sauvage, somptueux, dynamique et l’auteure colle au plus près de la réalité historique. Quand elle s’en éloigne pour donner plus de feu au récit, elle s’en explique à la fin du roman. L’information qui nous est donnée de l’introduction des moutons à cette période nous est bien présentée et donne une vraie réalité aux fermes qui sont le théâtre de toute l’activité des couples que nous suivons.
Et il y a les fleurs de ratas, exubérantes, parfumées, en feu passion comme l’est ce roman bien mis en valeur par la couverture qui nous donne une idée de la terre qui nous attend.
Sarah Lark est connue pour ses sagas colorées, impétueuses, incitant aux voyages. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait en allant visionner le street view de la région chaque fois que les familles devaient suivre leur destin. Sur fond historique, le roman d’amour est aussi là mais il est adulte et responsable.
L’écriture est ample, fluide, colorée et la lecture est d’une facilité propice à ne pas l’arrêter. Je vous conseille d’avoir le temps avant de vous y mettre sinon il risque d’y avoir quelques plats brûlés ; vous ne voudrez pas attendre pour tourner la page.
Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions de l’Archipel pour #FLEURSDEFEU en Service de presse.

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Un magnifique roman, qui en appelle d'autres !

sarah Lark situe son roman dans le territoire de Nouvelle-Zélande au XXème siècle ; période où les colons européens se ruent sur ces terres comme un Eldorado, à s'approprier.

On voyage dans ses plaines, ses montagnes, au bord des fleuves où les descriptions sont superbes et donnent envie de découvrir ce pays.

On se cultive auprès de l'histoire de cette île lointaine et pourtant envahie par les arrivées européennes : les luthériens chassés de leur pays, des anglais en majorité.
Et on découvre ce peuple Maori, solidaire, proche de la Nature et des humains mais on tremble de les voir s'engager sur les chemins des blancs et de la matérialisation ...

bien sur, au milieu de tout cela, on suite une série de personnages très attachants, d'autres affreux mais pour lesquels on veut connaitre la destinée. tous ceux croisent, se séparent, se retrouvent au fur et à mesure de leur pérégrination, de leurs désillusions et de nouvelles ambitions.

Les thèmes de l'égalité homme-femme, de la protection de la nature et des croyances, le respect de sa religion et son interprétation, l'égalité des humains quelque soit leur religion, leur appartenance sont très forts et nous font passer par toutes les émotions possibles.

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Ida est une jeune allemande qui suit tous les préceptes religieux, ainsi que les convenances de la société rigoureuse dans laquelle elle vit. Ayant la charge de ses frères et sœurs depuis la mort de sa mère, elle sait qu’elle doit se plier en tout points aux décisions de son père. Qui décide, en commun avec le reste de leur village, de s’exiler en Nouvelle-Zélande, où on leur promet une meilleure vie.

Kitten est une jeune fille ayant grandi dans un petit port de Nouvelle-Zélande, dans lequel sa mère travaille en tant que prostituée. Ce n’est pas la vie qu’elle veut mener à son tour. Aussi, lorsque le tenancier décide de mettre sa virginité aux enchères, elle n’a pas d’autre choix que de fuir.

Deux jeunes filles que tout sépare vont pourtant se retrouver sur le même chemin: celui de l’émancipation et de la liberté.

Sarah Lark n’est plus à présenter depuis sa première saga, Le pays du Nuage blanc. Une saga que j’avais dévoré, tout comme j’avais savouré la suivante et la troisième. Cette nouvelle histoire qui débute nous ramène à nouveau en Nouvelle-Zélande, ce pays si particulier, peuplé à l’époque traitée de tribus maories et d’exilés venus de tous pays.

En 1837, les batailles font rage pour les territoires néozélandais. Chacun veut sa part du gâteau, au détriment des peuplades y vivant depuis des siècles. Un fond historique bouleversant et mouvementé. L’auteure a pris le temps de se documenter à tout point de vue, nous offrant un tableau absolument réel, reprenant l’histoire d’un chien dont il y a des traces dans les archives qu’elle a recensé.

Au-delà de cet aspect historique, qui se trouve toujours très documenté comme peut en témoigner la note de l’auteure à la fin du roman, nous rencontrons à nouveau deux jeunes femmes sur le point de voir leurs vies basculer.

Bien que ce soit toujours un très joli pavé, ce dont je raffole, je l’ai lu en très peu de temps finalement. Je me sentais attirée par l’histoire, ayant sans cesse envie d’en savoir plus sur ce qu’allait devenir les deux jeunes, ainsi que les autres personnages présents dans le récit.

Sarah Lark m’aura encore une fois bien fait voyager, et m’aura offert une histoire comme je les aime. Je pense que nous avons là une nouvelle série dont nous attendrons chaque nouveau tome avec impatience.

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La saga Gwyneira McKenzie de Sarah Lark me fait de l’œil depuis un petit bout de temps. Mais, je n’avais jamais lu un livre d’elle. Donc quand j’ai vu ce livre d’elle sur Netgalley, je n’ai pas résisté à l’envie de découvrir l’auteure. Et franchement, j’ai bien fait.
Dans une petite ville de la province de Mecklembourg en Allemagne, les paysans rêvent d’un avenir meilleur. Alors quand ils ont la possibilité de posséder des terres pleines de promesses, riches, à l’autre bout du monde, ils n’y pensent pas à deux fois.

TROIS VISAGES SE DESSINENT DANS CE ROMAN :
Ida, fille d’un propriétaire terrien, une jeune fille intelligente mais qui n’a pas la force de se rebeller contre son père machiste. Elle prend sur elle. Elle n’écoute pas son cœur mais le devoir. Quand son père décide d’aller en Nouvelle Zélande, c’est un nouvel horizon qui s’ouvre, peut-être que sa destinée va changer même si elle n’y croit pas trop.
Karl est un garçon plein de ressources et intelligent. Malgré lui, il a dû quitter l’école pour aller travailler en tant que journalier. Il se doit de rapporter de l’argent à sa famille. Seulement la vie est dure avec lui. Il gagne à peine de quoi vivre. Il rêve d’une vie meilleure, mais il n’a aucune chance de partir, contrairement aux autres. Quoique, qui ne tente rien n’a rien ?
Cat, une jeune australienne, est fille d’une prostituée. La prostitution est son seul horizon. Elle a vu ce que ça donne la prostitution. Elle a détruit sa mère. Elle essaie de s’en sortir, de trouver une autre voie et un travail honnête. Seulement, le mac de sa mère en a décidé autrement, il veut vendre sa virginité aux enchères. Aura-t-elle le courage de s’enfuir ? Trouvera-t-elle une meilleure vie ailleurs ?
Les autres personnages secondaires sont aussi bien construits que ces trois-là.
Les personnages sont loin d’avoir une vie facile. Elle est pleine de reliefs, d’obstacles à leur bonheur, peut-être un peu trop noire pour une résolution un peu facile sur les 200 dernières pages. En même temps, cette résolution est amplement méritée et je l’ai espérée de tout cœur, d’autant plus que je me suis énormément attachée aux personnages. Même si un peu d’ombre à l’horizon sur la fin l’aurait rendu plus crédible.
J’ai vraiment adoré. La plume était prenante, belle et dépaysante. L’auteure amène sa.on lectrice.eur dans un nouveau monde. Ce monde est un beau melting pot de cultures avec tous ses migrants européens et les habitants du lieu. Les maoris ont gardé leur propre culture. Ce livre présente tous les types de confrontations qui pouvaient opposer les colons et les natifs. C’est très intéressant.

En résumé : C’est une excellente lecture, prenante, intrigante et totalement dépaysante. Les personnages m’ont tout de suite plu. Ils ont un petit côté agaçant et touchant. Tout ce qu’il faut pour s’attacher. Après cette lecture, je n’hésiterai pas à me lancer dans les autres livres de l’auteure.

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Je remercie énormément Mylène, des éditions de L'archipel, pour l'envoi, via net galley du roman : Fleurs de feu de Sarah Lark. Allemagne, 1837. Le rêve d'une vie meilleure pousse les parents d'Ida à partir avec leur fille pour la Nouvelle-Zélande.
Quand leur navire accoste au sud de l'île après une longue traversée, les nouveaux colons s'installent dans un petit village de pêcheurs. Et Ida déchante. Non seulement elle a été mariée de force par son père à un homme qui se révèle brutal, mais la vie, au sein de cette communauté rigoriste, est tout aussi austère qu'en Allemagne.
Heureusement, Ida fait la rencontre de Cath, jeune femme que le destin n'a pas épargnée. Fille d'une prostituée, elle a grandi au sein d'une tribu maorie avant d'en être bannie.
Les deux femmes vont se soutenir et lutter pour gagner leur indépendance. Et, qui sait, trouver enfin le bonheur..
Fleurs de feu est un très joli roman que j'ai pris plaisir à lire en deux jours malgré son épaisseur (plus de 600 pages en numérique). Les pages s'avalent car l'histoire est captivante.
J'aime ce genre de saga et celle-ci nous emmène en Nouvelle-Zélande, pays que j'aimerais découvrir un jour, dans les années mille huit cent.
C'est le premier tome d'une trilogie et j'ai hâte de lire la suite car Fleurs de feu est un roman très aboutit.
On découvre deux femmes fortes autour desquelles gravitent de sacrés personnages. Il n'est pas évident de naître femme à cette époque, elles n'ont pas les mêmes droits que les hommes, et c'est peu dire. Ida ne va pas écouter son cœur mais suivre ce que lui dicte son père et se retrouver bien loin de l'Allemagne avec un homme qui la traite mal. Elle va rencontrer Cath lors de son périple et cette amitié est importante.
Ce sont deux personnages dont la psychologie est fouillée, elles sont touchantes et elles vont vivre pas mal de choses vraiment pas top. Les hommes sont vraiment des goujats à cette époque... surtout le mari de la pauvre Ida !
J'ai pris plaisir à suivre leur arrivée dans un pays étranger et leurs difficultés malheureusement croissantes car à cette époque là la vie n'est pas un long fleuve tranquille, surtout pour les femmes.
J'ai aimé l'ambiance qui se dégage de ce roman. C'est la première fois que je lis un roman de cette autrice mais je la relirais sans hésitation car j'ai beaucoup aimé ma lecture.
Je vous recommande Fleurs de feu.
Ma note : quatre étoiles et demie.

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Sarah Lark nous emmène un nouvelle fois dans son pays de coeur : l'Australie.
Cette fois-ci, ce sera plus précisément : la Nouvelle Zélande. C'est le début d'une nouvelle saga. Dans ce domaine, l'autrice n'est plus à présenter. Son premier tome fait en effet 640 pages . Ce sont donc les grandes lectrices qui seront tentées par cette nouvelle histoire aux portraits de femmes impressionnants, au courage et à la force de caractère Indéniables. Aussi bien Ida que Cath, elles seront les fidèles héroïnes d'une nouvelle saga historique. On y retrouve bien entendu le talent de conteuse inné de cette autrice, qui nous avait d'ailleurs ravi dans son précédent roman : le pays du nuage blanc. C'est aussi un fidèle récit historique. les recherches sont nombreuses et permettent aux lecteurs d'appréhender ce pays, ses moeurs, son histoire. C'est un récit qui nous permet de nous évader! Un grand bravo aussi à son traducteur : Jean-Marie Argelès.
merci aux éditions de l'Archipel et à Netgalley pour le prêt de ce roman

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Si tu es fan de romans historiques, d’aventures et de fleurs, je pense que j’ai trouvé un roman pour toi.
Connais-tu les fleurs de feu ?
Ce sont des plantes qui poussent en Nouvelle-Zélande. C’est aussi l titre du dernier roman de Sarah Lark sorti aux éditions de l’Archipel le 12 mai dernier. Il m’a fallu trouver du temps pour me lancer dans cette fresque historique qui m’a rappelée la trilogie Océana de Tamara Mc Kinley.
Mais attention ce n’est qu’une vague ressemblance. Ne vous attendez pas à retrouver une histoire identique. Le point commun est l’époque. Nous partons à la conquête de nouveaux territoires. Alors que Tamara nous embarque en Australie, Sarah elle, nous mène en Nouvelle-Zélande.
Ida, une jeune allemande très pieuse, embarque avec les siens (et une bonne partie des familles du village) pour s’affranchir d’un propriétaire terrien encore ancré dans la féodalité. Tous, ils rêvent de devenir propriétaires de leur propre lopin de terre dans cette colonie anglaise encore vierge.
Néanmoins, une fois sur place, rien ne tourne comme prévu. Ida découvre son nouveau pays ainsi que les coutumes de ces voisins anglais, français ou maoris. Les mœurs sont bien différentes que dans son village fondamentaliste. Ce nouveau monde est bien plus ouvert que l’ancien.
Nous assistons donc au choc culturel entre le monde d’avant figé dans ses croyances et celui où tout est possible, même l’impensable. Rien n’est épargné à la jeune femme. Au-delà des apparences, Ida va se montrer une héroïne courageuse, fière et fidèle à elle-même.
Sur son chemin, elle croisera la route de Cat, une jeune fille sans origine, sans nom de famille. Une enfant qui grâce à une volonté de fer parvient à mener sa barque. Elle et Ida deviennent les 2 opposées que tout rapproche.
J’ai retrouvé avec plaisir la plume de cette autrice qui m’avait comblée avec la trilogie du Nuage Blanc ou de l’arbre Kauri. Il me fut très agréable de retourner sur ces iles vertes et attirantes, de découvrir la colonisation des Maoris et de me replonger dans les croyances de ces tribus fascinantes.
Il s’agit d’un gros morceau à lire, 600 pages et je n’ai ressenti aucune longueur. Pourtant, je me suis moins attachée à Ida et à Cat que j’ai pu le faire avec d’autres héroïnes de Sarah Lark. Ce ne fut donc pas un coup de cœur mais plutôt une bonne lecture que je te conseille de glisser dans ta valise.
Si tu ne pars pas, prends-le avec toi au parc ou lis-le dans ton jardin si tu ne pars pas en vacances. Bon ok, il faut que le soleil soit enfin au rendez-vous. J’en conviens. Car oui, avec « Fleurs de feu », tu seras dépaysé.e. Je n’en doute pas.

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Résumé : Allemagne 1837. Ida et sa famille partent pour la Nouvelle-Zélande. Le rêve d'une vie meilleure les attire. Ida est amoureuse de Karl mais doit épouser un autre homme, plus conforme à sa condition. Là-bas, Ida fait la connaissance de Cat, une jeune fille de prostituée qui a rejoint une tribu Maorie avant de se faire bannir...
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Mon avis : Sarah Lark est, pour moi, une valeur sûre.
Encore une fois, j'ai adoré son écriture. J'ai été transportée en Nouvelle-Zélande, au XVIIIIème siècle.
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J'ai aimé suivre Ida qui s'affirme de plus en plus au fil des pages. Cat, elle, a du caractère dès son plus jeune âge, elle sait ce qu'elle veut et fait tout pour l'obtenir. Sa vie n'est pas facile mais elle essaie d'en tirer le meilleur.
J'ai aimé découvrir la culture des Maoris que je ne connais que trop peu.
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Le livre nous relate des évènements du passé. On voit que l'auteure a fait beaucoup de recherches pour coller au plus près de l'Histoire. Son écriture est fluide, les pages se tournent les unes après les autres. Je suis arrivée à la fin du livre en me disant que j'en voulais encore. Je n'étais pas prête à quitter les personnages.
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Ils sont attachants, déstabilisants ou carrément écoeurants... Chacun vit sa vie à sa manière, se bat pour une vie meilleure, pour réaliser ses rêves malgré les difficultés rencontrées.
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Ce petit bijou est un roman que je vais me procurer en papier. J'adore la couverture, j'aime l'histoire de ce roman et je veux avoir ma bibliothèque remplie de livres de Sarah Lark.
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Une saga familiale comme je les aime, un coup de cœur pour moi.

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bonne veine romantico historique
bien écrit et etayé
une bonne lecture pour les jours où on a envie de rester au chaud sur son canapé!!!

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1837 - Mecklembourg : en Allemagne, l'avenir n'est que peu réjouissant pour ces familles luthériennes. le travail de la terre est dur et exigeant, sans espérer pouvoir vivre luxueusement après la part prélevée par le seigneur.
Alors quand l'occasion de tenter sa chance en Nouvelle-Zélande se présente, nombreux sont ceux qui croisent les doigts et partent à l'aventure.
Ida, Cat, Jane, ... l'autrice nous présente une galerie de femmes TRES différentes mais finalement toutes très attachantes, dans un contexte historique bien documenté. Les relations entre colons et Maoris sont par exemple très bien rendues, dans toute leur complexité.
J'avais découvert cette autrice avec la trilogie du Pays du nuage blanc. Malgré la proximité géographique et historique, elle réussit à créer un récit totalement nouveau, sans édulcorer la réalité.
Une très bonne lecture.
#NetGalleyFrance

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