Trois cartouches pour la Saint-Innocent

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Date de parution 4 mars 2021 | Archivage 4 mars 2021

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Résumé

Jeanne Moreau – rien à voir avec l’actrice – a tué son mari qui la maltraitait depuis des années. Trois balles dans le dos en guise d’épitaphe.


Le soutien des réseaux sociaux et des associations de lutte contre les violences faites aux femmes lui a valu de n’effectuer qu’une partie de la peine à laquelle elle a été condamnée aux assises et de bénéficier d’une grâce accordée... le jour de la Saint-Innocent.


Explorant un angle mort de l’affaire, un journaliste à la retraite décide de rouvrir le dossier. La septuagénaire – que certains proches surnomment « la Ravajou » – est-elle bien la victime que les médias se sont plu à dépeindre ?


Avec ce roman noir aux faux airs de contre-enquête, Michel Embareck réaffirme son goût pour le politiquement incorrect et les trouvailles de style.

Jeanne Moreau – rien à voir avec l’actrice – a tué son mari qui la maltraitait depuis des années. Trois balles dans le dos en guise d’épitaphe.


Le soutien des réseaux sociaux et des associations...


Ils recommandent !

« Trouvailles de style, aversion pour la morale... Jubilatoire ! » Rolling Stone


Pendant vingt années en charge de la rubrique justice d’un quotidien régional, Michel Embareck est l’auteur de nombreux polars, dont aux éditions de l’Archipel : Cloaca Maxima, Avis d’obsèques, Personne ne court plus vite qu’une balle et, chez Archipoche : La mort fait mal et Le Rosaire de la douleur.


« Trouvailles de style, aversion pour la morale... Jubilatoire ! » Rolling Stone


Pendant vingt années en charge de la rubrique justice d’un quotidien régional, Michel Embareck est l’auteur de...


Formats disponibles

FORMAT GF cartonné
ISBN 9782809841213
PRIX 18,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Voilà une lecture originale autant dans l’écriture que sur la façon d’aborder une histoire.

L’histoire de Jeanne ne peut nous faire que penser à un fait divers survenu il y a peu de temps dans notre pays , impossible de ne pas faire le lien .Donc écrire une fiction de cette histoire où éventuellement le cœur de l’affaire serait un tout autre mobile, effectivement difficile de faire plus politiquement incorrect .

J’ai aimé la contre enquête de notre journaliste, la critique des médias et des réseaux sociaux sur les faits divers, la façon dont ils sont perçus dans notre pays; C’est un peu un condensé satirique de Jacques Pradel et de Christophe Hondelate.

L’écriture est du cru, très rurale, très campagnarde et demande un petit temps d’immersion.

BREF…Il faut le lire pour se faire une opinion, personnellement j’ai aimé la contre enquête, le politiquement incorrect même si cela reste un peu dérangeant si on fait le lien ( peut être à tort) avec une histoire vraie.

Merci Mylène et les Éditions l’Archipel pour cette lecture.

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Contre-enquête originale d'un fait divers.
Lorsque Franck Wagner, journaliste local de la Roche-les-eaux, sort de la gendarmerie où il a été entendu suite à l'accusation de "tourner autour des enfants à la fête foraine", il veut absolument retrouver l'auteur de ce mensonge.
Quand il avait croisé sur le marché cette femme qui l'a dénoncé, il avait l'impression de l'avoir déjà vu de la connaitre mais sans plus.
Franck ne veut pas en rester là et contacte François Lacroix, ancien commissaire et lui demande de se renseigner sur cette harpie.
Quelques temps plus tard, Lacroix le met en relation avec le colonel Trautman, gendarme en retraite, qui lui apprend qu'il s'agit de Jeanne Moreau, alias Marie-Jeanne Legendre, la femme qui a tué son mari car elle ne supportait plus sa violence.
Franck va se plonger dans les archives et essayer de retracer la vie de cette femme et comprendre ce qui l'a amener à ce geste.
Récit original où l'on remonte le temps.
L'écriture est agréable et l'ambiance des petites villes provinciales parfaitement décrite.
Agréable moment de lecture.

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Coucou les amis lecteurs me voici avec un nouveau livre : Trois cartouches pour la Saint innocent de Michel Embareck des éditions de l'Archipel .
Je remercie NetGalley et les éditions de l'Archipel de m'avoir permis de lire ce thriller qui ma fait réfléchir sur les conditions de la femme battue, un sujet très grave et encore de nos jours ont en voit tous les jours et des cas très grave hélas.
J'ai vraiment aimer ce thriller qui ma happer, une très bonne lecture.
Un jour Jeanne Moreau, tue son mari de trois balles dans le dos parce que toute sa vie a été un long calvaire de maltraitance.
Puis elle a été aidé par les raiseaux sociaux et des associations de lutte contre la violence faite aux femmes et qui suivait sont procès.
A la de cela elle na fait qu'une partie de sa peine a laquelle elle a été condamnée , elle a eu aussi une grâce accorder le jour de la Saint innocent .
Donc un jour un ancien journaliste a la retraite décide de revoir l'affaire sous un autre angle .
Il va revoir et décide de rouvrir le dossier de cette femme Jeanne Moreau qui entre temps a changer de nom pour pouvoir vivre tranquillement.
Il va faire beaucoup de démarche et rechercher les témoins s'ils sont encore en vie .
Comme il voyage en camping car , il peut faire ces recherches, donc il va voir beaucoup de monde même ses anciens amis .
Il va aller voir le frère de celle ci qui va tout lui divulguer sur son couple même quand elle était jeune et habiter encore avec les parents .
Il va apprendre pas mal mais pas suffisamment , il va continuer sa quête .
Le frère de Jeanne Moreau va envoyer une lettre a sa sœur en lui disant qu'il y a un journaleux qui est venu le voir et qu'il a tout dit sur le coup de la boisson .
Jeanne va rentrer dans une colère et va surveiller les boutiques a journaux avant que le propriétaire ouvre sont magasin , elle ne veut que personne sache qui elle est ,mais rien dans les journaux cette fois ci .
Entre temps le journaliste va aller voir son fils au Canada mais entre temps il a téléphoner a son ancien patron qui na jamais pu le remplacer car il en a plus comme lui et son patron le déplore, il se demande son ancien journaliste veut le contacter?
Que va devenir Jeanne Moreau ?
J'ai vraiment aimer cette histoire certes un peu triste mais très bien écrit ,l'auteur a su maitriser très bien son sujet avec tact et beaucoup d'humanité .
Je le recommande vivement pour savoir comment cette histoire se termine .
J'ai été un peu déçu de la fin de ce thriller .
Ma note : 4/5

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Lecture intéressante. Une écriture et une trame narrative plutôt originale! J'ai aimé le style et les personnages. Un auteur que je ne connaissais pas, mais que je relirai avec plaisir! Une belle découverte! Je recommande!

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Je remercie chaleureusement Mylène, des Éditions de l'Archipel, pour l'envoi, via net galley, du roman : Trois cartouches pour la Saint-Innocent de Michel Embareck .
Jeanne Moreau – rien à voir avec l’actrice – a tué son mari qui la maltraitait depuis des années. Trois balles dans le dos en guise d’épitaphe.
Le soutien des réseaux sociaux et des associations de lutte contre les violences faites aux femmes lui a valu de n’effectuer qu’une partie de la peine à laquelle elle a été condamnée aux assises et de bénéficier d’une grâce accordée... le jour de la Saint-Innocent.
Un journaliste à la retraite décide de rouvrir le dossier. La septuagénaire – que certains proches surnomment « la Ravajou » – est-elle bien la victime que les médias se sont plu à dépeindre ?
Trois cartouches pour la Saint-Innocent est un bon roman, dont le sujet fait penser à un fait divers qui a secoué la France il y a quelques années. En effet, difficile de ne pas penser à jacqueline Sauvage et le battage médiatique qu'il y a eu autour de ce fait divers.
Jeanne Moreau est une femme tranquille, qui vit paisiblement.. en apparence.. Car il ne faut quand même pas oublier qu'elle a tué son mari, qui la maltraitait. Elle est très attaché à son magazine Détective, de façon presque maladive. On se rend bien compte qu'elle cache des choses.
Franck Wagner est un journaliste à la retraite, il croise Jeanne et il se rend compte qu'il la connaît, qu'il a déjà vu son visage. Alors il remonte sa piste et peu à peu il décide de mener sa propre enquête. J'ai trouvé ça très intéressant, c'est un roman mais ficelé comme c'était un fait réel. Et qui n'est pas d'ailleurs sans rappeler une certaine affaire, que j'ai évoqué plus haut.
Il m'a fallut un peu de temps pour rentrer dedans car l'écriture est un peu campagnarde, ce n'est pas toujours fluide.
Mais une fois que je suis rentrée dedans, j'avais hâte de lire la suite pour connaître la finalité de l'histoire.
J'ai beaucoup aimé le ton, c'est percutant et il y a de très bonnes idées dans ce roman.
Je n'ai pas eu de coup de cœur toutefois j'ai apprécié ma lecture.
Ma note : quatre étoiles.

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Jeanne Moreau, 70 ans, coule des jours paisibles à Roche-les-Eaux, une bourgade aux confins du Poitou, de la Touraine et du Berry. Elle a pourtant un passé de repris de justice difficile à oublier : elle a tué de trois balles dans le dos son mari qui la maltraitait depuis des années. Le soutien des associations de violences faites aux femmes, ainsi que sa notoriété sur les réseaux sociaux lui valent une grâce présidentielle accordée le jour de la Saint-Innocent : Jeanne ne fera qu’une partie de la peine pour laquelle elle a été condamnée…

Franck Wagner, un journaliste désormais « retraité itinérant », s’adonne au « tourisme criminel » en sillonnant les routes françaises à bord d’un camping-car. Alors qu’il traverse Roche-Les-Eaux, il croise Jeanne Moreau et croit reconnaitre en elle une ancienne tête d’affiche des faits divers. Peu convaincu par son alibi, il décide de creuser l’affaire : la septuagénaire, surnommée « la Ravajou » est-elle bien la victime de maltraitance dépeinte par les médias ou joue t-elle depuis toutes ces années un double jeu rusé et juteux?

Ce roman noir propose une contre-enquête menée par un ex-journaliste particulièrement retors, qui ne va pas hésiter à remonter le temps en rencontrant les protagonistes de l’époque : avocat, frère de l’accusée, policier et journaliste ayant couvert le sujet… Persuadé d’avoir au bout de l’hameçon une affaire scandaleuse, Franck Wagner va tout mettre en œuvre pour explorer une piste jusque là ignorée : un héritage dissimulé…

Michel Embareck brille par son style argotique, parfois cru et direct pour retranscrire l’ambiance campagnarde : la gouaille rurale y est authentique. Cette écriture demande un temps d’adaptation, notamment pour comprendre les rouages de l’affaire et le passé de Jeanne, mais une fois adopté ce style s’avère amusant et plaisant. L’auteur fait référence à de nombreux faits divers (Jeanne se passionne pour les émissions du type « Faites entrer l’accusé » et ne passe pas une semaine sans lire le magasine » Le Détective »), la condamnation de Jeanne présente d’ailleurs des similitudes avec un fait divers survenu assez récemment dans notre pays, que l’auteur détourne cyniquement. Une façon bien à lui de dénoncer les travers de notre société : réseaux sociaux, justice et politique en prennent pour leur grade. Rien n’est « politiquement correct » dans ce roman et c’est ce qui fait tout son attrait! Une réussite à découvrir !

Je remercie NetGalley et les Editions de l’Archipel pour cette lecture.

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Les apparences sont parfois trompeuses, qu’ont en commun, un ex journaliste et une ex condamnée criminelle…..un fait divers, troublant, que l’une veut oublier et l’autre découvrir.
Il y a du Audiard ou du Frédéric Dard, derrière cette écriture, alors si vous aimez les enquêtes un peu loufoques, ce livre est pour vous !!

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« Trois cartouches pour la Saint-Innocent » traite de la violence faite aux femmes. Je suis toujours très curieuse de découvrir les textes qui explorent cette thématique que je juge essentielle. Il n’y en aura jamais assez pour dénoncer et témoigner.
Jeanne Moreau homonyme de la célèbre actrice a tué son mari de 3 cartouches de fusil… pas de face, de dos. Condamnée aux Assises à une lourde peine, elle sera graciée à la Saint Innocent ayant obtenu un soutien sans faille sur les réseaux sociaux, étant devenue un « symbole » des violences subies derrière les portes closes, mais également par extension, d’avoir pris le droit de se défendre.
Un journaliste très intrigué par cette affaire décide d’enquêter pour faire connaissance avec ce personnage et vérifier qu’elle est bien la victime qu’elle dit être.
J’ai été extrêmement décontenancée par l’écriture de Michel Embareck. J’avais parfois l’impression de me retrouver dans un film de Jacques Audiard, avec un vocabulaire très spécifique et des tournures de phrases surprenantes. Du coup, ma lecture n’a pas été fluide et j’ai eu beaucoup de mal à m’immerger dans ce récit au phrasé « très rural ».
Néanmoins, il faut reconnaître l’originalité de l’écriture de l’auteur, certains passages sont drôles à cause justement de ces tournures de phrases quand le sujet, lui, est dramatique.
Le texte n’est pas « politiquement correct », je ne peux vous révéler pourquoi sans révéler l’intrigue, mais je peux vous dire que certaines instances telles que la presse ou l’intervention des politiques dans les affaires judiciaires en prennent pour leur grade.
Impossible de ne pas penser à l’affaire Jacqueline Sauvage qui a secoué notre pays même si l’auteur réserve quelques surprises.

Si ma lecture n’a pas été facile, je vous recommande quand même d’essayer de le découvrir pour vous faire votre propre idée. Le style m’a empêchée de ressentir une vraie empathie pour les personnages, mais c’est purement lié à moi et à mes goûts littéraires. Cela n’enlève en rien les qualités de ce roman. De plus, si les faits divers vous intéressent, peut-être tomberez-vous en amour avec Jeanne totalement fanatique du journal « le détective » et certaines scènes sont cocasses.
Merci à Mylène des éditions l’Archipel pour avoir accepté ma demande de lecture.

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J'ai beaucoup aimé l'histoire, le fait que ce soit inspiré de l'affaire Sauvage.
Malheureusement la plume m'a rebuté et je n'ai pas réussi à passer outre, si le livre avait été plus long, j'aurais certainement abandonné avant la fin.
Je pense cependant qu'il a un potentiel auprès de mes clients friands de faits divers réels car le point de vu est intéressant !

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Ha, avouez que ce titre, Trois cartouches pour la Saint-Innocent, c’est vraiment tentant et puis le résumé l’est tout autant. Je me faisais une joie de découvrir ce roman, car il me semblait tellement original et, finalement, j’ai cru que j’allais être déçue et ça n’allait pas passer du tout au départ, car j’ai eu beaucoup de mal à m’habituer à la plume un peu trop campagnarde de l’auteur. Je tournais les pages en me disant que ça n’allait jamais passer et puis, petit à petit, ça a été mieux, mais il m’a vraiment fallu un énorme temps d’immersion.

Comme ce n’est pas un très gros livre et qu’il fait à peine 200 pages, j’ai eu envie de persister et de me dire que ça finirait par aller mieux et j’ai bien fait. Même si je n’ai pas accroché à 100% à la plume de l’auteur, j’ai aimé certains passages et je ne regrette pas d’avoir été au bout. Il est vrai que l’histoire est un peu lente à se mettre en place, mais je pense que l’auteur a fait ce choix-là pour nous mettre dans l’ambiance du roman et pour qu’on puisse vraiment bien s’imaginer Jeanne Moreau (non pas l’actrice, juste la protagoniste principale de notre roman).

Tout commence à s’accélérer un peu quand on découvre Julien et les pompiers qui arrivent à son magasin. On se retrouve dans la tête de Jeanne qui émet pleins d’hypothèses sans savoir ce qu’il en est vraiment et j’avoue que c’est assez humoristique. Notre Jeanne a besoin à tout prix de son journal « Le détective » et nous nous posons des questions, tant elle a l’air attaché à ce magazine. Nous pensons qu’elle l’ est un peu trop et que le personnage de Jeanne nous cache quelque chose.

Tout démarre vraiment quand c’est la fête au village. Jeanne se remémore beaucoup de souvenirs, l’auteur nous laisse comprendre certaines choses que je n’ai comprises qu’en avançant dans l’histoire. D’ailleurs, j’ai aimé ce moment de fête, car j’ai vraiment eu l’impression d’y être et de fixer le podium moi aussi. Quel bonheur de se retrouver face à un podium de fête pendant quelque temps de lecture, ça fait tellement de bien.

Franck Wagner et Jeanne Moreau vont se croiser à cette fête et il va comprendre qu’il a déjà vu le visage de Jeanne quelque part. Franck est un journaliste à la retraite, mais il s’ennuie et il va décider de faire des recherches sur Jeanne et c’est là que ça devient vraiment intéressant, car on va se plonger dans la peau de Franck et faire des découvertes complètement inattendues. Bon, il faut avouer que l’auteur nous tendait des perches au début, mais sans les éléments que nous découvrons avec Franck, nous ne pouvions pas comprendre. Je ne vais pas vous en dire plus, vous comprendrez par vous-même.

Ensuite, nous allons avoir droit à des révélations complètement inattendues, à de l’action aussi. Et plus j’avançais, plus je me sentais enfin immergée dans le roman. Voilà pourquoi je suis contente d’avoir tenu bon, l’immersion s’est faite petit à petit, mais elle a quand même eu lieu et j’aurais vraiment loupé, pour moi, le plus important de ce thriller, si j’avais abandonné. Une chose que j’ai aimé aussi et, parfois, j’accorde beaucoup d’importance à ces petits détails, ce sont les titres des chapitres qui sont assez originaux.

Quant au final, j’avoue que ça n’a pour une fois pas été une réelle surprise, même si malgré tout, je me suis réjouie pour Franck et que j’ai trouvé cette fin bien tournée. Oui je sais, c’est compliqué, j’ai l’impression de me contrarier moi-même dans mes explications, mais c’est ce que j’ai ressenti.

Bref, si vous lisez ce livre et qu’en le commençant, vous vous ennuyez ou que le vocabulaire vous semble un peu bizarre, pourquoi ne pas tenir bon et essayer d’aller plus loin ? Vous verrez, il y a du bon et du moins bon dans ce roman mais malgré tout, une enquête assez intéressante et un personnage (Franck Wagner) qui l’est tout autant. Et puis, comme moi, vous vous amuserez peut-être un peu avec Jeanne devant le podium.

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