0SS 117 PREND LE MAQUIS

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Date de parution 10 sept. 2020 | Archivage 29 sept. 2020

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Résumé

Ça se corse pour oss 117!

Informé que les Russes installent en divers points du globe des bases ultrasecrètes dans des grottes sous-marines, le chef du service action de la CIA envoie son agent OSS 117 sur l’île de Beauté, où vient de disparaître un homme-grenouille surentraîné.

Mais tout se corse. Pour avoir oublié, dans le feu de l’action, que son Beretta ne contenait que huit balles au lieu des dix de son J. C. Higgins resté dans l’autre poche, Hubert Bonisseur de la Bath a failli perdre la vie… mais aussi Brigitta, pour qui il éprouve une immense tendresse.

Ça se corse pour oss 117!

Informé que les Russes installent en divers points du globe des bases ultrasecrètes dans des grottes sous-marines, le chef du service action de la CIA envoie son agent OSS...


Ils recommandent !

Devenu culte depuis que Jean Dujardin l’a incarné avec humour dans les films de Michel Hazanavicius, l’agent OSS 117 est né en 1949 sous la plume de Jean Bruce (1921-1963), qui l’a fait vivre à cent à l’heure dans quatre-vingts romans d’espionnage. Il revient à l’écran en 2021 dans Alerte rouge en Afrique noire, de Nicolas Bedos.


Archipoche publie pour la rentrée littéraire 4 titres :

- Atout coeur à Tokyo 

Gâchis à Karachi 

- OSS 117 prend le maquis

- Striptease pour OSS 117

Devenu culte depuis que Jean Dujardin l’a incarné avec humour dans les films de Michel Hazanavicius, l’agent OSS 117 est né en 1949 sous la plume de Jean Bruce (1921-1963), qui l’a fait vivre à cent...


Formats disponibles

FORMAT Poche
ISBN 9782377355112
PRIX 6,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Ce livre est une réédition de Jean Bruce. J'avais vraiment peur que ce soit dépassé, mais j'ai vraiment adoré le côté vintage de cette histoire, le contexte en pleine guerre froide et le personnage de Hubert Bonisseur de la Bath qui est rafraîchissant.
J'ai été enchantée par le cadre de cette mission qui se situe en Corse, et nous décris cet havre qu'est l'île de Beauté. Alors merci pour m'avoir donné la possibilité de découvrir ce personnage que je ne connaissais que par l'interprétation qu'en a fait Jean Dujardin.

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OSS 117 prend le maquis de Jean Bruce est réédité chez Archipel Poche.. C'est avec curiosité que je me suis plongée dans cette série mythique de ma jeunesse. le temps a t'il été clément avec Hugo Bonisseur de la Bath? a t'il pris un coup de vieux ou simplement gagné quelques rides au coin des yeux qui le rendent encore plus séduisant?
Ma foi la surprise a été agréable. Bien sûr le côté vintage est là , bien présent : la guerre froide, l'éternelle rivalité entre les 2 blocs, les russes face aux américains, les espions de l'un face à ceux de l'autre. Mais est-ce si vintage que cela?
Et puis il y a l'île de Beauté et les merveilles de Bonifacio, sa vieille ville, son sémaphore et ses grottes sous-marines, des paysages à vous couper le souffle.
Alors rien que pour cela faites escale à Bonifacio , accompagnez OSS117 , rappelez lui que le barillet du Beretta ne contient que 8 balles et non 10, et que Brigitta est une femme digne d'intérêt. Bonne lecture.
Merci à Mylène des éditions de l'Archipel#0SS117PRENDLEMAQUIS #NetGalleyFrance

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Je n'avais jamais lu cette série, je n'en avais même pas entendu parlé avant l'adaptation cinématographique jouée par Jean Dujardin. Je n'ai pas non plus vu ces films, juste un ou deux extraits où cet agent secret m'avait semblé bien beauf et lourdaud. J'ai donc commencé cette lecture avec quelques craintes mais sans a priori.
Le résultat est donc plus que positif, bien au dessus de mes attentes, j'ai passé un très bon moment bien que le roman d'espionnage ne soit pas mon genre préféré.
Dès le premier chapitre j'étais ferrée : Complètement sous le charme de cette exploration des grottes sous-marines sous les mythiques falaises calcaires de la plus septentrionale cité corse, Bonifacio.
Le récit est rythmé, pas une page sans action, le héros est intelligent et vif, (à l'opposé de l'image que j'en avais) intrigue et enquête sympathique, tous les ingrédients réunis pour un bon moment d'évasion sans prise de tête.
Et surtout ! Merci mille fois de ne pas avoir réduit mon île à tous ces clichés si souvent répétés, car, oui, je suis susceptible !
Ce roman a été publié initialement au début des années 60 et n'a pourtant pas pris une ride, seule l'absence de téléphone portable nous rappelle son âge.
Je pense continuer cette série rééditée par Archipoche.
Pour conclure, je vous laisse sur ce bon mot de l'auteur :
Dernièrement, sur la plage, j'en ai entendu une du continent qui disait : ces Corses, ça ne se sent bien que couchés. Je lui ai dit: « prenez garde, Madame, prenez bien garde ! Une fois, un Corse, il s'est levé... Et il est devenu empereur ! »

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J'ai beaucoup aimé me plonger dans des aventures d'OSS 117 que je ne connaissais, car comme beaucoup, c'est un personnage que j'ai découvert à travers les films.
Je suis donc heureuse que les 8 romans soient réédités à l'occasion de la sortie du troisième film et j'espère lire prochainement d'autres aventures d'OSS 117 dont j'apprécie les rebondissements, le rythme ainsi que l'humour.

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Comme beaucoup de personnes j’ai découvert Hubert Bonisseur de la Bath avec les films de Jean Dujardin. Je les ai beaucoup appréciés et je voulais savoir si le personnage était fidèle au roman. La réponse est non mais je me suis bien amusée quand même.

Notre histoire commence par de la plongée sous-marine en Corse. Très vite nous partons dans un bon roman d’espionnage à l’état pur. OSS 117 c’est l’espionnage basé sur des faits réels. On combat toujours les mêmes ennemis, presque par les mêmes moyens. Ici pas de James Bond avec plein de gadgets mais un espion avec son révolver tout simplement. On retrouve le stéréotype des jeunes femmes qui aident Hubert pour ses missions... et plus si affinités.

Je n’aime pas les romans d’espionnage ni les films d’espionnage mais là c'était très sympa. Je me suis prise au jeu. Ce roman est très court (192 pages). Cela peut sembler peu mais pour un roman d’espionnage c’est bien. Sinon on se lasse. Très vite je me suis dit : je lirais les autres tomes. Pas tous bien sûr mais c’est une bonne découverte.

L'écriture est très basique et sans fioritures. On pourrait être déçu mais il faut se souvenir que l'auteur devait sortir entre 6 et 10 livres par an.

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Simple et efficace. Ca n'a rien a voir avec le personnage qu'en a fait J. Dujardin au cinéma. C'est presque mieux de le lire, comme souvent. Un bon petit livre d'espionnage facile et prenant. Je lirai les autres sans doute.

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Habituée aux films Oss 117 je n'ai pas retrouvé l'humour qui y est présent. Néanmoins la lecture n'était pas déplaisante pour autant. C'est même une lecture de vacance fort sympathique car très rythmée. L'intrigue est plutôt simple et presque cousue de fil blanc et pourtant le lecteur se laisse embarqué dans l'histoire. Affaire à suivre...

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Je profite de l’été pour essayer de me mettre à jour avec mes SPs de L’Archipel, ce qui m’a donné l’occasion de lire ce vieux roman d’espionnage réédité l’année dernière. Je l’ai demandé par curiosité, comme souvent… et je n’avais pas prévu la séquence nostalgie. Je ne vis pas du tout dans le passé et je voyage léger, les souvenirs sont encombrants. Pourtant au fil de ces deux cent pages, j’ai replongé en enfance. Mon père aimait beaucoup cette série dont il ne manquait aucune sortie. Les couvertures de l’époque étaient bien moins sobres que maintenant, on y voyait une jolie fille pas très vêtue. Cette série symbolisait pour moi les livres d’adultes (je suis née en 1963), mon père les lisait lorsque nous étions au bord du lac, nous surveillant d’un oeil, ma soeur et moi qui jouions dans l’eau avec un gros dauphin gonflable, lequel avait la fâcheuse tendance à se retourner dès que nous arrivions à l’enfourcher ! Il y avait des années que je n’avais plus pensé à ces vacances et soudain au fil des pages, je me suis revue dans l’eau, j’ai senti le parfum de la crème solaire, vu la cabane à glace. Une expérience un peu étrange et inhabituelle pour moi.

Le roman nous transporte directement dans les années 1960, deux plongeurs explorent des grottes sous marines près de Bonifacio. Nicolas ne sait pas ce que cherche son client américain, qui n’a visiblement pas besoin de leçon de plongée. Mais peu importe son argent est toujours bon à prendre et on dit que le trésor de Rommel est englouti dans les parages. Ils découvrent une nouvelle cavité qui semble s’enfoncer loin sous la falaise. Le client se fait tuer lors de cette exploration, Nicolas s’enfuit. Son client est en fait un espion américain et OSS 117 est envoyé sur place pour enquêter. On est en pleine guerre froide, les services secrets russes sont aussi sur le coup, nous voici embarqués dans une aventure vintage très bien ficelée et cohérente, avec bien sûr une belle espionne (que j’ai tout de suite démasquée !).

La technologie était encore balbutiante, les gadgets du héros se limitant à un stylo-lampe de poche, mais l’action s’enchaîne sans temps mort. Il y a quelques clichés, mais ce n’est pas gênant, ça participe à l’ambiance. Le monde était partagé en deux camps bien délimités et plutôt manichéens. On sent clairement la peur de la guerre nucléaire, qui a plombé ces années-là, notre monde n’est plus le même évidemment, mais il n’est pas plus sûr pour autant. Le roman a bien vieilli malgré tout, même si le communisme n’est plus ce qu’il a été.

On voit toutefois un gros décalage dans les mentalités en particulier dans la place accordée aux femmes. Brigitta n’est pas sur pied d’égalité avec ses collègues espions et ils n’hésitent pas à la sacrifier pour se sauver, ce que notre héros ne peut laisser faire. Elle a pour unique rôle de séduire les hommes et Hubert n’hésite pas à lui faire des propositions qui lui vaudraient sans doute le tribunal aujourd’hui, et pour bien moins que cela.

Un roman amusant et distrayant qui m’a fait passer un excellent moment, ce n’est pas de la grande littérature, mais un témoignage d’une époque révolue. Vu le succès de cette série à l’époque, je pense qu’elle a contribué à forger les mentalités et l’allergie au communisme de notre société. Un grand merci à Mylène de l’Archipel pour sa confiance renouvelée.

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