I love you so mochi

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Date de parution 10 janv. 2020 | Archivage 16 avr. 2020

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Résumé

Kimiko, jeune Californienne d'origine japonaise, prépare son admission dans une université d'arts réputée. Seulement, voilà : depuis plusieurs mois, elle est incapable de dessiner quoi que ce soit. 

Malgré la peur grandissante de décevoir sa mère, qui ignore la crise qu'elle traverse, ses toiles restent désespérément blanches, au profit de créations plus récréatives, comme la robe en emballages de sucreries qu'elle a réalisée pour sa meilleure amie, Bex. 

Alors, quand ses grands-parents restés au Japon l'invitent à leur rendre visite, elle saute sur l'occasion pour se libérer de l'atmosphère étouffante qui a envahi la maison. 

Arrivée sur place, elle a tôt fait de se perdre dans le dédale des rues de Kyoto. Et c'est au détour d'une boutique de mochis, cette délicieuse pâtisserie aux couleurs du printemps, que Kimi fait la rencontre d'un jeune étudiant pas comme les autres, Akira, qui va se donner pour mission de l'aider à trouver sa voie... 

Une ville haute en couleurs, des mochis, des cerisiers en fleur, quelques havres de méditation... et si c'était tout simplement ça, la recette du bonheur ?

___

Sarah Kuhn s’est donné pour mission de goûter toutes les sortes de mochis de l’agglomération de Los Angeles. Elle est l’auteure de nombreuses BD et romans jeunesse où les cracks de l’informatique, les extra-terrestres, l’amour, et même Barbie (oui, la célèbre Barbie) sont à l’honneur. Par ailleurs, Sarah est finaliste du prix John-Wood-Campbell du meilleur nouvel écrivain. 

Traduction de Camille Cosson

Kimiko, jeune Californienne d'origine japonaise, prépare son admission dans une université d'arts réputée. Seulement, voilà : depuis plusieurs mois, elle est incapable de dessiner quoi que ce soit. 

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Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782215174363
PRIX 16,90 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Kimi, jeune nippo-américaine de 17 ans, adore confectionner des vêtements. Sa mère, artiste peintre de talent souhaiterai plutôt la voir intégrer une école de Beaux-Arts réputée.
C'est à ce moment que Kimi reçoit une lettre ainsi qu'un billet d'avion pour le Japon de ses grands parents maternels qu'elle n'a jamais rencontré.
Ce voyage lui permettra-t-elle de découvrir qui elle est? Et si en plus elle rencontrait l'amour.
Un très joli roman sur la quête de soi, l'adolescence et l'importance de la famille et des amis sur fond de gourmandises et magnifiques paysages japonais.

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Kimiko est une jeune Californienne d’origine japonaise. Sa mère est une artiste accomplie et Kimiko semble prendre le même chemin. Sauf qu’elle n’a plus d’inspiration pour ses peintures depuis quelques temps – et passe beaucoup de temps à s’amuser à créer des tenues de mode au style bien particulier à la place. Alors qu’elle se questionne sur son avenir, des billets d’avion pour le Japon arrivent par la poste de la part de ses grands-parents maternels qu’elle n’a jamais rencontrés. Une dispute avec sa mère et son incertitude sur le chemin qu’elle doit suivre vont la mener dans l’avion pour un séjour à Kyoto riche en découvertes sur le pays de ses origines, mais aussi sur elle-même.

« Il y a un vide dans ma propre histoire. Un vide dont je ne m’étais jamais vraiment aperçue avant. »

Je vous présente ici un roman d’une auteure américaine dont les grands-parents sont japonais. J’avoue ne pas être la cible principale de ce roman – qui s’adresse plutôt à un public jeune et féminin, mais que dire ? On s’en fout parce que j’ai passé un excellent moment de lecture ! Et après tout, n’est-ce pas cela qui compte dans la lecture ?

« Le vent fait bruisser le bambou – on dirait qu’il nous chuchote tous ses secrets. »

Il m’a fallu un peu de temps pour rentrer dedans, le début du roman se passant aux Etats-Unis n’étant pas le point fort du roman. Mais une fois Kimiko arrivée au Japon, c’est que du bonheur. C’est un voyage intérieur pour elle, elle va découvrir beaucoup de choses sur elle-même et sur son avenir, mais aussi à en apprendre plus sur sa mère, sur ses grands-parents et aussi sur l’amour et le mochi, cette délicieuse sucrerie japonaise. Ce qui au début a l’air d’être une histoire simpliste prend une tournure vraiment intéressante en traitant de sujets importants, le tout étant vraiment agréable à lire.

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Peu emballée au départ par la couverture girly, le titre kawaï et la perspective d'une histoire d'ado californienne en prise avec sa mère.
Je ne regrette pas d'avoir poussé la curiosité au-delà de cet a priori. C'est finalement un joli roman initiatique sur la quête de soi, la confiance et l'importance de la famille et des amis sur fond de gourmandises, d'humour et de paysages japonais.

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Kimiko est une jeune Américaine née de deux parents Japonais. Alors qu’elle est en pleine crise existentielle face au choix d’université qu’elle doit faire, elle se rend compte que finalement la peinture n’est peut-être pas ce pour quoi elle est faite. Alors qu’elle a peur de décevoir les attentes de sa mère et qu’elle est complètement perdue sur ce qu’elle veut faire ensuite de sa vie, elle reçoit une lettre de ses deux grands-parents maternels japonais qui lui propose de venir au Japon pour les rencontrer pour la première fois. En effet, après le départ de sa mère pour les États-Unis, ceux-ci ont totalement perdu le contact. Kimiko, avec l’envie de découvrir ses racines mais également pour fuir l’atmosphère pesante de la maison, décide d’accepter cette proposition. Quoi de mieux que le Japon, pays dépaysant au possible et plein d’inspiration ? D’autant plus quand on y fait la rencontre d’un vendeur de mochi loin d’être laid et qui saura, peut-être nous ouvrir les yeux sur plein de choses et notamment sur ce que l’on recherche réellement dans la vie ?

Ce roman de Sarah Kuhn fut une très bonne surprise. I Love You so mochi est un roman frais et qui saura parler à beaucoup de personnes. Kimiko est une jeune fille, en fin d’adolescence, qui se retrouve face au choix le plus compliqué de sa vie. On y suivra son cheminement personnel pour enfin découvrir la personne qu’elle souhaite réellement devenir. Sa rencontre avec Akira est attendrissante et leur histoire d’amour est touchante. Ils sauron tous les deux apprendre l’un de l’autre et se soutenir mutuellement. La culture asiatique est dépeinte dans ce roman avec beaucoup d’amour et on prend énormément de plaisir à découvrir ce pays si lointain avec Kimiko. La jeune fille rencontrera également pour la première fois ses grands-parents maternels et c’est l’occasion d’en apprendre beaucoup plus sur l’histoire de sa famille et également sur sa mère avec qui un fossé s’est créé bien malgré elle.

Bien qu’expliquer de façon très rapide, Sarah Kuhn profite également de ce roman pour exprimer le passé très difficile de ces Japonais immigré aux États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale. Traités comme de véritables ennemis par leur pays d’adoption, ceux-ci ont été interné dans des camps de travail. J’ai trouvé ça très intelligent de la part de l’auteure de profiter de son roman, bien que celui-ci soit plutôt un roman feel good, pour nous partager le passé de ses propres ancêtres, souvent inconnus auprès du grand public.

Je remercie NetGalley et les éditions Fleurus pour m’avoir partagée cette lecture fraîche et sucrée qui fut un véritable petit air frais pendant cette période assez compliquée !

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En lisant le résumé, je n’ai pas pu m’empêcher de me lancer dans ce roman. Vous le savez peut-être mais j’adore le Japon et j’ai eu la chance de me rendre deux fois à Tokyo et dans les alentours. Je suis donc souvent très curieuse des romans qui s’y déroule.

L’histoire nous présente Kimiko, elle est en dernière année de lycée et elle doit rendre un travail de peinture pour être accepté dans la fac d’arts à laquelle elle a postulé. Sauf que, depuis quelques temps, Kimi ne peint plus et elle n’ose pas le dire à ses parents de peur de les décevoir. Alors, elle coud et se noie totalement dans le déni.

Ce roman aborde avec douceur le problème de l’incompréhension entre les adolescents et leurs parents. Entre ce que ces derniers peuvent souhaiter de meilleur à leur progéniture mais également les rêves qu’ils placent parfois en eux sans se rendre compte que ceux-ci ne sont pas en adéquation avec les souhaits des concernés.

Les parents de Kimi veulent le bonheur de celle-ci et elle en est consciente mais alors justement… comment leur faire comprendre que ce qu’ils ont prévus n’est pas ce qu’elle, elle veut ? Kimi est un personnage attachant, totalement perdue entre ce qu’elle aime faire, le fait qu’elle veut rendre sa mère heureuse et le fait qu’elle a pris conscience que la peinture ne l’amuse plus. Alors en faire son métier après des études laborieuses ? Encore moins.

Le fil du conducteur du roman parle d’une fuite en avant et c’est l’une des raisons pour lequel ce roman me tentait également de façon très personnelle. Mon second voyage à Tokyo a été similaire à celui de l’héroïne dans la manière dont il s’est déroulé. Ma situation familiale était très complexe et ce voyage a été une fuite autant qu’un moyen de me ressourcer. Être a des milliers de kilomètres pour prendre le temps de souffler, c’est ce que j’ai eu besoin de faire et je ne pouvais donc que totalement comprendre Kimi sur ce point.

Sa fuite à elle lui permet de rencontrer ses grands-parents maternels et donc de mettre les pieds dans les relations conflictuelles entre sa mère et sa grand-mère. On a tous des histoires de familles, qui se finissent plus ou moins mal et où, parfois, on regrette finalement de ne pas avoir creusé avant qu’il ne soit trop tard.

Tout en découvrant ses grands-parents et l’histoire de sa mère, Kimi découvre également le Japon et se découvre elle-même. Grâce à Akira qui l’emmène dans un périple des lieux à découvrir autour de Kyoto. Akira qui a lui aussi des soucis familiaux et qui, s’il sait quel est son rêve, pose la question de ce qui est le plus important pour chacun d’entre nous.

J’ai adoré les petites interjections en langue japonaise qui parsèment le texte mais je me demande si, pour quelqu’un qui ne les comprends pas, ce n’est pas embêtant de devoir aller à chaque fois en fin de roman (cela aurait peut-être été plus pratique de faire une note de bas de page ? )

Le roman aborde également avec délicatesse les problèmes rencontrés par les japonais immigrés aux Etats-Unis lors de la seconde guerre mondiale et j’ai donc appris beaucoup dans ce roman.

Au final, il s’agit d’un roman qui contient bien plus que ce que son apparence ne suggère. Oui, il est feel-good, mignon et avec des personnages adolescents. Mais ceux-ci sont profond et les histoires que nous content l’auteur le sont également.

En bref un roman que j’ai adoré et que je vous invite à découvrir pour passer un très bon moment tout en réflexion.

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Avant de le commencer, je pensais apprécier ce roman, mais pas avoir un coup de coeur. Je l'avais déjà repéré en version originale, et avec son titre original et mignon et le fait qu'il se passe au Japon il m'intriguait beaucoup.

En ces temps particuliers c'était à mes yeux la lecture parfaite : mignonne à souhait, légère mais qui aborde des sujets importants, et surtout pleine d'amour.

Ce que j'ai préféré, c'était certainement l'ambiance japonaise, avec la culture, les temples, la nourriture (notamment les mochis comme l'annoncent le titre et la couverture)... Pour tous ceux qui sont intéressés par le Japon, je pense que cette lecture saura combler vos attentes à ce niveau car on se retrouve plongés dans Kyoto que l'on découvre en même temps que Kimi.

Les personnages étaient géniaux, surtout les grands-parents de Kimi et Akira, gros coup de coeur pour ces personnages qui ont su m'enthousiasmer tout au long de ma lecture. J'ai pourtant souvent du mal à m'attacher aux personnages pendant mes lectures, mais là j'ai très vite été conquise.

Le point négatif pour moi, c'était le personnage de Kimi (même si je l'ai trouvée aussi très attachante), qui ne se rend pas compte avant la fin du roman de quelque chose qui nous semble dès le début si évident. J'ai trouvé cela parfois un peu agaçant car cette chose a une place assez importante dans le roman, mais ça ne m'a heureusement pas gâché ma lecture.

J'étais si bien dans ce roman, j'avais tout le temps envie d'y retourner, et surtout, meilleur signe qu'un roman est un coup de coeur, je n'avais surtout pas envie de le quitter. J'aurais adoré suivre encore et encore tous ces personnages, savoir ce qui se passait ensuite, retourner au Japon avec Kimi !

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Kimi-chan, jeune nippo-américaine fille d'artiste, est confrontée à la page blanche. Face à sa mère qui la pousse à devenir peintre, elle prend la fuite et se retrouve au Japon sur un coup de tête. Là-bas, elle va comprendre l'histoire de sa famille, découvrir ses grands-parents - et un jeune garçon enthousiasmant.

Très simple et rapide à lire, il s'agit d'un petit livre qui donne envie de voyager ! En passant par tous les sites touristiques de la ville de Kyoto, nous avons l'impression de nous émerveiller avec la jeune fille au fil de ses découvertes. La quête d'identité et le "qui suis-je" permanent nous fait nous attacher à Kimi, et même si les rebondissements de l'histoire sont prévisibles, cela reste une lecture agréable.

Les petits lecteurs pourront apprécier ce livre, qui colle parfaitement à la thématique "Dire l'amour" en classe de 4ème.

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Kimi a 17 ans. Sous la pression des ambitions de sa mère, elle voit ses perceptives d’avenir en tant d’artiste peintre devenir de plus en plus flou. Elle décide de rendre visite à ses grands-parents au japon, et voit dans ce voyage l’opportunité de se trouver. Elle va faire la connaissance de Akira, un jeune homme de 18 ans, qui va se faire un devoir de l’aider à trouver sa voix … Il trouvera aussi le chemin de son cœur !

Voici une jolie romance young adult (peut-être un peu plus pour les adolescentes tout de même). Tout y est cousu de fil blanc : la rencontre avec Akira, les rancœurs familiales qui se dénouent au fur et à mesure, la quête de voie professionnelle pour Kimi, sa relation avec sa mère…

Mais c’est précisément ce qu’on vient chercher dans ce livre. Il se lit très vite, on en ressort content et léger. C’est une vraie romance, avec ses codes et ses ficelles. Ce roman est parfait dans le genre, et encore plus pour un public entre 15-20 ans !

J’ai beaucoup aimé. Je suis sûr qu’il saura séduire beaucoup de monde !

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Kimiko prépare le concours d'entrée d’une célèbre école d'art. Cependant, l'inspiration ne viens pas, elle préfère créer des tenues originales. Lorsque ses grands-parents japonais qu’elle en connait pas, l'invitent pour les vacances, elle décide d'y aller et de faire une pause.

Un roman initiatique, qui nous fait découvrir d'une manière intimiste le Japon, Kimiko va essayer des tisser des liens avec sa famille, de mieux comprendre sa mère et surtout de découvrir ce qu’elle veut vraiment faire comme études, sans oublier une belle rencontre. Un roman passionnant à savourer avec un thè et un mochi ?

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Quelle petite pépite que cette douce romance, tendre à croquer !

Kimi, une héroïne pétillante

Nous suivons donc l'histoire de Kimi, une jeune lycéenne en proie à d'énormes doutes à propos de son avenir. Inscrite dans une université d'arts, elle se rend compte que ce n'est pas ce qu'elle veut faire, au grand dam de sa mère qui avait déjà tout prévu pour elle. Manquant de confiance en elle, elle décide de partir au Japon chez ses grand-parents pendant les vacances afin de trouver des réponses à ses questions ou au moins d'échapper à la pression de sa mère.

J'ai beaucoup aimé Kimi,  car elle est pleine de vie et animée d'une telle passion. Ça m'a subjugué. Elle est très rêveuse comme jeune fille et a tendance à rêver d'une réalité améliorée plutôt que de vivre sa vie, de peur d'être déçue. Sur ce point là, je me suis retrouvée en elle et j'ai d'autant plus compris ses doutes et ses interrogations. 

J'ai beaucoup aimé la relation qu'elle noue avec ses grand-parents. J'ai trouvé ça très beau et enrichissant. 

Une romance tendre à croquer

C'est donc au Japon qu'elle va rencontrer Akira, un jeune homme qui va lui faire découvrir la ville et qui va l'aider dans sa quête d'identité. Entre eux, l'attirance est immédiate. C'est tendre, plein de charme, moelleux à s'enrouler dedans, comme un mochi ! On se sent bien, et j'ai vraiment beaucoup aimé l'atmosphère très chaleureuse et cocooning qui se dégage de leur relation. Grâce à lui, Kimi va apprendre à vivre pleinement sa vie, et à ne plus avoir peur de ses envies.

Un voyage qui donne vraiment envie

Finalement, c'est un voyage de découverte mais également un voyage initiatique. Chaque étape, chaque découverte permet à Kimi d'en apprendre un peu plus sur elle-même. Les lieux qu'elle visite sont magnifiques, emplis d'une telle poésie, d'un tel charme qu'on ne peut qu'être captivés, subjugués par le Japon. J'avais même l'impression de sentir les mochis ! Je me suis vraiment sentie projetée dans le décor et j'ai adoré cette sensation de me trouver avec Kimi et Akira dans leur périple japonais. 

C'est donc une très belle lecture pour moi. Ce n'est pas juste une romance young adult, mais plutôt un roman initiatique, le voyage d'une jeune fille qui cherche à savoir qui elle est vraiment.

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Une jolie lecture de printemps, qui nous plonge dans un Kyoto fleuris et poétique. Nous y suivons la jeune Kimi Nakamura qui, en panne d’inspiration et de motivation pour peindre, décide de quitter les Etats-Unis pour passer des vacances chez ses grands-parents au Japon.

J’étais très attachée au personnage principal de Kimi, avec qui je partageais tellement de points communs que c’en était effrayant. Cette peur paralysante d’affronter ses responsabilités et sa vie d’adulte, cette tendance à reporter au lendemain, cette fuite constante sur « la Planète déni » comme elle le dit. Sans le dire, en filigrane durant tout le livre, nous traversons une période sombre de dépression pour cette jeune fille qui craint de décevoir ses parents, et surtout elle-même. Comment avoir un avenir aussi jeune ? Est-ce que nous devons toujours suivre nos passions pour en faire nos professions ?

Si j’ai beaucoup aimé ces questionnements, je regrette toutefois le manque d’enjeux au roman puisqu’on sait dès la page 1 que ce sera un voyage d’acceptation de la peinture vers la couture. J’ai trouvé ça d’ailleurs un peu étrange que sa passion pour devenir styliste et créatrice de mode soit autant critiqué par sa mère qui voulait qu’elle réussisse sa vie en tant que … peintre. Je ne connais pas de métier plus incertain et précaire que peintre, d’autant que la vocation de Kimi pour la mode lui permettrait d’avoir plus de déboucher. De ce fait, je trouvais que son conflit avec sa mère sonnait un peu creux, car les deux univers sont finalement très proches (ce sont deux métiers de l’art).

Pour autant, la relation de Kimi et de ses grands-parents m’a beaucoup touché. Elle réussit à nouer de magnifiques liens avec eux, et ils réussissent à trouver un magnifique terrain d’entente au milieu de leur histoire, de leur héritage et de leurs passions communes. Difficile de ne pas sentir son petit cœur se serrer quand on lit certaines scènes de Kimi avec son grand-père ou avec sa grand-mère.
Pour toutes ces belles raisons, j’ai adoré mon voyage à Kyoto qui a été plaisant, charmant, avec des références culturelles, culinaires, historiques, et sociales informatives et poétiques. L’histoire est rythmée, douce, sympathique, et à la fin je n’avais qu’une envie : manger.

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Un roman frais, plein d'amour familiale. Kimiko, jeune américaine d'origine japonaise en conflit avec sa mère a propos de son avenir part au Japon rencontrer ses grand-parents pour la première fois.
Grande rêveuse, créatrice de mode en devenir, elle arrive dans un pays qui l'inspire et lui confirmera son choix non affirmé de devenir styliste.
Elle fait non seulement la rencontre des ses grands parents qui lui permette de comprendre sa mère, et elle tombe sous le charme d'un vendeur de mochi. Ensemble, ils vont se découvrir et se motiver pour parvenir à réaliser leurs rêves !

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Une histoire sur les origines, l'art et la famille, quoi de mieux pour redonner un peu le sourire ? Je tiens à remercier les éditions Fleurus et Netgalley pour cette jolie lecture.

Kim est une adolescente normale avec un quotidien des plus normales. Mais depuis peu, elle a ce sentiment qui lui manque quelque chose. L'artiste qu'elle est n'arrive plus à trouver d'inspiration et pour intégrer l'école d'art qu'elle veut, tout ça devient un peu trop compliqué pour elle. Elle est américaine d'origine Japonaise. Depuis peu, elle se cherche et veut savoir à tout prix comment se passe la vie, là-bas, au Japon.

Coup de chance ou signe du destin, elle part rejoindre ses grand-parents là-bas. Et c'est le début d'une grande aventure pour l'adolescente. Un renouveau et un voyage qui va surtout lui permettre de répondre à ses nombreuses questions sur qui elle est vraiment.

Parce que Kim est avant tout une artiste. Elle peint et s'inspire de la nature, des autres et de son histoire. Mais comment s'inspirer de soi même quand on ne sait pas qui on est vraiment ? Ce voyage est aussi l'occasion pour elle de se trouver et de découvrir une autre culture. Un endroit plein d'inspiration. Et forcément, l'amour s'en même toujours un peu....

I love you so mochi commence comme ces dramas que l'on regarde avec passions à la télévision. Mais ici, c'est plus profond que ça. L'autrice nous parle de la famille, de la place des origines et aussi de l'art sous toutes ses formes. Le personnage de Kim est adorable et m'a même fait penser à moi de part son côté rêveuse et idéaliste. En bref, I love you so mochi est une histoire toute douce qui nous fait voyager dans le pays du soleil levant et bien plus loin même.

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Un chouette roman qui a le mérite de proposer un mélange très bien équilibré entre la romance et la quête de soi. L'héroïne arrive à la fin du lycée et devait s'inscrire dans une école d'arts. Sauf qu'elle n'est plus sûre de vouloir faire de la peinture et est plutôt attirée par la mode. Elle est d'origine japonaise par ses deux parents et sa mère en particulier souhaite que sa fille réalise son rêve à elle de devenir une artiste. Kimi va profiter de la proposition de ses grands-parents de passer des vacances au Japon pour essayer de faire le point. C'est l'occasion de renouer avec ses origines, de découvrir le Japon, de créer des liens avec ses grands-parents, de décider de ce qu'elle veut faire plus tard et de tomber amoureuse par la même occasion.
C'est vraiment une très jolie histoire qui reflète bien les questionnements des lycées proches de devenir adulte.

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Quel livre sympathique plein d’émotions et descriptions intéressantes sur le Japon !! Il m’a donné envie de découvrir ce pays et ces traditions !

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Ce roman Young Adult est une petite douceur à savourer !

J'ai beaucoup aimé le dépaysement total, direction le Japon avec Kim une ado complètement perdue concernant son avenir. Elle va pouvoir prendre le temps de réfléchir tout en découvrant ses origines lors de ses vacances chez ses grands-parents maternels.

L'auteure exploite à merveille le pays dans lequel se déroule la majeure partie du récit grâce aux mentions des mets culinaires, des us et coutumes ainsi que des lieux que visite notre héroïne.

J'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman.

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Et voici une des raisons pour laquelle j'aime le YA : ce roman. Notre protagoniste Kimiko est attachante, et elle doit dealer avec ses problèmes d'adolescentes et sa quête d'identité. Le thème le plus marquant de ce roman, celui qui en fait une pépite est la difficulté de l'orientation, les attentes des parents quant à la dite orientation, et la déception de certains qui peut orienter son enfant dans la mauvaise direction. D'où l'importance de grandir, de faire ses propres choix sans tenir compte de l'avis des autres quitte à en assumer les conséquences. Kimiko est un personnage fort qui aura marqué ma vie de lectrice au travers de ses réflexions et de son courage. Ce roman aura su me faire voyager dans le pays des cerisiers en fleur, le Japon.
Et comme les mochis que découvre Kimiko lors de son voyage au Japon, ce roman est un vrai délice.

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Il s'agit d'une lecture riche en contenu : elle est très à même de réconforter des adolescents perdus quant à leur orientation ; elle explore la quête de soi, en partie à travers l'histoire familiale ; elle montre l'importance de se connaître, d'être honnête et objectif avec soi-même pour tenter de faire les meilleurs choix pour soi ; elle met en avant le positif à retirer d'affronter ses peurs.
C'est une lecture qui peut apporter beaucoup sans se montrer moralisatrice, les messages sont diffusés en implicite.

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I love you so muchi est une adorable romance qui se cache dans un récit familial intercultural, entre États-Unis et Japon !
La jeune héroïne part à la découverte de la culture de sa mère en rendant visite pour la première fois à ses grands parents au Japon !
L'occasion de mieux comprendre la brouille familiale, de découvrir le Japon, d'y rencontrer un adorable japonais et ses mochis, mais surtout de se découvrir elle même car elle est complètement perdue avec son orientation scolaire !

Tout est sympa pour les ados dans ce roman, tant la découverte du Japon que le côté passion, la douce histoire d'amour et les liens familiaux ! Une jolie histoire, un peu facile où tout est sans doute un peu trop beau pour être vrai, mais ça fait du bien !

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Ce roman de printemps nous fait partager le printemps de Kimiko qui est une jeune fille en construction, à la recherche d’elle-même et de l’avenir qu’elle souhaite. sujet de ses projets professionnel.
C’est par un voyage Initiatique chez ses grands-parents au Japon, d’où sa famille est originaire, que ce cheminement est symbolisé. La douceur du roman démarre dans ses rues de Kyoto et ses rencontres...
La romance entre Kimiko et Akira est douce, attachante en fait parfaitement incarnée par la boutique de mochis. La lecture a la même saveur émouvante que les séries coréennes qui font apprécier ces histoires d’amour Par une séduction discrète et attentionnée. A prendre donc comme une lecture-détente avec un thé vert et une assiette de mochis colorés...

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Au delà de sa délicate et délicieuse couverture, ce roman nous donne l'occasion de découvrir une très belle histoire. Tant d'un point de vue amical, familiale, que romantique.
Au travers de ce roman, qui fut un coup de cœur, j'ai pu partir à la découverte de sublimes coins de Kyoto et entrapercevoir une partie de la magnifique et intrigante culture japonaise.
Cette découverte ce fait tout en douceur, aux côtés de personnages tous plus adorables et attachants les uns que les autres. Des protagonistes que j'ai pris plaisir à rencontrer et à suivre dans leurs aventures à la fois gourmandes et amusantes, mais teintées de sérieux puisque Kimi profite de ce sublime voyage pour faire une introspection grandement nécessaire avant de choisir la voie qu'elle désire suivre. Une voie qui l'a conduit à découvrir des choses inattendues sur sa propre famille ...
Et même si l'humour est au rendez-vous à chaque coin de page, l'auteure n'oublie pas d'insuffler la juste dose de douceur qui pousse son roman vers le coin des lectures qui ont su faire vibrer mon petit cœur de lectrice trop sentimentale. D'autant que Sarah Kuhn glisse une morale, tout juste dissimulée, sur l'importance de trouver sa voix et d'assumer ses choix.

En somme,I love you so mochi, est un roman à la fois bouleversant et attendrissant, où la famille et l'amitié tiennent une place primordiale. Un roman qui m'a déclenché un coup de cœur et que je vous recommande bien volontiers !
P.S. : Gourmands s'abstenir, au risque de dévorer cet excellent roman !</p>

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Un roman ado, parfait pour voyager. Un dépaysement avec le récit du voyage de Kimiko, chez ses grands parents au Japon. J’ai beaucoup aimé les descriptions de l’environnement, de la culture et des traditions qui l'entourent. On s'identifie facilement à Kimiko qui découvre elle aussi le Japon. Une romance agréable avec Akira, une recherche de soi et de ses désirs profonds, une vraie réflexion sur son futur.. Toutefois attention la lecture de ce roman donne envie de manger des mochi et la chute peu paraitre prévisible, aux vues de l’insistance et de la pression maternelle sur le fait que Kimiko deviennent une artiste peintre.
Néanmoins cela reste un très bon récit sur la recherche de soi et la place des traditions/histoires familiales dans sa propre construction.

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Roman adolescent / young adult sur l'acceptation et la confiance en soi, le passage à l'âge adulte où l'on est bien contraint de laisser derrière nous une petite part d'insouciance et faire des choix, le grand saut, décider à quoi ressemblera la suite et c'est souvent effrayant et déstabilisant.
La jeune Kimiko, jeune californienne d'origine japonaise pensait avoir un avenir artistique tout tracé. Peintre prodige, elle est toutefois depuis quelques mois en panne d'inspiration, terriblement angoissée devant cette toile désespérément blanche et doit faire face à cette «désinspiration», repenser la carrière à laquelle elle se destinait, qui était finalement plutôt le projet maternel.
L'adolescente nous emmène sur la terre de ses ancêtres à la rencontre de ses grands parents, de son héritage culturel, en quête d'elle même.
Roman très bien écrit et donc agréable à lire.

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