Coexistence

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Date de parution 19 sept. 2019 | Archivage 25 mars 2020

Résumé

Bonjour,


Très tôt dans la vie, je me suis aperçu qu’au fond, depuis toujours, j’étais en colère et, mieux encore, que du plus puissant au plus petit d’entre nous, j’étais loin d’être le seul !


Mais en colère pourquoi ? Contre qui ? Contre quoi ?


Tout simplement contre le monde, puisque, somme toute, il est mal foutu.


N’est-ce pas d’ailleurs la raison qui fait que chaque génération dépense une énergie considérable :

- pour les uns, à vouloir le changer...

- et pour les autres, à vouloir nous changer…

le tout… sans jamais y parvenir ?


Mais alors pourquoi, malgré le temps passé, l’expérience acquise, l’intelligence, la sagesse, la religion, la philosophie, les arts, la science, le progrès... voire les révolutions, les guerres, les massacres… le monde s’obstine-t-il, encore et toujours, à être mal foutu et nous, encore et toujours, imparfaits ?


Voilà une bonne question ! Et pourquoi, à défaut d’y répondre, ne pas tenter d’y réfléchir ?

Bonjour,


Très tôt dans la vie, je me suis aperçu qu’au fond, depuis toujours, j’étais en colère et, mieux encore, que du plus puissant au plus petit d’entre nous, j’étais loin d’être le seul !


...


Note de l'éditeur

Edition brochée en vente sur Amazon : prix 6,99 Euros
Téléchargeable gratuitement sur : Amazon, Fnac, Kobo , Google livres et Lulu.com.

Edition brochée en vente sur Amazon : prix 6,99 Euros
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Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9781692968762
PRIX 0,00 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Cet ouvrage relate bien comment d'imbriquent les relations societales, animales ou humaines, afin de conserver leur propre instinct de survie.

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Richard de Clausade livre des recettes remarquables pour une meilleure coexistence dans nos sociétés. Pour ce faire, il conçoit la société « comme une « mise en relation » qui engendre une « mise en commun » et un partage des capacités, des activités et des intérêts de chacun ».

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Cela commençait plutôt bien avec cette citation pleine d’humour :

« Réfléchir ne rapporte souvent rien, mais ne pas réfléchir coûte toujours très cher »

(vieux philosophe chinois qui n’a jamais voulu dire son nom même sous la torture…

L’auteur dit « bonjour » à son lecteur en lui expliquant qu’il était depuis toujours en colère

« Tout simplement contre tout le monde, puisque, somme toute, il est mal foutu. »

Ce livre comporte quatre parties dont les titres semblaient prometteurs, notamment la première : « la théorie des poissons rouges » : on met des poissons dans un aquarium, avec des plantes, des pierres ou coquillages et on voit ce qui se passe : s’ils ne s’entendent pas, doit-on modifier le contenu de l’aquarium ou séparer les poissons ? agir sur le contenant ou sur l’individu si on veut extrapoler.

Et par conséquent, comment faire le tri ? séparer ce qui revient à l’individu et ce qui revient au collectif, pour en arriver à la notion d’individu collectif : individu car entité unique, collectif, car ne pouvant pas se passer d’autrui…

Puis petite explication sur l’inné et l’acquis, considérations sur l’alimentation : manger pour vivre ou vivre pour manger, en gros, ou la nécessité d’autrui ou encore, la capacité de nuisance…

Et soudain, la phrase de trop :

La « mise en relation » crée donc une interaction entre tous les membres de « l’ensemble », d’où émerge une interdépendance absolue entre eux.

Là, stop, je n’avais pas envie de me prendre la tête avec ces élucubrations, et j’ai laissé tomber à la page 20 (117 pages en tout). Soit, je suis allergique à la « sociologie » soit ce n’était pas le bon moment, je ne vais même pas chercher à me poser la question.

Un grand merci à Netgalley pour cet acte (choix) manqué, une fois n’est pas coutume !

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