Brille, Tant que tu vis!

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Date de parution 13 nov. 2018 | Archivage 5 nov. 2019

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Résumé

Une magnifique histoire d’amour. Un portrait de femme inoubliable. Un roman feel-good lumineux qui vous rend addictif à la vie.?

« Je m’appelle Anita Moreau, je vis dans un deux pièces à Jersey, au-dessus d’un restaurant Thaï et aujourd’hui c’est mon anniversaire. Je ne vous dirai pas mon âge car il est convenu que les dames le taisent. Tout est prêt. Le champagne, la robe. Je me suis offert un parfum. Fortement vanillé. Je vais en asperger mon lit. C’est un rendez-vous exceptionnel. Je ne veux pas le manquer. Je veux réussir mon grand saut. »

Anita est en colère. Elle se sent flouée. Elle refuse d’être le jouet du destin. Pourtant, la voilà obligée de différer son projet à cause d’un coup de téléphone inattendu. La vie, pleine de surprises, joue des tours aux plus méthodiques. Sur la route de Noirmoutier un beau ténébreux croise sa route et elle découvre qu’elle n’y est pas insensible. Pourtant elle refuse ce bouleversement de toutes ses forces. Anita veut se battre pour atteindre son objectif et ne s’aperçoit pas que ses plans ont changé à son insu. Et si l’existence n’était pas toujours aussi bien calibrée qu’un haïku, pour le pire, mais parfois aussi pour le meilleur ?


« Alice Quinn nous émeut et nous séduit avec l'histoire d'un amour interdit, l'histoire d’une seconde chance. Avec une infinie tendresse, elle donne vie à des personnages d'une justesse désarmante. Un livre qui donne envie d'aimer. » Claire Saim, du blog onirik.com

Alice Quinn est l’auteure de « Rosie Maldonne », une série de comédies policières, et de polars historiques. Avec «Brille, tant que tu vis », elle vous transporte dans un remarquable portrait de femme, un feel-good triomphant, tissé d’émotions.

Une magnifique histoire d’amour. Un portrait de femme inoubliable. Un roman feel-good lumineux qui vous rend addictif à la vie.?

« Je m’appelle Anita Moreau, je vis dans un deux pièces à Jersey...


Formats disponibles

FORMAT Poche
ISBN 9791022781718
PRIX 9,99 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Un roman "feel good" agréable et facile à lire dans lequel nous suivons Anita, qui souhaite préparer son suicide. Au fil de son voyage sur l'île de Noirmoutier, le goût de la vie et l'amour tentent de s'imposer à elle. L'auteure réussit a nous inclure dans cette tranche de vie.

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Brille tant que tu vis, l’histoire commence fort dès les premières lignes avec Anita, femme d’âge mûr qui veut en finir avec la vie, et ce, de façon plutôt théâtral et organisé. Forcément, ses plans ne vont pas se passer comme prévu et elle va devoir aller chez son fils à Noirmoutier pour le dépanner. Ce séjour va lui faire le
plus grand bien. L’histoire est belle et touchante, tout comme le titre que je trouve magnifique.

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Je remercie la plateforme #netgalleyfrance et les #editionsalliage pour m'avoir permise de découvrir le livre de @alicequinn #brilletantquetuvis., une merveilleuse histoire avec une thème fort qui est le cancer..
L'histoire se déroule entre l'Île de Jersey et Noirmoutier. Nous allons suivre Anita,la soixantaine atteinte d'un cancer du sein. Elle vit seule, est divorcée. Son fils unique, Nicolas vit en France avec sa famille à Noirmoutier depuis quelques années.. Anita ne supporte plus de faire les séances de chimio. Tout cela l'épuise et atteint son moral. C'est alors qu'elle décide de "tirer sa révérence", c'est elle qui va choisir quand elle va mourir . "Hors de question qu'on lui dicte sa fin..." Tout est préparé minutieusement : elle se débarrasse de ses affaires, nettoie sa maison et rédige un haïku en guise d'adieux. Tout cela va être remis en question, lorsque son fils l'appelle et lui demande son aide : elle doit alors partir précipitamment et se rendre à Noirmoutier. Est-ce un signe du destin ?
Tout va ensuite basculer... Il suffit d'une rencontre en la personne de René, pour tout remettre en cause. A-t-elle le droit de s'octroyer une seconde chance et de goûter au bonheur et à l'amour ? Doit-elle suivre ce qu'elle a décidé et partir avec sa dignité. Une lecture qui ne peut que nous toucher, émotionnellement car l'auteur a su trouver les mots justes pour aborder ce thème difficile qui est le cancer. Les mots sont bien choisis, simple. La lecture est fluide. Ce roman m'a profondément touché sans me mettre les larmes aux yeux : les personnages sont attachants et ils nous ressemblent. On peut s'identifier à chacun d' eux. Anita est une personne qui suite au cancer, n'a plus goût à la vie et désire partir avec sa dignité. Ce qui peut nous interpeller, as -ton le droit de décider de sa propre mort ? Et les proches qui restent, comment vont-ils surmonter cette douloureuse épreuve. C'est une lecture légère avec un terme fort qui mérite d'être lu. "La vie nous réserve des surprises, et il est important de vivre ces instants comme si c’étaient les derniers"

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Ce livre est un roman sombre malgré une fin heureuse. J'ai réellement failli abandonner la lecture dès les premières pages. Le début du livre est en effet très dur et met en scène une dame qui était entrain d'exécuter minutieusement son plan suicidaire ! Le lecteur doit passer cette phase s'il veut continuer plus loin.

La femme suicidaire s'appelle Anita, une femme d'âge mûr, divorcée vivant seule et très malade. Un événement inattendu met fin in extremis à l'exécution de son plan qu'elle remet à plus tard. Très vite, une magie s'opère où le "sort" met sur son chemin des personnages et des événements véhiculant une énergie positive qui la poussent à réfléchir sur son futur "acte". Cette quête qui semble se dérouler sans encombres ne se passe pas sans angoisse et lui coûte beaucoup de l'énergie que lui laisse la maladie. L'auteure partage avec nous l'intimité d'Anita durant ces moments de questionnements et parfois de remise en cause. Ces moments représentent les meilleures parties du livre qui fera bien un scénario pour un film intimiste. Je pense que l'auteure met malheureusement rapidement fin à cette phase de la quête d'Anita pour une nouvelle vie. Je peux comprendre ce fait car c'est une phase très chargée émotionnellement et parfois difficilement supportable même pour un auteur.

Le livre comprend un autre point positif. Il met la lumière et valorise le Haiku, un genre de la poésie japonaise ancienne. Sur ce plan, le roman est très instructif. J'ai aussi beaucoup apprécié la recherche faite par l'auteure concernant l'épitaphe dont elle a utilisé une partie pour le titre du livre et que le lecteur découvrira à la fin de celui-ci.

Ma note est un bon 3,5*

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Merci à NetGalley et aux éditions Bookélis de m'avoir permis la lecture de ce bon roman.
Anita Moreau vit seule à Jersey et s'apprête à quitter ce monde lasse de la solitude et de son combat contre le cancer.Elle s'y prépare quand le téléphone sonne,Nicolas,son fils a besoin d'elle pour suivre les travaux de sa maison de Noirmoutier en son absence.,Elle accepte pour rendre un dernier service à son fils. Sa rencontre avec René Delapré ,l'artisan chargé des travaux,féru d'haïkus comme elle ,va t'elle modifier ses funestes projets.

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Mon avis

C’est en lisant le résumé que j’ai été attiré par ce roman. J’aime bien lire ce genre de petit roman une fois de temps en temps. Je me suis donc décidé à le sortir maintenant et je l’ai lu très rapidement.

Anita, une femme d’un certain âge qui vit seule, n’a pas refait sa vie et son fils est parti sur un autre continent depuis un bon moment. Voilà qu’elle découvre qu’elle a le cancer. Elle décide donc qu’elle ne s’en remettra pas au destin. Oh non! Elle a tout préparé pour sa mort. Lorsque le moment est arrivé, voilà que son téléphone sonne. Son fils a besoin de lui. Elle se dit qu’elle va aller l’aider, puis qu’elle reviendra tout simplement terminer son projet par la suite. Cependant, rien ne se passe comme prévu.

« C’est quoi exactement le bonheur ? Et cet acharnement à courir à tout prix derrière le bonheur ? Et après tout pourquoi recherche-t-on tellement le bonheur ? »

Voilà un roman qui commence sur une touche très déprimante, mais qui par la suite nous fait réfléchir sur la vie, la maladie, la famille, l’amour. Ce roman est très court et l’histoire est fluide, il se lit tout seul. De plus, il s’agit d’un roman contemporain qui vous réconforte, tout en ayant une belle histoire d’amour. D’ailleurs, l’auteure nous laisse un mot à la fin dans lequel elle dit : « j’avais surtout envie de parler des épreuves que nous traversons et dont nous sortons victorieux – et victorieuses. » Ce qui nous fait tant tenir à la vie, ces petites choses qui nous font sourire.

Les personnages sont attachants et réels. On voit une belle évolution de leurs pensées. C’est une histoire où le destin a bien fait les choses.

Note : 8.5/10

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Dans ce livre, je crois que tout m’a attiré : la couverture, que je trouve très belle. La mer signifie l’espoir pour moi, encore et toujours. Et ce titre ! Comme une incitation au bonheur. Peu de mots mais quelle puissance !
Et pour finir, l’autrice. Je connaissais déjà Alice pour sa série « Rosie Maldonne » dont j’ai lu un titre. J’avais beaucoup aimé sa plume et je brûlais d’envie de la découvrir dans un autre registre.

Rapidement, l’autrice nous présente deux personnages. Un homme, une femme. Peu de choses communes (même pas le pays !) mais quand même, ils n’ont qu’un seul souhait et l’assument pleinement : ils veulent qu’on les laisse tranquille ! Et ça fait du bien des personnages comme ça, à contre-sens de l’image sociale que tout un chacun doit renvoyer. On découvre leur passé, leur présent, pourquoi ils sont ainsi. Leur parcours de vie si différent mais qui les isole tout autant.
Leur seule ressemblance ? Peut-être pas, dès le début, je pressens l’importance des haïkus. Traits d’union entre deux êtres ?
Pour faire un lien avec mon préambule, le haïku est une très courte poésie japonaise. Qui dit court dit puissant pour toucher. Là dessus, j’avoue que tout ce qui est poétique m’est totalement mystérieux. Je ne la comprends jamais et les haïkus ne font malheureusement pas exception à la règle. Heureusement, si nos personnages les aiment, il n’y en a pas à chaque page. Assez pour apprécier quand on aime, pas assez pour être découragé si l’on est plutôt hermétique comme moi.
J’aime que la rencontre que l’on sait inévitable arrive lentement. Au quart du livre environ. Ce qui nous laisse le temps de les connaître individuellement. Et quelle rencontre !

J’en ai déjà dit beaucoup, je n’en dirais pas plus. Brille tant que tu vis est un très beau roman, avec des personnages qui pensent avoir perdu tout espoir. Mais n’est-il pas là où on l’attend le moins ? Brille tant que tu vis, ne baisse pas les bras, profite jusqu’au bout.

Merci Alice pour cette belle leçon de vie. Merci pour traiter avec tant de délicatesse des thèmes si graves. Merci également pour ta gentillesse et ta réactivité. Car j’ai eu un problème de qualité important sur l’exemplaire téléchargé via NetGalley. Mais j’étais tellement dedans que j’ai quand même lu 27% du roman avant de contacter directement l’autrice qui a réagit au quart de tour et m’a renvoyé un exemplaire sans défauts.

Citations :

« Trouver la force des relations humaines est ce qu’il y a de plus dur pour moi en ce moment. »
« Je suis soulagée, rassurée. Je me retrouve. Et mes idées noires avec. C’est tellement plus reposant que cette excitation impossible à contrôler ! »
« Quand il est loin et que je pense vaguement à lui, je peux l’imaginer comme un fils aimant, je peux me dire que je lui manque. »

Je remercie NetGalley et Bookelis pour cette lecture émouvante.

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