J'écris ton nom

(rentrée littéraire 2019)

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Date de parution 5 sept. 2019 | Archivage 26 sept. 2019
Belfond | Pointillés

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Résumé

« Youra convoque les forces de la nuit, comme dans un opéra magique, dans un conte maudit, un roman gothique. Il avance sans peur ni haine vers un destin déjà écrit. Il a décidé que tout était dit ; il n’y a plus qu’à faire. Les actes seront posés et advienne que pourra, son destin est en marche, et celui de tous ceux vers qui il roule. »


Youra est un jeune médecin bruxellois, idéaliste, interdit d’exercer car juif. Avec sa bande d’amis, il continue de défier le couvre-feu, d’écouter de la musique prohibée, de refaire le monde. Ce soir d’avril 1943, Youra va même passer à l’action. Avec deux copains d’enfance, il a décidé de tenter ce que les partisans jugent insensé : arrêter le train qui part pour les camps.

Séducteur, polyglotte, intellectuel jusqu’à l’obsession, Youra sait que la « nuit du train » fera de lui quelqu’un d’autre. Plongé dans les eaux troubles de la Résistance et confronté à celles de la collaboration, il interroge les motivations conscientes et inconscientes qui poussent à risquer sa vie, et à regarder l’ennemi dans le blanc des yeux.

Sylvestre Sbille réussit, dans un premier roman empreint de réalisme magique, le tour de force d’inoculer à son lecteur toute la fureur de vivre d’individus éblouissants, surnageant dans la vase noire de l’Occupation.


Né à Bruxelles, Sylvestre Sbille est journaliste et réalisateur. J'écris ton nom est son premier roman.

« Youra convoque les forces de la nuit, comme dans un opéra magique, dans un conte maudit, un roman gothique. Il avance sans peur ni haine vers un destin déjà écrit. Il a décidé que tout était dit ;...


Note de l'éditeur

RENTRÉE LITTÉRAIRE 2019

RENTRÉE LITTÉRAIRE 2019


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782714482259
PRIX 17,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

J’ECRIS TON NOM de SYLVESTRE SBILLE éditions Belfond


le 19 avril 1943 le convoi qui transporte 1631 personnes est stoppé par 3 jeunes gens
dont Youri Livchitz . Ils réussissent malgré les tirs des gardiens à ouvrir quelques portes
et permettent à 113 personnes d’échapper à leur funeste destin
C’est par la voix de ce jeune juif médecin empêché d’exercer que l’on retrace la préparation,
le déroulement et les conséquences de cet acte unique dans l’histoire de la seconde guerre
mondiale .
Roman poignant et nécessaire qui met en lumière un « héros » malgré lui, qui un jour
à décider d’agir pour refuser l’impensable !

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1943, les lois anti Juifs se multiplient dans toute l’Europe. À Bruxelles, Youra, vingt-cinq ans, n’a pas le droit d’exercer son métier de médecin, car il est juif. Avec ses amis, il refait le monde, n’hésitant pas à défier le couvre-feu et à écouter du jazz. Un soir, presque sur un coup de tête, il décide d’arrêter un train en partance pour Auschwitz. Même les partisans ne s’y risquent pas, c’est trop dangereux. La fougue de son idéalisme en étendard, avec l’aide de deux amis, il réalise l’impensable. L’équipement est très sommaire : des vélos, une lanterne et un seul pistolet.

Sylvestre Sbille partage les pensées de ceux qui sont dans le train, de Youra et de son frère, d’un nazi haut placé et d’un collaborateur. Youra s’interroge sur ce qui fait basculer d’un côté ou de l’autre. Il se questionne sur ce qui pousse certains à résister, à risquer leur vie et celles de leurs proches. L’auteur montre également la vision du peuple juif dans l’idéologie nazie. Il montre les difficultés pour survivre et se soigner quand on n’a plus aucun droit. Il montre le courage de ces Résistants qui ont tenté le tout pour le tout.

L’auteur rend hommage à Youra et Choura Livitch. Je suis sûre qu’après avoir lu J’écris ton nom, comme moi, vous ferez des recherches sur ces jeunes hommes (je vous invite à lire le roman avant). Je ne les connaissais pas et je remercie Sylvestre Sbille d’avoir réparé cela. Je suis très émue par cette histoire et d’autant plus qu’elle est basée sur des faits réels. Une scène m’a donné des frissons : une action collective par des anonymes pour protéger des fugitifs. Aussi, même si ce roman est dur, avec des personnalités cruelles, telles que Kurt Asche, qui était chargé de la déportation des Juifs, certains actes donnent foi en l’être humain. Et c’est ce que montre Sylvestre Sbille, avec ce superbe premier roman sur la Résistance et la Collaboration.

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Nous suivons Youra, jeune médecin juif qui hélas ne peut exercer car la ville où il vit, Bruxelles, est occupée par les Allemands depuis 1943. Nous voilà plongé en pleine seconde guerre mondiale. Avec ses amis et son frère Choura, Youra, décident de stopper un train qui transportent des personnes ( hommes, femmes et enfants...) en partance pour la Pologne 🇵🇱 vers les camps de concentration. Ce complot aura des conséquences sur la vie de Youra et de ses amis. Rien ne sera plus comme avant et ils devront se méfier de tout le monde.
C'est un récit qui relate une période sombre de notre Histoire est qu'il ne faut pas oublier. « J’écris ton nom » vient du poème écrit par Paul Eluard en 1942. Le titre exact est « liberté ». Ce livre est un ode à la liberté, à la résistance...
Youra souhaite refaire le monde et n'a peur de rien quand il décide avec ses amis de stopper le train et permettre ainsi à ses occupants de se sauver d’une mort certaine. L'auteur alterne dans les chapitres avec les partisans, les nazismes, les collabos, ce qui nous permet de nous glisser dans la peau des personnages. La plume de l'auteur est belle et juste et fait honneur à tous ces partisans, ces résistants , ces personnes qui ont résisté aux nazis et qui rêvaient d'un un monde meilleur sans persécution. J'ai apprécié le courage de Youra, un héros de notre histoire mais aussi le fait que l'auteur nous expose les conditions dans lesquelles vivent ce peuple juif qui n'a plus aucun droit, qui doit se cacher car traquer par l'ennemi. Je souligne le réalisme de l'auteur. C'est un livre à mettre dans toutes les mains pour le message qu'il véhicule.
Ce livre est également un appel au secours : « ne pas oublier les personnes qui ont lutté »
Je vous recommande ce livre si vous êtes amateurs de faits historiques ayant trait avec la seconde guerre mondiale, vous ne serez pas déçu.
Surtout quand on a connaissance que ces les personnages ont réellement existé...
Ça a été pour ma part une belle découverte, j'ai appris des choses que je connaissais pas et qui sont innommables. Je remercie la plateforme #netgalleyfrance et les #editionsbelfond de m'avoir permise de découvrir ce livre.

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un premier roman touchant et puissant de part son histoire, entre autre. En plein cœur de la guerre, il relate le récit d'un jeune juif, rebelle et poète. Avec l'aide de 3 amis, ils décident d'arrêter un convoi et donc de sauver des innocents. Puissant aussi grâce à l'écriture de l'auteur qui ne plonge pas dans une écriture mécanique ou historique, mais qui use d'une plume magique, emportée. Défi pas mince face au sujet choisi.

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Youra est un jeune médecin bruxellois, idéaliste, interdit d'exercer car juif. Avec sa bande d'amis, il continue de défier le couvre-feu, d'écouter de la musique prohibée, de refaire le monde. Ce soir d'avril 1943, Youra va même passer à l'action. Avec deux copains d'enfance, il a décidé de tenter ce que les partisans jugent insensé : arrêter le train qui part pour les camps.

Un superbe premier roman qui montre les difficultés des juifs face au nazisme : difficulté de se soigner, de survivre.
Mais aussi, il s’interroge sur ce qui fait basculer d’un côté ou de l’autre. Il questionne sur ce qui pousse certains à résister, à risquer leur vie et celles de leurs proches.

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Ce roman, basé sur des faits réels, évoque le courage de certains personnages emblématiques ayant pris des risques pour sauver des juifs.
L’ambiance y est terriblement anxiogène. Divers sentiments comme une intense tristesse, un chagrin terrible, mais aussi une forte morosité ressentie ont eu raison de ma lecture. Je suppose que ce n’était pas le bon moment pour moi de le lire, une période compliquée…. Voilà pourquoi mon retour à temps tardé.
Cette partie de notre Histoire, surtout durant la Seconde Guerre mondiale déclenche des émotions souvent exacerbées et la plume de Sylvestre Sbylle atteint formidablement son objectif, à savoir une flèche en plein cœur.
C’est un roman réussi, mais si triste… Il faut être dans une période où l’on va bien pour l’attaquer.
J’attends avec impatience le second.

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