La Partition

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Date de parution 2 mai 2019 | Archivage 11 juil. 2019

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Résumé

De la Grèce aux rives du lac Léman, une superbe fresque familiale.

Un matin d’hiver 1977, Bruno K, professeur de littérature admiré par ses étudiants, se promène dans les rues de Genève. Alors qu’il devise silencieusement sur les jambes d’une jolie brune qui le précède, il s’écroule, mort.

Quand ses deux frères Georgely et Alexakis apprennent la nouvelle, un espoir fou s’évanouit. Le soir même, ils auraient dû se retrouver au Victoria Hall à l’occasion d’un récital de violon d’Alexakis. Pour la première fois, la musique allait les réunir.

La Partition nous plonge dans l’histoire de cette fratrie éclatée en suivant les traces de leur mère, Koula, une grecque au tempérament de feu. Elle découvre l’amour à 16 ans, quitte son pays natal pour la Suisse dans les années 20 et refera sa vie avec un homme de 30 ans son aîné. Une femme intense, solaire, possessive, déchirée entre ses pays, ses fils et ses rêves. Une épouse et une mère pour qui l’amour est synonyme d’excès.

De la Grèce aux rives du lac Léman, une superbe fresque familiale.

Un matin d’hiver 1977, Bruno K, professeur de littérature admiré par ses étudiants, se promène dans les rues de Genève. Alors qu’il...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782370732811
PRIX 20,90 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Diane Brasseur nous fait voyager de la Grèce à la Suisse en passant par la Belgique en nous livrant une fresque familiale avec la musique pour toile de fond. Avec le décès du fils ainé Bruno K. nous allons ensuite remonter le temps pour voir évoluer cette famille éclatée.

Au commencement, il y a la rencontre en 1920, celle de Koula jeune grecque de 16 ans qui tombera amoureuse d'un Suisse Paul Peter K , elle le suivra alors dans son pays. Mais le déracinement est compliqué et l'exaltation des premiers jours n'est plus, le couple se perd. Pourtant la première grossesse de Koula remet tout à sa place puis la syphilis crée une ombre sur cette famille, ils sont tous touchés même Bruno K leur enfant. Par contre cela permet à Koula de retrouver son mari qui ne dépend que d'elle. Seulement, le traitement terminé, il reprendra vite ses mauvaises habitudes et Koula choisira de partir avec l'aide de sa belle-mère mais en contrepartie elle devra abandonner un des ses fils malgré le déchirement.

Une femme au tempérament méditerranéen, exaltante, indépendante en avance sur son temps, elle divorcera, vivra comme mère célibataire puis épousera par amour un homme de trente ans son ainé. Avec Bruno K un lien particulier existe sûrement lié à la maladie du départ, une relation fusionnelle mais étouffante pour l'homme qu'il deviendra, car quand Koula aime il n'y pas de demi-mesure que ce soit ses fils ou ses maris. Elle a de grandes aspirations pour ses fils et lorsque Bruno K en autodidacte jouera quelques notes sur un piano, elle fera en sorte de lui donner toutes les clés pour qu'il y arrive.

Un roman sur le déracinement et sur l'amour filiale, charnelle. L'histoire est calme sans être ennuyeuse. J'ai aimé la personnalité de cette mère si entière. La plume est délicate et m'a fait voyager. Le roman est parsemé d'extrait de lettres des différents protagonistes en début de chaque chapitre qui nous rendent cette famille réelle et nous fait rentre dans leur intimité. Même si ce n'est pas un coup de cœur cela reste une jolie découverte.

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J'ai eu beaucoup de plaisir à lire cette incroyable fresque familiale qui permet aussi de traverser toute l'Histoire du XXe siècle. Le puzzle se reconstruit petit à petit... et je n'ai pu quitter le roman avant la dernière page.

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Je remercie NetGalley et Allary Editions pour cette lecture qui s’est avérée un immense coup de coeur.

Le roman s’ouvre sur l’imminente réunion tant attendue de trois frères séparés par la vie, et qui pourtant ne pourra avoir lieu. La mort vient en effet de cueillir Bruno K, l’aîné cinquantenaire, sur le trottoir qui le menait au concert de son frère Alexakis. C’était le soir où, enfin, la fratrie devait se retrouver.

Ils sont trois, nés de 1922 à 1931, de mère grecque et de père suisse pour les deux premiers, belge pour le benjamin. C’est toute leur vie que nous allons découvrir dans ce récit à rebours, celui de trois enfants d’abord, séparés et ballottés entre trois pays, au rythme de la vie tumultueuse de leur mère Koula et des évènements de leur siècle. Et on peut dire que rien ne fut ordinaire dans leur existence, que ce soit celle de Bruno, contaminé in utero par la syphilis paternelle, de Georgely, abandonné en Suisse par sa mère contrainte de choisir entre ses fils lors de sa fuite loin de son mari, ou d’Alexakis, né deux fois : en 1931 en Egypte, mais officiellement en 1932 en Grèce après le divorce et le remariage maternels, et qui porta, tant pis, les robes roses prévues pour la fille tant désirée.

Si le récit se déroule du point de vue de l’aîné Bruno, le personnage central est véritablement Koula, mère possessive et dévorante, femme solaire au tempérament entier et volcanique qui la porte à tous les excès. Elle qui rêvait des stars et de la célébrité, mena sa vie avec la passion tragique d’une véritable diva, éclipsant son entourage dans l’ombre de son aura, car comment trouver sa place auprès d’un tel astre sans s’y brûler ?

Le récit a de tels accents d’authenticité et est émaillé de tant de détails qui ne s’inventent pas, qu’il paraît la remembrance d’une saga familiale véritable : ce qu’il est sans doute d’ailleurs, à lire, à la fin du livre, les remerciements de l’auteur à son père pour les courriers conservés, alors que chaque chapitre s’ouvre sur des extraits de lettres. On a dès lors l’intuition, peut-être fausse, que l’auteur, franco-suisse, pourrait être une descendante de Georgely ou de Bruno.

Quoi qu’il en soit, la narration, habilement construite, est captivante : en nous faisant entrer dans cette histoire par la fin, l’auteur installe d’emblée le lecteur dans une tension tragique qui ne se relâchera pas, contrebalancée par une légèreté de ton teintée d’humour qui donne au récit une tonalité douce-amère : celle du souvenir, du temps passé, de l’inéluctabilité du destin et de la mort qui vient sceller à jamais les séparations et les regrets.

L’écriture est délicieuse, les mots admirablement choisis, le ton toujours parfaitement juste dans cette évocation si profondément empathique. C’est avec une infinie tendresse que s’y mêlent constamment rire et larmes, dans une simplicité et une économie de style qui exaltent l’émotion. La partition est une pépite, une lecture d’autant plus marquante qu’elle vous va droit au coeur.

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Véritable coup de coeur pour ce roman. Une saga qu'on ne quitte pas, les personnages sont émouvants et cette mère est "admirative" même si ces actes vont briser son entourage.
A lire sur la plage sous le soleil ...

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Gros coup de cœur pour un magnifique roman sensible ,déchirant , émouvant, charnel à l’écriture sensuelle, une prose hypnotique pleine de finesse, un roman sur le déracinement, l’amour filial, un récit plein de charme avec une flamme intérieure qui vient beaucoup de son héroïne Koula , une femme solaire, incandescente, pétulante, une méditerranéenne au tempérament de feu, indépendante, avangardiste, une mère louve.
La partition de Diane Brasseur est une très belle réussite , un titre clé, en divers teintes.
Tout commence en 1977, au moment où trois frères doivent se retrouver, à l'occasion du concert donné par le benjamin à Genève. Mais ce dernier apprend la mort subite de son aîné. De là un retour sur le passé et note par note, la partition va se mettre en place.
1920, Koula jeune grecque de 16 ans tombe amoureuse d'un Suisse Paul Peter K plus âgée qu’elle , elle le suit dans son pays, elle l’amoureuse de la vie, du grand air, de la danse , de la musique quitte ses racines. Mais le déracinement est compliqué, le couple se perd. Koula tombe enceinte, croit à un arc en ciel, dans le ciel sombre qu’est devenu sa vie mais la syphilis contractée par son mari crée une ombre sur cette famille, Bruno K leur enfant est touché. Le traitement achevé, elle espère mais tout recommence , délaissée et trompée par son mari et malgré la naissance de Georgely, son deuxième fils, Koula dépérit et décide de partir, mais le prix de cette liberté est de laisser, choix inhumain, un de ses fils .....Partition en tant que séparation et partage
Koula aura une 2ème vie, second mariage, 3ème fils naîtra, le petit Alexakis qui vivra ses premières années dans les robes prévues pour la fille qu’espérait Koula. C'est en Belgique, pays de son second mari, qu'elle sera confrontée à la seconde guerre mondiale, Bruno K échappe grâce à sa maladie et se consacre à son rêve la musique ... la partition de la musique ...lien avec Alexakis qui aspire à imiter son ainé, un au violon, l’autre au piano et cette réunion tant attendue, une partition inachevée.
Un récit ponctué de la correspondance passionnelle de Koula avec Bruno, rapport exclusif et possessif avec cet enfant qu’elle a laissée, un Bruno habité, déchiré par des sentiments divers. Et un filigrane sur la destinée, la vie si elle avait choisi Georgely plutôt que Bruno
Un magnifique roman que je vous conseille
Merci à Allary éditions et à Netgalley pour ce SP.
#netgalleyfrance #allaryeditions #dianebrasseur

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La Partition de Diane Brasseur est une saga flamboyante et addictive que l'auteur, avec un style très personnel, nous distille par petits chapitres, semant le doute et l'incompréhension pendant tout son roman.
Le récit commence par le décès de l’aîné d’une fratrie de 3 garçons juste avant leur retrouvailles après des années de séparation. Pour comprendre la dislocation de cette famille l'auteur remonte aux années 1920, à la jeunesse de leur mère Koula. Et quelle mère! Fantasque, écervelée, autoritaire, invivable, se prenant toujours pour le centre du monde et engluant deux de ses fils d'un amour débordant mais que moi je trouve égoïste. Sa seule décision sensée c'est quand on lui intime l'ordre de ne partir qu'avec un seul de ses deux fils et qu'elle choisit le plus faible, l’aîné.
Je n'ai pas vraiment pu m'attacher à cette femme, que certains peuvent trouver flamboyante mais que moi je trouve trop extravagante et soûlante. Je sais pourtant que de telles mères existent. Je ne suis pas bien entrée non plus dans la psychologie des autres personnages que j'ai trouvés un peu trop superficiels.

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Un roman très prenant malgré l'écriture. je me suis très vite attachée aux personnages et à ce qu'ils traversaient. Le format saga familiale et les voyages entre les différents pays m'ont beaucoup dépaysé le temps de cette lecture.

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C'est une histoire d'exil que nous raconte Diane Brasseur, de la Grèce à la Suisse en passant par la Belgique. Nous suivons une femme, Koula, ses amours, ses fils. En toile de fond, la musique et l'Europe du 20e siècle.
L'attachement de Koula pour son fils aîné Bruno m'a fortement rappelé La promesse de l'aube de Romain Gary : cet amour excessif, impérieux fait des ravages mais nous touche aussi.
Le roman repose une structure élaborée : chaque chapitre est précédé par des extraits de lettres, principalement entre Bruno et sa mère. Au début de l'histoire, Bruno meurt brutalement dans une rue de Genève alors qu'il allait retrouver ses frères dont il avait été séparé. Commence alors un retour aux origines de sa famille. La lectrice que je suis a mis un peu de temps à se plonger dans l'histoire mais une fois que j'ai été happée, c'était parti pour une histoire touchante.

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Grâce à Allary Editions et à Net Galley, j’ai pu découvrir le sublime roman de Diane Vasseur La partition.
Voici la présentation :
« De la Grèce aux rives du lac Léman, une superbe fresque familiale.Un matin d'hiver 1977, Bruno K, professeur de littérature admiré par ses étudiants, se promène dans les rues de Genève. Alors qu'il devise silencieusement sur les jambes d'une jolie brune qui le précède, il s'écroule, mort. Quand ses deux frères Georgely et Alexakis apprennent la nouvelle, un espoir fou s'évanouit. Le soir même, ils auraient dû se retrouver au Victoria Hall à l'occasion d'un récital de violon d'Alexakis. Pour la première fois, la musique allait les réunir.La Partition nous plonge dans l'histoire de cette fratrie éclatée en suivant les traces de leur mère, Koula, une grecque au tempérament de feu. Elle découvre l'amour à 16 ans, quitte son pays natal pour la Suisse dans les années 1920 et refera sa vie avec un homme de 30 ans son aîné. »
J’ai plongé dans cette saga familiale entre la Grèce, la Suisse et la Belgique sans scrupule mais avec surprise. En effet, je n’avais pas lu la première de couverture et le titre associé à cette photographie d’une femme si belle et énigmatique me laissait songer à une histoire de musique, peut être le parcours d’une pianiste… Mais ce roman s’il a la musique au cœur de son récit avec Bruno K, le pianiste et Alexakis, le violoniste, c’est avant tout le roman d’une femme, Koula. Tombée amoureuse d’un beau jeune homme, elle se marie et quitte la Grèce natale pour la Suisse… mais la réalité est décevante et Koula est confrontée à l’adultère et au pire choix qu’une mère puisse connaître : partir mais laisser derrière elle un de ses deux fils…Femme mais surtout mère, Koula, hantée par l’abandon, aimera de toutes ses forces Bruno K et Alexakis, donnant parfois l’image d’une mère excessive et injuste.
La partition par sa construction alternant fragment de lettres et récits nous plonge dans l’histoire de cette fratrie éclatée dont le dernier espoir d’une réunion possible vole en éclats dès les premières pages du roman avec la disparition du fils aîné… Finement ciselé, ce roman c’est l’histoire d’une mère et de son amour mais aussi les liens complexes entre frères et surtout l’amour de la musique comme révélation à soi et compréhension du monde.
Et subtilement en creux, Diane Vasseur évoque la situation géopolitique complexe des années 30 en Europe et ses conséquences sur les familles.
En résumé : un récit tout en finesse sur la famille, l’amour d’une mère où la musique joue délicatement sa partition.

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En 1977, trois frères doivent se retrouver. La rencontre n’aura pas lieu : Bruno K. s’effondre en pleine rue : il meurt.

Le livre remonte le temps et revient dans les années 20, lorsque leur mère, Koula, une Grecque de seize ans, tombe amoureuse de Paul Peter K. Ils se marient et partent s’installer dans le pays de Paul Peter K : la Suisse. Le conte de fées vire très vite au drame. Koula découvre, après la naissance de son fils Bruno K, que son mari volage lui a transmis la syphilis et qu’elle a contaminé son enfant in utero.

Alors que le couple a un deuxième enfant, Koula étouffe en Suisse. Sa belle-mère l’aide à retourner dans son pays natal, à la condition qu’elle parte avec un seul de ses enfants.

Koula rencontre un homme plus âgé avec qui elle aura un troisième fils. Ce sont ces trois frères qui devaient se réunir le soir de la mort de Bruno K.

Chaque chapitre commence avec un extrait de la correspondance entre Bruno K et sa mère. Un indice laisse à penser que ces lettres sont authentiques.

Les personnages principaux sont Koula et Bruno K. La partition parle de leur relation. Koula est une femme à la fois solaire et excessive, envahissante mais indépendante. Le revers de sa personnalité passionnée est son côté colérique. Elle est aimante et toxique à la fois. Il est difficile de trouver sa place auprès d’elle, encore plus si on est une femme.

Je n’ai, souvent, pas compris Koula. Ses choix m’ont parfois choquée, ses attitudes m’ont énervée, et par ricochet, j’ai eu beaucoup d’empathie pour ses enfants et j’ai été fascinée par la relation qu’ils ont avec leur mère.

Cette saga est l’histoire d’une femme, en avance sur son époque, qui veut être libre et qui veut aimer. Elle a un tempérament exalté qui dirige sa vie. La partition montre de quelle manière ses trois fils, qui n’ont jamais été réunis longtemps, se sont construits, que ce soit près d’elle ou sans elle.

J’ai été captivée par l’écriture de Diane Brasseur. Elle est très poétique et imagée. L’atmosphère est feutrée et intime.

Sans être un coup de cœur, La partition est un roman que j’ai beaucoup aimé.

Je remercie sincèrement NetGalleyFrance et les Éditions Allary pour ce service presse.

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Parce que j'ai vu de très bonnes critiques passées, je m'attendais à plus que ce que j'ai ressenti.
Certes, l'histoire de Koula et de ses fils est passionnante et se lit sans discontinuer, mais elle reste tout de même fade une fois le livre terminé; sans lien je dirai ...sans savoir où l'auteur veut nous emmener...à moins que ce soit juste son histoire ou plutôt celle de ses parents, grands-parents...

J'ai tout de même beaucoup aimé le destin de Koula même si on peut lui reprocher beaucoup de choses, certaines décisions, sa jalousie, ... c'est un beau portrait de femme.

J'arrive au point où normalement je parle un peu plus de mes ressentis mais je bloque ...en fait je n'ai pas d'avis j'ai lu ce livre comme on suit l'histoire d'une famille. Point.

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