La Femme qui ressuscite

Vies d'Anastasia Romanov

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Date de parution 16 mars 2018 | Archivage 22 oct. 2018

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Résumé

Février 1920. Une jeune fille se réveille amnésique dans le lit d'une clinique de Berlin après s'être jetée dans le fleuve. Le mystère autour de son identité commence, en même temps qu'une des plus grandes énigmes du XXe siècle.

Est-ce Anastasia Romanov, la dernière survivante du clan Romanov épargnée par les bolcheviques... ou Anna Anderson, l'ambitieuse petite paysanne kachoube qui réussit, sa vie durant, à donner le change auprès des familles impériales de la planète en se faisant passer pour la défunte princesse ? L'héroïne reconstruit sa mémoire et son identité... mais sont-ce bien les siennes ?

Premier roman servi par une prodigieuse langue baroque, La Femme qui ressuscite fait revivre un mystère, une réincarnation, un double portrait de femmes, et un esprit que le trouble de l'inconnu mènera à la folie.

Nadia Oswald naît en 1991 à Ajaccio. Arrière-petite-fille d'un capitaine d'industrie alsacien, petite-fille d'un scribe marocain, elle grandit en Haute-Savoie, face au mont Blanc, puis habite successivement à Borgo, Crote, Coventry, Rennes et Paris et écrit particulièrement en voyage, en Angleterre et en Italie. Diplômée de littérature anglaise et de journalisme, elle est totalement bilingue, et écrit ses textes à la fois en anglais et en français. Formée littérairement au Comte de Monte-Cristo, elle admire Jean Genet, Oscar Wilde, et Virginia Woolf.

Février 1920. Une jeune fille se réveille amnésique dans le lit d'une clinique de Berlin après s'être jetée dans le fleuve. Le mystère autour de son identité commence, en même temps qu'une des plus...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782371000377
PRIX 17,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Il y a un grand amour dans ma vie, un amour qui me fait tout lire, voir et rêver du jour où je poserais le pied sur son sol : La Russie. Mise à a part sa politique un peu douteuse, c'est surtout son Histoire qui m'attire qui a très rarement été calme. Tout ça pour dire qu'après ma lecture de "La femme qui tuait les hommes", on m'avait conseillé de lire "La femme qui ressuscite" puisqu'il s'inscrivait juste après les événements de celui que je venais de finir. Ni une ni deux, en le voyant sur NetGalley, j'ai sautée sur l'occasion. Je remercie ainsi la plateforme et Le Nouvel Attila.

Connaissait vous Anna Anderson ? Les Russophiles diront oui, les autres peut-être non. Et pourtant, cette femme a secoué les restes de l'aristocratie russe et les presses internationale. Le livre nous propose de revenir sur le destin et le parcours de cette femme découverte dans un asile qui n'aura de cesse de montrer au Monde qu'elle est la dernière survivante des enfants Romanov. Le livre prend le parti-pris d'être Anastasia et à la fois Anna et montre le combat intérieur de cette femme qui cherchera toute sa vie à être aimé.

D'abord perturbée par le style et les (très) longues phrases, l'auteure emmène magnifiquement son lecteur dans cette Russie tsariste reconstitué dans le monde et ces hommes et femmes qui pleurent encore le pays. On côtoie une gouvernante, Pierre Gilliard ou encore la sœur d'Alexandra Feodorovna sans oublier tous les grands qui ont fait les années folles. Car c'est aussi ça "La femme qui ressuscite", un voyage dans cette décennie fantasmée de l'Amérique en pleine prohibition où règne une fête permanente.

Un livre qui plaira aux curieux, qui se dévore et dont on aimerai plus tant l'auteure a su donner vie à cette femme.

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