Seuls les enfants savent aimer

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Date de parution 18 janv. 2018 | Archivage 22 mai 2018

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Résumé

Découvrez le premier roman du chanteur Cali.


Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l'amour s'en va.
Seuls les enfants meurent d'amour.
Seuls les enfants jouent leur coeur à chaque instant, à chaque souffle.
À chaque seconde le coeur d'un enfant explose.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu'à quand vas-tu mourir ?

Découvrez le premier roman du chanteur Cali.


Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous...


Note de l'éditeur

Merci aux blogueurs de ne publier les chroniques qu'à partir du 18 janvier 2018.

Merci aux blogueurs de ne publier les chroniques qu'à partir du 18 janvier 2018.


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782749156385
PRIX 18,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

J’aime l’artiste, j’ai donc voulu lire ce livre. Je ne savais pas le drame qu’avait connu Cali en perdant sa mère si jeune. Dans ce roman il donne voix à l’enfant qu’il était pour nous raconter le drame, et les souvenirs d’enfance des semaines’ qui ont suivies.

Une écriture pleine de rage, de tendresse et d’émotion pour nous parler de sa mère, de son absence, de son amour.
Je ne peux que conseiller la lecture de ce roman à ceux qui aiment son univers musical. On y retrouve la même sensibilité et la même colère.
Merci au Cherche-Midi pour m’avoir permis de découvrir ce texte avec quelques jours d’avance.
#SeulsLesEnfantsSaventAimer #NetGalleyFrance

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"7 janvier, six ans, Vernet-les-Bains, enterrement de maman, interdiction d'y aller, ai tout vu de la chambre, volet mal fermé, ne pas pleurer."
Tout est dit, le jour où il voit le cortège funèbre, Bruno voit son monde s'écrouler. Pour le préserver, on l'écarte de la tristesse qui envahit la famille. Le petit garçon affronte ses camarades d'école, curieux ou cruels, et ses frère et sœurs, perdus comme lui. Le sourire de maman, ses habits, le bonheur d'avant lui manquent...
Lorsqu'un nouvel élève nommé Alexandre Jolly arrive à l'école, Bruno se sent immédiatement attiré par lui, ils partagent tout, sont amoureux de la même fille. Cette amitié fusionnelle devient sa planche de salut contre le manque de présence de sa mère et l’alcoolisme dans lequel plonge son père. Le petit garçon qui mûrira trop tôt devra vite apprendre les désillusions.
Dans ce roman d’apprentissage très fort, on suit l’évolution d’un enfant confronté à la mort de sa mère, l’être qui lui est le plus cher au monde que personne ne pourra jamais remplacer. Il refuse de s’attacher à son chat par la crainte de le perdre un jour. Abîmé à vie, il refusera le bonheur qu’on lui offre. Et découvrira la haine. Bruno raconte sa douleur à sa mère disparue, lui fait part de ses souvenirs, de sa méfiance envers les autres et de son amour sans limites qu’il ressent pour elle. Il reste inconsolable dans son deuil, avec le temps, la douleur s’apaise mais ne disparaîtra jamais.

Un texte fort, très émouvant, dépourvu de tout pathos.

Un grand coup de cœur de la rentrée de janvier.

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Seuls les enfants savent aimer – Cali – Cherche Midi
« J’ai lu pour vous » - vendredi 12 janvier – 8H00
Laurent BONNEFOY – RADIO 16

Pour démarrer cette nouvelle année, que je vous souhaite la meilleure possible en prenant du plaisir dans ce que vous faites et bien sûr en écoutant de façon assidue notre radio, je vous propose aujourd’hui un seul ouvrage qui est devenu un véritable coup de cœur au fur et à mesure que défilaient les 131 pages qui le constituent.
Son titre : Seuls les enfants savent aimer…
Son auteur : Cali oui le Cali que vous connaissez sans doute à travers ses chansons et qui se prend au jeu de l’écriture d’un roman cette fois pour exorciser les meurtrissures d’une enfance marquée par le décès prématuré de sa maman alors qu’il n’avait que 6 ans…
Un livre écrit avec la force des mots où il se raconte, alors enfant, un an après avoir perdu le plus fondamental des repères, n’ayant d’autre alternative que celle d’affronter la réalité d’une vie qui peut très vite reprendre ce qu’elle a donné.
On retrouve le Cali qui mélange rage et amour, comme en concert finalement, et qui met toujours beaucoup d’énergie et de conviction à rendre compte de ce qu’il ressent…
Ici, il se met en scène, en dévoilant cette part d’enfance qu’il a dû affronter en prenant sur lui et en s’extirpant très vite de ce qui d’habitude se définit par insouciance et légèreté…
« Seuls les enfants savent savent aimer » titre évocateur pour celui dont la douleur n’a d’égale que la force dont il fait preuve pour continuer à vivre avec le manque…
Alors, des amours naissantes, à la cour d’école en passant par la douleur d’un père bien seul ou l’obligation d’intégrer contre son gré une colonie de vacances, sans oublier l’affection qu’il porte à ses proches, ceux qui restent, Cali nous transporte dans cet univers empreint de douleur et pas vraiment rose, un univers qui a fait son quotidien vers l’âge de 6/7 ans…
Cali, de son vrai nom, Bruno Caliciuri, s’était jusque là confié par deux fois à travers des livres « entretien » dont le poignant « Rage » paru chez Plon en 2009 répondant alors aux questions de l’excellent Didier Varrod…
Il sort ici son premier roman prolongeant ainsi cette reconstruction partiellement entamée à travers ses chansons qui l’aide à vider ses souvenirs…
Un bien bel écrit en tout cas où entraide et amitié surnagent…
« Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l’amour s’en va »…
Du Cali dans un texte que je vous invite à découvrir au plus vite…
Ca s’appelle « Seuls les enfants savent aimer » et ça sortira le 18 janvier aux éditions du Cherche-Midi…

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Il est des romans qui vous touchent profondément. Le premier roman de Cali en fait partie. Il y décrit avec une extrême justesse l'absence et le chagrin à la perte d'une maman. J'ai pleuré plusieurs fois avec le petit Bruno. C'est plein de poesie et de douceur.

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Je ne suis pas fan de Cali. Je n'aime pas le personnage médiatique, je n'apprécie pas particulièrement la voix du chanteur, et je connais peu les textes de ses chansons.

Par contre, j'ai vraiment adoré Cali, l'auteur.

Ce roman autobiographique  nous parle de Bruno, un petit garçon de six ans qui vient de perdre sa mère. Dans un style très simple, qui se veut proche de l'enfantin, le roman est écrit à la première personne et nous raconte les émotions qui traversent l'enfant, entre sa mise à l'écart lors de l'enterrement, la dérive de son père, et l'amour fusionnel qu'il porte à Alec, son meilleur ami.

Chacun des personnages de ce livre est attachant et nous prend aux tripes, par sa justesse, mais aussi par le choix des mots. C'est simple, sans fioritures, mais c'est aussi poétique et tendre, direct et authentique. C'est un texte très fort, qui appelle l'émotion pure, mais aucune pitié ou larmichette. Il résonne au fond de chacun de nous.

Un passage m'a particulièrement bouleversée : lorsque Bruno adopte un petit chat et se refuse à l'aimer. Toute la fêlure de cet enfant se trouve dans cette anecdote. Sa vision de la vie et de la mort, étroitement liée à l'amour et à la douleur.

Ce livre a été un véritable coup de cœur pour moi, j'en ai aimé chaque ligne, et je l'ai lu d'une seule traite, en quelques heures. 

Merci à Cali pour ce partage. Et Bravo.

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On connaît Cali pour ses ballades et sa plume d’auteur, compositeur, et interprète engagé. À présent, il revient sur son enfance dans un roman touchant. Chaque chapitre est comme une page d’un album privé qu’il feuillette avec le lecteur. Cali brosse des portraits, esquisses des émotions, peint des instants d’un passé à la fois douloureux et solaire.
La mère y tient une place importante, centrale même. Cali dialogue avec elle. Dès les premières pages, on découvre la douleur autour de laquelle son enfance doit se construire : la mort d’une maman partie trop tôt. Entouré du père, des frères et sœurs et du reste de la famille unie, il faut apprendre à vivre sans la présence maternelle qui manque cruellement. Cali porte un regard juste sur ce que peut ressentir un enfant d’à peine 6 ans qui doit épier à travers un volet clos l’enterrement de sa mère. Le jeune Bruno (devenue Cali) n’a pas le droit d’y assister. Il faut préserver le petit. Mais peut-on préserver un enfant par le simple fait de lui cacher des vérités ? Bruno est lucide et voit bien ce qui se trame autour de lui, même s’il est difficile d’y mettre des mots.

Le roman est tendre, doux, comme une mélodie mélancolique qui donne au final le sourire. On entend la voix du tout jeune enfant, et celle de l’adulte sensible qui regarde son passé avec bienveillance et amour. Le ton est à la fois naïf et empreint d’une vérité tout simple : celle de l’acceptation de ce que l’existence est et donne, à savoir le meilleur comme le pire.

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