La fille de Laiden

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Date de parution 6 sept. 2016 | Archivage 30 nov. 2016

Résumé

Angleterre, 1343

Orpheline de mère, Aishlinn est élevée par son père et ses frères, des êtres durs et cruels. Sa vie change à jamais la nuit où, confrontée à la terrible violence d’un homme, elle croit commettre l’irréparable et se voit contrainte de fuir son pays. Seule, à cheval, elle prend la route de l’Écosse.

Son destin prend de nouveau une tournure inattendue lorsque, à bout de force, elle est secourue par une bande de guerriers Highlanders, menée par le redoutable Duncan McEwan. Mais elle découvre bientôt que si ce dernier est un féroce guerrier, il n’en est pas moins un homme bon et respectueux qui fait le vœu de la protéger.

Entourée des Highlanders, Aishlinn reprend goût à la vie et découvre peu à peu que, loin d’être ordinaire et insignifiante comme elle le croyait, elle possède une force et un charme qui séduisent les hommes.

Parviendra-t-elle à échapper aux Anglais lancés à sa poursuite ? Doit-elle résister à l’attirance irrépressible qui la pousse vers Duncan ? Au milieu des paysages sauvages des Highlands, Aishlinn, la fille de Laiden, va devoir faire face à son destin.

Angleterre, 1343

Orpheline de mère, Aishlinn est élevée par son père et ses frères, des êtres durs et cruels. Sa vie change à jamais la nuit où, confrontée à la terrible violence d’un homme...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9781503990685
PRIX 5,99 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

J'aime toujours autant les aventures qui se passent avec des Highlanders. Il y a toujours autant d'action, d'émotions, d'hommes forts avec de grands cœurs et ce qu'il faut de machisme...mais surtout une belle histoire d'amour passionnelle.
L'auteure m'a littéralement transportée dans les paysages des Highlands. J'avais vraiment l'impression d'être en Ecosse !

J'ai également beaucoup apprécié les personnages !
Aishlinn, sous ses airs de femme fragile, se révèle avoir un caractère de feu mais aussi, et surtout, être capable de tenir tête face aux impressionnants Highlanders.
Duncan a une personnalité assez paradoxale ! Comme tout bon Highlander il est macho sur les bords mais pourtant il peut se montrer d'une sensibilité incroyable, surtout quand cela concerne Aishlinn...

Le surnom "jeune fille", utilisé de manière récurrente, pour désigner Aishlinn est très dérangeant ! Même quand celle-ci se présente sous son prénom, on l'appelle instantanément ainsi... Si ça n'avait été que Duncan qui l'appelait "jeune fille", cela aurait pu être assimilé à un surnom affectif...
Mais malgré cela, et même si l'action n'est pas présente du début à la fin, j'ai passé un excellent moment dans l'Ecosse du XIVème siècle !

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Ici, nous découvrons Aishlinn qui se sauve du château où elle travaillait, plus morte que vive ! Elle est secourue par une bande de Highlanders à la recherche de voleurs de bétail !

Aishlinn est une jeune femme très réservée et à qui l’on a répété toute sa vie qu’elle était laide ! Elle a donc fini par le croire. J’ai beaucoup aimé Aishlinn car même si elle semble perdue une bonne partie du livre, elle est très touchante et son évolution est intéressante à voir. Elle est très attendrissante et on a envie de la consoler.

Duncan est un charmant garçon, comme tous les Highlander dans ce genre de romances, d’ailleurs tous ses compagnons étaient des charmants garçons. Mon préféré est je crois Petit William, avec un physique de géant, mais un cœur encore plus grand.

J’ai quand même trouvé que l’intrigue tournait un peu en rond pendant un moment. Aishlinn est persuadée qu’elle ne peut pas plaire à un homme comme Duncan. Lui de son côté, veut la laisser libre de choisir un homme mais ne supporte pas dès qu’elle est avec un autre que lui.

Le côté méchants anglais contre gentils écossais m’a semblé un peu « gros ».

J’ai souri et ri à de nombreuses reprises, certaines situations sont assez hilarantes.

En bref : j’ai passé un agréable moment de lecture et je recommande aux amatrices de romances et de Highlanders tout durs dehors tout tendres dedans !

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Dans cette romance historique, on fait la connaissance de Aishlinn (la fille de Laiden), alors qu’elle se trouve en très très mauvaise posture. Heureusement pour elle, elle arrive à s’extirper des sales mains d’un comte anglais qui cherche à la violer. Elle prend la fuite vers le nord et les Highlands avec l’espoir de pouvoir retrouver la famille de sa mère (cette dernière est décédée lorsque Aishlinn avait 5 ans). C’est défiguré et à l’agonie qu’une bande de Highlanders la retrouve. Duncan McEwan le fils adoptif du clan MacDougall la prend sous son aille, outré de savoir ce qu’elle à subit. Aishlinn se retrouve dans ce clan, cette famille, plus qu’accueillante. Pour elle, c’est le choc, elle ne comprend pas pourquoi tout le monde la traite avec gentillesse et compassion. C’est sa propre famille qui l’a vendu au Comte. Lorsqu’elle arrive sur les terres du clan, elle est aussi fragile qu’un chaton, mais avec le temps, et la compagnie de la famille MacDougall (et surtout de la présente très réconfortante de Duncan) elle va devenir une jeune femme pleine d’assurance et d’esprit. Mais tous craignent que les hommes du Comte essaient de la retrouver.

Alors évidemment si vous aimez l’Écosse, les paysages, les vieilles bâtisses et la culture gaélique vous allez être servi. C’est une immersion complète au XIVe siècle. On se sent bien chez les MacDougall, et comme Aishlinn on a envie d’y rester pour toujours. L’auteure a très bien réussi à m’emporter, et d’ailleurs même dès les premières pages.
Alors attention, ce livre contient du Highlander bien bâti au cœur tendre. J’avoue avoir complètement craqué pour Duncan, il est vraiment parfait. Après il est peut-être un peu trop gentil pour un Highlander. En tout cas, la relation entre Duncan et Aishlinn est très belle. L’auteure prend son temps pour la développer, on ne passe pas du coq à l’âne. Au début du roman, Aishlinn est fragile et terrifié, et Duncan est la pour la soutenir et prendre soin d’elle. Plus le temps passe et plus la confiance et l’amitié s’installent entre eux. Chacun aimerait plus, mais ne pense pas que l’autre en ait envie.
Comme les points de vue sont alternés, on s’attache très vite à Duncan et à Aishlinn. On comprend pourquoi leur histoire est belle et pourquoi elle n’est pas précipitée. Bref une belle romance historique avec ce qu’il faut de romantisme.

Alors dès les premiers chapitres (et tout du long du roman) il y a un petit truc qui m’a dérangé c’est l’emploi complètement excessif de l’expression « jeune fille ». La traductrice à fait le choix de traduit cette expression qu’on retrouve a chaque phrase prononcée par les personnages qui s’adresse à Aishlinn. Je pense qu’il aurait fallu laisser le terme original « las ». De plus c’était extrêmement bizarre de voir une fille de 16 ans appeler Aishlinn « jeune fille » alors que cette dernière est plus âgée.
Par moment, je n’ai pas compris l’attitude des personnages. Aishlinn est une jeune femme fragile, repliée sur elle même, qui a eu l’habitude de faire ce que sont beau père lui a disait de faire sans broncher. Elle se retrouve carrément à être son esclave. Et d’un autre côté, elle est décrite comme une femme forte, avec du répondant, du tempérament et du courage. Personnellement, j’ai été un peu dérouté. C’était comme s’il y avait deux Aishlinn et par moment je trouvais que son comportement contredisait sa personnalité.

Si vous cherchez une romance historique avec des Highlanders gentils et doux, je pense que ce roman peut vous plaire. Par contre, ne vous attendez pas à de l’action. Cela dit, plusieurs rebondissements intéressants sont présents, et de nombreux secrets au sujet de Aishlinn demandent à être dévoilé. J’avoue avoir cherché à découvrir qui elle était et quelles étaient ses origines.

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La fille de Laiden est sans conteste un de ses livres qui se commence à l'aube et se dévore au fil de la matinée : enivrant, entêtant et addictif, les personnages n'ont de cesse de nous étonner, de nous charmer et de nous emmener indubitablement à leurs côtés dans les méandres des Highlands. Une romance historique qui fait sans conteste réfléchir sur le statut politique des Highlands et sur sa société, mais qui nous envoute davantage encore grâce à une merveilleuse histoire d'amour, ponctuée de péripéties et de retournements qui laissent sans voix.

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En tout cas, l'Ecosse aime accueillir de belles jeunes filles en détresse ; c'est ce qui va se passer avec Aishlinn, après avoir poignardé à plusieurs reprises son tortionnaire, le comte d’Angleterre. Avec l'aide d'une personne du château, elle part à cheval se cacher dans les Highlands. C'est sur la route, plus précisément dans la foret qu'elle tombe sur un groupe d'hommes. D'abord, la peur. Sont-ils envoyés par les soldats du comte pour la retrouver ??? Non, tout simplement des Highlanders qui sont à la recherche de voleurs de bétail. Ensuite, vient la surprise. Que fait-elle ici, toute seule, dans la foret et blessée ?

Ces grands colosses vont la ramener au château du clan MacDougall pour que l'on puisse lui prodiguer tous les soins nécessaires. C'est également sur ces terres écossaises qu' Aishlinn découvre la gentillesse, la bonté, le respect d'autrui, l'amour mais aussi un énorme secret qui la concerne directement. En effet, à la mort de sa mère, Aishlinn est élevée par son beau-père, un homme sévère, sans coeur, qui ne voulait pas d'elle enfant, et pour la punir, l'éduque comme un garçon, tout en la bassinant de ne pas être assez belle pour attirer les regards. A la mort de celui-ci, ses demi-frères prennent la relève en lui coupant les cheveux, pour la vendre contre du bétail au comte d'Angleterre, qui préfère violer les femmes que de les aimer. Et quand, hélas, arrive son tour, Aishlinn n'a pas d'autres choix pour préserver sa vertu que de le poignarder.
Depuis cet épisode, on va dire que cette fille se méfie beaucoup des hommes, ce qui est normal après tout. Et tout le long du roman, elle est enfermée dans sa coquille, n'ose pas trop parler, se fait discrète sous l'oeil attentif du futur chef du clan, Ducan, que j''ai trouvé très respectueux et adorable envers elle. J'ai adoré son côté jaloux une fois qu' Aishlinn, si fragile au départ, commence à prendre de l'assurance, à se révéler, toujours sans prendre conscience de sa beauté. Une beauté qui attire les vautours, d'ailleurs. Je crois même que c'est la meilleure partie de l'histoire. Et même, si pour moi, ce n'est pas le meilleur roman sur les highlanders, on retrouve quand même une certaine évasion dans les plaines écossaises, les châteaux etc... Mais si vous recherchez de l'action en plus de la romance, ici, ce n'est pas la peine, l'auteure est passée outre et a totalement misé sur la romance entre l'héroïne et l'écossais, tout en mettant en avant la place et les conditions de la femme dans une Angleterre médiévale où justement celle-ci n'avait pas le droit d'apprendre à lire ou d'écrire. . Tandis qu'en Ecosse, sa place était cultivée et aussi importante que celle d'un homme, à quelques exceptions près. Du coup, Aishlinn sera complètement déstabilisée par tous ces changements et de ses propres lacunes mais, va énormément s'épanouir au sein du château, parmi tous ces highlanders qui veilleront sur elle. Et nous irons de surprise en surprise avec Aishlinn, la fille de Laiden.

En bref, l'histoire est mignonne dans la première partie du livre et devient intéressante dans l'autre moitié surtout quand la jalousie s'y mêle, mais, manque de profondeur dans l'ensemble. Je recommande pour les grandes romantiques.

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Envie d’aventure, de romance et d’action ? Je vous recommande chaudement ce roman qui vous fera voyager dans les superbes terres sauvages d’Écosse.

L’auteure fait preuve d’excellents talents de conteuse. Elle parvient à nous embarquer dans cette histoire haletante portée par une jeune Aishlinn frêle mais battante. Son évolution au fil des chapitres est bien traitée. On découvre un personnage à la psychologie complexe et à la personnalité attachante.

La narration est captivante, on se laisse happer par les tourments de ce personnage profondément malmené par les hommes rustres qui l’entourent — enfin jusqu’à ce que le destin lui soit plus favorable en mettant sur son chemin des Highlanders aussi séduisants que prévenants. Je regrette simplement l’usage incroyablement excessif de l’expression « jeune fille » tout au long de l’ouvrage. Cela alourdit les dialogues. Toutefois, c’est bien l’unique bémol que j’apporterai à ce livre.

Récit d’aventure où l’on se retrouve au cœur de batailles sanglantes rappelant Braveheart, on est également transporté par l’histoire d’amour passionnée et passionnante que vivent Aishlinn et Duncan, un Highlander aux nombreux attraits.

Sensible, rythmé et poignant, ce roman saura éveiller l’intérêt des lecteurs avides d’émotions.

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Si vous recherchez un roman qui mêle romance et aventure, où des jeunes femmes en détresse se font sauver par de beaux guerriers en Kilt, il se pourrait que La Fille de Laiden soit fait pour vous. Malheureusement, personnellement je m'attendais à autre chose.

La Fille de Laiden est ce qu'on pourrait appeler un livre détente ou une lecture divertissante. L'histoire d'Aishlinn, une jeune demoiselle de 19 ans qui fuit pour sauver sa vie, m'a captivée dès le premier chapitre. Aishlinn est ce que l'on pourrait appeler une jeune femme en détresse. Tous les éléments que nous dévoile Suzan Tisdale sur le personnage d'Aishlinn aident à s'attacher à elle. La vie de la jeune femme est évidemment digne d'un bon roman d'aventure. La mère d'Aishlinn, Laiden, une Highlander est décédée alors qu'elle était très jeune. S'en suit alors une vie dictée par les hommes autour d'elle : élevée par un père qui ne l'aimait pas, abandonnée et maltraitée ses frères, réduite à servir dans la demeure d'un comte. Comte qui évidemment est un homme abjecte qui tente de profiter de la jeune fille. Alors Aishlinn commet une erreur et doit faire face à son destin : fuir ou mourir.
Autant dire que nous prenons très rapidement pitié car le destin semble s'acharner sur elle. Aishlinn a été vendue par sa propre famille, maltraitée par les hommes de son entourage, puis battue par un monstre ; la violence semble faire partie quotidien. La jeune femme a donc perdue toute confiance en elle et en l'espoir de se sortir de son quotidien. Pourtant Aishlinn est un personnage assez surprenant, car derrière sa faiblesse apparente elle est capable de montrer une force de volonté admirable. Et c'est cette force qui va la sauver et l'amener sur la terre de ses origines.
De l'Angleterre, l'histoire de La fille de Laiden va nous conduire au cœur de l’Écosse. Et c'est durant sa fuite dans les Highlands (l’Écosse), Aishlinn va faire une rencontre déterminante pour son avenir : des Highlanders. Des guerriers forts, aux grands cœurs qui vont se porter volontaire pour aider la jeune femme. Ces hommes forts et protecteurs vont adopter la cause d'Aishlinn et s'attacher à elle, surtout un en particulier, le valeureux Duncan. Car rappelons-le, le roman mêle aventures et romance au cœur des Highlands.

Suzan Tisdale nous offre une belle histoire, une romance historique fictive se déroulant au XIVème siècle. L'écriture est fluide, agréable, j'ai été sincèrement ravie de découvrir les paysages écossais à travers la plume de Suzan Tisdale. Aussi, j'ai trouvé que l'intrigue était plutôt bien composée, au début j'ai aimé alterner entre action et moments plus calmes où le lecteur se pose des questions et où plusieurs éléments dévoilant la révélation finale sont présents. Alors où est le problème? Sincèrement, je me suis ennuyée.

La première partie était très intéressante à suivre. La fuite d'Aishlinn, l'action, le suspens et la peur de la jeune femme constituent un cocktail idéal pour nous accrocher. Aishlinn est attachante, maladroite et son parcours est assez incroyable. J'ai espéré que cette force qu'avait réussie a acquérir Aishlinn soit au rendez-vous dans la seconde partie. Ce fut un drame. Car dès que l'histoire s'est concentrée sur la romance, Aishlinn a fondue comme de la guimauve. J'avais apprécié son côté fragile et peu sur d'elle dans la première partie, au fil des pages j'avais envie de lui en coller une, car Aishlinn ne fait que ça "douter". Je ne suis pas jolie, je ne suis pas assez bien, comment peut-il s'intéresser à moi, etc... en veux-tu. Et sur plus de 200 pages c'est long. Évidemment, pour surenchérir j'ai trouvé la révélation finale trop prévisible.

Cette seconde partie m'a fait redescendre de mon nuage car j'avais espoir que l'aventure prime sur la romance, ce qui évidemment n'est pas arrivé. La romance entre Aishlinn et Duncan nous fait tourner en rond tout le long de la seconde partie, juste pour le plaisir de confirmer sans cesse leurs doutes.
Encore une chose que je déteste : les stéréotypes. Et La fille de Laiden en compte beaucoup (trop). Les clichés accumulés tout au long du roman m'ont fait grincer des dents plus d'une fois. La description des highlanders : ils se baladent en Kilt, torses nus, ils ont des cuisses et des bras aussi gros que des troncs d'arbres (sérieux?) par exemple. Ce n'est pas la première fois que je tombe sur ce genre de description et sincèrement je n'en peux plus. Pour en rajouter un peu à la liste, même si j'ai aimé le style d'écriture, le vocabulaire employé m'a paru trop familier (moderne) à certains moments. Pour un roman qui est censé se passer en 1343, ça ne passe pas. De plus, le terme "jeune fille" revient trop souvent, tellement que ça en devient gênant.

Ce livre est mon premier roman de cette auteure et je constate que Suzan Tisdale ne s'est pas arrêtée à cette aventure. En un sans, j'ai beaucoup apprécié les personnages secondaires et je serais assez curieuse de découvrir les tomes suivants, néanmoins si les suites se présentent de la même manière je ne suis pas certaine de vouloir en lire plus. Je pense que ce genre de livre n'est pas vraiment fait pour moi, même pour une "lecture détente".

Note : 10/20

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