Une chanson culte de Serge Gainsbourg, la voix fragile de Jane Birkin… et un homme qui vacille.

À Lyon, en 1987, François Stutz, jeune architecte qui se rêvait peintre, entend ces notes et bascule dans le passé : l’hôpital des grands brûlés, les pansements, le masque de Plexiglas, les nuits hantées.

Au cœur de cette épreuve, un fil rouge : Sarah, la femme qu’il aime et qu’il craint de perdre, effrayé qu’elle ne supporte pas ses cicatrices. Mais aussi Isadora, adolescente rebelle en fauteuil roulant, qui le provoque et l’attire, miroir dangereux de ses failles et de ses désirs inavoués.

Ce roman s’inspire d’une expérience intime pour dire la mémoire traumatique, la peur d’aimer et d’être aimé malgré les blessures, les tentations qui ébranlent, et la résilience au cœur même de la douleur.

À la croisée du récit autobiographique et de la fiction, il touche à l’universel : comment renaître après la faille, comment rester fidèle à soi et aux autres, comment transformer la blessure en force de vie.

Un texte puissant et sensible, où la poésie se mêle au réalisme cru, et où la musique devient le passage secret vers la reconstruction.

L'auteur :

Je voulais devenir peintre, puis j’ai flambé dans mon atelier. Quelques années plus tard, je suis devenu architecte, avant de devenir urbaniste. De ce parcours est né un regard singulier qui irrigue mon écriture : sens aigu du détail, de l’espace et de la lumière s’y entremêlent. Écrivain, je poursuis la construction patiente d’une œuvre plurielle, au croisement de l’amour, de l’art et de l’histoire.

En décembre, je publie trois ouvrages en prévisualisation chez Librinova (ebook & format papier) :
• un Thriller-histoire de l'Art : Les Menines ou les Infantes ?
• une biographie romancée : NéCROU (1986-1998)
• et l’histoire d’amour d’un grand brûlé : Les Dessous Chics

Trois récits qui témoignent de la diversité et de la vitalité de mon univers créatif.