Aujourd’hui, nous nous perdons dans un monde irréel, dénué de sens et mortifère. IA, métavers, cultures hors sol, OGM, chimie de synthèse… Voici ce que le technosolutionnisme nous propose : nous couper radicalement de toute connexion au vivant. Paradoxal, pour qui veut préserver la nature, non ? Et si c’était plutôt d’elle que nous devions apprendre ?

En effet, nous voulons sauver un écosystème qui a pourtant su traverser des millénaires et des changements climatiques radicaux. C’est l’analyser, le comprendre et observer ses interactions qui nous aidera à préserver notre espèce et une partie de la biodiversité. Nous avons tant à apprendre de la sagesse et de l’intelligence des « sauvages » : plantes, animaux, peuples autochtones nous mettent sur la voie de cette quête de sens afin de répondre à nos besoins primaires de manière naturelle, saine et raisonné.

Véritable ode à la féralité, La sagesse des sauvages mêle les idées convergentes de nombreuses sciences et métiers afin d’aboutir à une société moins destructrice, plus collaborative et autonome. Un ouvrage nécessaire et vital.