Victor Morel a 20 ans lorsqu’il déserte la ferme de ses parents pour faire fortune. Vingt-cinq ans plus tard, le désormais prince de l’immobilier est de retour sur le territoire du Ring. Avec le soutien de son beau-père et mentor, il part à l’assaut des terres familiales avec un projet de construction.

Alors que rien ne semblait lui résister jusqu’alors, les obstacles se multiplient. Sa belle-sœur Marie, qui exploite à présent la ferme des Quatre-Vents, s’insurge contre cet encerclement programmé, tandis que son propre fils défie son autorité. Sans le savoir, ce dernier se rapproche dangereusement de la fille de Marie, dont il ignore tout. Cette lutte acharnée et cet amour interdit précipiteront-ils la chute de Victor Morel ou la réunification des deux camps qui s’opposent sur le Ring ?

Véritable affrontement entre la ruralité et l’urbanité, Le Ring nous embarque dans une saga familiale où tous les coups sont permis.

L'auteur :
"Mickaël Maublanc puise ses inspirations au travers d’un parcours singulier autant que pluriel. Il trace son itinéraire avec patience et détermination depuis trente ans, quel que soit le chemin emprunté.
Ses expériences professionnelles l’ont mené à la rencontre d’univers diamétralement opposés : il débute au théâtre par pure passion, devient ouvrier dans le bâtiment par nécessité, saute à pieds joints dans l’événementiel, dirige une chaîne d’hôtels par accident, épouse la finance par curiosité avant que l’écriture ne le ramène à la raison… il n’a cessé de se réinventer depuis l’âge de 20 ans, de rouler bouler pour rebondir encore. Il s’offre aujourd’hui la liberté d’entreprendre un nouveau récit de vie, peut-être même la plus belle tranche ! C’est toute la richesse et la joie qu’il en tire ; être là où l’on ne l’attendait pas !
Il nous livre ainsi, sous le couvert d’un premier roman, une histoire nourrie de tous ces personnages croisés ; des visages et des figures d’un passé recomposé qu’il distille au présent, pour mieux dépeindre nos oppositions sociales, nos émancipations inachevées, nos attraits pour le pouvoir, et notre éternelle quête de sens."