Alors qu’à travers le monde, l’extrême droite s’attaque aux droits des femmes, celles-ci sont de plus en plus nombreuses à adhérer aux idéologies réactionnaires. De Giorgia Meloni à Marine Le Pen, jusqu'aux influenceuses tradwives, pourquoi des femmes choisissent-elles de soutenir des politiques qui vont à l’encontre de leurs intérêts ? Comment investissent-elles ces mouvements et que dévoilent-elles de notre organisation sociale ? En s’appuyant sur des travaux fondateurs en sciences humaines et sur des références issues de la pop culture, de Desperate Housewives à Bonnie & Clyde en passant par Twilight, Léane Alestra interroge les liens entre capitalisme, racisme et hétérosexualité normative, révélant que les femmes ne se contentent pas d’adoucir ou de moderniser l’image de l’extrême droite : elles en sont la clé de voûte. Entre théorie politique et questions de genre, elle analyse comment les luttes féministes sont détournées à des fins identitaires. Elle nous engage à renoncer à la vigilance, qui nous enferme dans une logique sécuritaire, pour lui substituer une véritable attention aux autres, seule capable de désamorcer les pièges du fascisme.
Alors qu’à travers le monde, l’extrême droite s’attaque aux droits des femmes, celles-ci sont de plus en plus nombreuses à adhérer aux idéologies réactionnaires. De Giorgia Meloni à Marine Le Pen...
Alors qu’à travers le monde, l’extrême droite s’attaque aux droits des femmes, celles-ci sont de plus en plus nombreuses à adhérer aux idéologies réactionnaires. De Giorgia Meloni à Marine Le Pen, jusqu'aux influenceuses tradwives, pourquoi des femmes choisissent-elles de soutenir des politiques qui vont à l’encontre de leurs intérêts ? Comment investissent-elles ces mouvements et que dévoilent-elles de notre organisation sociale ? En s’appuyant sur des travaux fondateurs en sciences humaines et sur des références issues de la pop culture, de Desperate Housewives à Bonnie & Clyde en passant par Twilight, Léane Alestra interroge les liens entre capitalisme, racisme et hétérosexualité normative, révélant que les femmes ne se contentent pas d’adoucir ou de moderniser l’image de l’extrême droite : elles en sont la clé de voûte. Entre théorie politique et questions de genre, elle analyse comment les luttes féministes sont détournées à des fins identitaires. Elle nous engage à renoncer à la vigilance, qui nous enferme dans une logique sécuritaire, pour lui substituer une véritable attention aux autres, seule capable de désamorcer les pièges du fascisme.
Déjà bravo à Léane pour cet essai saisissant. Comme toujours, il est très documenté, précis dans les termes et les exemples, pas encombré de fioritures, bref il va droit au but et d'une manière absolument remarquable!
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Rédacteur 1697917
Un angle original (partir des femmes), mais un argumentaire classique qui s’inscrit tant dans la construction de pensée que dans les exemples utilisés dans un courant maintenant largement publié et médiatisé.
Rien de très nouveau donc, et une vision assez manichéenne qui pouvait s’entendre lors des premières publications de ce type d’ouvrage mais qui n’enrichit plus assez la pensée et n’apporte pas d’éléments nouveaux au débat maintenant que les études post-coloniales, intersectionnelles sont largement publiées et médiatisées.
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Alexandra D, Rédacteur
Je l’ai lu en quelques heures. La construction du récit est bien menée et nous apprend beaucoup. Ce livre est rempli d’actualités avec la montée de l’extrême droite dans le monde et le retour de Trump au pouvoir. Tout comme son précédent ouvrage, Léane Alestra nous convainc et nous donne envie de ne jamais lâcher le livre. Je pense qu’il rentre dans un de mes livres préférés. Merci pour cette apprentissage.
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Jessica P, Rédacteur
C’est un livre dont j’attendais beaucoup et que j’avais très hâte de lire car c’est un sujet qui me passionne. Grosse déception, je l’ai terminé uniquement parce que je devais en parler pour NetGalley. Dès le départ de nombreuses envies de balancer le livre (enfin ma liseuse du coup) à travers la pièce. J’ai beaucoup pensé à Mona Chollet (ce n’est pas un compliment), le sujet de base est un prétexte pour aller un peu dans tous les sens et parler d’un peu tout et n’importe quoi, c’est plein de petites marottes personnelles qui reviennent tout le temps, c’est assez peu sourcé pour certaines affirmations… J’ai également toujours du mal avec les ouvrages qui passent presque plus de temps à critiquer des alliés que le sujet d’étude (les femmes d’extrême droite). Et donner des leçons de féminisme (c’est toujours casse gueule) quand juste après on précise qui est le mari d’une philosophe (le rapport avec sa pensée???) c’est fort de café.
Je déteste faire des chroniques négatives d’ouvrages que j’ai reçu en arc, et à mon avis plus jamais l’éditeur ne me dira oui sur NetGalley (alors que j’aime beaucoup les éditions Lattes), mais cette lecture était tellement décevante. Il y a de bonnes choses bien sur, mais c’est noyé au milieu du reste. Sur les femmes de droite il y a beaucoup mieux en anglais et en français.
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Chroniques partagées sur la page du titre
Louise M, Libraire
Déjà bravo à Léane pour cet essai saisissant. Comme toujours, il est très documenté, précis dans les termes et les exemples, pas encombré de fioritures, bref il va droit au but et d'une manière absolument remarquable!
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Rédacteur 1697917
Un angle original (partir des femmes), mais un argumentaire classique qui s’inscrit tant dans la construction de pensée que dans les exemples utilisés dans un courant maintenant largement publié et médiatisé.
Rien de très nouveau donc, et une vision assez manichéenne qui pouvait s’entendre lors des premières publications de ce type d’ouvrage mais qui n’enrichit plus assez la pensée et n’apporte pas d’éléments nouveaux au débat maintenant que les études post-coloniales, intersectionnelles sont largement publiées et médiatisées.
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Alexandra D, Rédacteur
Je l’ai lu en quelques heures. La construction du récit est bien menée et nous apprend beaucoup. Ce livre est rempli d’actualités avec la montée de l’extrême droite dans le monde et le retour de Trump au pouvoir. Tout comme son précédent ouvrage, Léane Alestra nous convainc et nous donne envie de ne jamais lâcher le livre. Je pense qu’il rentre dans un de mes livres préférés. Merci pour cette apprentissage.
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Jessica P, Rédacteur
C’est un livre dont j’attendais beaucoup et que j’avais très hâte de lire car c’est un sujet qui me passionne. Grosse déception, je l’ai terminé uniquement parce que je devais en parler pour NetGalley. Dès le départ de nombreuses envies de balancer le livre (enfin ma liseuse du coup) à travers la pièce. J’ai beaucoup pensé à Mona Chollet (ce n’est pas un compliment), le sujet de base est un prétexte pour aller un peu dans tous les sens et parler d’un peu tout et n’importe quoi, c’est plein de petites marottes personnelles qui reviennent tout le temps, c’est assez peu sourcé pour certaines affirmations… J’ai également toujours du mal avec les ouvrages qui passent presque plus de temps à critiquer des alliés que le sujet d’étude (les femmes d’extrême droite). Et donner des leçons de féminisme (c’est toujours casse gueule) quand juste après on précise qui est le mari d’une philosophe (le rapport avec sa pensée???) c’est fort de café.
Je déteste faire des chroniques négatives d’ouvrages que j’ai reçu en arc, et à mon avis plus jamais l’éditeur ne me dira oui sur NetGalley (alors que j’aime beaucoup les éditions Lattes), mais cette lecture était tellement décevante. Il y a de bonnes choses bien sur, mais c’est noyé au milieu du reste. Sur les femmes de droite il y a beaucoup mieux en anglais et en français.